se vider les couilles c'est primordial pour réussir
- attends !
ALLEZ CIAO, A PLUS... je vais réviser !
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se vider les couilles c'est primordial pour réussir
- attends !
ALLEZ CIAO, A PLUS... je vais réviser !
Chacun son tour ! Bienvenue au club des enculés et ne va pas dire que tu as pas aimé !
— Putain, Denis, écarte tes cuisses pour qu’on voit bien ta fente !
— Si j’écarte plus, je vais me péter la gueule par terre, Fabrice.
— Connerie, mec ! Je t’ai déjà vu ouvrir ça beaucoup plus fort pour nous montrer tes trésors. Mmm, j’adore voir ton petit cul bien tendu. Je suis certain que tu peux m’en montrer plus...
Les deux garçons avaient 18 et 19 ans et ils avaient pris l’habitude de venir se réfugier dans un ancien refuge pour s’adonner à leurs petits jeux pervers. Avec sa petite gueule de frappe, Fabrice était le dominant et meneur. Il était fou du cul de son pote, Denis. Il est vrai que ce dernier avait une chute de reins incroyable, une raie délicieusement duvetée et un petit trou très serré et accueillant. Le point d’orgue de leur séances de sexe était naturellement la baise de ce cul par Fabrice... mais, pleins d’imagination, nos deux gaillards savaient toujours pimenter les préliminaires avec des jeux coquins. L’exhibition du cul de Denis était un grand moment. Largement inspiré de ce qu’ils avaient vu dans des films X hétéros, Denis devenait la femelle soumise s’offrant au mâle en rut.
— Fais-moi ton grand jeu, mon amour ! lui lança Fabrice. Montre à ton mec ce que tu lui offres...
— Tu aimes ça, hein, que je sois une pute offerte à tes désirs.
— Et toi, tu n’aimes pas peut-être... ?
— J’adoooore !
— Alors fais-moi palpiter ce petit trou. Je veux que ta fente appelle ma bite, ma grosse bite bien large qui te donne du bonheur.
— Oh oui, Fab’, je l’aime tant ce gros paf. Quand tu me ramones le trou, je suis au paradis.
Les mains de Fabrice caressaient le dos puis les lobes fessiers de Denis tout en évitant tout contact avec la raie velue. C’était son petit jeu à lui, faire monter l’excitation de sa pute jusqu’à ce qu’elle le supplie de lui mettre la bite au cul. Denis savait très bien ce qui l’attendait : un long limage alternant douceur et force. Avec ses 18 ans à peine, Fabrice — qui se disait bi — avait déjà une forte expérience de la baise. Au lycée où son physique forçait l’admiration de tous (ou presque), il avait déjà culbuté de nombreuses filles et même des garçons. À la fin du cours de gym, il s’arrangeait toujours pour être le dernier et souvent un autre traînait comme lui... Pendant et après la douche, ils baisaient comme des fous. Le prof devait connaître la vérité car il avait pris l’habitude de quitter le vestiaire avant eux en leur faisant un clin d’œil entendu. S’il était au courant et qu’il consentait ce genre de pratique, Monsieur G était lui-même un fameux coquin. Fabrice pensait qu’un jour il passerait à la vitesse supérieure avec un adulte comme son prof... Et puis, il avait rencontré Denis (plus âgé que lui et triplant sa terminale) et leurs petits jeux aux douches étaient devenus insuffisants. Fabrice avait tout le temps envie de se vider les burnes et Denis savait y faire. Un cul serré et doux ; une bouche gourmande et une langue experte : que demander de plus. De lieux glauques en lieux glauques, il avait fini par entraîner SA pute dans le bois. Un ancien refuge pour chasseurs était devenu leur lieu de débauche.
Fabrice déroula enfin une capote sur sa bite et il encula son mec.
— Putain, qu’est-ce que j’aime ça ! hurla Denis. Tes coups de reins sur mes fesses m'excitent beaucoup...
— Je me souviens qu’au début, la taille de mon sexe t'effrayait un peu.
— Vantard !
— C’est vrai qu’il est vantard ! enchaîna une autre voix. À côté de la mienne, la sienne est un peu maigrichonne...
Les deux amants se retournèrent et virent avec effroi — d’abord — leur professeur de gym à l’entrée de la cabane. M. G avait sorti sa grosse bite bien raide de son jogging et les regardait d’un air vicelard.
