Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 08:37

  LA FAC  Voilà une période bénie pour moi, et longue : double cursus, un an à l’étranger, cela aura duré 8 ans, m’aura donné deux longues relations sérieuses, et pas mal d’autres qui le furent moins mais tout de même très juteuses…

LE ROMAN D'UN JEUNE ETUDIANT, AUSSI PEDE PASSIF QU'ON PEUT L'ETRE, MAIS  DOUé, DOUé,DOUé !!!!...

 

Alors en ce qui concerne la première année de fac…. J’ai passé les 6 premiers mois dans une petite résidence universitaire, au rez-de-chaussée surélevé, et deux mecs ont vraiment compté, même s’il y a eu quelques petits extras. En arrivant à la grande ville, évidemment, j’ai connu les premières agressions dans la rue, les clochards, le métro, etc. Ma résidence n’était pas dans un quartier chic, loin de là. En même temps j’étais stupéfait de voir tant de monde, où que j’aille, et cela me permettait de jauger les beaux paquets que je croisais dans la rue, ou de mater dans le métro. Il s’est écoulé un mois sans aucune activité sexuelle : autant dire que je mourais, ma gorge était sèche et mon cul me donnait d’énervantes irritations d’être ainsi abandonné. La résidence U était plus humaine que celles aux interminables couloirs : il n’y avait que quatre chambres par palier : trois petites, dont la mienne, et un grand studio pour couple.

Ma chambre était au fond, près de la douche commune ; avant elle il y avait un mec en fac de sports, et la première chambre était occupée par un autre mec rarement là, en face de la cuisine commune et des toilettes. Le couple du studio était sympa. Un début de soirée, je rentrais du métro et je suis tombé sur un groupe de quatre jeunes « racailles » comme on dit, qui devaient habiter les tours jouxtant ma résidence. Je pensais y échapper mais non ; je me trouvai encerclé. Il y avait un très grand rebeu et un de ma taille, et deux blancs, peut-être frères. Le grand rebeu avait l’air d’être le chef, et me demanda une clope. Je savais dans quel engrenage je m’engageais. J’ai refusé, le ton est monté, et j’ai réussi à contourner les deux de devant et à prendre la fuite : j’ai couru comme un taré. Seuls deux m’ont coursé. J’ai fait un détour pour ne pas indiquer où j’habitais, et voyant ma résidence je me suis retourné pour voir s’il restait des poursuivants : non. Il faisait déjà sombre.

Je suis rentré et il m’a fallu reprendre mon souffle. Mais, dans la nuit, j’ai entendu des petits coups à ma fenêtre : quelqu’un jetait des gravillons. Et c’était le second rebeu. Je ne voulais pas qu’il me voie mais comme les cailloux devenaient plus gros, j’ai fini par ouvrir ma fenêtre. Il m’a dit de le faire entrer, qu’il voulait me parler. J’ai refusé. Il a menacé d’avertir les autres gars de l’endroit où je vivais. Non. Et ils m’attendraient tous les soirs au coin de la rue. Je réfléchissais. Et puis j’avais le temps de détailler un peu l’individu. Le jogging intégral évidemment et une capuche de sweat-shirt. Je lui demandais ce qu’il voulait : il voulait juste parler ; il voulait des clopes ? il en sortit un paquet : non, juste un truc à me dire. Je le trouvais étrange, et même, pas sûr de lui, même s’il insistait lourdement. Bref. J’ai ouvert. Dans les chambres universitaires, peu d’espace, donc on s’est retrouvés nez à nez, et il a essayé de retrouver de l’assurance : d’une petite poussée il m’a fait asseoir sur le lit, et m’a dit qu’il fallait pas lui dire non comme ça. Je ne disais rien.

-       Alors maintenant tu vas me sucer la bite, ou je te jure qu’on te coince à 4 et tu vas le regretter, dit-il en se malaxant le paquet.
Je bandais à moitié déjà ; eh oui, la présence d’un mec, depuis ces semaines de vaches maigres… Je refusai encore, mais pour ne pas montrer que je cédais rapidement.
-       Allez, putain, dit-il d’abord énervé… Juste une pipe et je me casse, ajouta-t-il plus radouci en se rapprochant : sa main moulait un beau barreau à travers le jogging, à deux centimètres de mon nez.

Je ne disais plus rien, alors il baissa ses fringues, et une belle bite, bien droite en jaillit. Une bite ! enfin ! D’une longueur plus que moyenne, surtout grosse, mate, et rose où elle était circoncise. Je pensai d’un coup à celle d’Azou (mais il aurait fallu lui rajouter quasi un tiers…). Et là impossible de ne pas me retrouver comme une soumise pompeuse de bites, j’avais trop faim, trop soif, trop envie de me régaler d’une queue tendue vers moi. De la chaleur se dégageait de son entrejambe, j’ai pris le gland en bouche et j’ai rattrapé le temps perdu. J’ai adoré sucer cette bite après tant d’abstinence, et il a bien apprécié : hyper bavard il n’arrêtait pas de me complimenter tout en me couvrant d’injures. Comme je n’y tenais plus, je l’ai enserré à la taille et j’ai planté sa queue à fond dans ma gorge : il a adoré, m’a tenu la tête pour me maintenir, j’ai dégluti pour masser le gland, et on a fait comme ça quelques minutes. Son plaisir montait, montait…

Comme il me promettait de me « rincer la gueule », j’osai m’interrompre pour lui dire de me laisser avaler. « Ok, t’auras ma purée, salope ! pompe, j’ai les couilles pleines. » Alors j’ai pompé bien sûr, tout heureux de recevoir bientôt le sirop dont je manquais depuis un bail. La montée de sa jouissance lui fit pousser de petits gémissements que je trouvai étranges. Une sorte d’affolement. Puis un râle plus long : j’empoignai sa bite et suçai avidement, frottant bien ma langue par-dessous et serrant bien les lèvres. Il cria et je reçus le jus bien chaud, un dosage bien abondant, je dirais de quatre ou cinq jets. J’avalai en grognant de plaisir et en tétant délicatement. Il me regardait faire tout en essayant de se remettre : « Ah, tu kiffes, hein ? ». Quand j’eus fini de téter et nettoyer, subitement il s’écarta, rangea sa bite et sortit : « A demain, salope ! ».

