CULTURE GAY & SOCIETES

Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 05:26

 

Franis Husterdans La Faute de l'Abbé Mouret

 

 

 

Bien sur mes parents ont trouvé cela très bien , juste a deux pas de l école ! La route a traverser !
Que j’avais bien de la chance et que l’abbé X était bien bon de vouloir me prendre en charge …..
Chose dite , chose faite ! pension chez le Prêtre .. le dimanche chez mes parents, pour le repas du midi après la messe et retour le soir !
J’allais avoir 13 ans en janvier j' était plutôt mignon, un éphèbe dans toute sa splendeur. Pas un poil sur le corps ! plutôt petit pour mon age .
très naïf ! timide aussi .
Les Premières semaines ce passe sans problème , l’ abbé était très gentil ..il corrigeait mes devoirs le soir ;

http://www.textesgais.com/textes-gais-pour-adultes.php/post/2009/05/29/Souvenir-de-mes-jeunes-ann%C3%A9es-de-12-%C3%A0-15-ans-(1)-de-Bernard   

 

 

 

*Site Web pour cette image

Robin Rennucci et Florian Vigilant, Le Silence des églises.

television.telerama.fr

 

 

 

 

 

 

Par textes gais - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 12:59

 

Qu'il disent !

La sereine justice ne devrait jamais statuer "pour l'exemple". 


J'ai
J'ai
J'ai
J'ai quelque chose de pointu qui m'entre dans le cul qui m'empêche de marcher
J'ai
J'ai

   9 décembre 1998  Premiers à comparaître au titre de la loi, jugés pour bizutage, sept étudiants dénoncent un procès pour l'exemple. 

 

Brest, envoyé spécial de Libération.

Ils sont sept, bien en rang, debout, devant la présidente du tribunal correctionnel de Brest. Certains ont les mains croisées dans le dos, comme les footballeurs pour la photo d'avant match. L'un d'eux a les mains dans les poches, décontracté. Tous visiblement se demandent ce qu'ils font là. Ces sept garçons, tous élèves de l'Ecole nationale d'ingénieurs de Brest (Enib), inaugurent une loi votée en juin 1998 sous l'impulsion du ministère de l'Education nationale, qui punit les faits de bizutage. Leur procès est une première. Ils risquent au maximum six mois d'emprisonnement et 50 000 F d'amende.

               

Un peu boîteux le dépôt de plainte sans plaignante

C'est le parquet qui a engagé les poursuites. A l'origine de l'affaire, le coup de téléphone, fin septembre, d'un médecin universitaire à SOS Violence, la ligne de téléphone installée par Ségolène Royal, ministre déléguée à l'Enseignement scolaire. Le praticien venait de recevoir en consultation une élève bizutée et voulait signaler les faits. L'élève, elle, ne portera pas plainte.

Toujours de la scatologie dans les bizutages c'est connu

«Exhibitions». Le bizutage avait eu lieu les 11, 12 et 13 septembre lors du «week-end d'intégration» des nouveaux, en première année. Les faits reprochés sont assez typiques du genre: tonte des cheveux d'un élève; scènes d'«exhibitions de fesses en groupe ou isolément»; exécution de pompes en chantant «j'encule les tantes et j'aime ça»; organisation d'une chenille, chaque étudiant prenant la main du suivant après s'être passé le bras entre les cuisses et avançant en chantant: «j'ai quelque chose de pointu qui me rentre dans le cul qui m'empêche de marcher»; doublage par deux étudiants, bras liés, d'une séquence de film porno et organisation d'un «relais rosé» (boire le maximum de verres de rosé en un minimum de temps).

Loi placardée...et c'est comme un défi!

. Présent parmi les prévenus, le président du bureau des élèves (BDE) de l'Enib, au courant de la loi, s'était porté garant du bon déroulement du week-end auprès du directeur de l'école, qui avait fait placarder des extraits du texte dans le hall de son établissement. Devant la présidente du tribunal, il se défend d'avoir obligé quiconque à faire quoi que ce soit. «Et personne à l'issue de ce week-end n'a estimé avoir été victime de faits humiliants et dégradants.» Et il précise: «Si faire la chenille est dégradant, toutes les soirées étudiantes tombent sous le coup de la loi. J'ai fait l'an dernier un stage au pays de Galles, c'était pareil.» Il a aussi «du mal à comprendre en quoi se faire couper les cheveux est humiliant, surtout que l'étudiant était volontaire, c'était un troisième année, pas un nouveau, et il s'était laissé pousser les cheveux exprès.» Le vice-président du BDE, le secrétaire général, le trésorier, tous prévenus aussi, s'étonnent de la même manière. «C'est moi qui devais me faire tondre, dit même l'un d'entre eux. Mais l'autre avait les cheveux plus longs"» Le secrétaire général note: «Vous savez, des pompes, on en fait tous les jours sur un terrain de foot.» Le président du BDE explique que, les années précédentes, c'était pire. «Les oeufs, la farine, les repas les mains liées dans le dos, c'est fini.» Un prévenu conclut: «On a démontré que le bizutage avait fortement évolué.»

