FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U"

Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 00:24

 cette expérience a orienté, plus que mes études, toute ma vie   gayteenstogether: “ Eyes. ”

  http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/pension-entre-garcons-sujet_1266_3.htm

  lovehouse: “ ❤♂Just Gay Couples♂❤ ❤Lovehouse❤ ” 

C'était l'été et j'avais presque dix huit ans.

Je n'étais pas une lumière à l'école et je préférais de loin m'amuser plutôt que suivre les cours. J'avais redoublé une première fois et le conseil de classe m'avait généreusement admis à tripler. Autant dire que mes parents n'étaient pas spécialement fous de joie et après une bonne raclée, ils ont réussi à négocier que je passe en première en contrepartie d'un été en pension pour rattraper mon retard.

J'ai donc été envoyé pendant 3 mois en pension à Toulouse au lieu de partir avec le club de rugby comme les années précédentes.

Arrivé dans cette pension catholique, j'ai aussitôt pris mes marques. Nous étions tous réunis dans une ancienne salle de classe reconvertie pour l'internet estival en dortoir pour une dizaine d'élèves.

Dès le premier jour, j'avais sympathisé avec Lionel, blond, plutôt mince et timide. Il venait lui aussi de Bordeaux. Nous avons posé nos affaires dans un coin de la pièce. Lionel a pris le lit de dessous et moi celui au dessus.

Les premiers jours de cours se sont bien passés. Nous travaillions le matin et l'après midi était réservé à toutes sortes d'activité. Je m'étais naturellement inscrit dans l'équipe de Rugby et Lionel également, à ma grande surprise compte tenu de son gabarit plutôt léger.

Notre prof de sport semblait de toute évidence aimer les jeunes garçons. Il ne ratait aucune occasion pour passer dans les vestiaires et nous mater sous divers prétextes. Les autres élèves avaient remarqué le manège et provoquaient volontaire le prof en restant longtemps à poils en entretenant des début d'érection visibles à tous.

Je suis rentré dans ce jeu et alors que je me balladais à poils en bandant légèremment, je me suis appercu que Lionel me matait discrètement. Quand il s'est apperçu que j'avais suivi son regard, il est devenu écarlate, s'est habillé et a filé.

Le lendemain, après l'entrainement de rugby, Matthieu, un élève de 17 ans avait lancé sous la douche un défit consistant à démontrer qu'il était capable de se branler et d'éjaculer en moins de 2 minutes. Le défit lancé, il a commencé à se palucher sous la douche devant tout le monde, l'un d'entre nous chronomètrant la performance. Pendant que je regardais ce spectacle, j'ai pu remarquer que Lionel avait une érection qu'il avait du mal à cacher. Il semblait ne pas vouloir quitter les douches pour éviter d'être remarqué et restait plus ou moins à l'écart.

Après que Matthieu eut terminé son exploit en ne dépassant que de 15 secondes le délai imparti, Lionel est rentré dans une cabine de vestiaire et je me suis mis dans celle à coté de la sienne.

Je suis alors monté sur le banc de ma cabine pour demander à Lionel son peigne. Mais, alors que je venais de passer la tête par dessus la séparation, j'ai vu Lionel en train de se branler discrétement. Je suis resté quelques secondes à le regarder faire et sentais que mon caleçon avait du mal à contenir mon érection.

Au bout d'un moment, comme si de rien n'était, j'ai demandé à Lionel son peigne. Il m'a alors vu et avait surtout remarqué que je l'observais depuis un moment. Il était manisfestement gêné et ne savait plus ou se mettre.

Je lui ai alors dit qu'il pouvait continuer et je lui ai demandé si cela le dérangeait que je le regarde.

Lionel m'a alors souri et a repris sa branlette en se tournant vers moi. Pour ma part avec une main, je commencais à me carresser.

Mais en équilibre précaire sur la pointe des pieds, je commençais à tenir de plus en plus difficilement . Je lui ai alors demandé si je pouvais venir dans sa cabine et Lionel a de nouveau souri.

Discrétement, dans le chahut du vestiaire, j'ai escaladé la séparation et me suis glissé dans la cabine de Lionel.

En m'appuyant sur son banc, mon pied a glissé et j'ai trébuché. je me suis alors accroché à lui et ai senti sa bite s'écraser contre mon torse.

je n'avais jamais senti une autre bite que la mienne et ce premier contact raviva mon érection de plus belle.

La cabine était étroite et nous tenions difficilement tous les deux sans nous toucher.

Lionel a repris sa branlette et je me suis mis également à me branler doucement en le regardant dans les yeux.

Lionel me fixait en me souriant et je fus pris d'une irrésistible envie de l'embrasser. J'ai posé mes lèvres sur les siennes et l'ai serré dans mes bras. Lionel se laissait faire. Avec mes mains je caressais son corps jusqu'à rencontrer sa bite que je me suis mis à branler doucement. Lionel gémissait.

je me suis alors assis sur le banc et je me suis mis à regarder sa queue de près. Elle sentait bon le savon et se dressait à quelques centimètres seulement de ma bouche. Lionel me regardait et semblait me supplier. J'ai alors fait courir ma langue autour de son gland et l'ai sucé tout doucement. J'étais pour ma part surpris de plaisir que je ressentais en sucant un garçon. Lionel se laissait faire et fermait les yeux. Pendant ce temps, je me branlais de ma main gauche et caressais ses fesses en dirigeant de plus en plus mes doigts vers son cul.

Mon index avait trouvé son trou et titillait l'entrée. Au bout de quelques secondes, j'enfilais mon doigt dans le trou de Lionel qui gémit puis j'initiais quelques va et vient lorsque Lionel se raidit et m'éjacula dans la bouche.

Lionel se mit alors à genoux et me suca à son tour quelques instants avant que j'éjacule sur son cou.

On est resté ainsi quelques minutes à reprendre nos esprits et à s'embrasser.

Je suis alors repassé dans ma cabine et, en sortant du vestiaire Lionel et moi sommes remontés au dortoir.

En remontant au dortoir, nous avons croisé Antoine, le prof de sport qui nous regarda d'un oeil lubrique. Il nous arrêta et nous demanda d'où nous sortions.

On lui répondit qu'on sortait des vestiaires et il se mit à sourire franchement.

Il nous dit alors : c'est curieux car j'en viens et il n'y avait plus personne. je m'apprétais à les fermer. Encore deux minutes de plus et vous y passiez la nuit ... mais peut-être que cela ne vous aurait pas derangés".

Lionel était paniqué et Antoine poursuivit : "montrez moi où vous étiez pour que je vous vois pas".

Antoine nous obligea à le suivre en direction du vestiaire et, arrivés en bas, nous demanda où nous étions.

On lui montra nos cabines situées au fond du vestiaire qu'il inspecta minutieusement. Soudain il s'arrêta devant une goutte par terre qui avait dû couler : c'était mon sperme.

Il mit le doigt dessus, la fit rouler entre ses doigt puis y goûta ...

Lionel semblait sur le point de defaillir, pensant que nous étions bons pour un nombre d' heures de colle record. Pour ma part, j'imaginais plutôt que Antoine nous trouverait une autre punition.

Il se tourna vers nous et nous dit : maintenant, montrez moi ce que vous faisiez pour mettre autant de temps à vous habiller.

Il mit sa main sur mon épaule et appuya afin que je me mette à genoux. Puis, il ouvrit sa ceinture et baissa son pantalon. Il me demanda de sortir sa bite de son caleçon, ce qui ne me demanda que peu d'effort puisqu'il craquait de tous cotés.

Puis, Antoine mit également sa main sur l'épaule de Lionel et l'obligea à se mettre également à genoux. Antoine rapprocha nos têtes et nous nous embrassâmes sans ardeur tout en nous regardant un peu tristement.

Puis Antoine tout en maintenant nos lèvres posées l'une sur l'autre glissa sa bite entre nos bouches et commenca à faire glisser son gland contre nos lèvres.

Au bout de 2 minutes, Antoine éjacula sur mon sweet et celui de Lionel puis partit en nous disant : "si vous en parlez à qui que ce soit, vous êtes morts".

Le soir, après le diner, Lionel et moi avons décidé de faire un tour dans le parc pour discuter un peu.

Nous nous sommes assis près du fleuve en attendant le coucher de soleil.

 

Dans le parc Lionel me demanda si j'avais déjà eu des relations avec un garçon avant aujourd'hui.

Je lui répondis que la seule fois où j'avais eu une vague expérience, c'était avec mon cousin en camping 2 ans plus tôt. Nous avions partagé notre tente un soir et avions alors fait un 69 juste pour savoir comment ça faisait. C'était le coup classique du "on est pas homos mais c'est juste pour apprendre avant de le faire avec les filles" !

De son coté, Lionel m'a dit qu'il se sentait attiré par les garçons depuis toujours et que je l'avais immédiatement attiré.

Je sentais au fond de moi que j'avais tout de suite été pour ma part également attiré par lui.

Lionel mis alors sa main sur ma cuisse et se mit à me carresser l'intérieur des jambes en me reagardant.

Nous avons glissé vers un talus bordé de buissons à coté du fleuve. Il commençait à faire sombre.

Nous nous sommes allongés et avons commencé à nous déshabiller réciproquement. On s'est couché nus sur nos vêtements servant de lit improvisé
Je me mis à embrasser le torse de Lionel en descendant progressivement vers son pubis. Du bout des doigts je caressais ses jambes en frôlant l'intérieur des cuisses jusqu'à toucher ses bourses. je fis glisser ma tête entre ses jambes et lèchai tout ce que j'y trouvais.

J'entendais la respiration de Lionel devenir plus intense et lente. Puis il se retourna doucement sur le coté. Je me suis alors mis à lui embrasser les fesses puis le dos en remontant vers sa nuque. Ce faisant, je sentais que ma bite s'accrochait à ses fesses entre lesquelles mon gland frottait.

 

Lionel écarta un peu plus les jambes et cette fois, mon bout pouvait titiller son trou encore trop serré.

Je mis de la salive sur mes doigts que je réussis à en introduire doucement, d'abord un, puis deux.

 

Lionel gémissait franchement et écarta plus encore les  jambes tout en se cabrant. J'ai alors introduit tout doucement ma bite en lui, en la ressortant plusieurs fois pour mouiller à nouveau son trou avec ma salive.

Lionel adorait.


je pus enfin rentrer complétement en lui et commencer à le limer du bout du gland puis plus profondément.

      Au bout d'un moment, Lionel se retira et m'allongea sur le dos.

Il s'assit alors doucement sur moi et, genoux repliés, mais pieds à terre, s'empala sur toute la longueur de mon sexe en contrôlant le rythme.

Avec ma main, je le branlais doucement et régulièrement, Lionel se penchait pour m'embrasser.

Parfois nous suspendions nos ébats à cause d'un bruit puis reprenions de plus belle aussitôt le calme revenu.

Nous sommes restés ainsi de longues minutes avant que, ne contrôlant plus rien de moi, je jouisse en lui et lui sur moi quelques secondes après.

On est restés ainsi allongés sur nos fringues en boule pendant quelques temps, encore emmélés et poisseux à nous embrasser tendrement.
Lionel est moi sommes rentrés discrétement à l'internat. Les autres jouaient au foot dans la Cour que nous avons traversée.

Matthieu s'est alors mis à lancer : "alors les PD,  on s'est bien amusés ?".

Lionel, malgré son gabarit léger, a foncé sur Matthieu en le bousculant si fermement que Matthieu en tomba par terre. Les autres arrêtèrent le ballon et commencèrent à exciter Matthieu par des encouragements. Celui-ci s'est relevé et a voulu frapper Lionel qui esquiva le coup de poing et infligea à Matthieu une correction en règle.

Après cette démonstration, Lionel lança un défi aux autres garçons afin de s'assurer que plus aucun d'entre eux ne souhaitait continuer le débat.

Dans le silence général à peine troublé par les plaintes de Matthieu, Lionel et moi sommes remontés au dortoir pour nous coucher.

Plusieurs garçons lisaient tranquillement.

Pendant que je montais dans mon lit, Lionel m'expliqua qu'il avait fait 10 années de judo et qu'il n'avait jamais eu l'occasion de les mettre rééllement en pratique avant ce soir. J'étais impressionné par son calme alors qu'il venait de se battre avec le plus redouté des mecs du pensionnat.

Une demi-heure plus tard, Antoine procédait à la dernière visite du dortoir avant l'extinction des lumières.

En passant devant nos lits, il esquissa un sourire provocateur.


Le lendemain, la nouvelle des exploits de Lionel avait fait le tour des dortoirs. Mais la rumeur sur notre liaison que la réaction de Lionel n'avait fait que confirmer s'était également répandue.

La matinée de cours de math s'est déroulée normalement mais ma concentration pourtant indispensable en raison du fait que mon passage en première était suspendu à la réussite d'un examen à la fin de l'été, était mise à mal par les regards tendres lancés par Lionel.