Je restai assis sur le lit, tout au plaisir d’avoir repris une bite en bouche et me délectant du jus d’homme, sans réaliser encore ce qu’il venait  de dire. Puis je repensai à mon frère, le dernier à m’avoir dosé régulièrement, et quel bonheur c’était d’avoir son jus quotidiennement ! Je ne fus pas déçu le lendemain soir. A la nuit j’entendis les coups à la fenêtre, et le fis entrer. Tout se déroula de la même manière, sauf que je m’installai direct sur mon pieu et lui sortit aussitôt sa bite, bandée à mort, et j’adorai cette simplicité. Je suçai (il croyait encore nécessaire de me l’ordonner) avec le plus d’application possible, et son autorité du début semblait fondre au fur et à mesure : il était pris dans son plaisir. Toujours ce mélange de compliments et d’insultes, mais le ton changeait déjà. Après m’avoir rempli la bouche, encore une fois il partit. Cela dura encore deux soirs. Le suivant je n’étais pas là à l’heure dite : j’avais pris le dernier métro.

Mais en approchant de la résidence, j’entendis sa voix qui me disait d’attendre. Il était énervé, avait poireauté, etc. J’étais, pour ma part, presque touché qu’il ait attendu si longtemps sa vidange, je me disais qu’il y prenait vraiment goût. J’étais sincèrement désolé, et il le sentit ; et à ma grande surprise, il trahit une sorte de tristesse. Je l’emmenai dans ma chambre. Alors que je m’étais remis à le pomper,[le sentant plus accessible,] j’osai lui lever le blouson et teeshirt. Il accepta de se mettre à poil, alors je l’invitai à s’allonger sur le lit. Il était bien foutu. Je virai les chaussettes qu’il avait gardées, en lui disant avec douceur que j’aimais pas trop ça. Il me dit de me mettre à poil moi aussi, et me regarda avec attention, et même avec désir, je pense. Puis je m’installai entre ses cuisses et le suçai. Il passa ses bras derrière sa nuque et se laissa traire comme un bienheureux. Il me dit de lui passer ses clopes, et s’en alluma une. Il voulait que je ralentisse, pour que ça dure… Je me suis occupé de ses couilles, j’ai massé, bite en bouche, son torse et ses cuisses. Je prenais mon pied et quand je le regardai je vis que lui aussi : on devait être deux à avoir un sourire béat. « Si je jute maintenant, tu me resuces après ? » demanda-t-il. Je lui expliquai que je ne demandais pas mieux, même s’il lui fallait du temps pour récupérer. « T’inquiète ; vas-y relèche-moi les couilles ». Et après m’être occupé de ses bonnes boules bien fermes, j’ai repris le pompage.

« Putain ça vient ! » et j’eus ma dose délicieuse, tenant sa queue droite dans ma bouche et sentant avec délectation le gonflement le long de sa verge à chaque giclée sous mon pouce. Je prenais vraiment goût à son jus, assez fort et salé, très onctueux. Je tétai doucement jusqu’à épuisement de la source. Il reprenait son souffle et finit sa clope. Il m’invita à lui lécher encore les couilles, que je tâchai de détendre, et il se branla quelques minutes, lentement, me matant à l’œuvre. Il ne débandait pas du tout. Au bout d’un moment, il me remit sa bite entre les lèvres, et me dit : « vas-y ». Commença alors la seconde pipe, et j’étais ravi de tomber sur un mec qui puisse juter deux fois d’affilée ; un bras sous la nuque, une main sur ma tête, il goûta aux délices d’une seconde jouissance, qui le secoua sur le lit, et moi je pus me régaler d’une autre dose. Il se passa cinq minutes : lui ferma les yeux et moi, la joue contre une cuisse j’admirais sa bite si généreuse : elle ne débanda que très lentement. Puis il se reprit et dit : « je vais y aller ». Je m’écartai alors, le regardai se rhabiller. Il me dit « à demain » et partit.
Il s’écoula encore une semaine à ce rythme. On se déshabillait, il s’allongeait et je pompais. Mais progressivement les choses changeaient : il me demanda de le masser, j’appris même son prénom, Ahmed ; et il y eut un « salut » à son arrivée et à son départ. Un soir, alors que pendant le massage, je lui baisais le dos et descendais, il se crispa quand j’arrivai sur sa raie : « Tu fais quoi là ? ». Je m’interrompis en lui disant que je voulais juste lui lécher le cul. Il refusa, et la suite reprit son cours normal. Je n’avais pas deux rations de son jus à chaque fois, mais souvent quand même. J’avais de plus en plus de plaisir à caresser son corps, sa peau mate et ferme. Le soir suivant, c’est lui qui releva les cuisses et m’offrit son cul à bouffer : « vas-y, si t’aimes ça ». Autant vous dire que je me suis jeté dessus comme un affamé. Et lui releva encore plus haut et fit tout ce qu’il put pour me faciliter l’accès à son trou, minuscule et brun, et il n’arrêta plus de soupirer de plaisir tout le temps que je lui astiquai l’anus.

Il se branlait en même temps et je n’eus pas à sucer longtemps quand il me redonna son chibre à pomper : presque aussitôt un flot de jute m’inonda la bouche dans des grognements bestiaux. « C’était bon », dit-il après. Je me risquai à lui demander si c’était la première fois. Après un silence il acquiesça. Puis il me retourna sur le dos pour se coucher sur moi. Il releva mes jambes, qu’il coinça avec ses bras, et se baissa : il m’embrassa ! Brièvement d’abord. Je plongeai ensuite dans ses beaux yeux noirs. Et j’allai chercher ses lèvres, pour un baiser plus long et profond. Il dura en effet et Ahmed commença à se frotter sur moi. « Je vais t’enculer », dit-il simplement à mon oreille. Ca faisait des jours que j’y pensais bien sûr, et j’avais senti bien des fois mon trou palpiter en sa présence. D’ailleurs je m’étais demandé quand ça allait se produire. Cette fois je ne me risquai pas à lui demander si ce serait sa première fois. Il se passa quelque chose dans nos regards ; je sus que c’était le cas. C’était le petit rebeu de la bande, qui ne pouvait avouer qu’il était puceau.

