C'est là que j'ai découvert que si l'on a mal au cul cette douleur n'est pas suffisante pour refuser un type qui vous excite -lol-
étudiant ? à cet âge (18-25ans) les situations sont déjà diverses, de même que les orientations sexuelles sont en train de
s'affirmer ou plutôt se confirmer...
Il y a quelques années, alors que j'étais étudiant, je logeais dans
une chambre universitaire. À cette époque pas si lointaine, les chambres n'étaient pas aussi confortables que maintenant. Nous avions seulement un petit évier, les toilettes et les douches
étaient communes, enfin il y avait le côté homme et le côté femme. Les toilettes étaient grandes et nombreuses, les douches prolongeaient l'alignement des wc. Elles étaient dans une pièce unique
les unes à côté des autres. Les lampes du plafond étaient rarement changées et donc souvent en panne ; le soir, le coin douche était relativement sombre presque plongé dans le noir. J'appréciais
beaucoup d'aller me doucher et je choisissais toujours les heures d'affluence afin de pouvoir mater un maximum. Certains jeunes hommes ressentaient de la gêne et se douchaient rapidement sans
lever les yeux. D'autres n'avaient aucun complexe et se lavaient leurs intimités avec une pointe d'exhibitionnisme.
Une fin d'après-midi, j'étais sous la douche, nu, l'eau coulant sur mon corps. Je ressentis une petite claque sur mes fesses.
— Alors encore ici, Vic.
Je me retournai et me trouvai en face de Jacques.
Jacques était un jeune homme de 1m70 avec un corps couvert de muscles longs et saillants. Il avait de beaux cheveux noirs, frisés et coupés courts.
Ses yeux étaient d'un noir profond. Il avait un visage très viril, une belle petite gueule. Ses fesses étaient bien musclées et rebondies et son sexe était d'une belle taille, quasi hors du
commun ! Je fantasmais à l'idée de le voir le sentir en action. Nous nous croisions souvent et à chaque fois il me faisait un petit
sourire. Mais c'était la première fois qu'il se permettait une telle familiarité.
— Oh oui encore, répondis-je en offrant encore plus ma croupe.
Il se pencha vers moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. La pointe de son sexe touchait mes fesses.
— Avec plaisir, mais reviens prendre une douche un peu plus tard. En général après minuit, l'agitation n'est plus la même et le savon ne sert plus
uniquement pour se laver.
Il se pencha au dessus de mon épaule :
— Fais attention, tu commences à bander.
— Arrête tes conneries sinon il faudra que tu m'aides à ce que ma queue reprenne une taille normale.
— Je n'ai pas le temps maintenant, mais si cela t'intéresse, il y a un mec pas mal qui attend dans les derniers chiottes. Si tu aimes les mecs, je
suis certain que celui-ci sera à ton goût.
Il parlait avec beaucoup trop de sous-entendus. Il devait connaître ma préférence pour les garçons.
— J'apprécie toutes les expériences originales dis-je en rigolant.
Jacques partit se sécher. Je restais avec mon début d'érection que j'avais beaucoup de mal à contenir. Rapidement, en cachant mon sexe du mieux que
je le pouvais, je me dirigeai vers les toilettes. Il fallait que je me satisfasse, sinon je ne pourrais pas terminer ma douche.
Inconsciemment, je poussai la porte des dernières toilettes. Un jeune homme était assis sur le siège, il était nu et avait du mal à cacher sa queue
turgescente. Il était brun avec des yeux noisettes et un torse puissant et fort viril. Il me fit un signe de la tête. J'hésitai un quart de seconde puis j'entrai et fermai la porte derrière
moi.
Je m'approchai et passai une jambe de chaque côté de lui. J'insérerai ma queue grossissante dans sa bouche. Il avala goulûment mon chibre. Pendant
qu'il me pompait, ses mains pétrissaient mes fesses, puis un doigt commença à titiller mon anus. Je sentis son index puis son majeur coulisser en moi. Je me penchai un peu et pris sa bite dans ma
main droite. Il bandait dur et fort. Sa queue avait une taille honorable. Il mettait à présent deux doigts dans mon cul. Il faisait cela avec douceur et savoir faire et pour lui faciliter le
travail je me cambrais un peu mettant ma croupe en valeur. Je me redressai, me serrais contre son torse et je descendais le long de son corps jusqu'à ce que je sente la pointe de sa queue toucher
mes fesses. Je m'empalais lentement sur son chibre que je sentais entrer et vibrer en moi. Je me retrouvai assis sur ses cuisses, son membre entièrement en moi, nos torses l'un contre l'autre,
bouche contre bouche. Je montais et descendais le long de son torse, faisant aller et venir de plus en profondément sa queue en moi. Il me laboura le cul pendant quelques minutes puis les
mouvements de son bassin devinrent plus saccadés, plus allongés et profonds. Il expulsa son sperme qui me sembla brûler mes entrailles.
Je me redressai, me dés-empalant. Non seulement je n'avais pas joui, mais je bandais encore plus fort. Je relevai la tête et je vis un blondinet aux
yeux bleus qui regardait par dessus la cloison des toilettes. Je lui montrai ma bite dans toute sa fierté et lui fis, avec la tête, signe de me rejoindre.
Mon partenaire sortit. J'attendis quelques secondes pour savoir si le blondinet allait venir. Il poussa la porte, une serviette autour de la taille.