A la pause déjeuner, Lionel me demanda de l'accompagner dehors pour passer chez le libraire.

Arrivés devant l'étalage de magazines, je me suis dirigé vers le rayon des revues pornos pour regarder les courvertures des revues gay.

Lionel qui venait de trouver le livre qu'il était venu chercher me rejoignit et prenait conscience de l'objet de mon attention.

En faisant mine de feuilleter une revue automobile, Lionel a attrapé la revue porno, l'a glissée dans son sweet et nous sommes partis quelques secondes après en saluant le vendeur affairé au rangement de piles de journaux.

Sur le chemin du retour, je contenais difficilement mon impatience de parcourir l'objet de notre délit.

Mais les cours de sport commençaient et il nous fallait attendre encore plusieurs heures.

A la fin du cours, Lionel et moi avons réinvesti nos cabines de vestiaires isolées au fond. J'escaladai de nouveau la séparation pour rejoindre Lionel qui avait sorti la revue.

Nous nous sommes assis sur le banc et, nus comme des vers, avons commencé à mater les images d'hommes dans des positions dont nous ne soupçonnions pas qu'elles puissent être pratiquées.

En particulier, Lionel s'arrêta sur une photo d'un homme enculant son partenaire, couché sur lui avec les jambes de l'autre posées sur ses épaules.

Les gros plans de cette position étaient particulièrement excitants mais, si l'envie nous prit de vouloir essayer rapidement cette position, la cabine et la presence d'Antoine dans les parages ne s'y prêtaient guère.

J'ai donc réintégré ma cabine, nous nous sommes rabillés très vite, avons traversé le vestiaire non sans lancer un regard méprisant à Antoine qui semblait nous surveiller, puis sommes repartis vers le dortoir.

Arrivés au dortoir qui était vide, j'ai indiqué à Lionel que le grenier du vieux bâtiment était accessible par un escalier dont je connaissais l'emplacement.

Nous nous sommes donc rendus dans le grenier en prenant soin de bloquer la porte avec le loquet curieusement situé du coté intérieur.

Nous avons trouvé dans le grenier de vieux tapis de gym que nous avons étendus au sol.

Lionel m'a déshabillé entièrement et, après avoir embrassé chaque partie de mon torse, a sucé ma bite langoureusement puis m'a allongé sur les tapis froids.

J'ai défait le pantalon de Lionel pendant qu'il retirait le haut et il s'est allongé à coté de moi. Nous avons alors adopté une posture en 69, Lionel se placant sur moi.

Je pouvais tout en avalant sa bite caresser de mes doigts sur son cul plus ouvert que la veille.

J'ai ainsi pu introduire sans effort un puis deux doigts pendant que Lionel me léchait et avalait mes couilles.

Soudain, je fis basculer Lionel sur le côté puis m'allongeai sur lui.

Lionel a écarté les jambes que j'ai posées sur mes épaules. Son cul et ses fesses bombées s'étaient dès lors redressés et étaient placés dans l'axe de ma bite dont le gland forçait déjà l'entrée.

J'ai pénétré Lionel qui poussa un petit gémissement et lentement, j'ai enfoncé ma bite au fond de lui ce qui semblait lui procurer un intense plaisir.

Lionel ne se contrôlait plus, il gémissait et soupirait de plus en plus fort, son sexe mouillait son corps et le mien et régulièrement je le branlais.

Lionel m'a dit alors :" il faut que tu essayes, c'est trop bon".

Je n'étais pas convaincu d'aimer la sodomie mais la tendresse de Lionel me poussa à accepter. Je me suis alors allongé sur le dos et Lionel a pris mes jambes sur ses épaules.

Il me cracha sur le trou pour l'humidifier et introduisit un doigt en moi. Puis, il posa sa bite devant mon trou en forçant l'entrée encore un peu fermée.

J'eus un peu mal au moment où Lionel poussa mais une fois entrée en moi, sa bite amorça des va et viens qui, très vite, me détendirent et me procurèrent un plaisir insoupçonné.

Je jouissais du cul ce que je n'avais encore jamais cru possible. Je me surprenais à aimer le contact des couilles de Lionel tapant mes fesses, le bruit de cette pénétration, son visage suspendu au dessus du mien, ses lèvres qui m'embrassaient, mon sexe qui frotait contre son ventre, les odeurs de poussière du grenier mélangées avec nos propres odeurs.

Le plaisir que me donnait Lionel devint instance au point que par les seuls frottement de son ventre sur ma bite, j'éjacula abondamment, certaines goutes atteignant même mon menton.

Quelques instants après, alors que je n'avais pas enocre repris mes esprits, je sentis la bite de Lionel se raidir plus encore en moi puis plusieurs jets puissants sur ma prostate. Lionel venait de jouir en moi.

Nous sommes restés ainsi encore quelques instants pour calmer nos respirations, en nous embrassant.

Puis après plusieurs minutes et une cigarette, nous sommes redescendus pour diner.

 

 
A la suite de cette première expérience, je me suis couché en repensant à ce que je venais de vivre.

Je savais que Lionel dormait en dessous et j'avais l'impression de le sentir encore en moi.

J'avais l'impression de le sentir se raidir au moment où la jouissance lui fit fermer les yeux et où je pouvais sentir en moi chacun des jets de son sperme.

Je le sentais d'ailleurs en moi ce qui m'incommodait un peu car je craignais une éventuelle réaction pendant la nuit. La présence de ce sperme en moi était source de plaisr puisqu'il me rappelait l'expérience de l'après-midi mais m'inquiétait. Je repensais alors aux mises en garde sur les risques de maladie, sur le fait qu'à tout moment ce sperme pouvait ressortir et provoquer des taches embarassantes sur les draps blancs. Bref, je n'étais pas à l'aise.

Je n'arrivais pas à me calmer et je décidai de prendre un peu l'air.

Je sortis du dortoir en prenant soin de ne réveiller personne. Lionel dormait paisiblement ainsi que tous les autres.

Je pris un pull, enfilai un short et mis mes chaussures.

Après avoir descendu l'escalier central sur la pointe des pieds, je m'aperçus que deux pions fumaient leurs cigarettes sur les marches du porche en parlant à voix basse.

Ils  ne m'avaient pas vu et je rebroussai donc chemin pour passer par la porte du réfectoire.

Une fois dehors, je sentis l'air doux du mois de juillet et j'entendis le bruit lontain de la vie à l'extérieur du pensionnat. Je réalisais que tout le monde était en vacances et profitait pleinement de cet été pendant que je me retrouvais enfermé dans cette vieille batisse avec pour objectif de devenir un bon élève.

J'ai traversé la cour donnant sur le jardin pour rejoindre les bords du fleuve coulant en contrebas.

Je me suis allongé en levant les yeux au ciel pour regarder les nuages orangés par les lumières de la ville défiler devant la lune. Il faisait bon et tout était calme ...

Mais alors que le sommeil commençait enfin à me gagner et que j'envisageais de remonter pour m'endormir enfin, j'entendis des petits rires étouffés dans les buissons puis des chuchotements.

J'étais arrivé discrétement et il était probable que ma présence ait pu passer inaperçue. Je décidai donc d'attendre un peu puis de me rapprocher doucement des buissons.

Lorsque je fus suffisamment prêt, je pus distinguer la voix de Matthieu et celle de deux autres mecs du cours de math.

Aux odeurs s'échappant des buissons, il me paraissait évident qu'ils partageaient un joint.

Au moment où j'allais partir, j'ai compris que leur conversation portait sur un plan destiné à permettre à Matthieu d'obtenir une revanche sur Lionel et moi accessoirement.

Matthieu affirmait nous avoir suivis jusqu'au grenier où Lionel et moi avions fait l'amour. Il disait avoir après nos ébats récupéré la revue porno que nous avions cachée. Il entendait maintenant la placer dans le sac de Lionel samedi matin lorsque ses parents viendraient pour le chercher pour la durée du week-end. En effet, un week-end sur deux nous pouvions rentrer chez nos parents et ceux de Lionel venaient systématiquement le prendre.

Le plan de Matthieu me semblait minable mais néanmoins risqué pour Lionel dont le père semblait ne pas être spécialement disposé à trouver ce genre de revue dans le sac de son fils. Son père était en effet une épaisse brute avinée à laquelle il ne valait mieux pas se frotter.

Discrètement je rejoignis le dortoir et décidai de parler le lendemain matin à Lionel avant l'arrivée de ses parents.

Le lendemain matin, lorsque je me réveillai, Lionel était déjà débout, prêt à partir. Je m'étais endormi tard et n'avais pas entendu les autres se lever.

Lionel m'a souri puis est sorti du dortoir. Quelques secondes plus tard, mes esprits repris, je réalisais que Lionel partait sans que je l'ai averti.

J'ai alors bondi de mon lit, enfilé un jean et un t-shirt et ai couru aussi vite que possible pour retrouver Lionel.

Mais lorsque je suis arrivé dans le hall d'entrée, Lionel était en train d'embrasser ses parents et son père avait déjà son sac à la main.

J'étais alors complètement paniqué. Je réalisais que le plan a priori débile de Matthieu était sur le point de fonctionner et d'ailleurs, ce petit con, à l'autre bout du hall ricanait avec ses deux compères.

Lionel me tournait le dos et au moment où il s'apprétait à partir, je pus l'attraper par le bras.

Il s'arrêta et ses parents se retournèrent également.

J'allais demandé à Lionel un instant pour lui exposer la situation mais son père nous lança : "on est déjà suffisamment en retard comme ça, tu retrouveras ton pote lundi"

Lionel prit une expression navrée puis partit. Je pus simplement lui lancer : "je crois que le livre que je t'ai prêté et que j'ai acheté hier est dans ton sac ... n'oublie pas d'en prendre soin et de me le rapporter      

  Aussitôt après le départ de Lionel, je m'étais retourné et avais regardé Matthieu qui avait suivi toute la scène.

Matthieu était bien plus fort que moi et je n'avais pas la possibilité, comme Lionel, de mettre en pratique 10 ans de judo pour chasser de son visage le sourire narquois qu'il affichait.

Je suis donc remonté dans le dortoir, me suis couché sur mon lit et j'ai commencé à lire l'un des livres dont on nous avait demandé de faire la lecture pour nos cours de français.

Mais j'ai réalisé que mon esprit n'arrivait pas à se concentrer sur ma lecture. Mes yeux suivaient les lignes et mes doigts tournaient les pages mais mon esprit était ailleurs.

Je pensais à cette semaine, à Lionel, à cette première fois et aux sentiments qui m'animaient. J'étais amoureux et savoir Lionel parti me rendait triste. J'imaginais son corps, sa bouche. Je pouvais sentir son odeur encore enfermée dans les draps de son lit situé sous le mien. Il me manquait et je rêvais tout éveillé de son sourire, de ses bras, des parfums de son sexe.

Perdu dans ces pensées, je n'avais pas remarqué qu'Antoine me surveillait depuis le pas de la porte.

J'avais glissé ma main dans mon caleçon et avais dégraffé les boutons de mon jean. les jambes légèremment repliées, je me caressais doucement en pensant être seul. L'excitation montait en moi progressivement et je laissais courir dans mon imagination de vieux fantasmes tout en m'éfforcant de ne pas penser à Lionel que je respectais trop.

Soudain, Antoine s'approcha et, en l'apercevant, d'un mouvement brusque, je sortis ma main de mon caleçon, posai mon livre sur mon jean et lui lança : "si tu comptes me refaire le coup du vestiaire, cette fois-ci je ne me laisserai pas faire"

Mais Antoine avait déjà posé sa main sur mon jean et fouillait de ses doigts mon caleçon.

J'ai alors remarqué que la porte du dortoir était fermée et Antoine, après avoir attrapé mon sexe encore gonflé du plaisir solitaire que je m'accordais, se mis à me sucer doucement. J'étais terrifié mais n'osais pas bouger.

Curieusement, et malgré mes efforts pour débander et décourager Antoine, ses coups de langues, la caresse de ses lèvres le long de ma bite finissaient par me procurer du plaisir et je bandais de plus belle.

Au bout de quelques instants, Antoine me pompa énergiquement et malaxant mes couilles. Je sentis un doigt me caresser l'anus puis rentrer doucement en contact avec le point sensible qui devait être ma prostate.

Mon corps se raidit et je gémissais de plaisir ce qui encourageait plus encore Antoine qui cette fois me suça en alternant les rythmes lents et rapides et accompagnant ses lèvres avec sa main.

      Antoine avait glissé plusieurs doigts en moi sans que je puisse en connaitre le nombre précisément. Les mouvements de ses doigts, le contact de ses lèvres sur ma bite m'amenèrent ainsi jusqu'à l'orgasme et je me mis à éjaculer dans la bouche d'Antoine qui avala chacune de mes jiclées sans laisser tomber la moindre goutte.