Il devait être tout juste majeur comme moi. Tout en l’embrassant encore, je guidai sa main vers mon trou qui était très détendu, et l’y appuyai. Il entra un doigt, sortit, cracha dans sa main, la frotta sur ma rondelle et remit un doigt, fouilla, lima, et me fit gémir. J’ai mouillé plus vite que jamais, ce qui le fit sourire. Il redressa son buste et je tins moi-même mes cuisses aux genoux. Il frotta son gland, longtemps, je sentais mon trou s’ouvrir et mouiller encore plus. « Je vais prendre une capote », dit-il sans bouger. J’acquiesçai (là ça allait être une nouveauté pour moi), tout en continuant de me tortiller comme je pouvais sur ce gland à l’entrée. Il le poussa à l’intérieur, juste le gland, et je poussai un feulement de plaisir. « J’ te la mets une fois et après je prends la capote ». Mais moi j’étais déjà dans un état second ; quand il s’enfonça, je lui ceignis les reins pour le maintenir bien planté et je râlais de plaisir de me sentir rempli par une bite. Lui-même eut les yeux révulsés par le plaisir, mais se ressaisit, et se mit une capote. Il me pénétra direct en se couchant sur moi et commença à limer, râlant lui aussi, tandis que moi je m’enflammais, couinant et l’encourageant pour qu’il me pilonne. Après quelques allers-retours sur toute la longueur, il s’appuya sur ses bras et me pilonna comme je le voulais, et mon cul me brûlait délicieusement, et plus il y allait fort, plus j’en demandais. Ranimé du cul après des semaines sans rien, je voulais être sa chienne et me faire défoncer. Je lui soufflai de me prendre à 4 pattes.

Aussitôt on prit position, et il m’encula comme un pro. J’étais cambré comme une pute, la gueule dans les oreillers et je gémissais, lui écartant mon trou de mes deux mains, et lui me bourrait bien fort en me tenant la taille. « Trop bon ton cul ! » « tu kiffes salope, hein ? » « prends ma grosse teub, tiens ! », autant de douceurs qui rajoutaient à mon plaisir d’être enfin de nouveau démonté par un mâle. J’oubliais tout à fait que c’était une première pour lui, il s’y prenait très bien. Il se retira deux ou trois fois pour mater mon trou béant en s’exclamant « putain ! » mais il me remplit sans arrêt pendant un bon quart d’heure. Pour être complètement au paradis, j’allai chercher sa cuisse, et à la pliure du genou l’invitai à me monter dessus ; il comprit et me sauta aussitôt en appui sur moi, comme j’adore. « Comme une chienne, c’est ça que tu veux ? putain, t’es une bonne salope ! » et il prit l’allure d’un marteau-piqueur, m’encourageant à dire son nom, que je répétais tout en couinant de bonheur, avec ce pieu qui me perforait sans relâche.

Je me branlai à mort et bientôt lui se mit à pousser des « han ! » impressionnants ; il y eut une chaîne ininterrompue d’insultes tout le temps que sa sève bouillonnait dans ses couilles. J’en giclai en gueulant, et il gueula sitôt après, planté au fond de moi et secoué de spasmes. Puis il sortit de mon cul et s’assit adossé au mur ; je basculai sur le côté et on se regarda : je le couvris de compliments, sincères d’ailleurs, tout en regardant le réservoir de la capote, blindé de jus, et j’eus un petit regret, mais bon. Je tirai sur son bras pour qu’il s’allonge et on se retrouva tous les deux sur le côté, nous faisant face. Je sentais le froid de mon jus sur le lit, le plastique de la capote contre ma bite. On s’embrassa, les yeux brillants. Les choses étaient bien engagées pour que je me fasse sauter régulièrement, et lui se faisait son expérience.

A partir de là, bien sûr, je veillais à bien m’occuper de mon cul avant son arrivée ; j’étais déjà à poil quand l’interphone sonnait, le trou nickel et luisant de mouille et de salive. Ahmed restait de plus en plus longtemps et testait différentes positions pour m’enculer.

Mais il y eut un changement d'importance : mon voisin de chambre, Benoît. En deuxième année de sports, il nous avait spontanément aidés à emménager mes parents et moi début septembre. Le contact avait été très sympa, et heureusement parce qu’il faisait tellement de bruit quand il baisait que j’aurais pu me plaindre. Et il baisait presque tous les soirs. Vous imaginez le supplice pour moi qui était si sevré ! Sa copine gueulait interminablement sous ses coups de bite, et lui-même se donnait à fond. Ca n’arrêtait jamais. Je l’ai croisé un soir, une simple serviette sur les reins, allant à la cuisine commune. Il me salua avec un grand sourire, trempé de sueur, me faisant comprendre par un mouvement de bassin et un signe de la main qu’il avait déniché une sacrée salope. Il était hyper excitant, et si bien foutu ! Et dix minutes plus tard c’était reparti. Pour ce qui est de la « sacrée salope », il y en eut plusieurs, à en juger par la différence des cris. J’ai dû en croiser deux ce mois-là. Bref, après plus d’un mois à me branler et doigter en écoutant la chambre voisine et m’émerveillant des prouesses de Benoît, j’avais enfin rencontré Ahmed, et moi aussi je pouvais gueuler de plaisir. Seulement, bien sûr, si moi j’avais pu entendre, Benoît devait aussi entendre, mais des cris de mecs…

Il arriva souvent à partir du 2ème mois que nous baisions au même moment, et je soupçonne Ahmed et Benoît de s’être donnés encore plus en parallèle, rivalité virile de base (j’adore). Quand je croisais Benoît il ne faisait aucune allusion à ce qu’il entendait de ma chambre, toujours souriant. Puis c’est lui qui se retrouva sans meuf une petite semaine. Cela donna lieu à une petite conversation dans la cuisine commune, car il m’avertit qu’il s’était trouvé une « poulette pour le soir », et qu’elle allait « manger grave », vu que ça faisait plusieurs jours qu’il en avait sauté aucune, etc., et que m’entendre couiner chaque soir le rendait fou… Je lui expliquai que j’avais eu mon tour de frustration avant, et j’étais content qu’il prenne bien ma sexualité. « Pas de problème ! » me dit-il, « le tout c’est de prendre son pied. » Parfait. « Et toi t’as l’air de bien te donner », ajouta-t-il en rigolant. On a blagué un moment et c’en est resté là. Le soir j’ai retrouvé Ahmed, qui m’a bien baisé, m’a mis une dose dans la bouche et deux dans le cul, enfin dans deux capotes. Ce n’est qu’entre deux enculades que j’ai remarqué que je n’entendais rien dans la chambre de Benoît : pas de « poulette ». Mais comme Ahmed me présenta son cul à lécher, j’oubliai vite tout.

Quand Ahmed me laissa (et attention ! désormais il y avait un bisou d’au revoir, une date fixée pour le lendemain ou surlendemain, etc), j’essayai de retrouver mes forces, trempé sur le lit, le cul défoncé. Quand on frappa je crus que c’était lui (alors qu’il ne frappait jamais), et je lui dis d’entrer. Mais bien sûr, c’était Benoît ! Torse nu, et quel torse ! en caleçon kaki et pantoufles, avec une gaule terrible qui pointait sous le tissu à tel point qu’elle remontait le caleçon et laissait apparaître une grosse couille poilue. Je bondis sur le lit, gêné, et ramenant un drap sur moi. Mais lui souriait jusqu’aux oreilles ; je me rendis compte en une seconde qu’il avait un corps de rêve, que tous les muscles apparaissaient sous une belle toison brune.