— Alors, c’est comme ça qu’on m’accueille ?
La surprise passée, Denis et Fabrice retrouvèrent leur sourire et leur excitation. Comment ne pas bander comme un âne face un aussi beau spécimen mâle. Monsieur G, avec ses trente-cinq ans, avait un corps à se pâmer ! Ils s’approchèrent de lui et se mirent à le déshabiller tout en l’embrassant et en se frottant contre lui.
— Vous devez vous demander comment je vous ai trouvés, hein ?
— Ben, oui...
— Il y a une semaine, j’ai attendu dans ma voiture à deux pas de chez toi, Denis. Le matin même, après le cours, j’avais entendu, bien malgré moi, que vous alliez vous retrouver à la «cabane»... comme d’hab’ ! Donc, j’ai fait le guet et lorsque tu es sorti, je t’ai suivi jusqu’ici... Je vous ai un peu regardés faire et j’ai trouvé que vous vous débrouilliez assez bien...
— Assez bien ?!! demanda Fabrice un peu vexé.
— C’est très prometteur mais vous méritez quelques leçons de perfectionnement. Que diriez-vous d’un prof pour votre apprentissage ?
— Ce serait cool !
— Génial même !
— Alors je suis votre homme... D’abord, je voudrais vous dire que le plaisir ne doit jamais être égoïste. Fabrice, toi, tu as très envie du petit trou de Denis. Bien. J’ai constaté que tu avais une technique de baise un peu froide. Regarde...
Avec ménagement, le prof a installé Denis à quatre pattes et lui a écarté les fesses.
— Tu vois cette zone ici ?
— Oui.
— Elle est extrêmement sensible et, rien qu’avec ta langue, tu pourrais arriver à faire jouir ton partenaire en la titillant. Ta bite est un fabuleux outil... Elle est très belle et très efficace ! Mais sers-toi aussi du reste de ton corps...
Monsieur G s’accroupit derrière Denis et commença à lui bouffer le cul. À coups de langue, il lui arrachait des cris de plus en plus forts.
— Fous-lui ton slip en bouche, il va nous faire repérer ! demanda le prof à Fabrice.
— C’est trop bon. Je n’en peux plus...
Denis subit les caresses de son professeur pendant dix minutes et il cracha son jus sur la table en bois où il était installé.
— C’était trop excitant ! Mmmmmm... lorsque vous passez votre menton dans ma raie... c’est génial... Ce picotement délicieux !
— Un autre petit truc ! Arrangez-vous pour avoir une barbe naissante lorsque vous voulez faire grimper un mec aux rideaux. Avec un menton et des joues légèrement barbus, on peut faire des merveilles...
Laissant à Denis le temps de reprendre des forces, le prof s’occupa un peu de Fabrice.
— Tu es uniquement actif, si je comprends bien ?
— C’est comme ça que je prends mon pied.
— Jusqu’ici oui !
— ...
— Tu n’as jamais essayé de te faire prendre ?
— Je n’ai pas trop envie.
— Comment ne pourrait-on pas avoir envie d’une chose qu’on ignore ?
— Ben...
— Tu as la trouille, c’est ça ? Tu as peur d’avoir mal ?
— Un peu, oui.
— Mets-toi à la place de Denis...
— Mais...
— Ne discute pas ! On perd du temps et le temps est infiniment précieux... surtout lorsqu’il peut être utilisé pour le plaisir.
Fabrice, un peu gauche, se positionna sur la grande table en bois et respira un bon coup. Le professeur lui écarta les fesses et cracha dans sa raie velue. Un doigt étala la salive puis se glissa dans le conduit anal très serré.
— Je suis serré !
— C’est fatal ! Tu n’as jamais essayé un gode ?
— Jamais !
Monsieur G tenta de forcer le passage avec deux doigts et Fabrice grimaça.
— Laisse-toi aller, Fabrice ! Regarde ta bite, elle bande. Ton corps a envie de ça et toi, tu te bloques sur une idée préconçue. Laisse ton esprit vagabonder dans le calme et la douceur...
— Facile à dire !