Antoine s'essuya les doigts avec les draps de Lionel laissant une trace suspecte sur un coin des draps blancs puis partit en me lancant : "un partout, la prochaine fois je t'enculerai sauvagement !"

J'étais dans un état étrange : entre la petite mort du plaisir que je venais de ressentir et la honte de m'être laissé faire si facilement. Je réalisais que ce comportement risquait d'encourager Antoine à recommencer. Mais une petite voix en moi semblait crier "chic".

J'ai chassé cette idée en pensant à Lionel, et en filant sous la douche pour me laver de cette impression de saleté qu'Antoine avait laissée sur moi.

Ensuite, après cette douche, je décidai de me rendre en salle d'étude pour éviter tout incident similaire. Mais c'était sans compter sur le fait qu'Antoine était justement chargé de surveiller la salle. Ses regards sur moi me mirent mal à l'aise et j'ai alors préféré partir plutôt que de risquer qu'il perçoive ma présence comme une invitation supplémentaire.

Je m'assis donc dans le parc près de l'eau et repris ma lecture sans plus de concentration.

 

J'ai passé le reste de la journée à lire, me balader, et aussi à me demander ce qu'il advenait de Lionel à ce même moment. J'imaginais son père decouvrant la revue, puis lui coller une raclée monummentale digne de celle que Lionel avait infligée à Matthieu.

J'imaginais aussi que si tel était le cas, ses parents ne le reconduiraient pas en pension et que je ne le verrais plus jamais. Je ne connaissais même pas son numéro de téléphone.

Le soir, en allant me coucher avec les autres garçons restés pour le week-end, nous avons lancé l'idée d'une partie de tarot (jeu très prisé chez-nous dans le sud ouest).

Parmi les garçons du dortoir, certains avaient eu vent de la rumeur me concernant confirmée par la réaction de Lionel et aussi par Matthieu qui ayant découvert la revue porno, avait désormais la certitude que nous étions gay !

Mais ces garçons étaient assez sympa et je les appréciais. Laurent, le plus agé, lanca l'idée d'un strip tarot à gages ! A peine avait-il lancé l'idée des nouvelles règles, et sans me l'expliquer, je me mis à bander comme un âne.

Un des garçons devint écarlate et sembalit hésiter. Mais Laurent lança alors : "allez, fait pas ta chochotte ! T'en as déjà vu des bites dans les douches. tu es d'ailleurs l'un de ceux qui s'y attardent le plus ..." Après ces mots, la petite assemblée composée de Laurent, Marc, Alex, JF et moi sinstalla sur un lit dans un coin et se prépara. Chacun d'entre nous avait filé s'habiller de multiples couches de vêtements malgré la moiteur du dortoir, pour rester le plus longtemps possible vêtu.

La partie commencça et chacun d'entre nous se prit au jeu.

Au bout de deux heures et de multiples tours, Alex et moi ayant gagné à plusieurs reprises grace à des appels bienvenus au roi , restions les plus habillés. En revanche Marc, le plus hésitant d'entre nous, restait couvert par son caleçon, son t-shirt et ses chaussettes.

Le gage du perdant encore inconnu à ce moment de la partie avait été glissé dans une trousse sur des petits papiers rédigés par chacun de nous. Le perdant devrait donc tirer son gage sans savoir ce qui l'attendait.

Une demi heure plus tard Laurent n'avait plus que son caleçon et la partie entamée ne lui donnait que peu d'espoir de le garder. Après comptage et recomptage, l'équipe de Laurent avait perdu et il dut abandonner son caleçon devant nous. JF, dans une excitation visible de tous à travers son slip trop étroit, tendit à Laurent la trousse pour qu'il dévoile à tous le gage qu'il devrait subir. Nous étions tous contents de voir que finalement, celui ayant proposé cette partie soit finalement pris à son propre piège.

Laurent tira son sort, le lut, et dans une certaine hésitation nous le fit passer. C'était l'écriture de Marc, je la reconnaissais.

Sur ce papier était écrit : "fais une pipe à tous les joueurs !"

Laurent s'indigna et demanda qui avait écrit ce mot. Mais personne ne repondit et JF avait déjà baissé son slip et tendait sa bite en érection à Laurent. Nous fîmes tous de même et seul Marc semblait peu excité par cette situation bien que ce soit son sort qui ait été tiré.

Laurent s'agenouilla devant JF, approcha ses lèvres de sa bite puis commença doucement à le pomper devant nous. Alex se branlait en voyant la scène et Marc avait fini par bander à son tour. Il regardait discrétement Alex se branler et semblait y trouver beaucoup de plaisir. Puis Laurent se tourna vers moi et se mit à me sucer à mon tour. Je sentais sa langue sur mon gland frotter les bords et je fus pris de quelques frissons de plaisir. JF qui avait poursuivi en se branlant se tourna vers moi, se colla à coté pour pointer de nouveau sa bite vers la bouche de Laurent. A ce moment, Marc et Alex se rapprochèrent également et nous formions ainsi un cercle au milieu duquel Laurent assailli par nos bites, tournait et tournait encore en dispensant ses coups de langue à chacun. Je sentis tout d'un coup une main posée sur les fesses les pelotant. C'était celle de JF qui à ce même moment approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa. Je n'avais pas remarqué qu'Alex et Marc en faisaient de même, Alex ayant sa main posée sur la queue de Marc qu'il caressait.

Les lèvres de Laurent, les mains de JF me caressant les fesses puis me branlant franchement, et la vision de Marc et Alex s'adonnant à de mêmes plaisirs pendant que Laurent branlait et sucait tout ce qui se présentait à lui, provoqua un gémissement commun suivi avec quelques secondes de décalage par des éjaculations nourries dont Laurent fit les frais.

Ses cheveux, ses épaules, son dos, son visage étaient couverts de sperme qui lui glissait sur les lèvres, les oreilles et les yeux.

Après cette partie, Marc et Alex se couchèrent dans le même lit, continuant à s'embrasser pendant que Laurent fila sous la douche.

Après nous être couchés, bien plus tard dans la nuit, nous pûmes entendre les craquements saccadés du lit d'Alex qui indiquaient avec évidence, qu'une branlette avait lieu dans une relative intimité que nous ne semblions pas invités à partager autrement qu'en écoutant les soupirs et gémissements.

 
Le dimanche soir, Lionel et moi sommes repartis nous balader près du fleuve qui courait le long du parc de la pension. Assis sur la berge, à quelques mètres seulement de l'eau, nous respirions à plein poumons ce sentiment de bonheur qui semblait remplir l'air.

Lionel était content et je ne tenais pas à évoquer les évènements qui s'étaient produits durant son absence. Je restais assis, ma main effleurant la sienne et riant aux blagues qu'il racontait en se moquant du dîner de famille auquel il avait assisté la veille.

Lentement, dans le crepuscule, les formes de son corps se détachaient en jeu d'ombre qui poussait mes mains à vouloir redécouvrir la forme de ses cuisses sur lesquelles elles se promenaient.

Lionel  s'allongea et se laissa faire ainsi. Ma main courait sur ses membres et remontait plus timidement vers son entrejambe en s'y attardant de plus en  plus. Cette main eut alors son succès puisque doucement, les formes qu'elle caressait évoluaient en laissant deviner le sexe tendu de Lionel. Ma main limitait donc ses mouvements à cette forme qui, à travers le pantalon, laissait passer une chaleur douce.

Ma seconde main jusque là en reste, ouvrit les boutons du pantalon de Lionel pour s'y glisser. Après avoir traversé le pubis de Lionel, elle se heurta rapidement à la forme devinée par l'autre main. Ce contact chaud et doux me poussa à baisser un peu le pantalon de Lionel pour que les mouvements soient plus libres. En soulevant légèrement son boxer, son sexe jaillit tendu vers son nombril et indiquait par la goutte qui perlait au bout l'excitation de mon amant. Du bout des doigts, je récoltai cette goutte en la portant à mes lèvres pendant que Lionel me regardait.

Puis je plongeai ma tête vers ce sexe pour lécher le gland rosé que le prépuce venait de libérer. Dans ma bouche, la bite de Lionel se gonfla plus encore et mes mouvements et coups de langue prirent un rythme tantôt lent, tantôt plus rapide à mesure que je sentais le sexe se tendre et se détendre. J'accompagnais les mouvements de mes lèvres par des caresses sur les testicules, caresses qui progressivement s'orientèrent vers son anus. Je titillais cette petite porte étroite du bout des doigts que j'humidifiais de temps en temps de salive. En quelques instants un doigt puis deux purent ainsi se réfugier bien au chaud et découvrir son point sensible, probablement sa prostate.  

A mesure que ma bouche et mes doigts s'excitaient, Lionel gémit de plus en plus jusqu'à ce que, après que son sexe se soit tendu longuement une dernière fois, trois longues giclées de sperme inondèrent ma bouche.

Je laissais mes doigts quelques temps ainsi et couservais dans ma bouche la bite de Lionel qui lentement reprenait, à ma déception, ses dimensions de repos.

Quelques instants après, Lionel remontait son caleçon et son pantalon et m'embrassait tout en semblant rechercher autour de ma langue le goût de son sperme.

Nous restâmes ainsi quelques temps encore puis nous retournâmes vers le dortoir sur le chemin duquel Antoine semblait nous attendre ...
   
Le vent était chaud et nos corps l'étaient encore après ce moment de plaisir, à mesure que nous avancions la silhouette d Antoine se précisait devant la porte. Il nous fixait avec son habituel sourire narquois et semblait impatient de nous voir. Lionel me murmura que si Antoine nous faisait encore un coup comme celui des vestiaires il était prêt à le frapper encore plus fort que Matthieu. Je le rassurai en lui disant qu il ne ferait rien car le directeur devait être lui aussi dans les couloirs. Dans mon esprit la vision de mon sperme giclant sur Antoine réaparut et je sentis une légère contraction dans mon boxer, et malgrè ma haine envers lui il m'était impossible de la faire disparaître.

" Tiens mais c'est mon couple préféré, lança Antoine, j espère que c' était bon ". Je dus me retenir de ne pas lui dire oui juste pour voir sa réaction. Une fois face à lui il mit sa main sur mon épaule pour me retenir et insista pour avoir une réponse. Lionel lui répondit que ma bite était bien meilleure que la sienne. A cet instant Antoine rougit, moitié honteux moitié en colére, il appuya sur mon épaule inconsciemment et je resentis une douleur. Il nous fixait toujours et s'avanca vers Lionel pour le mettre à genoux, Lionel le défiait du regard.

" Lâche le ! "
Cette phrase ne venait ni de moi ni de Lionel, c était le directeur qui venait d arriver au bout du couloir, Antoine obéit sans broncher. " Comment osez vous toucher un élève même à l épaule ? " Antoine répondit que c'était uniquement pour nous menacer car nous n avions rien à faire dehors à cette heure ci ." Peu importe, pas de contact avec les élèves ! Vous connaissez pourtant le réglement " rétorqua le directeur. Antoine ne sut quoi dire car il était coupé dans son élan. Le directeur se tourna vers nous avec un regard noir et nous donna deux heures de colle le lendemain après midi pour être sortis hors du couvre-feu. Nous nous excusâmes auprès de lui en disant que ce serait la dernière fois. Il nous envoya dans notre chambre et nous obéîmes rapidemment, en montant l'escalier je regardais Lionel en souriant et lui dis " Tu vois je te l'avais dit ". Il sourit également et me dit que c'était la première fois où il était heureux de voir le directeur. Une fois dans la chambre les autres dormaient déjà . J ai enfilé un t shirt et enlevé mon pantalon, mais pour la première fois je me glissai dans le lit de Lionel au lieu de monter dans le mien. Lionel fut surpris mais accepta sans hésiter.

Il se colla contre le mur afin de me laisser de la place, je me retrouvais ainsi face à lui, face à sa bouche. Je l'ai embrassé tendrement, pendant ce temps ma main longea son corps pour atteindre son caleçon. Je sentis la chaleur et la solidité de son sexe. Ma main rentra dans son calson et à cet instant sa bite se raidit encore plus, je commencais à faire des va et viens. Lionel mit à son tour la main dans mon boxer et fit de même. Après quelques secondes j'allongeai Lionel sur le dos et me mis à le sucer. Son gland était si chaud et si bon dans ma bouche, j aurais voulu qu'il n' en sorte jamais. Lionel gémit doucement je poursuivis en accélérant les mouvements de ma bouche. Lionel me tira les jambes et les mit sur son torse, à cet instant je sentis sa langue se frotter contre mon gland. Cette sensation nouvelle me fit gémir et Lionel gémissait encore plus fort. Le goût de sa bite dans ma bouche et le plaisir qu'il faisait avec sa langue sur mon sexe me fit bander encore plus. Au bout de 5 minutes de plaisir intense, je recus une giclée de sperme de la part de Lionel, il me fallut peu de temps pour en faire autant. Après cela nous avons passé la nuit l'un à coté de l'autre et je m endormis rapidement tout en regardant Lionel qui me souriait tendrement.    