Sanction d'avertissement. «Il est manifeste que l'interdiction du bizutage est difficilement acceptée, remarque le procureur. L'objectif du législateur est d'empêcher la dictature de certains, le défoulement collectif, l'embrigadement des jeunes par les plus vieux.» D'accord pour considérer que la gravité des faits est «relative», il requiert une sanction d'avertissement, «pour que le message soit entendu»: huit jours de prison avec sursis et 2 000 F d'amende, non inscrits au casier judiciaire. La défense a dénoncé ce procès pour l'exemple et demandé la relaxe des sept étudiants.

QUINIO Paul
Bizutage poussé dans une fraternité américaine

 

      

 

 

 

Par libé+pornhub - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 00:25

 

les trop-ceci,les pas-assez-cela...ESSAYEZ-LES VOUS VERREZ !... vos préjugés vont s'écrouler !


He looked deeply into my Husbands Face and said,   “Fuck him I am your master now , Now get own and suck this.” 

 

 

VOUS VERREZ...

My partner loves to sit on his lap

Attention ....je pique !

Partner said, ” I can feel his HOT cum as it enters my Hole !”

moi aussi !

He has this habit of flashing the cable repair man!

fhabhotdamncobs: dotwriter: So what DOES a bored business man do in a Topeka hotel room with a digital camera, a laptop and really good WiFi? ♂♂

nice

servicemarriedmen: No withdrawal without deposit! Bet your wife doesn’t say that?

He said, “I’m sory we just fell asleep watching TV”..  Yeah , OK

 

 

 

 

 

 

Par Iznogoud69lyon+claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 23 septembre 2 23 /09 /Sep 00:11

 

Brève histoire des "homosexuels" français (1) EXTRAIT DU BLOG CULTURE ET DEBATS

I - 1580 : le souverain des mignons

 

La grande mode ? Etre frisé et fraisé.

 

On voyait les « mignons » tout court, comme Grammont, Bellegarde ou Epernon, les «grands mignons», comme Quélus ou Maugiron et Joyeuse, enfin, «l’archi-mignon». Henri III s’était entouré d’une cour de jeunes hommes, beaux, intrépides et fringants bretteurs, qui défraya la chronique du temps. C’était moins leurs mœurs qu’on leur reprochait que leur penchant dispendieux.

     LE ROI   DEJA  BLING BLING

Le bon peuple de Paris accusait son souverain de dilapider l’argent du royaume en parures et dotations pour ses amants «frisés et fraisés». Des libelles injurieux s’échangeaient sous le manteau dans les tavernes de la capitale. Le 4 février 1579, alors qu’il visite la foire Saint-Germain (6e), le roi fait jeter en prison des écoliers déguisés avec d’énormes fraises découpées dans du papier, qui l’ont moqué sur son passage. Et les folies continuent. En 1587, 500.000 écus sont prélevés sur les rentes de la ville pour être engloutis en fêtes, bals et colifichets destinés aux chers mignons. Le Parlement de Paris se fendit d’une remontrance au roi pour lui faire valoir qu’en attendant les pauvres crevaient un peu plus de faim… Deux ans plus tard, le moine Jacques Clément l’assassine et les mignons passent aussitôt à la trappe.

 

II - Le Grand Siècle des tapioles

 

Dès le XVIIe siècle, le quartier du Marais abritait le "beau vice". Lecture non expurgée des "Historiettes".

      il faisait quoi, là, ce brave Henri IV ?  

Paris, mai 1610. Henri IV est assassiné par Ravaillac alors que son carrosse, ralenti par la foule, piétine rue de la Ferronnerie (1er), devant l’actuel Banana Café. Ça, tout le monde connaît. Bon. Mais il faisait quoi, là, ce brave Henri IV ? Il allait où ? Ça, ça n’est pas dans les manuels d’histoire. Dommage. Parce que l’anecdote est savoureuse. D’après Tallemant des Réaux, il emmenait l’un de ses fils, Vendôme (prénom César), un bâtard (légitimé) qu’il avait eu avec Gabrielle d’Estrées, chez la belle Angélique Paulet, célèbre courtisane de l’époque, dans l’espoir de faire passer audit César, alors âgé de 16 ans, son «ragoût d’Italie» – comprenez, pour le rendre hétéro. Et donc, grâce – ou faute – à Ravaillac, l’affaire loupera si bien que César de Vendôme fut l’une des plus grandes «tapioles» du Grand Siècle (qui en compta pourtant beaucoup), au point que son hôtel (à l’emplacement actuel de la place Vendôme) fut rebaptisé par les mauvaises langues du temps «l’Hôtel de Sodome» (ça tombait bien, ça rimait).