-       Relaxe, c’est pas un scoop ! je l’ai entendu partir et j’ai eu envie de passer.
-       Envie ? je vois ça, répondis-je en retrouvant mon sourire ; et la meuf de ce soir ?
-       Ben elle est pas venue ; tu vois le résultat ?
Et il regarda son caleçon distendu, et fit même bouger sa bite. Ce qui nous fit rigoler.
-       Oui je vois que ça ! tu nous as entendus ?
-       Comme si j’y étais… T’as pris cher, purée !… Et dis donc, ajouta-t-il en montrant d’un bout de pantoufle les deux capotes pleines au pied du lit, vous vous êtes pas gênés ?!
-       Ouais, c’était bien !
-       Gros juteur, on dirait !
-       Ouais, pas mal.
-       Grosse bite aussi ?
-       Comme il faut.
-       Tu sais qu’y a pas que les arabes qui ont une grosse bite ?
-       Ben faudrait que je voie mieux…dis-je malicieusement...
Il s’approcha du lit en sortant tout simplement sa queue : une superbe bite charnue, et longue à peine plus que celle d’Ahmed, mais je n’en dis rien : « ah ouais, carrément », dis-je, retrouvant aussitôt mon appétit.
-       Ben fais-toi plaisir, moi j’attends que ça, ajouta-t-il en la tenant d’une main pour me la présenter en l’agitant.
Son gland était une merveille, plus gros et découpé que celui d’Ahmed. J’ai baissé son caleçon jusqu’à ses chevilles, remplacé sa main autour de sa belle bite : « on va faire ce qu’on peut pour vous soulager, m’sieur…
-       Ben c’est sympa, parce que j’ai les burnes qui vont vraiment exploser ».

Il rigola mais quand j’ai pris aussitôt sa queue en gorge profonde, il est redevenu très sérieux, dans un long soupir… « Oh, toi, tu vas me plaire ! ». J’ai alterné comme ça un moment, gavage des amygdales et pipe bien humide, bien en longueur de la langue et des lèvres, et ses soupirs me confirmaient mon savoir-faire. Puis je guidai ses mains, qu’il avait sur ses hanches, vers ma tête, pour me faire limer la bouche. Il ne se gêna pas ! Et avec mes mains libres, le gosier ramoné bien comme il faut, je palpais ses fesses de sportif, son torse musclé de partout, et les floc floc dans ma gorge se mêlaient à ses exclamations « putain, quelle bouche ! qu’est-ce que c’est bon ! » Il grimpa sur le lit et fléchit les jambes, tenant toujours ma tête et me limant la gorge à bons coups de reins, qui me donnaient une idée de ses exploits sexuels. « Ah ! putain, mais elle est faite pour vider ! ».

Ca me fit rire, mais vu la situation je m’étranglai. Il ressortit sa bite, énorme et dégoulinante de salive : « j’y vais trop fort ?
-       Nan, c’est pas ça, et je pus rire franchement, c’est ton expression.
-       Ah ok, ben c’est vrai, et il rit aussi ; on peut pas résister trop longtemps à une bouche pareille.
-       Ben résiste pas alors.
-       Mais… t’avales ?
-       Ben j’attends que ça !
-       Mais… les capotes pleines ? ajouta-t-il en tournant la tête vers elles.
-       Ca justement c’est le tout petit bémol avec lui, tu vois ?
-       Hmmm, je vais pas te frustrer moi ! ; si t’aimes la sauce, je t’en donne autant que tu veux. Tiens palpe mes couilles, tu vas voir ce qu’elles te préparent…. »
Elles étaient lourdes et bien gorgées sous ma main. Je repris sa bite et pompai avec avidité, couinant à l’idée d’une récompense juteuse. Entre deux soupirs, il m’assurait que je serais pas déçu. Il appuya ses mains sur le mur, toujours les jambes fléchies m’encadrant le visage, et se mit à jouir bruyamment au rythme de la montée des jets depuis ses couilles: je sentis nettement 4 puissantes giclées, que je dégustai avec un visible plaisir. J’avais commencé à me branler, Benoît ne criait plus mais gémissait et m’encourageait à me régaler de « sa crème de couilles ».

Je tétai les dernières gouttes qui sortaient encore, puis allai lécher les boules toutes fermes pour les assouplir. En reprenant son souffle, il me disait d’en prendre soin et qu’elles m’en redonneraient un max. Mais ma langue continua sa route jusqu’à titiller son trou. « Tu veux me bouffer le cul ?! », à quoi je grommelai un « oui ! » en forçant les cuisses à s’ouvrir mieux. « Oh putain, super ! ». On bascula : je fus sur le dos et lui s’adossa au mur puis descendit en fléchissant jusqu’à poser son cul sur mes lèvres ; je grognai de plaisir en goûtant ce petit trou vierge, au duvet brun, et me branlai encore plus frénétiquement. « Putain que c’est bon ! s’exclamait-il, et t’as l’air de bien prendre ton pied aussi toi !... ».

Il écartait une fesse d’une main, moi l’autre, et chacun se masturbait. Je crachai bien vite, soulevé par le plaisir, enfoncé entre ses fesses, et m’inondai le ventre. « Eh ben ! » dit-il en riant, et il allait se dégager, pensant que je voulais souffler ; mais le voyant lever le cul, je le rattrapai à la taille en disant « encore ! », et le fis asseoir sur moi : « hmmm, ok, putain, profite ouais ! ». Assis sur ses genoux, il se branla en soupirant pendant que ma langue l’assaillait sans faiblir. Il ne tint pas longtemps, et me proposa haletant « une autre dose » ; je gémis dans ses fesses, il précipita sa branle et se leva soudainement, bascula le bassin et visa ma bouche grande ouverte : il gueula en faisant jaillir d’autres jets bien blancs, directement logés sur ma langue. La vision que j’avais était un pur bonheur : son cul bombé, sa queue droite qui écartait ses boules, pointée vers le bas, et le gland qui déchargeait… aussi beau à voir que bon à avaler ! Il enfourna sa bite pour se faire téter et nettoyer en gémissant (et moi aussi j’appréciais cette deuxième dose !), après quoi on s’allongea tous les deux.