Ce week end les élèves devaient rester au pensionnat afin de réviser le plus possible pour le bac et nous étions tous dans la salle d'étude avec le prof de français pour préparer l'oral. Le prof nous donnait quelques conseils comme bien articuler ou éviter de lire nos notes trop souvent. J'étais assis au fond de la classe avec Lionel et malgrè l'importance de ce cours mon seul désir était d'être seul avec lui, on se souriait, mes yeux ne pouvaient quitter les siens et je dus me retenir pour ne pas l'embrasser.

A la fin du cours nous sommes sortis pour nous asseoir près de la rivière, il faisait beau et très chaud, plusieurs élèves étaient dans l'eau pour se rafraîchir. Il y a quelques temps j'aurais regardé ces beaux corps humides et musclés mais je m'en fichais car je ne voulais plus que Lionel, son sourire, ses yeux, son corps, son affection. Nous restions là à profiter du soleil et de ce moment de tranquilité, intimement je souhaitais que ce moment dure éternellement. Pour ne pas éveiller les soupçons nous parlions de notre famille respective et j'appris que Lionel avait un petit frère de 10 ans. Pour ma part j'étais fils unique, cela me convenait très bien car j'avais toute l'attention de mes parents et aucune dispute avec un frère contrairement à Lionel. Il m'expliqua que son frère n'arrêtait pas de lui prendre sa console et que ses parents le défendaient toujours quoi qu'il arrive, mais malgré cela sa famille lui manquait beaucoup et la mienne me manquait aussi. Nous avons aussi parlé de foot et de séries tv tout l'après midi, j appris qu'il adorait dr house tout comme moi mais détestait desperate housewives.

Après quelques heures tout le monde partit manger, Lionel et moi restions là, seul à seul. Le soleil se couchait et nous étions désormais près des arbres là où personne ne pouvait nous voir au cas où quelqu un préférerait fumer avant de manger. Je poussais Lionel contre un arbre et me mis à l'embrasser, c'était si bon de pouvoir enfin l'embrasser. Lionel glissa ses doigts dans mon boxer, mon sexe était déjà dur depuis un moment et je sentais que celui de Lionel l'était également. Je me baissai et ouvrit son jean, je mis sa bite dans ma bouche ma langue tournait très vite sur son gland et il se durcit très vite. Lionel fit des va et vient dans ma bouche et gémissait de plaisir. Ensuite je me mis à toucher son cul en me rapprochant doucement de son anus, je réussis à glisser un doigt puis deux. Lionel adorait cela et se retourna en se cambrant. J'introduisit mon sexe dans son cul facilement, c'était si chaud et si bon Lionel gémissait et après deux minutes j'inondais son intérieur de sperme bien chaud. Lionel était aux anges et moi je jouissais en lui pour la première fois.

Après nous être rhabillés nous restions là fatigués mais heureux, Lionel me regarda et me dit : Je t'aime Nathan.


Si je m attendais à ça !!! Lionel qui me balance sans prévenir " je t aime " sur le moment je ne savais pas quoi faire puis soudain le bonheur et l'excitation montaient en moi si brusquement que je me suis jeté dans ses bras pour le serrer très fort en lui disant " Moi aussi je t'aime ". Cette étreinte dura un moment car j avais les larmes aux yeux, de joie bien sûr, mais je ne voulais pas que Lionel le remarque.

" Lève-toi on va être en retard ". J'ouvris les yeux et vis Lionel assis sur le bord de mon lit qui venait me réveiller avec son immense sourire habituel. Pour la première fois depuis très longtemps j'avais passé une nuit agréable, à peine levé je me remémorai ce moment magique où Lionel m'a avoué ses sentiments. Lionel baissait son regard, je vis que mon pénis était dur et que cela était très visible je dus m'habiller rapidemment pour éviter que les autres le remarquent mais Alex fut rapide " Tu es en forme ce matin ! ". Mon pantalon était au niveau de mes genoux, je lui répondis que si cela l' excitait il pouvait toujours venir toucher, Alex rougit et sortit de la chambre pendant que les autres riaient.

La journée passa très vite Au diner le directeur nous annonça que nous pourrions rentrer chez nous ce week end afin de réviser tranquillement tout en revoyant notre famille. J étais ravi de pouvoir enfin rentrer chez moi mais il y avait un souci : je ne serais pas avec Lionel ! Le soir les garçons organisèrent un petit tournoi de cartes mais je n en avais pas très envie, je voulais réfléchir. Lionel décida d' y aller pour ne pas éveiller les soupçons des autres en restant encore avec moi, je me retrouvais donc seul à l étage et je me dirigeais vers ma chambre. Soudain je sentis une main sur mon épaule mais surprise ce n était pas Lionel mais Antoine ( le prof ). " Enfin seul, je te rappelle que je dois te faire quelque chose " il ouvrit la chambre et la referma aussitot, " Tu comptes faire quoi ?! " il ne me répondit pas et me retourna contre le mur. Il baissa son pantalon ainsi que le mien et y glissa direct 2 doigts, ils étaient si chauds et ils rentrèrent rapidemment dans mon cul, de l autre main il se mit à me branler et mon sexe réagit aussitot. " Ahah je savais que tu attendais ça, dit il en riant, mais je peux faire mieux ". Il se mit à genoux, m écarta les fesses et mis sa langue contre mon anus je me mis à jouir c'était si bon ! Antoine fit bouger sa langue pour me donner encore plus de plaisir et je criais de plus belle, il enfourna sa grosse bite dans mon cul bien assoupli et se mit à faire des va et vient. Sa bite était dure, je ressentis de la douleur mais très vite cela se transforma en plaisir, après quelques minutes je me mis à crier une nouvelle fois Antoine cria aussi et me mit plusieurs giclées de sperme tout chaud. Après je me retournai et mis ma bite dans la bouche d Antoine, il ne refusa pas et au bout de 2 minutes je lui giclai dans la bouche, il avalait tout et j étais aux anges. Nous nous sommes rhabillés et il me lança avant de partir " La prochaine fois tu me la mets dans le cul " je lui répondit que j avais hâte d y être.
  Au petit matin je me suis levé sans faire de bruit car les garçcons étaient rentrés tard hier et ils dormaient encore, mon regard se posa sur Lionel mon beau Lionel qui ne se doutait pas de la monstrueuse erreur que j avais commise la veille. Le fait de le voir et d'imaginer sa réaction s'il savait me rendait malade et j'en avais l'estomac noué. Une fois en cours je concentrai mon attention sur les cartes que le prof d histoire-géo nous expliquait pour ne pas croiser le regard de Lionel. " Ca te dirait de faire le tour de l Europe tous les deux ? " Je fus surpris de la question de Lionel, l'idée même de voyager avec lui ne m était jamais venue à l esprit. Je lui répondis que cela serait super mais que mes parents ne me laisseraient jamais partir car ils sont du genre à s'angoisser pour un rien.

Après avoir mangé nous sommes allés près de la rivière comme d habitude mais je n'étais pas d humeur à me détendre vu la nuit mouvementée de la veille. Lionel se colla à moi et je mis ma tête sur son épaule, afin de ne pas y repenser je choisis de soulever une question majeure " Dis moi, on va pouvoir se voir cet été ? " Lionel semblait gêné mais soulagé que la question vienne de moi. Il me répondit qu il viendrait le plus souvent possible car cela ne gênait pas ses parents de l'amener voir des copains. Il me dit aussi qu il avait parlé de moi à ses parents et qu ils me voyaient comme son meilleur ami. S'ils savaient ! Cependant il fut un peu vexé car mes parents ignoraient tout de lui, en même temps, je ne savais pas trop quoi leur dire. Nous passâmes un moment l'un avec l'autre et nous profitions de ce moment car nous avions peur de ne plus en avoir.

Le soir venu, nous étions dans la chambre, les autres jouaient encore aux cartes et nous étions dans mon lit. Lionel commença à glisser sa main dans mon boxer mais je n'étais pas d'humeur au sexe " Et si on faisait un câlin sans sexe ? Je n'ai pas envie que notre histoire se résume à ça " Lionel fut surpris, limite déçu car je sentais sa bite bien dure contre ma cuisse. " Tu as raison on peut passer une nuit sans gicler " Il émit un petit rire mais il sonnait faux. Je me sentis gêné mais je devais réfléchir à notre avenir.

  Le mercredi après midi nous révisions tous dehors pour le bac qui était lundi. Il faisait très chaud, nous transpirions et nos cahiers nous collaient aux doigts. Je voulais parler seul à seul avec Lionel, je prétextais que je devais prendre mon cahier de svt dans ma chambre et Lionel me proposa de m'accompagner il a dû deviner. Une fois dans la chambre, je tournai le verrou. " J ai bien réfléchi, je t'aime et je ne veux pas te perdre ! "

Lionel se jeta dans mes bras, les larmes aux yeux et me dit que lui aussi m'aimait et qu il allait tout faire pour que l'on passe le plus de temps possible tous les deux pendant les vacs. J essuyais mes larmes sur mon t-shirt et me mis à l embrasser avec passion. C était si bon de l'embrasser. Je sentis ma bite se durcir et vira aussi sec mon short, Lionel enleva le sien il n'avait rien en dessous. Je mis mon caleçon de coté et il se mit à me sucer. Il était assis sur son lit et j étais debout face à lui. Sa langue lécha ma bite bien raide et je l ai mise illico dans sa bouche. C'était si bon que je me mis à geindre ( pas trop car nous devions être discrets ). Il se leva pour cracher dans le lavabo " Je ne m y ferai jamais " Dit il en riant. " Je lui ai dit que son tour viendrait ce soir et il fut d accord d'attendre un peu pour ne pas éveiller les soupçons de nos camarades.

En sortant nous vîmes Antoine et Mathieu ( le méchant du début qui avait entretenu la rumeur que nous étions PD) ) sortir d'une chambre, Antoine remettait sa ceinture et Mathieu était rouge. Je refermai la porte doucement pour ne pas être vu par le prof. Lionel et moi étions surpris....   

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commentaire : non, il n'y a pas de fin à ce récit talentueux...

    -"Pour ma part je ne suis pas choqué que Nathan n'avoue pas à Lionel qu'il a subi les assauts du prof. Je n'ai pas une idée de la fidélité qui ferait qu'une fois fait de vous une pute.."

   -"il est hyper bien ce récit, je l'ai lu trois fois en 2 jours  :p  mais le seul truc qui me gène c'est qu'il n'y à pas vraiment de fin... On s'attend à autre chose et à un beau final... Désolé de cette critique mais je reste sur ma fin, malgré que le texte soit super !  :d "

 

 

  lovehouse: “ ♥•♥ⓛⓞⓥⓔⓗⓞⓤⓢⓔ♥•♥ ” 

  nmtraveler: “ Cute! NM Traveler ” 

 

  lookingfortheman: “ Awwww ^^ I want a kiss attack too !!!!! ” 

 

   

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par NATHAN - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 00:10

et ça coule, coule, coule

COOL ET bien dedans

CAR C'EST SANS CAPOTE

Par KE FER SINON - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 08:37

  LA FAC  Voilà une période bénie pour moi, et longue : double cursus, un an à l’étranger, cela aura duré 8 ans, m’aura donné deux longues relations sérieuses, et pas mal d’autres qui le furent moins mais tout de même très juteuses…

LE ROMAN D'UN JEUNE ETUDIANT, AUSSI PEDE PASSIF QU'ON PEUT L'ETRE, MAIS  DOUé, DOUé,DOUé !!!!...

 

Alors en ce qui concerne la première année de fac…. J’ai passé les 6 premiers mois dans une petite résidence universitaire, au rez-de-chaussée surélevé, et deux mecs ont vraiment compté, même s’il y a eu quelques petits extras. En arrivant à la grande ville, évidemment, j’ai connu les premières agressions dans la rue, les clochards, le métro, etc. Ma résidence n’était pas dans un quartier chic, loin de là. En même temps j’étais stupéfait de voir tant de monde, où que j’aille, et cela me permettait de jauger les beaux paquets que je croisais dans la rue, ou de mater dans le métro. Il s’est écoulé un mois sans aucune activité sexuelle : autant dire que je mourais, ma gorge était sèche et mon cul me donnait d’énervantes irritations d’être ainsi abandonné. La résidence U était plus humaine que celles aux interminables couloirs : il n’y avait que quatre chambres par palier : trois petites, dont la mienne, et un grand studio pour couple.