      DEJA L'EXEMPLE VENAIT D'EN HAUT 

Gédéon Tallemant (1619-1692), dit Tallemant des Réaux, à qui l’on doit cette précieuse précision sur l’assassinat du Vert-Galant, était issu d’une famille de la haute finance protestante. Il passa sa vie à noircir des cahiers où il croquait les grands de son temps, de préférence avec force détails scabreux, dans une suite de portraits qu’il appelait ses «Historiettes» (ou cliquer sur le livre). La première édition (expurgée!) des «Historiettes» ne vit le jour qu’en… 1834, et fit aussitôt scandale. Pensez ! Louis XIII y était décrit comme un pauvre type sans volonté, jaloux et colérique avec ses… amants, dont le fameux Cinq-Mars. Chez Tallemant, pas d’équivoque: le père de Louis XIV est une tante. A l’écoute de tout ce qui se murmurait dans Paris, Tallemant nous a laissé un portrait sans fard des mœurs du Grand Siècle. Le «beau vice» s’y étale avec une impudeur qui ravale les audaces de la presse trash anglo-saxonne à de la littérature de confessionnal. Boisrobert, vieillissant, se flatte-t-il de s’être «fait mettre deux fois dans le cul par un beau laquais».

 

Tallemant réfute : «Peu de temps après, il eut besoin d’un lavement. L’apothicaire eut assez de peine à faire entrer ce qu’il fallait dans son cul, tant il était étroit.» Comme Tallemant ne s’intéresse qu’aux gens bien nés, tout cela se passe pour l’essentiel dans le Marais (où habitait alors l’aristocratie). Ça nous rappelle quelque chose. Et quand Tallemant, vieux français oblige, écrit que Louis XIII était d’un naturel «assez gay», on se dit que c’est vraiment arrivé demain.

 

Par CULTURE ET DEBATS - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 00:28

 

   

 

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Lu dans le Midi-Libre

Bronzé et huilé comme un play-boy, la pupille aguicheuse, on le voit sur les premières images chanter Nationale 7, hymne d'une France insouciante et ensoleillée. Mais c'est surtout la face obscure de l'artiste qui apparaît dans Charles Trenet, L'ombre au tableau, de Karl Zero et Daisy D'Errata, à voir, dimanche 16 février, à 22 h 35, sur Arte.

 

 

C'est à croire que Trénet n'a fait dans sa vie que des galipettes avec des garçons de moins de 21ans... Des fois on regrette qu'il y ait des fouille-merde.

Jusqu'à  ce qu'on surprenne lesdits fouille-merde à bézouiller non conforme...

Le 16 Février 2014

[Documentaire] Charles Trenet, l'ombre au tableau

Karl Zéro et Daisy d’Errata font revivre ce vieux galopin sulfureux, poète dont le masque joyeux cachait mal les désespoirs, artiste solaire qui dédaignait toute forme de conventions, à travers des archives inédites et oubliées et les témoignages de ses amis proches, parmi lesquels Charles Aznavour, Jean-Jacques Debout et Georges El Assidi.

Diffusion télé

> Dimanche 16 Février 2013 à 20h35 sur Arte

 

Résumé du film

affiche charles trenetPour Charles Trenet, tout semblait si facile, tout était léger, fugace, rêvé… "La mer", griffonnée en quelques minutes dans un train entre Narbonne et Carcassonne, fit le tour du monde et le transforma en milliardaire.
 
Mais derrière l’insolente réussite, derrière le chapeau cloche et les yeux qui riboulent, derrière le génie poétique se cachait un autre Charles : un petit pensionnaire abandonné par sa mère, un homme secret, un "pédéraste" à une époque où l'homosexualité n’était pas tolérée. Alors, il se réfugiait dans le monde des rêves, avant d’être durement ramené à la réalité. C’est ce Charles Trenet-là que le film raconte, ce Trenet blessé, mystérieux, solitaire. Celui qui traversa le siècle sans jamais vouloir se livrer, par élégance, par désinvolture, par horreur d’avoir à se justifier. Car, sa vie durant, l'homme a été poursuivi par les ragots. Collabo pour les uns, pédophile pour les autres, Trenet n’a jamais daigné répondre. Il a souffert en silence et chanté sans relâche pour faire taire les grincheux.
 
Karl Zéro et Daisy d’Errata font revivre ce vieux galopin sulfureux, poète dont le masque joyeux cachait mal les désespoirs, artiste solaire qui dédaignait toute forme de conventions, à travers des archives inédites et oubliées et les témoignages de ses amis proches, parmi lesquels Charles Aznavour, Jean-Jacques Debout et Georges El Assidi.

Réalisateur : Karl Zéro Au fondil vaut mieux quu'ilslevendent :qui va acheter ça ? 

Format : 53'

Coproduction : La Mondiale de Production / Ina

Plus d'info sur le site d'Arte >>

 

 

Verlaine Colloque sentimental

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.

Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles.

Verlaine
Les fêtes galantes
  
Par zero...karl - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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