-       « putain, ce pied !
-       Et ce jus !...
-       T’aimes ça, ça s’est bien vu. »
Je lui confiai alors un peu mes aventures de quartier et le goût que j’avais pris au sperme. Il m’écoutait les yeux écarquillés et brillants : « si j’avais pu habiter par chez toi !
-       Mais là on est voisins de chambre, continuai-je…
-       Ah c’est clair qu’on va pouvoir s’éclater ! Et tu sais qu’on m’avait jamais léché le cul ?...
-       C’est dommage, c’est une merveille !, répondis-je en me disant que décidément j’avais droit souvent aux premières fois.
-       Tu me le referas hein ?
-       Quand tu veux ! j’adore.
-       Super, ajouta-t-il, et il m’embrassa, très tendrement avec la langue.

Je me relevai pour me rincer un peu le ventre et la bite, au mini lavabo de la chambre. Benoît s’informait déjà de mon emploi du temps et des passages d’Ahmed. Il me proposa cash des passages réguliers, et j’aimais qu’il soit clair et carré. Pour le tester, je lui dis qu’il ne devait pas s’inquiéter et qu’il retrouverait vite une meuf. Il répondit, tant mieux pour moi, que même s’il avait une meuf, ça n’empêcherait pas qu’il passe de temps en temps ; il avait déjà calculé les jours où le matin il pourrait passer : « il repartirait les couilles légères et moi je commencerais la journée le ventre plein ». Comme je lui répondis que je prendrais tout le jus qu’il me donnerait à chaque fois qu’il le voudrait, il m’embrassa encore puis s’allongea sur moi, tout excité et se frottant en me disant entre deux baisers « sacrée gourmande, hein ? » et il risqua un « salope » dont il constata aussitôt l’effet sur moi : je l’agrippai à la taille et relevai les cuisses. On bandait à mort et il me dit que j’allais me la prendre dans le cul. Ses capotes étaient dans sa chambre, pas possible de s’interrompre. Je relevai encore plus les cuisses pour mieux installer le gros gland sur mon trou. En quelques petites poussées contrôlées, il entra, juste le gland, qu’il ressortit et procéda ainsi quelques minutes : j’allais exploser d’excitation, et lui se régalait en me regardant…

Après avoir bien profité de mon visage suppliant, Benoît s’enfonça complètement dans mon cul, en se mordant les lèvres de bonheur tant j’étais mouillé par les entrées successives de son gland juste au bord. J’en gueulai de plaisir, et commença alors un pilonnage extraordinaire, dans tous les sens, où je pus mesurer tout le potentiel d’un athlète endurant. Il me maîtrisait complètement, et me mit dans des positions diverses pendant plus d’une heure. Il variait la vitesse et la violence de ses coups de reins, en missionnaire, en levrette, de côté… ; il faisait des pauses, planté tout au fond de moi. Je n’avais plus de souffle, la bouche prise par la sienne dès qu’il le pouvait, et lui ne semblait qu’à peine essoufflé mais il dégoulinait de sueur. Il était souple et puissant dans toutes les positions. La première fois qu’il sortit de mon cul, pour me retourner en levrette, je me jetai sur sa bite trempée de mouille pour le sucer. Il adora cette attitude de « salope en feu », et par la suite me donna sa queue à chaque changement. Il s’étonnait lui-même de ce qu’il « me mettait » et de ce que je pouvais « encaisser ». Quand nos bouches se rejoignaient, je lui suçais la langue, et quand je pouvais parler, je l’encourageais à me bourrer encore et lui à me lâcher toujours plus ; il aimait trop m’entendre. On a fini en missionnaire de nouveau ; je n’en pouvais plus, et j’avais joui deux fois ! Je crois qu’il aurait continué, alors que cela faisait plus d’une heure. J’ai pu lui glisser un doigt dans le cul pendant qu’il me labourait le mien et l’effet ne tarda pas : il se mit à rugir de plus en plus à chaque limage puis sortit en toute hâte et se mit à califourchon au-dessous de moi, sa bite gonflée à mort sur mon visage ; je l’empoignai et la gobai, et dans un long cri il m’envoya sa liqueur, sa bite et son bassin tressautaient à chaque montée. Ses « aaah !, aaah putain, ouais ! » marquaient sa délivrance. J’eus la force de le nettoyer en gorge profonde dans cette position, puis nous nous allongeâmes épuisés. Admiratif, je le laissai tranquille, et il s’endormit là ; je me levai pour chercher un drap de dessus sec, et je constatai à quel point il m’avait pété les jambes !... Je m’endormis vite aussi. Nous avons raté les premiers cours du matin. A son réveil, il m’embrassa et sortit du lit, mais je le retins par une jambe : je lorgnai sa bite, amollie mais grosse. Il eut un grand sourire : « d’accord, d’accord… » et me la donna à téter au bord du lit. Dès qu’il m’eut accordé son lait matinal, il me baisa sur le front et fila.
A partir de là se mit en place une forme d’organisation des baises entre Ahmed et Benoît. Avec mon extraordinaire sportif, nous inventâmes un système de coups frappés au mur : un pour « je peux venir ? » et deux pour « viens ». Il ne fut pas rare que Benoît passe après Ahmed quand il n’avait pas eu de meuf à baiser, et il profitait ainsi de mon cul bien glissant et dilaté. Il commentait la forme d’Ahmed en regardant les capotes remplies près du lit. Ou alors c’est le matin qu’il passait se vider les boules, ou encore, après la douche, il entrait se faire lécher le cul, et se branlait en même temps pour m’assurer ma dose. Tout se faisait avec un naturel que j’appréciais beaucoup et beaucoup de bonne humeur : un petit bonjour, un petit bisou, et il baissait son caleçon pour donner ou sa bite ou son cul. Toute l’année se passa ainsi avec Benoît, un type vraiment super. En revanche, du jour au lendemain Ahmed disparut complètement vers Noël. Quand j’entendais Benoît sauter une fille, je me branlais, pensant à lui en action, et je savais qu’il n’allait pas me laisser longtemps frustré.