Ma chambre était au fond, près de la douche commune ; avant elle il y avait un mec en fac de sports, et la première chambre était occupée par un autre mec rarement là, en face de la cuisine commune et des toilettes. Le couple du studio était sympa. Un début de soirée, je rentrais du métro et je suis tombé sur un groupe de quatre jeunes « racailles » comme on dit, qui devaient habiter les tours jouxtant ma résidence. Je pensais y échapper mais non ; je me trouvai encerclé. Il y avait un très grand rebeu et un de ma taille, et deux blancs, peut-être frères. Le grand rebeu avait l’air d’être le chef, et me demanda une clope. Je savais dans quel engrenage je m’engageais. J’ai refusé, le ton est monté, et j’ai réussi à contourner les deux de devant et à prendre la fuite : j’ai couru comme un taré. Seuls deux m’ont coursé. J’ai fait un détour pour ne pas indiquer où j’habitais, et voyant ma résidence je me suis retourné pour voir s’il restait des poursuivants : non. Il faisait déjà sombre.

Je suis rentré et il m’a fallu reprendre mon souffle. Mais, dans la nuit, j’ai entendu des petits coups à ma fenêtre : quelqu’un jetait des gravillons. Et c’était le second rebeu. Je ne voulais pas qu’il me voie mais comme les cailloux devenaient plus gros, j’ai fini par ouvrir ma fenêtre. Il m’a dit de le faire entrer, qu’il voulait me parler. J’ai refusé. Il a menacé d’avertir les autres gars de l’endroit où je vivais. Non. Et ils m’attendraient tous les soirs au coin de la rue. Je réfléchissais. Et puis j’avais le temps de détailler un peu l’individu. Le jogging intégral évidemment et une capuche de sweat-shirt. Je lui demandais ce qu’il voulait : il voulait juste parler ; il voulait des clopes ? il en sortit un paquet : non, juste un truc à me dire. Je le trouvais étrange, et même, pas sûr de lui, même s’il insistait lourdement. Bref. J’ai ouvert. Dans les chambres universitaires, peu d’espace, donc on s’est retrouvés nez à nez, et il a essayé de retrouver de l’assurance : d’une petite poussée il m’a fait asseoir sur le lit, et m’a dit qu’il fallait pas lui dire non comme ça. Je ne disais rien.

-       Alors maintenant tu vas me sucer la bite, ou je te jure qu’on te coince à 4 et tu vas le regretter, dit-il en se malaxant le paquet.
Je bandais à moitié déjà ; eh oui, la présence d’un mec, depuis ces semaines de vaches maigres… Je refusai encore, mais pour ne pas montrer que je cédais rapidement.
-       Allez, putain, dit-il d’abord énervé… Juste une pipe et je me casse, ajouta-t-il plus radouci en se rapprochant : sa main moulait un beau barreau à travers le jogging, à deux centimètres de mon nez.

Je ne disais plus rien, alors il baissa ses fringues, et une belle bite, bien droite en jaillit. Une bite ! enfin ! D’une longueur plus que moyenne, surtout grosse, mate, et rose où elle était circoncise. Je pensai d’un coup à celle d’Azou (mais il aurait fallu lui rajouter quasi un tiers…). Et là impossible de ne pas me retrouver comme une soumise pompeuse de bites, j’avais trop faim, trop soif, trop envie de me régaler d’une queue tendue vers moi. De la chaleur se dégageait de son entrejambe, j’ai pris le gland en bouche et j’ai rattrapé le temps perdu. J’ai adoré sucer cette bite après tant d’abstinence, et il a bien apprécié : hyper bavard il n’arrêtait pas de me complimenter tout en me couvrant d’injures. Comme je n’y tenais plus, je l’ai enserré à la taille et j’ai planté sa queue à fond dans ma gorge : il a adoré, m’a tenu la tête pour me maintenir, j’ai dégluti pour masser le gland, et on a fait comme ça quelques minutes. Son plaisir montait, montait…

Comme il me promettait de me « rincer la gueule », j’osai m’interrompre pour lui dire de me laisser avaler. « Ok, t’auras ma purée, salope ! pompe, j’ai les couilles pleines. » Alors j’ai pompé bien sûr, tout heureux de recevoir bientôt le sirop dont je manquais depuis un bail. La montée de sa jouissance lui fit pousser de petits gémissements que je trouvai étranges. Une sorte d’affolement. Puis un râle plus long : j’empoignai sa bite et suçai avidement, frottant bien ma langue par-dessous et serrant bien les lèvres. Il cria et je reçus le jus bien chaud, un dosage bien abondant, je dirais de quatre ou cinq jets. J’avalai en grognant de plaisir et en tétant délicatement. Il me regardait faire tout en essayant de se remettre : « Ah, tu kiffes, hein ? ». Quand j’eus fini de téter et nettoyer, subitement il s’écarta, rangea sa bite et sortit : « A demain, salope ! ».

Je restai assis sur le lit, tout au plaisir d’avoir repris une bite en bouche et me délectant du jus d’homme, sans réaliser encore ce qu’il venait  de dire. Puis je repensai à mon frère, le dernier à m’avoir dosé régulièrement, et quel bonheur c’était d’avoir son jus quotidiennement ! Je ne fus pas déçu le lendemain soir. A la nuit j’entendis les coups à la fenêtre, et le fis entrer. Tout se déroula de la même manière, sauf que je m’installai direct sur mon pieu et lui sortit aussitôt sa bite, bandée à mort, et j’adorai cette simplicité. Je suçai (il croyait encore nécessaire de me l’ordonner) avec le plus d’application possible, et son autorité du début semblait fondre au fur et à mesure : il était pris dans son plaisir. Toujours ce mélange de compliments et d’insultes, mais le ton changeait déjà. Après m’avoir rempli la bouche, encore une fois il partit. Cela dura encore deux soirs. Le suivant je n’étais pas là à l’heure dite : j’avais pris le dernier métro.

Mais en approchant de la résidence, j’entendis sa voix qui me disait d’attendre. Il était énervé, avait poireauté, etc. J’étais, pour ma part, presque touché qu’il ait attendu si longtemps sa vidange, je me disais qu’il y prenait vraiment goût. J’étais sincèrement désolé, et il le sentit ; et à ma grande surprise, il trahit une sorte de tristesse. Je l’emmenai dans ma chambre. Alors que je m’étais remis à le pomper,[le sentant plus accessible,] j’osai lui lever le blouson et teeshirt. Il accepta de se mettre à poil, alors je l’invitai à s’allonger sur le lit. Il était bien foutu. Je virai les chaussettes qu’il avait gardées, en lui disant avec douceur que j’aimais pas trop ça. Il me dit de me mettre à poil moi aussi, et me regarda avec attention, et même avec désir, je pense. Puis je m’installai entre ses cuisses et le suçai. Il passa ses bras derrière sa nuque et se laissa traire comme un bienheureux. Il me dit de lui passer ses clopes, et s’en alluma une. Il voulait que je ralentisse, pour que ça dure… Je me suis occupé de ses couilles, j’ai massé, bite en bouche, son torse et ses cuisses. Je prenais mon pied et quand je le regardai je vis que lui aussi : on devait être deux à avoir un sourire béat. « Si je jute maintenant, tu me resuces après ? » demanda-t-il. Je lui expliquai que je ne demandais pas mieux, même s’il lui fallait du temps pour récupérer. « T’inquiète ; vas-y relèche-moi les couilles ». Et après m’être occupé de ses bonnes boules bien fermes, j’ai repris le pompage.

« Putain ça vient ! » et j’eus ma dose délicieuse, tenant sa queue droite dans ma bouche et sentant avec délectation le gonflement le long de sa verge à chaque giclée sous mon pouce. Je prenais vraiment goût à son jus, assez fort et salé, très onctueux. Je tétai doucement jusqu’à épuisement de la source. Il reprenait son souffle et finit sa clope. Il m’invita à lui lécher encore les couilles, que je tâchai de détendre, et il se branla quelques minutes, lentement, me matant à l’œuvre. Il ne débandait pas du tout. Au bout d’un moment, il me remit sa bite entre les lèvres, et me dit : « vas-y ». Commença alors la seconde pipe, et j’étais ravi de tomber sur un mec qui puisse juter deux fois d’affilée ; un bras sous la nuque, une main sur ma tête, il goûta aux délices d’une seconde jouissance, qui le secoua sur le lit, et moi je pus me régaler d’une autre dose. Il se passa cinq minutes : lui ferma les yeux et moi, la joue contre une cuisse j’admirais sa bite si généreuse : elle ne débanda que très lentement. Puis il se reprit et dit : « je vais y aller ». Je m’écartai alors, le regardai se rhabiller. Il me dit « à demain » et partit.
Il s’écoula encore une semaine à ce rythme. On se déshabillait, il s’allongeait et je pompais. Mais progressivement les choses changeaient : il me demanda de le masser, j’appris même son prénom, Ahmed ; et il y eut un « salut » à son arrivée et à son départ. Un soir, alors que pendant le massage, je lui baisais le dos et descendais, il se crispa quand j’arrivai sur sa raie : « Tu fais quoi là ? ». Je m’interrompis en lui disant que je voulais juste lui lécher le cul. Il refusa, et la suite reprit son cours normal. Je n’avais pas deux rations de son jus à chaque fois, mais souvent quand même. J’avais de plus en plus de plaisir à caresser son corps, sa peau mate et ferme. Le soir suivant, c’est lui qui releva les cuisses et m’offrit son cul à bouffer : « vas-y, si t’aimes ça ». Autant vous dire que je me suis jeté dessus comme un affamé. Et lui releva encore plus haut et fit tout ce qu’il put pour me faciliter l’accès à son trou, minuscule et brun, et il n’arrêta plus de soupirer de plaisir tout le temps que je lui astiquai l’anus.

Il se branlait en même temps et je n’eus pas à sucer longtemps quand il me redonna son chibre à pomper : presque aussitôt un flot de jute m’inonda la bouche dans des grognements bestiaux. « C’était bon », dit-il après. Je me risquai à lui demander si c’était la première fois. Après un silence il acquiesça. Puis il me retourna sur le dos pour se coucher sur moi. Il releva mes jambes, qu’il coinça avec ses bras, et se baissa : il m’embrassa ! Brièvement d’abord. Je plongeai ensuite dans ses beaux yeux noirs. Et j’allai chercher ses lèvres, pour un baiser plus long et profond. Il dura en effet et Ahmed commença à se frotter sur moi. « Je vais t’enculer », dit-il simplement à mon oreille. Ca faisait des jours que j’y pensais bien sûr, et j’avais senti bien des fois mon trou palpiter en sa présence. D’ailleurs je m’étais demandé quand ça allait se produire. Cette fois je ne me risquai pas à lui demander si ce serait sa première fois. Il se passa quelque chose dans nos regards ; je sus que c’était le cas. C’était le petit rebeu de la bande, qui ne pouvait avouer qu’il était puceau.

Il devait être tout juste majeur comme moi. Tout en l’embrassant encore, je guidai sa main vers mon trou qui était très détendu, et l’y appuyai. Il entra un doigt, sortit, cracha dans sa main, la frotta sur ma rondelle et remit un doigt, fouilla, lima, et me fit gémir. J’ai mouillé plus vite que jamais, ce qui le fit sourire. Il redressa son buste et je tins moi-même mes cuisses aux genoux. Il frotta son gland, longtemps, je sentais mon trou s’ouvrir et mouiller encore plus. « Je vais prendre une capote », dit-il sans bouger. J’acquiesçai (là ça allait être une nouveauté pour moi), tout en continuant de me tortiller comme je pouvais sur ce gland à l’entrée. Il le poussa à l’intérieur, juste le gland, et je poussai un feulement de plaisir. « J’ te la mets une fois et après je prends la capote ». Mais moi j’étais déjà dans un état second ; quand il s’enfonça, je lui ceignis les reins pour le maintenir bien planté et je râlais de plaisir de me sentir rempli par une bite. Lui-même eut les yeux révulsés par le plaisir, mais se ressaisit, et se mit une capote. Il me pénétra direct en se couchant sur moi et commença à limer, râlant lui aussi, tandis que moi je m’enflammais, couinant et l’encourageant pour qu’il me pilonne. Après quelques allers-retours sur toute la longueur, il s’appuya sur ses bras et me pilonna comme je le voulais, et mon cul me brûlait délicieusement, et plus il y allait fort, plus j’en demandais. Ranimé du cul après des semaines sans rien, je voulais être sa chienne et me faire défoncer. Je lui soufflai de me prendre à 4 pattes.

Aussitôt on prit position, et il m’encula comme un pro. J’étais cambré comme une pute, la gueule dans les oreillers et je gémissais, lui écartant mon trou de mes deux mains, et lui me bourrait bien fort en me tenant la taille. « Trop bon ton cul ! » « tu kiffes salope, hein ? » « prends ma grosse teub, tiens ! », autant de douceurs qui rajoutaient à mon plaisir d’être enfin de nouveau démonté par un mâle. J’oubliais tout à fait que c’était une première pour lui, il s’y prenait très bien. Il se retira deux ou trois fois pour mater mon trou béant en s’exclamant « putain ! » mais il me remplit sans arrêt pendant un bon quart d’heure. Pour être complètement au paradis, j’allai chercher sa cuisse, et à la pliure du genou l’invitai à me monter dessus ; il comprit et me sauta aussitôt en appui sur moi, comme j’adore. « Comme une chienne, c’est ça que tu veux ? putain, t’es une bonne salope ! » et il prit l’allure d’un marteau-piqueur, m’encourageant à dire son nom, que je répétais tout en couinant de bonheur, avec ce pieu qui me perforait sans relâche.