Le professeur offrit à Fabrice la même chose qu’à Denis mais il lui demanda de retenir sa jouissance. Lorsque la bouche du prof quitta la raie humide et bien lubrifiée, Fabrice comprit ce qui l’attendait. Il entendit le claquement d’un préservatif sur une queue. Il ferma les yeux. Monsieur G cracha sur sa queue pour faciliter la pénétration.
— Respire à fond !
Un «han» dynamique et la queue était à l’intérieur. La douleur fut instantanée mais elle se mua rapidement en onde de plaisir.
— Désolé pour la brutalité du premier coup mais il le fallait. Je viens de te casser le cul, mon petit gars ! Apprête-toi à découvrir de nouveaux horizons...
Les couilles pendantes du prof vinrent frapper contre le cul de Fabrice qui se sentit d'un coup envahi par un mât imposant.
— C’est trop énorme ! Vous allez me déchirer...
— Calme-toi ! Essaie de t’imaginer qu’une marée de plaisir monte en toi.
— Prends patience, Fab’ ! lui lança Denis qui se branlait. Tu vas trouver ça super !
Le prof continua ses mouvements bien dosés et se pencha vers l’enculé pour l'embrasser et le lécher dans le cou. Il savait y faire le prof. Il décula et laissa sa bite contre le trou puis il y rentra très vite. Il fit ça plusieurs fois. Fabrice gémit et se mit à se branler lentement en disant :
— Allez-y, M’sieur, continuez. Baisez-moi !
Cette demande fit comprendre à l’enculeur qu’il venait de gagner la partie et que l’initiation était réussie. La demande de Fabrice lui suffit pour lui rendre de l’énergie et il se mit à le besogner comme un bûcheron en poussant des «han» puissants.
— Putain de merde ! Que c’est boooooooon... hurla Fabrice.
D’un regard, le prof fit comprendre à Denis qu’il fallait lui fourrer un truc en bouche pour le faire taire.
— T’étais un bon petit baiseur ! Maintenant, t'es une bonne petite salope ! Tu comprendras mieux le plaisir que tu peux donner maintenant que tu y as goûté ! Ouais... Ta chatte est bien chaude, petit enculé.
Et pour la première fois de sa courte vie, Fabrice jouit du cul. Le prof se retira très vite pour larguer sa purée au même moment que son élève et Denis eut une éjac lui aussi pour la deuxième fois.
— Bienvenue au club, mon chéri ! lança Denis à son mec. Le club des enculés
et c'est bien le cas ! j'ai confiance !
LE VRAI SENS DU PARTAGE ... C'EST PAS L'EGALITE
La "petite bite" en parle si bien !
"Tout en écoutant,mes cris et mes supplications il n'est pas resté
inactif et a glissé son manche entre mes cuisses et se branle lentement dans le nid velu, sous mes couilles. Son gland gonflé, humide et soyeux frotte ma peau et une chaleur lourde m'envahit les reins. Tout en m'écoutant, n'est pas resté inactif et a glissé son manche entre mes cuisses et se branle lentement dans le nid velu, sous mes couilles. Son gland gonflé, humide et soyeux frotte ma peau et une chaleur lourde m'envahit les reins. J'ai à peine terminé mon histoire qu'il me retourne sur le ventre et s'allongeant sur moi,me couvre de son corps et glisse sa queue bandée dans la raie. Je me cambre, offrant mon cul pour me faire saillir par mon petit mâle. Il sent mon désir et d'une main habile guide sa pine vers mon trou. D'un coup de rein puissant il m'empale en soupirant, son corps se faisant lourd sur moi. Tout son membre me remplit. Il s'immobilise, à l'écoute des pulsations internes de mon corps qui se transmettent de ma chair à sa chair. Notre symbiose est parfaite et c'est comblé de plénitude qu'il se met à bouger, coulissant doucement dans mes chairs dilatées et en feu. Je ressens intensément le moindre de ses mouvements en moi. Le balancement de sa croupe, sa peau humide qui se colle à la mienne, ses couilles lourdes qui s'écrasent entre mes cuisses, la chaleur de sa toison épaisse qui caresse ma peau, son souffle chaud sur ma nuque qu'il mordille. Je m'abandonne, anéanti par la luxure, à ce garçon qui donne et prend tant de plaisir. Il me serre violemment contre lui, haletant et gémissant et je le sens se répandre au fond de mon ventre, agité de pulsions qui déclenchent ma jouissance."
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