BAPTISé

Mais en dehors de la résidence universitaire il se passait des choses aussi. Peu avant les vacances de Toussaint (je voyais donc Ahmed depuis peu et pas encore Benoît), j’eus la visite d’un deuxième année, Pierre, le responsable du Bureau des étudiants. Il venait me faire remarquer que je n’avais assisté à aucune des étapes du bizutage, désormais terminé. Je lui sortis quelques excuses bidon. Il me demanda carrément et poliment si j’étais « homosexuel ». Je ne traînais qu’avec des filles, etc. Je lui dis que je n’avais pas à lui répondre (ce qui était une réponse très claire…), et il me fit comprendre qu’il allait lâcher cette info si je ne participais pas au « baptême », cérémonie mystérieuse, au-delà du bizutage, dont les première année ne savaient rien, et les deuxième ne disaient rien. Il me rassura, me disant qu’il n’y avait rien de flippant, et même que ça pouvait être très sympa ; que ça me plairait sûrement… La vérité c’est que si j’avais la possibilité de le sucer, ça me disait bien, car Pierre était très beau : plutôt trapu, blond bouclé, tout en l’écoutant je l’imaginais déjà à poil, et d’après sa belle peau, plutôt imberbe. Il me dit que le prochain baptême aurait lieu le samedi et qu’il y avait moyen de rentrer dans le lycée et d’atteindre l’internat garçons et sa chambre. Mais je pouvais passer le voir n’importe quel soir avant, « si j’avais envie ». Deux soirs plus tard, alors qu’Ahmed ne passait pas, et que j’entendais déjà les rires de la fille que Benoît allait sans doute sauter, je me décidai. J’étais à 500m du bahut. En suivant les indications, je trouvai la chambre de Pierre, au rez-de-chaussée, spacieuse (pour les 3ème année). Il bossait à son bureau face à la fenêtre et me vit ; son pote de piaule lisait sur son lit, ceinturé d’une serviette. Il me fit entrer par la fenêtre, me présenta à Samuel, membre du Bureau lui aussi, et me présenta comme le futur candidat au « baptême ». Cela le sortit de sa lecture… Il s’assit au bord de son lit, moi sur celui de Pierre, qui resta sur sa chaise. La conversation revint immédiatement sur mon « homosexualité », qui « ne les dérangeait pas du tout », et « c’était même un plus pour le baptême ». Finalement quand Samuel demanda si j’avais déjà « sucé des bites », je ne cachai plus rien. Et « oui, j’aimais ça ». Samuel se leva, sans sa serviette, et vint me donner sa queue déjà mi-tendue, que je pompai avec plaisir. Pierre se mit à poil et vint la bite raide. C’est moi qui, la bouche pleine, l’invitai par un mouvement de bassin à se rapprocher. Je les suçai alternativement, en leur caressant les fesses ; ils me tenaient la tête légèrement ; c’est moi qui pris l’initiative des gorges profondes, qui furent de très heureuses surprises pour eux… Le questionnaire continua : « seulement passif ? est-ce que j’avalais ? j’aimais ça ? je me faisais enculer ? etc. ». Devant toutes mes affirmatives, leur contentement leur donnait un sourire jusqu’aux oreilles. J’ajoutai que j’aimais lécher le cul aussi. La réaction fut immédiate : les deux se mirent à 4 pattes côte à côte sur le lit et je le leur bouffai volontiers. Très beaux tous les deux, l’un poilu l’autre non, qui sentaient encore le gel douche. On se branlait tous les trois. Comme Pierre dit qu’il allait bientôt juter, Samuel aussi, ils se levèrent ; je restai à genoux et les repris en bouche. Samuel jouit le premier et se vida bruyamment d’un jus bien épais. Pierre comprit à mes petits couinements de plaisir que son "breuvage" allait me faire jouir aussi et me dit de gicler sur son pied pendant que je finissais de nettoyer la queue de Samuel ; j’obéis sans peine, j’avais les couilles pleines. « Maintenant tu lèches, salope » dit fermement Pierre. C’était la première fois, ce ton, et ce mot, et cela me plut. Il avait d’ailleurs un très beau pied. J’y dégustai mon propre jus et nettoyai avec application. Pierre commentait avec plaisir ; il avait attiré Samuel par la taille et ils se roulaient une pelle tandis que Pierre continuait de se branler. Une fois le pied nickel, je remontai et pris le gland, et il se finit dans ma bouche, le jus plus abondant et liquide que l’autre. Très, très bon.

Les 6 couilles vidées, on put reprendre la discussion, assis tranquillement sur le lit de Pierre. On m’expliqua le « baptême », en gros c’était une tournante des membres du bureau sur le baptisé, donc moi. Mon sang-froid les impressionna : je ne posai que des questions techniques ! combien de membres ? combien de temps ? des capotes ? etc. Samuel dit que chaud comme j’étais ils allaient passer un sacré moment. N’ayant plus rien à cacher et voyant que cela les arrangeait bien je confiai à quel point j’aimais la bite et le jus, et ne demandais pas mieux que de rencontrer plusieurs mâles. Et je crois qu’ils m’auraient bien sauté ce soir-là, vu que les bites se redressaient, si dans le couloir on n’avait pas entendu le surveillant… Je me rhabillai en hâte tandis que Pierre me disait que j’y passerais et pas qu’une fois le samedi, et qu’il n’y aurait pas de surveillant ce soir-là… Alors que je passais la fenêtre il eut le temps encore de m’expliquer le message codé que j’allais recevoir bientôt. J’ai gardé celui de mars de cette année-là : S.U.C.5/15-3/22/1D : ce qui signifiait : Soirée d’Utilisation Collective, 5 mecs le 15 mars à 22h, chambre 1D. Ces billets apparaissaient miraculeusement dans mes cours ou mon cartable, la semaine qui précédait la session. Car en plus du baptême, il y en avait une à chaque fin de trimestre, de 4 à 7 mecs en fonction des disponibilités des membres du bureau. Rien d’étonnant à ce que le Bureau soit formé de 7 membres uniquement masculins, dont presque tous avaient une copine… Et pour le baptême, 5 étaient là. Pierre me dit dans un dernier sourire que j’étais super et je disparus dans la nuit.

Trois jours me séparaient du baptême. Ahmed passa deux soirs se vider les couilles mais vite fait : le premier, pour se faire pardonner son absence, me dit-il, il se branla tout de suite dans ma bouche, me rassurant sur la quantité de « sauce qu’il allait me donner », se fit bouffer le cul et pomper jusqu’à une autre giclée. Ce fut sans sodo mais je ne boudais pas mon plaisir avec le jus dont il m’avait gavé ; le second soir, il n’avait pas beaucoup de temps, il se contenta de baisser son jogging et de faire jaillir sa queue très raide et il m’encula debout, moi à 4 pattes au bord du lit. La sodo fut bestiale et brève. Quand il fut parti, je restai dans cette position, un peu frustré pour la durée mais il m’avait quand même bien éclaté, et je me branlai sur le lit. Le samedi, je me préparai consciencieusement le cul pour le baptême, je rasai quelques poils, je me sentais reposé et serein.