Je me branlai à mort et bientôt lui se mit à pousser des « han ! » impressionnants ; il y eut une chaîne ininterrompue d’insultes tout le temps que sa sève bouillonnait dans ses couilles. J’en giclai en gueulant, et il gueula sitôt après, planté au fond de moi et secoué de spasmes. Puis il sortit de mon cul et s’assit adossé au mur ; je basculai sur le côté et on se regarda : je le couvris de compliments, sincères d’ailleurs, tout en regardant le réservoir de la capote, blindé de jus, et j’eus un petit regret, mais bon. Je tirai sur son bras pour qu’il s’allonge et on se retrouva tous les deux sur le côté, nous faisant face. Je sentais le froid de mon jus sur le lit, le plastique de la capote contre ma bite. On s’embrassa, les yeux brillants. Les choses étaient bien engagées pour que je me fasse sauter régulièrement, et lui se faisait son expérience.

A partir de là, bien sûr, je veillais à bien m’occuper de mon cul avant son arrivée ; j’étais déjà à poil quand l’interphone sonnait, le trou nickel et luisant de mouille et de salive. Ahmed restait de plus en plus longtemps et testait différentes positions pour m’enculer.

Mais il y eut un changement d'importance : mon voisin de chambre, Benoît. En deuxième année de sports, il nous avait spontanément aidés à emménager mes parents et moi début septembre. Le contact avait été très sympa, et heureusement parce qu’il faisait tellement de bruit quand il baisait que j’aurais pu me plaindre. Et il baisait presque tous les soirs. Vous imaginez le supplice pour moi qui était si sevré ! Sa copine gueulait interminablement sous ses coups de bite, et lui-même se donnait à fond. Ca n’arrêtait jamais. Je l’ai croisé un soir, une simple serviette sur les reins, allant à la cuisine commune. Il me salua avec un grand sourire, trempé de sueur, me faisant comprendre par un mouvement de bassin et un signe de la main qu’il avait déniché une sacrée salope. Il était hyper excitant, et si bien foutu ! Et dix minutes plus tard c’était reparti. Pour ce qui est de la « sacrée salope », il y en eut plusieurs, à en juger par la différence des cris. J’ai dû en croiser deux ce mois-là. Bref, après plus d’un mois à me branler et doigter en écoutant la chambre voisine et m’émerveillant des prouesses de Benoît, j’avais enfin rencontré Ahmed, et moi aussi je pouvais gueuler de plaisir. Seulement, bien sûr, si moi j’avais pu entendre, Benoît devait aussi entendre, mais des cris de mecs…

Il arriva souvent à partir du 2ème mois que nous baisions au même moment, et je soupçonne Ahmed et Benoît de s’être donnés encore plus en parallèle, rivalité virile de base (j’adore). Quand je croisais Benoît il ne faisait aucune allusion à ce qu’il entendait de ma chambre, toujours souriant. Puis c’est lui qui se retrouva sans meuf une petite semaine. Cela donna lieu à une petite conversation dans la cuisine commune, car il m’avertit qu’il s’était trouvé une « poulette pour le soir », et qu’elle allait « manger grave », vu que ça faisait plusieurs jours qu’il en avait sauté aucune, etc., et que m’entendre couiner chaque soir le rendait fou… Je lui expliquai que j’avais eu mon tour de frustration avant, et j’étais content qu’il prenne bien ma sexualité. « Pas de problème ! » me dit-il, « le tout c’est de prendre son pied. » Parfait. « Et toi t’as l’air de bien te donner », ajouta-t-il en rigolant. On a blagué un moment et c’en est resté là. Le soir j’ai retrouvé Ahmed, qui m’a bien baisé, m’a mis une dose dans la bouche et deux dans le cul, enfin dans deux capotes. Ce n’est qu’entre deux enculades que j’ai remarqué que je n’entendais rien dans la chambre de Benoît : pas de « poulette ». Mais comme Ahmed me présenta son cul à lécher, j’oubliai vite tout.

Quand Ahmed me laissa (et attention ! désormais il y avait un bisou d’au revoir, une date fixée pour le lendemain ou surlendemain, etc), j’essayai de retrouver mes forces, trempé sur le lit, le cul défoncé. Quand on frappa je crus que c’était lui (alors qu’il ne frappait jamais), et je lui dis d’entrer. Mais bien sûr, c’était Benoît ! Torse nu, et quel torse ! en caleçon kaki et pantoufles, avec une gaule terrible qui pointait sous le tissu à tel point qu’elle remontait le caleçon et laissait apparaître une grosse couille poilue. Je bondis sur le lit, gêné, et ramenant un drap sur moi. Mais lui souriait jusqu’aux oreilles ; je me rendis compte en une seconde qu’il avait un corps de rêve, que tous les muscles apparaissaient sous une belle toison brune.

-       Relaxe, c’est pas un scoop ! je l’ai entendu partir et j’ai eu envie de passer.
-       Envie ? je vois ça, répondis-je en retrouvant mon sourire ; et la meuf de ce soir ?
-       Ben elle est pas venue ; tu vois le résultat ?
Et il regarda son caleçon distendu, et fit même bouger sa bite. Ce qui nous fit rigoler.
-       Oui je vois que ça ! tu nous as entendus ?
-       Comme si j’y étais… T’as pris cher, purée !… Et dis donc, ajouta-t-il en montrant d’un bout de pantoufle les deux capotes pleines au pied du lit, vous vous êtes pas gênés ?!
-       Ouais, c’était bien !
-       Gros juteur, on dirait !
-       Ouais, pas mal.
-       Grosse bite aussi ?
-       Comme il faut.
-       Tu sais qu’y a pas que les arabes qui ont une grosse bite ?
-       Ben faudrait que je voie mieux…dis-je malicieusement...
Il s’approcha du lit en sortant tout simplement sa queue : une superbe bite charnue, et longue à peine plus que celle d’Ahmed, mais je n’en dis rien : « ah ouais, carrément », dis-je, retrouvant aussitôt mon appétit.
-       Ben fais-toi plaisir, moi j’attends que ça, ajouta-t-il en la tenant d’une main pour me la présenter en l’agitant.
Son gland était une merveille, plus gros et découpé que celui d’Ahmed. J’ai baissé son caleçon jusqu’à ses chevilles, remplacé sa main autour de sa belle bite : « on va faire ce qu’on peut pour vous soulager, m’sieur…
-       Ben c’est sympa, parce que j’ai les burnes qui vont vraiment exploser ».

Il rigola mais quand j’ai pris aussitôt sa queue en gorge profonde, il est redevenu très sérieux, dans un long soupir… « Oh, toi, tu vas me plaire ! ». J’ai alterné comme ça un moment, gavage des amygdales et pipe bien humide, bien en longueur de la langue et des lèvres, et ses soupirs me confirmaient mon savoir-faire. Puis je guidai ses mains, qu’il avait sur ses hanches, vers ma tête, pour me faire limer la bouche. Il ne se gêna pas ! Et avec mes mains libres, le gosier ramoné bien comme il faut, je palpais ses fesses de sportif, son torse musclé de partout, et les floc floc dans ma gorge se mêlaient à ses exclamations « putain, quelle bouche ! qu’est-ce que c’est bon ! » Il grimpa sur le lit et fléchit les jambes, tenant toujours ma tête et me limant la gorge à bons coups de reins, qui me donnaient une idée de ses exploits sexuels. « Ah ! putain, mais elle est faite pour vider ! ».

Ca me fit rire, mais vu la situation je m’étranglai. Il ressortit sa bite, énorme et dégoulinante de salive : « j’y vais trop fort ?
-       Nan, c’est pas ça, et je pus rire franchement, c’est ton expression.
-       Ah ok, ben c’est vrai, et il rit aussi ; on peut pas résister trop longtemps à une bouche pareille.
-       Ben résiste pas alors.
-       Mais… t’avales ?
-       Ben j’attends que ça !
-       Mais… les capotes pleines ? ajouta-t-il en tournant la tête vers elles.
-       Ca justement c’est le tout petit bémol avec lui, tu vois ?
-       Hmmm, je vais pas te frustrer moi ! ; si t’aimes la sauce, je t’en donne autant que tu veux. Tiens palpe mes couilles, tu vas voir ce qu’elles te préparent…. »
Elles étaient lourdes et bien gorgées sous ma main. Je repris sa bite et pompai avec avidité, couinant à l’idée d’une récompense juteuse. Entre deux soupirs, il m’assurait que je serais pas déçu. Il appuya ses mains sur le mur, toujours les jambes fléchies m’encadrant le visage, et se mit à jouir bruyamment au rythme de la montée des jets depuis ses couilles: je sentis nettement 4 puissantes giclées, que je dégustai avec un visible plaisir. J’avais commencé à me branler, Benoît ne criait plus mais gémissait et m’encourageait à me régaler de « sa crème de couilles ».

Je tétai les dernières gouttes qui sortaient encore, puis allai lécher les boules toutes fermes pour les assouplir. En reprenant son souffle, il me disait d’en prendre soin et qu’elles m’en redonneraient un max. Mais ma langue continua sa route jusqu’à titiller son trou. « Tu veux me bouffer le cul ?! », à quoi je grommelai un « oui ! » en forçant les cuisses à s’ouvrir mieux. « Oh putain, super ! ». On bascula : je fus sur le dos et lui s’adossa au mur puis descendit en fléchissant jusqu’à poser son cul sur mes lèvres ; je grognai de plaisir en goûtant ce petit trou vierge, au duvet brun, et me branlai encore plus frénétiquement. « Putain que c’est bon ! s’exclamait-il, et t’as l’air de bien prendre ton pied aussi toi !... ».

Il écartait une fesse d’une main, moi l’autre, et chacun se masturbait. Je crachai bien vite, soulevé par le plaisir, enfoncé entre ses fesses, et m’inondai le ventre. « Eh ben ! » dit-il en riant, et il allait se dégager, pensant que je voulais souffler ; mais le voyant lever le cul, je le rattrapai à la taille en disant « encore ! », et le fis asseoir sur moi : « hmmm, ok, putain, profite ouais ! ». Assis sur ses genoux, il se branla en soupirant pendant que ma langue l’assaillait sans faiblir. Il ne tint pas longtemps, et me proposa haletant « une autre dose » ; je gémis dans ses fesses, il précipita sa branle et se leva soudainement, bascula le bassin et visa ma bouche grande ouverte : il gueula en faisant jaillir d’autres jets bien blancs, directement logés sur ma langue. La vision que j’avais était un pur bonheur : son cul bombé, sa queue droite qui écartait ses boules, pointée vers le bas, et le gland qui déchargeait… aussi beau à voir que bon à avaler ! Il enfourna sa bite pour se faire téter et nettoyer en gémissant (et moi aussi j’appréciais cette deuxième dose !), après quoi on s’allongea tous les deux.

-       « putain, ce pied !
-       Et ce jus !...
-       T’aimes ça, ça s’est bien vu. »
Je lui confiai alors un peu mes aventures de quartier et le goût que j’avais pris au sperme. Il m’écoutait les yeux écarquillés et brillants : « si j’avais pu habiter par chez toi !
-       Mais là on est voisins de chambre, continuai-je…
-       Ah c’est clair qu’on va pouvoir s’éclater ! Et tu sais qu’on m’avait jamais léché le cul ?...
-       C’est dommage, c’est une merveille !, répondis-je en me disant que décidément j’avais droit souvent aux premières fois.
-       Tu me le referas hein ?
-       Quand tu veux ! j’adore.
-       Super, ajouta-t-il, et il m’embrassa, très tendrement avec la langue.

