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  Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse  

   Le Trou du Cul (Sonnet du, Arthur Rimbaud)) grâce auquel je vis

« Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au cœur de son ourlet.
 
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.
 
Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
 
C'est l'olive pâmée, et la flûte câline ;
C'est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !».

Trop heureux que les mystères de mon Trou en intéressent quelques uns !  

             

Quand bander serait gênant

au vestiaire par exemple...

  Il m'est arrivé quelquefois d'être si brusquement excité à la vue d'une paire de fesses séduisante que je devais calmer mon amorce d'érection en me précipitant sous la douche et en m'efforçant de penser à autre chose. Personne ne s'est jamais douté de rien mais  j'ai abandonné le rugby. Il y avait trop de tentations impossibles à réaliser

http://www.gai-eros.org/w/index.php/J%27aime_le_cul_des_hommes

C'est sûr on peut être déçu par un pénis flaccide qui tarde à bander ou même ne bandera jamais.  Mais n'essayez pas de me persuader qu'un pénis énorme épais, palpitant, beau,  durement sûr-de-soi c'est juste plus beau qu'un pénis qui pend. Un pénis flaccide est plus porteur d'inconnu et d'heureuses surprises...qui semble pouvoir le moins peut bien pouvoir le plus ! 

Avec un pénis flaccide il y a, au total, bien plus à faire !

Vous, il vous semble que vous banderiez, là ?