J’arrivai un peu en avance dans le parc du bahut où je me cachai pour espionner chez Pierre. Je le reconnus en slip, et Samuel aussi, deux autres mecs, en slip ou serviette, qui devaient sortir de la douche, que j’avais déjà croisés. Au centre de la chambre il y avait le haut d’un tremplin de gym qu’ils finissaient de couvrir d’oreillers ; je bandais déjà en voyant ce qui m’attendait… Certains installaient des bouteilles et des verres, d’autres couvraient les lits de draps. Je bandais encore plus et commençai à mouiller. Un autre gars que je ne reconnus pas (mais je ne savais pas bien qui appartenait au Bureau) entra, à poil une serviette à l’épaule. Pierre eut l’air d’expliquer des trucs, puis ils se mirent tous une cape, nus dessous, et un passe-montagne, noirs, mais le passe de Pierre était rouge, et ils s’installèrent sur les deux lits. Il était 22h, je frappai à la fenêtre.
-       Messieurs, honneur au baptisé ! dit Pierre en m’aidant à entrer.
Ils se levèrent, 2 devant chaque lit ; la cape ne laissait apparaître qu’une ligne verticale de leur corps, avec leur bite bien sûr pile au milieu.
-       Bizu, déshabille-toi ; honneur aux membres du Bureau.

J’obéis ; Pierre pliait mes vêtements au fur et à mesure. Les bites se dressaient ; la mienne était archi raide et quand ils le virent ils s’exclamèrent : « honneur ! ». Pierre me mit à genoux devant lui et me dit : « suce, bizu ». Il me laissa le pomper deux ou trois minutes, puis prit ma tête et me lima la même durée. Puis il me fit relever, et m’amena devant chaque mec et cela recommença quatre fois : « suce, bizu » disait chacun, je suçai d’abord puis me faisais limer. J’avais reconnu Samuel et sa bite ; les autres queues étaient plus ou moins longues, plus ou moins larges. Il y avait un circoncis, et un mec plus dodu que les autres, avec un très gros zob, qui me fit penser à un gros saucisson. Quand j’eus terminé ma tournée, ils s’exclamèrent tous « honneur ! » puis Pierre m’approcha du tremplin, s’y installa à quatre pattes, relevant sa cape et dit « lèche bizu ! ». Jusque-là silencieux, les mecs réagirent aux premiers gémissements de Pierre ; j’entendais les frottements de leur branle, leurs « ouais ! » pendant que je m’appliquais sur la belle rondelle. Puis Pierre se releva, redit « honneur ! messieurs » et tous se mirent à quatre pattes et je leur bouffai le cul un par un, et ils furent tous de plus en plus expressifs. Là aussi les culs étaient tous assez différents, tous sentaient le savon ; j’ai pris un pied terrible, et constaté, amusé, les diverses réactions de leur anneau…. Ensuite Pierre m’installa sur le tremplin à 4 pattes, la tête tournée vers eux. Il cria « échanson ! » et le dodu versa à boire à tout le monde ; ils trinquèrent en mon honneur, je bus une gorgée dans le verre de Pierre : rhum coca (ah les étudiants !). Puis Pierre se plaça derrière moi et me massa la rondelle en commençant à chanter une longue chanson, que je vous épargne, qui parlait de la semence de l’homme, de sa gloire, de son culte, etc. Je matais ces mecs sirotant leur verre en se paluchant la bite, toujours bien dressée, et le massage de Pierre me chauffait ; il commença à me doigter et moi à gémir. Très vite, je mouillai abondamment.

Pierre cria « honneur au Président ! », ce qu’ils saluèrent, et il se plaça pour m’enculer. Cette invasion me fit un bien fou, je ne tenais plus. Il me saisit la taille et me défonça brutalement à toute vitesse, me faisant gueuler, sous les « honneur ! » des autres mecs, les yeux exorbités, et la main frénétique. C’était du bourrage efficace destiné à jouir au plus vite, et je sentis bien que Pierre décollait. Il cria « salope ! », que reprirent tous les autres, « sa-lope, sa-lope ! » jusqu’à ce que Pierre jouisse dans mon cul. Applaudissements. Il se retira, se fit sucer sa bite crémeuse et dit : « Messieurs, à vous ! » ; il prit la place sur le lit du premier à le remplacer et rebut un verre ; la deuxième bite entra sans hésiter et me bourra comme Pierre. Tous défilèrent ainsi : Samuel fut le quatrième, me fit jouir bruyamment du cul et gicler. Je sombrai vite dans un état de semi-conscience, je ne sentais plus que ma rondelle explosée et m’entendais moi-même gémir et couiner, je ne me reprenais tout à fait qu’en entendant le « salope » déclencheur et répété, puis quand la bite qui m’avait fécondé se présentait à moi pour être nettoyée. Je sentais le jus qui fuyait et coulait hors de mon trou, et les bites que je devais sucer étaient de plus en plus mousseuses ; j’imaginais l’état de mon cul !... Une fois les 4 passés, Pierre vint derrière moi, appela les autres : il y eut des « oh ! » des « ah ! » quand ils virent mon arrière-train, puis ils crièrent « bizu ! » tandis que Pierre me disait de me vider. Je poussai et les flots sortirent par à-coups...

 

 ette soirée laissa des souvenirs à plus d'un Une fois aussi, je recroisai celui que je ne connaissais pas : il s’assit en fin de repas devant moi, finissant son yaourt : il entrouvrit la bouche, passant sa langue et faisant déborder le lait caillé ; nous comprenions tous les deux l’allusion à l’aspect de mon trou lors du baptême… 

...Applaudissements. « Honneur au bizu ! – Honneur ! ». Je pus changer de position, on me servit un verre, nous trinquâmes. Un « officier » désigné par Pierre vint m’essuyer le cul. Chacun souriait, semblait ravi. Et moi je dois dire qu’une fois reposé 5 mn, j’adorais la situation. Je sentais que mon cul continuait de palpiter. J’en voulais encore, et surtout : je voulais les impressionner, je crois. Je me mis sur le dos sur le tremplin, les jambes ouvertes face à eux, et me doigtai vigoureusement, de plus en plus déchaîné, et encore plus excité par les encouragements virils qui fusaient. Pierre cria : « Messieurs ! … la curée ! » (j’appris plus tard l’importance que ce mot avait). Dans un élan et un cri de tous, je me retrouvai assailli : un cul se posa aussitôt sur ma bouche, des mains levèrent mes jambes, une bite s’enfonça direct dans mon cul et des doigts titillaient mes tétons, une main me branlait. Je ne pourrai retranscrire tout ce que j’entendais, dans un état second, entre les ordres (« bouffe ! », « couine ! », « tiens, mange ! »), les exclamations de plaisir, de surprise, les insultes. Je ne voyais plus rien, à part les fesses dans lesquelles j’avais le nez fiché, et je ne sentais que des mains et des bites qui permutaient. Le mec assis sur moi bascula pour me donner sa bite et quand il voulut céder sa place je le retins pour qu’il me lime encore la bouche.  