Je me relevai pour me rincer un peu le ventre et la bite, au mini lavabo de la chambre. Benoît s’informait déjà de mon emploi du temps et des passages d’Ahmed. Il me proposa cash des passages réguliers, et j’aimais qu’il soit clair et carré. Pour le tester, je lui dis qu’il ne devait pas s’inquiéter et qu’il retrouverait vite une meuf. Il répondit, tant mieux pour moi, que même s’il avait une meuf, ça n’empêcherait pas qu’il passe de temps en temps ; il avait déjà calculé les jours où le matin il pourrait passer : « il repartirait les couilles légères et moi je commencerais la journée le ventre plein ». Comme je lui répondis que je prendrais tout le jus qu’il me donnerait à chaque fois qu’il le voudrait, il m’embrassa encore puis s’allongea sur moi, tout excité et se frottant en me disant entre deux baisers « sacrée gourmande, hein ? » et il risqua un « salope » dont il constata aussitôt l’effet sur moi : je l’agrippai à la taille et relevai les cuisses. On bandait à mort et il me dit que j’allais me la prendre dans le cul. Ses capotes étaient dans sa chambre, pas possible de s’interrompre. Je relevai encore plus les cuisses pour mieux installer le gros gland sur mon trou. En quelques petites poussées contrôlées, il entra, juste le gland, qu’il ressortit et procéda ainsi quelques minutes : j’allais exploser d’excitation, et lui se régalait en me regardant…

Après avoir bien profité de mon visage suppliant, Benoît s’enfonça complètement dans mon cul, en se mordant les lèvres de bonheur tant j’étais mouillé par les entrées successives de son gland juste au bord. J’en gueulai de plaisir, et commença alors un pilonnage extraordinaire, dans tous les sens, où je pus mesurer tout le potentiel d’un athlète endurant. Il me maîtrisait complètement, et me mit dans des positions diverses pendant plus d’une heure. Il variait la vitesse et la violence de ses coups de reins, en missionnaire, en levrette, de côté… ; il faisait des pauses, planté tout au fond de moi. Je n’avais plus de souffle, la bouche prise par la sienne dès qu’il le pouvait, et lui ne semblait qu’à peine essoufflé mais il dégoulinait de sueur. Il était souple et puissant dans toutes les positions. La première fois qu’il sortit de mon cul, pour me retourner en levrette, je me jetai sur sa bite trempée de mouille pour le sucer. Il adora cette attitude de « salope en feu », et par la suite me donna sa queue à chaque changement. Il s’étonnait lui-même de ce qu’il « me mettait » et de ce que je pouvais « encaisser ». Quand nos bouches se rejoignaient, je lui suçais la langue, et quand je pouvais parler, je l’encourageais à me bourrer encore et lui à me lâcher toujours plus ; il aimait trop m’entendre. On a fini en missionnaire de nouveau ; je n’en pouvais plus, et j’avais joui deux fois ! Je crois qu’il aurait continué, alors que cela faisait plus d’une heure. J’ai pu lui glisser un doigt dans le cul pendant qu’il me labourait le mien et l’effet ne tarda pas : il se mit à rugir de plus en plus à chaque limage puis sortit en toute hâte et se mit à califourchon au-dessous de moi, sa bite gonflée à mort sur mon visage ; je l’empoignai et la gobai, et dans un long cri il m’envoya sa liqueur, sa bite et son bassin tressautaient à chaque montée. Ses « aaah !, aaah putain, ouais ! » marquaient sa délivrance. J’eus la force de le nettoyer en gorge profonde dans cette position, puis nous nous allongeâmes épuisés. Admiratif, je le laissai tranquille, et il s’endormit là ; je me levai pour chercher un drap de dessus sec, et je constatai à quel point il m’avait pété les jambes !... Je m’endormis vite aussi. Nous avons raté les premiers cours du matin. A son réveil, il m’embrassa et sortit du lit, mais je le retins par une jambe : je lorgnai sa bite, amollie mais grosse. Il eut un grand sourire : « d’accord, d’accord… » et me la donna à téter au bord du lit. Dès qu’il m’eut accordé son lait matinal, il me baisa sur le front et fila.
A partir de là se mit en place une forme d’organisation des baises entre Ahmed et Benoît. Avec mon extraordinaire sportif, nous inventâmes un système de coups frappés au mur : un pour « je peux venir ? » et deux pour « viens ». Il ne fut pas rare que Benoît passe après Ahmed quand il n’avait pas eu de meuf à baiser, et il profitait ainsi de mon cul bien glissant et dilaté. Il commentait la forme d’Ahmed en regardant les capotes remplies près du lit. Ou alors c’est le matin qu’il passait se vider les boules, ou encore, après la douche, il entrait se faire lécher le cul, et se branlait en même temps pour m’assurer ma dose. Tout se faisait avec un naturel que j’appréciais beaucoup et beaucoup de bonne humeur : un petit bonjour, un petit bisou, et il baissait son caleçon pour donner ou sa bite ou son cul. Toute l’année se passa ainsi avec Benoît, un type vraiment super. En revanche, du jour au lendemain Ahmed disparut complètement vers Noël. Quand j’entendais Benoît sauter une fille, je me branlais, pensant à lui en action, et je savais qu’il n’allait pas me laisser longtemps frustré.

BAPTISé

Mais en dehors de la résidence universitaire il se passait des choses aussi. Peu avant les vacances de Toussaint (je voyais donc Ahmed depuis peu et pas encore Benoît), j’eus la visite d’un deuxième année, Pierre, le responsable du Bureau des étudiants. Il venait me faire remarquer que je n’avais assisté à aucune des étapes du bizutage, désormais terminé. Je lui sortis quelques excuses bidon. Il me demanda carrément et poliment si j’étais « homosexuel ». Je ne traînais qu’avec des filles, etc. Je lui dis que je n’avais pas à lui répondre (ce qui était une réponse très claire…), et il me fit comprendre qu’il allait lâcher cette info si je ne participais pas au « baptême », cérémonie mystérieuse, au-delà du bizutage, dont les première année ne savaient rien, et les deuxième ne disaient rien. Il me rassura, me disant qu’il n’y avait rien de flippant, et même que ça pouvait être très sympa ; que ça me plairait sûrement… La vérité c’est que si j’avais la possibilité de le sucer, ça me disait bien, car Pierre était très beau : plutôt trapu, blond bouclé, tout en l’écoutant je l’imaginais déjà à poil, et d’après sa belle peau, plutôt imberbe. Il me dit que le prochain baptême aurait lieu le samedi et qu’il y avait moyen de rentrer dans le lycée et d’atteindre l’internat garçons et sa chambre. Mais je pouvais passer le voir n’importe quel soir avant, « si j’avais envie ». Deux soirs plus tard, alors qu’Ahmed ne passait pas, et que j’entendais déjà les rires de la fille que Benoît allait sans doute sauter, je me décidai. J’étais à 500m du bahut. En suivant les indications, je trouvai la chambre de Pierre, au rez-de-chaussée, spacieuse (pour les 3ème année). Il bossait à son bureau face à la fenêtre et me vit ; son pote de piaule lisait sur son lit, ceinturé d’une serviette. Il me fit entrer par la fenêtre, me présenta à Samuel, membre du Bureau lui aussi, et me présenta comme le futur candidat au « baptême ». Cela le sortit de sa lecture… Il s’assit au bord de son lit, moi sur celui de Pierre, qui resta sur sa chaise. La conversation revint immédiatement sur mon « homosexualité », qui « ne les dérangeait pas du tout », et « c’était même un plus pour le baptême ». Finalement quand Samuel demanda si j’avais déjà « sucé des bites », je ne cachai plus rien. Et « oui, j’aimais ça ». Samuel se leva, sans sa serviette, et vint me donner sa queue déjà mi-tendue, que je pompai avec plaisir. Pierre se mit à poil et vint la bite raide. C’est moi qui, la bouche pleine, l’invitai par un mouvement de bassin à se rapprocher. Je les suçai alternativement, en leur caressant les fesses ; ils me tenaient la tête légèrement ; c’est moi qui pris l’initiative des gorges profondes, qui furent de très heureuses surprises pour eux… Le questionnaire continua : « seulement passif ? est-ce que j’avalais ? j’aimais ça ? je me faisais enculer ? etc. ». Devant toutes mes affirmatives, leur contentement leur donnait un sourire jusqu’aux oreilles. J’ajoutai que j’aimais lécher le cul aussi. La réaction fut immédiate : les deux se mirent à 4 pattes côte à côte sur le lit et je le leur bouffai volontiers. Très beaux tous les deux, l’un poilu l’autre non, qui sentaient encore le gel douche. On se branlait tous les trois. Comme Pierre dit qu’il allait bientôt juter, Samuel aussi, ils se levèrent ; je restai à genoux et les repris en bouche. Samuel jouit le premier et se vida bruyamment d’un jus bien épais. Pierre comprit à mes petits couinements de plaisir que son "breuvage" allait me faire jouir aussi et me dit de gicler sur son pied pendant que je finissais de nettoyer la queue de Samuel ; j’obéis sans peine, j’avais les couilles pleines. « Maintenant tu lèches, salope » dit fermement Pierre. C’était la première fois, ce ton, et ce mot, et cela me plut. Il avait d’ailleurs un très beau pied. J’y dégustai mon propre jus et nettoyai avec application. Pierre commentait avec plaisir ; il avait attiré Samuel par la taille et ils se roulaient une pelle tandis que Pierre continuait de se branler. Une fois le pied nickel, je remontai et pris le gland, et il se finit dans ma bouche, le jus plus abondant et liquide que l’autre. Très, très bon.

Les 6 couilles vidées, on put reprendre la discussion, assis tranquillement sur le lit de Pierre. On m’expliqua le « baptême », en gros c’était une tournante des membres du bureau sur le baptisé, donc moi. Mon sang-froid les impressionna : je ne posai que des questions techniques ! combien de membres ? combien de temps ? des capotes ? etc. Samuel dit que chaud comme j’étais ils allaient passer un sacré moment. N’ayant plus rien à cacher et voyant que cela les arrangeait bien je confiai à quel point j’aimais la bite et le jus, et ne demandais pas mieux que de rencontrer plusieurs mâles. Et je crois qu’ils m’auraient bien sauté ce soir-là, vu que les bites se redressaient, si dans le couloir on n’avait pas entendu le surveillant… Je me rhabillai en hâte tandis que Pierre me disait que j’y passerais et pas qu’une fois le samedi, et qu’il n’y aurait pas de surveillant ce soir-là… Alors que je passais la fenêtre il eut le temps encore de m’expliquer le message codé que j’allais recevoir bientôt. J’ai gardé celui de mars de cette année-là : S.U.C.5/15-3/22/1D : ce qui signifiait : Soirée d’Utilisation Collective, 5 mecs le 15 mars à 22h, chambre 1D. Ces billets apparaissaient miraculeusement dans mes cours ou mon cartable, la semaine qui précédait la session. Car en plus du baptême, il y en avait une à chaque fin de trimestre, de 4 à 7 mecs en fonction des disponibilités des membres du bureau. Rien d’étonnant à ce que le Bureau soit formé de 7 membres uniquement masculins, dont presque tous avaient une copine… Et pour le baptême, 5 étaient là. Pierre me dit dans un dernier sourire que j’étais super et je disparus dans la nuit.

Trois jours me séparaient du baptême. Ahmed passa deux soirs se vider les couilles mais vite fait : le premier, pour se faire pardonner son absence, me dit-il, il se branla tout de suite dans ma bouche, me rassurant sur la quantité de « sauce qu’il allait me donner », se fit bouffer le cul et pomper jusqu’à une autre giclée. Ce fut sans sodo mais je ne boudais pas mon plaisir avec le jus dont il m’avait gavé ; le second soir, il n’avait pas beaucoup de temps, il se contenta de baisser son jogging et de faire jaillir sa queue très raide et il m’encula debout, moi à 4 pattes au bord du lit. La sodo fut bestiale et brève. Quand il fut parti, je restai dans cette position, un peu frustré pour la durée mais il m’avait quand même bien éclaté, et je me branlai sur le lit. Le samedi, je me préparai consciencieusement le cul pour le baptême, je rasai quelques poils, je me sentais reposé et serein.

J’arrivai un peu en avance dans le parc du bahut où je me cachai pour espionner chez Pierre. Je le reconnus en slip, et Samuel aussi, deux autres mecs, en slip ou serviette, qui devaient sortir de la douche, que j’avais déjà croisés. Au centre de la chambre il y avait le haut d’un tremplin de gym qu’ils finissaient de couvrir d’oreillers ; je bandais déjà en voyant ce qui m’attendait… Certains installaient des bouteilles et des verres, d’autres couvraient les lits de draps. Je bandais encore plus et commençai à mouiller. Un autre gars que je ne reconnus pas (mais je ne savais pas bien qui appartenait au Bureau) entra, à poil une serviette à l’épaule. Pierre eut l’air d’expliquer des trucs, puis ils se mirent tous une cape, nus dessous, et un passe-montagne, noirs, mais le passe de Pierre était rouge, et ils s’installèrent sur les deux lits. Il était 22h, je frappai à la fenêtre.
-       Messieurs, honneur au baptisé ! dit Pierre en m’aidant à entrer.
Ils se levèrent, 2 devant chaque lit ; la cape ne laissait apparaître qu’une ligne verticale de leur corps, avec leur bite bien sûr pile au milieu.
-       Bizu, déshabille-toi ; honneur aux membres du Bureau.

