FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U"

Mardi 6 mars 2 06 /03 /Mars 05:23

de "fil en aiguille"Erwan et moi...hihi les aiguilles on les enfile !  ... 

hotguysserveme: “top4jock: “ “You’re shitting me,” @hotguysserveme said. “There is no way you’re fucking Dean. He is completely devoted to Jen.” “I’m telling you, he will be in the locker room waiting for me, wearing nothing but his shorts and a... une fois Erwan, qui baise comme un dieu, m'a demandé si je l'avais déjà fait avec un autre ?

-Je lui ai dit ouais, mais tu le dis pas hein ? ouais, avec Eric.

-Mais, plusieurs fois, comme nous ?

-Ouais. Et il aime ça. Moi aussi tu le sais !

- un soir que vous vous voyez à ta chambre tu me le dis et je pourrais venir "par hasard"

-OK mais faut surtout pas qu'il se doute qu'on a monté le plan à trois. Je laisse ouvert, tu entres... après on voit si ça le fait  

    Eric est arrivé sans bruit par derrière sans se douter de rien. Trop bon. Il a fait mine de ne pas vouloir déranger mais je lui ai fait signe OK et quand il a enfilé Erwan on s'est congratulés.

 

 

bootslaveboyusa: “Lucky faggot. Would love to have those two as roommates! Get fucked at each end every night after work! ”  Vieille canaille ! 

Et ça l'a fait avec Eric et ensuite avec un autre mec que lui, Erwan, s'était"fait". On a partagé nos "bonnes fortunes"

 

animalisticmen: ““Told you this Latin kid was a fag. He was practically begging for us to use him, the fuck kept showing himself off.” “Yeah, bro. Now here he is, so pleased that our cocks are filling both of his holes. You better thank us after,...

La cheville ouvrière de tous ces plans qu'on se tape et qu'on adore, c'est Erwan et moi. petit à petit je me dis qu'on fonctionne comme une sorte de couple libertin...

On s'amuse encore régulièrement comme ça, c'est vraiment trop bon pour s'arrêter, même si de temps en temps on se dit qu'on devrait passer à autre chose...Genre hétéro, hein ? Mais bon, un soir, à une fête, j'ai proposé à un autre pote avec qui on s'était tripotés aussi "un jeu spécial" vu qu'on était tous les trois un peu chauds et un peu bourrés, on s'est tapé une bonne branlette et , et puis, " de fil en aiguille", de défi en défi, on est allés aussi loin que vous voyez sur les photos. Et là on avait pour ainsi dire dragué ensemble.  

On recommence ça régulièrement, et on dit toujours qu'on va arrêter, mais c'est vraiment trop bon ! aux nouvelles, aucun de nous deux depuis n'est allé avec une fille : on se suffit et on perd pas de temps avec draguer, baratiner, donner rencard...on se concentre mieux sur nos études. Ouais, c'est vrai que si on reste comme ça on sera tous les deux pédés bon teint dans la vie. C'est à craindre que chacun de nous se mette en couple avec un gars autre que nous, qui baise mieux ou avec lequel on a plus de feeling. Mais laissons l'avenir venir... ¤

 


commentaire : 

             Image associée Un puis deux puis trois : les trois petits cochons ! et entrez dans la danse !

  Image associée  on sera tous les deux pédés bon teint dans la vie.

 

Image associée  Image associéeputain ! OUI !

 

 

Par DIRTYDORM - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 17 janvier 3 17 /01 /Jan 06:01

Image associéeDSL mais cavaillongay, blog porno, libre, et doux diffusé sur et par erog, comporte une grille d'entrée mettant en garde et interdisant l'entrée aux mineurs de moins de dix huit ans.

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    => je crève d'envie de me faire sauter sous ecsta…soirée ecsta à trois où, bourré de cachets par leurs soins, je frôle plusieurs fois l'overdose.  "Ils me gavent de trop de drogue , j'vais câbler !"