Il interrogea le Président qui déclara : « Messieurs, la bouche ! ». Message reçu : le mec profita de ma bouche jusqu’à lâcher son jus. Suivit alors une vidange collective, 3 mecs au fond de ma gorge, qui avaient encore pas mal de lait dans les couilles ! Pierre se finit sur mon visage, salué par ses collègues. Je me sentis épuisé, rabattis mes jambes, pendantes de part et d’autre du tremplin, essayant de reprendre mon souffle ; ils m’entouraient, admiraient mon état, me donnaient de petites tapes amicales. Puis Pierre appela l’officier, qui vint m’essuyer le cul, et quand il s’approcha de mon visage, je lui pris la main et guidai ses doigts ; il comprit et ramassa ce qu’il put pour me le donner en bouche. Tout en suçant ses doigts je regardais les visages cagoulés penchés sur moi et leurs yeux brillaient fort. Ensuite Pierre mit de la musique, ils s’installèrent sur les lits, et on but de nouveau. Je m’assis en tailleur, et sentit le sperme qui continuait de sortir de moi, mon trou qui peinait à se refermer. Cette pause dura longtemps ; on parlait comme si rien n’avait eu lieu, des cours, de sport, des vacances. Scène surréaliste : tous à poil, la bite plus ou moins molle, eux avec leur cagoule, débarrassés de leur cape. Ils allaient et venaient dans la chambre. Pierre m’appela sur son lit, où il était seul. On discuta, on s’embrassa un peu. Il fallait laisser les couilles se recharger pour la dernière étape : le baptême proprement dit ; tant qu’il n’avait pas lancé l’autorisation, lui seul pouvait jouir sur mon visage comme il l’avait fait. La curée (en gros un abattage) restait exceptionnelle : tous les bizus n’y avaient pas droit, seul un chaud du cul comme moi avait pu les conduire jusque-là, à leur plus grande joie ! Pierre me dit que ça allait rester inoubliable pour eux et que j’avais acquis le respect de tous. Donc cela allait se finir en rinçage ? Pierre me le confirma et demanda en m’embrassant si je voulais autre chose de plus : j’avais tellement assuré que je pouvais demander. Je m’allongeai sur le dos et lui en fit faire autant, et pendant qu’il m’embrassait, j’attirai sa main jusqu’à mon trou. Au premier doigt entré je soulevai le bassin de plaisir. Je n’en avais pas eu assez ? Eh bien, je serais bien resté avec chacun d’eux en particulier, et ils se videraient sur ma gueule après.

Pierre se frotta contre moi et dès qu’il banda il me pénétra en missionnaire ; cette fois il prenait son temps, on s’embrassait et se caressait. Les autres finalement matèrent depuis le lit d’en face. Pierre continua quelques minutes, se retenant de jouir, puis me laissa en désignant Samuel pour me prendre ensuite. Lui aussi choisit le missionnaire. Le troisième me donna son cul à bouffer, avant de me prendre en levrette, comme le suivant, qui me branla en même temps et me fit hurler de plaisir quand je jouis. Le dernier, le dodu, s’allongea sur le sol et me dit de grimper : il me martela frénétiquement tandis que les autres m’entourèrent et se branlèrent. « Messieurs, le baptême ! » décréta Pierre. Je plissai les yeux et ouvris la bouche : l’un après l’autre ils jutèrent partout sur mon visage, mais quelques jets m’arrivaient en bouche, et tant mieux ! A chaque jute, les cris des autres saluaient le bizu que j’étais. Je dégoulinais de partout et les coups que je recevais dans le cul accéléraient la coulée en me faisant sursauter. Puis mon dodu se dégagea et vint m’offrir en soufflant avec force le contenu de ses couilles. J’avais réussi à avaler pas mal de jus, et je pus ouvrir complètement un œil. Il tapota son gland trois fois sur mon front en disant « honneur au bizu », se fit nettoyer, et chacun procéda de la même manière. L’officier m’essuya, puis on trinqua tous à… moi-même, je fus applaudi. Cela se termina rapidement ensuite : il était 2h du mat passées. Pierre me passa mes vêtements, me demanda si j’allais pouvoir rentrer. Je lui ai répondu « oui, tout doucement… » ce qui nous fit rire et il m’embrassa. Je dis au revoir aux autres qui me firent l’accolade et je rentrai à la résidence. Autant vous dire que le dimanche, je l’ai passé à faire des siestes, à me branler, me masser le trou, sans mettre le nez dehors.

J’ai recommencé quatre fois ces tournantes dans l’année avec les membres du Bureau, qui se passèrent toujours très bien et selon le même cérémoniel, même s’il n’y avait plus « baptême ». Quelquefois à la cantine, je croisai un membre du Bureau, toujours souriant, et quelquefois aussi à un signe de sa part je comprenais qu’une pipe lui ferait bien plaisir ; on se retrouvait aux toilettes et l’affaire était faite. Une fois aussi, je recroisai celui que je ne connaissais pas : il s’assit en fin de repas devant moi, finissant son yaourt : il entrouvrit la bouche, passant sa langue et faisant déborder le lait caillé ; nous comprenions tous les deux l’allusion à l’aspect de mon trou lors du baptême…Cette vision me mit le feu au cul aussitôt, et quand je le retrouvai aux toilettes je le fis jouir en peu de temps, tant je pompai avec furie. Autre petit souvenir : en ville à une terrasse de café, j’en croisai un autre avec sa copine ; et je fus quand même surpris quand il m’adressa un signe clair (en bombant sa joue avec sa langue de l’intérieur)… je me dirigeai vers les toilettes, où il me rejoignit aussitôt. Enfermés dans une cabine, il sortit sa bite et me laissa sucer jusqu’à ce qu’elle soit bien raide puis il me lima la bouche avec ardeur et me tapissa l’œsophage… Quand je retournai à la terrasse, il avait repris sa place et discutait avec la copine. En partant il m’adressa un clin d’œil.

Mais pour l’essentiel, je baisais dans ma chambre, avec Ahmed, puis Ahmed et Benoît et finalement Benoît seul à partir de Noël. 

...Mike sur cyrillo

 

 

 

 

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- t’avales ? -  Ben j’attends que ça !  - Mais… les capotes pleines ? ajouta-t-il en tournant la tête vers elles.-  Ca justement c’est le tout petit bémol avec lui, tu vois ? il veut pas. - Hmmm, je vais pas te frustrer moi  ; si t’aimes la sauce, moi je t’en donne autant que tu veux.» Tiens palpe mes couilles, tu vas voir ce qu’elles te préparent…. » Elles étaient lourdes et bien gorgées sous ma main.

Par MIKE - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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