J’obéis ; Pierre pliait mes vêtements au fur et à mesure. Les bites se dressaient ; la mienne était archi raide et quand ils le virent ils s’exclamèrent : « honneur ! ». Pierre me mit à genoux devant lui et me dit : « suce, bizu ». Il me laissa le pomper deux ou trois minutes, puis prit ma tête et me lima la même durée. Puis il me fit relever, et m’amena devant chaque mec et cela recommença quatre fois : « suce, bizu » disait chacun, je suçai d’abord puis me faisais limer. J’avais reconnu Samuel et sa bite ; les autres queues étaient plus ou moins longues, plus ou moins larges. Il y avait un circoncis, et un mec plus dodu que les autres, avec un très gros zob, qui me fit penser à un gros saucisson. Quand j’eus terminé ma tournée, ils s’exclamèrent tous « honneur ! » puis Pierre m’approcha du tremplin, s’y installa à quatre pattes, relevant sa cape et dit « lèche bizu ! ». Jusque-là silencieux, les mecs réagirent aux premiers gémissements de Pierre ; j’entendais les frottements de leur branle, leurs « ouais ! » pendant que je m’appliquais sur la belle rondelle. Puis Pierre se releva, redit « honneur ! messieurs » et tous se mirent à quatre pattes et je leur bouffai le cul un par un, et ils furent tous de plus en plus expressifs. Là aussi les culs étaient tous assez différents, tous sentaient le savon ; j’ai pris un pied terrible, et constaté, amusé, les diverses réactions de leur anneau…. Ensuite Pierre m’installa sur le tremplin à 4 pattes, la tête tournée vers eux. Il cria « échanson ! » et le dodu versa à boire à tout le monde ; ils trinquèrent en mon honneur, je bus une gorgée dans le verre de Pierre : rhum coca (ah les étudiants !). Puis Pierre se plaça derrière moi et me massa la rondelle en commençant à chanter une longue chanson, que je vous épargne, qui parlait de la semence de l’homme, de sa gloire, de son culte, etc. Je matais ces mecs sirotant leur verre en se paluchant la bite, toujours bien dressée, et le massage de Pierre me chauffait ; il commença à me doigter et moi à gémir. Très vite, je mouillai abondamment.

Pierre cria « honneur au Président ! », ce qu’ils saluèrent, et il se plaça pour m’enculer. Cette invasion me fit un bien fou, je ne tenais plus. Il me saisit la taille et me défonça brutalement à toute vitesse, me faisant gueuler, sous les « honneur ! » des autres mecs, les yeux exorbités, et la main frénétique. C’était du bourrage efficace destiné à jouir au plus vite, et je sentis bien que Pierre décollait. Il cria « salope ! », que reprirent tous les autres, « sa-lope, sa-lope ! » jusqu’à ce que Pierre jouisse dans mon cul. Applaudissements. Il se retira, se fit sucer sa bite crémeuse et dit : « Messieurs, à vous ! » ; il prit la place sur le lit du premier à le remplacer et rebut un verre ; la deuxième bite entra sans hésiter et me bourra comme Pierre. Tous défilèrent ainsi : Samuel fut le quatrième, me fit jouir bruyamment du cul et gicler. Je sombrai vite dans un état de semi-conscience, je ne sentais plus que ma rondelle explosée et m’entendais moi-même gémir et couiner, je ne me reprenais tout à fait qu’en entendant le « salope » déclencheur et répété, puis quand la bite qui m’avait fécondé se présentait à moi pour être nettoyée. Je sentais le jus qui fuyait et coulait hors de mon trou, et les bites que je devais sucer étaient de plus en plus mousseuses ; j’imaginais l’état de mon cul !... Une fois les 4 passés, Pierre vint derrière moi, appela les autres : il y eut des « oh ! » des « ah ! » quand ils virent mon arrière-train, puis ils crièrent « bizu ! » tandis que Pierre me disait de me vider. Je poussai et les flots sortirent par à-coups...

 

 ette soirée laissa des souvenirs à plus d'un Une fois aussi, je recroisai celui que je ne connaissais pas : il s’assit en fin de repas devant moi, finissant son yaourt : il entrouvrit la bouche, passant sa langue et faisant déborder le lait caillé ; nous comprenions tous les deux l’allusion à l’aspect de mon trou lors du baptême… 

...Applaudissements. « Honneur au bizu ! – Honneur ! ». Je pus changer de position, on me servit un verre, nous trinquâmes. Un « officier » désigné par Pierre vint m’essuyer le cul. Chacun souriait, semblait ravi. Et moi je dois dire qu’une fois reposé 5 mn, j’adorais la situation. Je sentais que mon cul continuait de palpiter. J’en voulais encore, et surtout : je voulais les impressionner, je crois. Je me mis sur le dos sur le tremplin, les jambes ouvertes face à eux, et me doigtai vigoureusement, de plus en plus déchaîné, et encore plus excité par les encouragements virils qui fusaient. Pierre cria : « Messieurs ! … la curée ! » (j’appris plus tard l’importance que ce mot avait). Dans un élan et un cri de tous, je me retrouvai assailli : un cul se posa aussitôt sur ma bouche, des mains levèrent mes jambes, une bite s’enfonça direct dans mon cul et des doigts titillaient mes tétons, une main me branlait. Je ne pourrai retranscrire tout ce que j’entendais, dans un état second, entre les ordres (« bouffe ! », « couine ! », « tiens, mange ! »), les exclamations de plaisir, de surprise, les insultes. Je ne voyais plus rien, à part les fesses dans lesquelles j’avais le nez fiché, et je ne sentais que des mains et des bites qui permutaient. Le mec assis sur moi bascula pour me donner sa bite et quand il voulut céder sa place je le retins pour qu’il me lime encore la bouche.  

Il interrogea le Président qui déclara : « Messieurs, la bouche ! ». Message reçu : le mec profita de ma bouche jusqu’à lâcher son jus. Suivit alors une vidange collective, 3 mecs au fond de ma gorge, qui avaient encore pas mal de lait dans les couilles ! Pierre se finit sur mon visage, salué par ses collègues. Je me sentis épuisé, rabattis mes jambes, pendantes de part et d’autre du tremplin, essayant de reprendre mon souffle ; ils m’entouraient, admiraient mon état, me donnaient de petites tapes amicales. Puis Pierre appela l’officier, qui vint m’essuyer le cul, et quand il s’approcha de mon visage, je lui pris la main et guidai ses doigts ; il comprit et ramassa ce qu’il put pour me le donner en bouche. Tout en suçant ses doigts je regardais les visages cagoulés penchés sur moi et leurs yeux brillaient fort. Ensuite Pierre mit de la musique, ils s’installèrent sur les lits, et on but de nouveau. Je m’assis en tailleur, et sentit le sperme qui continuait de sortir de moi, mon trou qui peinait à se refermer. Cette pause dura longtemps ; on parlait comme si rien n’avait eu lieu, des cours, de sport, des vacances. Scène surréaliste : tous à poil, la bite plus ou moins molle, eux avec leur cagoule, débarrassés de leur cape. Ils allaient et venaient dans la chambre. Pierre m’appela sur son lit, où il était seul. On discuta, on s’embrassa un peu. Il fallait laisser les couilles se recharger pour la dernière étape : le baptême proprement dit ; tant qu’il n’avait pas lancé l’autorisation, lui seul pouvait jouir sur mon visage comme il l’avait fait. La curée (en gros un abattage) restait exceptionnelle : tous les bizus n’y avaient pas droit, seul un chaud du cul comme moi avait pu les conduire jusque-là, à leur plus grande joie ! Pierre me dit que ça allait rester inoubliable pour eux et que j’avais acquis le respect de tous. Donc cela allait se finir en rinçage ? Pierre me le confirma et demanda en m’embrassant si je voulais autre chose de plus : j’avais tellement assuré que je pouvais demander. Je m’allongeai sur le dos et lui en fit faire autant, et pendant qu’il m’embrassait, j’attirai sa main jusqu’à mon trou. Au premier doigt entré je soulevai le bassin de plaisir. Je n’en avais pas eu assez ? Eh bien, je serais bien resté avec chacun d’eux en particulier, et ils se videraient sur ma gueule après.

Pierre se frotta contre moi et dès qu’il banda il me pénétra en missionnaire ; cette fois il prenait son temps, on s’embrassait et se caressait. Les autres finalement matèrent depuis le lit d’en face. Pierre continua quelques minutes, se retenant de jouir, puis me laissa en désignant Samuel pour me prendre ensuite. Lui aussi choisit le missionnaire. Le troisième me donna son cul à bouffer, avant de me prendre en levrette, comme le suivant, qui me branla en même temps et me fit hurler de plaisir quand je jouis. Le dernier, le dodu, s’allongea sur le sol et me dit de grimper : il me martela frénétiquement tandis que les autres m’entourèrent et se branlèrent. « Messieurs, le baptême ! » décréta Pierre. Je plissai les yeux et ouvris la bouche : l’un après l’autre ils jutèrent partout sur mon visage, mais quelques jets m’arrivaient en bouche, et tant mieux ! A chaque jute, les cris des autres saluaient le bizu que j’étais. Je dégoulinais de partout et les coups que je recevais dans le cul accéléraient la coulée en me faisant sursauter. Puis mon dodu se dégagea et vint m’offrir en soufflant avec force le contenu de ses couilles. J’avais réussi à avaler pas mal de jus, et je pus ouvrir complètement un œil. Il tapota son gland trois fois sur mon front en disant « honneur au bizu », se fit nettoyer, et chacun procéda de la même manière. L’officier m’essuya, puis on trinqua tous à… moi-même, je fus applaudi. Cela se termina rapidement ensuite : il était 2h du mat passées. Pierre me passa mes vêtements, me demanda si j’allais pouvoir rentrer. Je lui ai répondu « oui, tout doucement… » ce qui nous fit rire et il m’embrassa. Je dis au revoir aux autres qui me firent l’accolade et je rentrai à la résidence. Autant vous dire que le dimanche, je l’ai passé à faire des siestes, à me branler, me masser le trou, sans mettre le nez dehors.

J’ai recommencé quatre fois ces tournantes dans l’année avec les membres du Bureau, qui se passèrent toujours très bien et selon le même cérémoniel, même s’il n’y avait plus « baptême ». Quelquefois à la cantine, je croisai un membre du Bureau, toujours souriant, et quelquefois aussi à un signe de sa part je comprenais qu’une pipe lui ferait bien plaisir ; on se retrouvait aux toilettes et l’affaire était faite. Une fois aussi, je recroisai celui que je ne connaissais pas : il s’assit en fin de repas devant moi, finissant son yaourt : il entrouvrit la bouche, passant sa langue et faisant déborder le lait caillé ; nous comprenions tous les deux l’allusion à l’aspect de mon trou lors du baptême…Cette vision me mit le feu au cul aussitôt, et quand je le retrouvai aux toilettes je le fis jouir en peu de temps, tant je pompai avec furie. Autre petit souvenir : en ville à une terrasse de café, j’en croisai un autre avec sa copine ; et je fus quand même surpris quand il m’adressa un signe clair (en bombant sa joue avec sa langue de l’intérieur)… je me dirigeai vers les toilettes, où il me rejoignit aussitôt. Enfermés dans une cabine, il sortit sa bite et me laissa sucer jusqu’à ce qu’elle soit bien raide puis il me lima la bouche avec ardeur et me tapissa l’œsophage… Quand je retournai à la terrasse, il avait repris sa place et discutait avec la copine. En partant il m’adressa un clin d’œil.

Mais pour l’essentiel, je baisais dans ma chambre, avec Ahmed, puis Ahmed et Benoît et finalement Benoît seul à partir de Noël. 

...Mike sur cyrillo

 

 

 

 

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- t’avales ? -  Ben j’attends que ça !  - Mais… les capotes pleines ? ajouta-t-il en tournant la tête vers elles.-  Ca justement c’est le tout petit bémol avec lui, tu vois ? il veut pas. - Hmmm, je vais pas te frustrer moi  ; si t’aimes la sauce, moi je t’en donne autant que tu veux.» Tiens palpe mes couilles, tu vas voir ce qu’elles te préparent…. » Elles étaient lourdes et bien gorgées sous ma main.

Par MIKE - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 25 novembre 5 25 /11 /Nov 01:10

  et aussi le mettre à l'épreuve  

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  It’s better to be feared than loved. 

 

                                                                            

 

  Always love watching a bitch get used 

 

 

  c'est  tu as  mal ... c'est bien ! je te regarde jouir de tes petites douleurs  ! quel bonheur pour moi !                                                                           

 

    je te regarde jouir de tes petites douleurs  ! quel bonheur pour moi !

Mal ? qu'est-ce que tu racontes ?

Take what’s yours.

tu jouis comme un phoque !

 

Kill the game. Slaughter the competition. Slay pussy. Repeat.

 

eh oui ! la douleur est si proche du plaisir !                                                                            

 

 

 

 

Par OUOUOUFFFF - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 25 novembre 5 25 /11 /Nov 00:46

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Par KOPIN DAVAN - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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