Il était très mince et je pouvais presque compter ses muscles et ses côtes. Je lui ôtai sa serviette et me pressai contre lui, mon membre dressé, pressé contre son ventre plat. Je
l'embrassais farouchement, caressant son corps de mes mains. Puis je lui caressai les fesses. Il se cambrait afin de m'offrir une meilleure prise. Je me mis à genoux, je pus voir que les poils de
son pubis étaient aussi d'un blond très clair. Je le retournai et lui écartais les fesses. Il avait le cul rasé et le trou bien large. Cette salope devait aimer se faire labourer et devait
pratiquer cette discipline fort régulièrement. Je le pénétrai de ma langue. Il se penchait en avant, se cambrant un maximum tout en gémissant de plaisir. Plus je léchais son trou, plus il
tortillait du fion et plus j'étais excité. Je me redressai et le pénétrai d'un coup. Il laissa échapper un petit cri. Son fion était large mais pas assez pour ne pas sentir mon chibre. Son
cul était un tunnel pour le plaisir. Je faisais beaucoup d'efforts pour ne pas jouir trop vite. Je m'accrochais à ses hanches et faisais des va-et-vient rapides et puissants. Il répétait sans
cesse "Oui, vas-y. Défonce-moi. C'est bon. Plus fort."
Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes couilles explosaient se vidant de tout
leur sperme, tel un barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence.
Comme je me retirais, je vis qu'il avait aussi jouit.
— Je loge à la chambre 520, me dit-il.
— Alors à bientôt, répliquais-je.
Puis je ressortis terminer ma douche.
Je retournais à ma chambre, la serviette autour de la taille. Comme j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, ma serviette glissa, me laissant nu
au milieu du couloir. L'étudiant qui occupait la chambre d'en face, arriva. Il émit un petit sifflet. Je me retournais, toujours à poil. Il était assez mignon, style étudiant américain. Grand,
blond les yeux bleus, son corps viril et élancé était musclé. Il se prénommait Georges.
— Et là, tu ne vois pas le reste en action.
Je me penchais pour ramasser mes clés, cambrant les reins afin de bien exhiber mon cul.
— Ce que je vois me suffirait, dit-il, en ouvrant la porte de sa chambre.
— Fais-moi un signe et le tout est à toi.
— Comme signe cela te suffit.
Je me retournai, il laissait son chibre pendre en dehors de sa braguette, une bite longue et grosse de 16 cm au repos.
— Mazette que j'aimerais voire tout cela dans une meilleure forme.
Il s'écarta de la porte afin de me laisser le passage. Je n'hésitais pas et le rejoignais. Il ferma la porte derrière moi.
— Maintenant prépare-toi. Ça va être la fête de ton petit cul.
Il retira son tee-shirt. Son torse était musclé et fort, comme je l'avais supposé. Il enleva ses chaussures, il ne portait pas de chaussette, ni de
slip sous son jean moulant. Les poils de son pubis étaient plus foncés que ses cheveux.
Il s'approcha de moi, me serra contre son corps. Ses mains prirent tout de suite la direction de mes fesses qu'il pétrissait. Il me souleva de
terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue
longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était
énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.
Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais
aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il
se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles
battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula
d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le
mur.
— Calmez-vous, j'aimerais réviser en silence.
Mon partenaire répliqua :
— Tu n'as qu'à nous rejoindre.
— J'arrive.
Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.
Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé François. Il porta immédiatement sa main à son jean. Georges éjacula dans mon cul, me
remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit :
— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.
François s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin
de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et
l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.
— N'avale pas.
Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.
— Baise moi.
Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je
l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque
entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me
retirais.
Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer
dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il
y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en
action.
Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse
tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.
— Salut Vic, prêt pour la fiesta.
C'était Jacques. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante : une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et
surtout très longue.
— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.
Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses.
J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra
dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Jacques continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un
doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.
Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa
bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait
complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Jacques. Mon pénétrateur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins
rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.
— Je vais te nettoyer le cul.
Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que
la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.
— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.
Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion
rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la
fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus
de moi : un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce
trou goulu. L'enculeur jouit. Insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques
gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa
queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.
— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.
Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans
les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien
jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux
culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche
et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.
Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme
j'arrivais devant ma chambre, Jacques me rejoignit.
— Alors à nous deux maintenant.
J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Jacques. Sitôt la porte fermée, Jacques laissa tomber sa serviette, exhibant sa
nudité, son corps viril, son membre énorme encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par
l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre
à genoux et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cet énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre
turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir de pomper Jacques et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.
Jacques me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa
langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace ; passant et
repassant la langue, mordillant à pleines dents.
— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.
Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me
tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.
— Eh du calme.
— Ce n'est qu'un bon moment à passer.
Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.
Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genou
derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable
à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et
me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.
J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps
magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous jouîmes ensemble. Il laissa son membre
gonflé dans mon cul.
— Je peux rester dormir avec toi.
— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.
Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.
Dans la nuit, je me réveillai sentant Jacques bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin
afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps.
Immédiatement, j'avais une érection. Jacques empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en
moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.
Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.
commentaire : "Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes couilles explosaient se vidant de tout leur sperme, tel un
barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence." laisse-moi recopier petit ! (cherubin)
"J’vais pas t’laisser partir avec un légionnaire en perm
J’vais pas t’laisser séduire par le premier marin qui traîne"(giocatolo)
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