Image associéeIl posa le sachet sur la table basse et s'adossa contre le mur...sachet que je mis dans mon calbut 

 

 

A night at Trade GAY CLUB. Photo courtesy of Trade

 

Il m'arrive régulièrement d'appeler un dealer. Pas pour de la beuh ou du shit, moi je suis plutôt ecsta, mdma… Pour ceux qui n'en n'ont jamais pris, je vous conseille d'essayer au moins une fois. Trouvez-vous une bonne soirée techno, prenez un para* et laissez-vous aller. Ce fourmillement dans les extrémités, cette impression de liquide traversant votre corps, ce sentiment d'amour, cette sensation de bonheur… Votre cerveau relâche toute sa sérotonine, vous ne pouvez rien y faire, vous êtes heureux. Vous vous laissez aller à la musique, votre corps réagit au kick du son, vous êtes en transe, tout à fait conscient de votre état et de vos mouvements. Tels sont les effets sur la majorité des gens de ce petit cacheton coloré appelé ecstasy, … Dans mon cas, à cause d'un vice profond ancré en moi, l'ecstasy libère également tout mon appétit sexuel, toutes mes envies profondes de salope. Je n'y peux rien. Certains perdent leur trique en sniffant de la coke ou du poppers, moi je crève d'envie de me faire sauter sous ecsta…

Laissez-moi me présenter : Alex, 20 ans, 1m78, 65kg, et un corps finement musclé. J'ai les cheveux dorés - il faut dire que le soleil de mes dernières vacances m'a bien gorgé de bronzage - et en bataille. Je suis donc ce qu'on pourrait appeler je pense, un beau mec.

Il était 22h, je sortais de la douche les cheveux en vrac, de la buée s'échappant de ma salle de bain. On sonna à ma porte. Je m'empressais d'enfiler un calbut et allais ouvrir. C'était Toby, mon dealos. Un grand mec de 1m81 aux muscles secs et finement taillés. Taille fine, épaules larges, trapèzes marqués. Il avait de longues dreads blondes, des yeux vert, une mâchoire carrée et une barbe mal rasée. Un vrai Dieu, j'ai tellement fantasmé sur lui…

Toby rentra, me jugea du regard avant de pouffer en allant s'asseoir sur mon lit faisant office de canapé dans mon salon.
- Quoi? demandais-je.
-Rien, tu me fais rire, t'es le seul mec que je livre qui m'ouvre tjrs en calbut. T'es exhib ou quoi?
-Et j'ai pas que ce vice.
Je ramassai un jean noir bien ajusté et l'enfilai. Toby sortit un gros bédo de sa poche intérieure de doudoune et se l'alluma, enfumant mon petit salon d'étudiant d'un épais nuage blanchâtre. Il fit quelques ronds de fumée avant de sortir de sa chaussette un pochetard contenant 4 cachetons colorés.
-Tiens, 2 silvers et 2 road 66.
Il posa le sachet sur la table basse et s'adossa contre le mur en fumant. Pendant ce temps j'enfilais un T-shirt blanc en le regardant faire.
-T'as pas trop galéré cette fois-ci? demandais-je en me regardant dans le miroir.
-Vite fait… Je suis allé voir mon fournisseur, il voulait me le faire à 10 balles le taz. Il m'a pris pour un con l'autre. Il m'a fait marrer. Bref…
-Du coup c'est 40 c'est ça?
-Ouaip, fit-il en lâchant un parfait rond.
-Tu veux boire un truc?
Il ramassa le câble jack qui trainait au sol et y branche son téléphone. Un air de techno m'arrive jusqu'aux oreilles.
-t'as quoi?
-du vin… ou du whisky…
-C'est quoi ton vin?
-du Gewu.
-C'est à combien?
-Chai pas… 12° je pense…
-Ah ouais c'est un truc de pucelle ça, whisky ça fera le taf.
Je lui passai la bouteille et deux verres qu'il remplit généreusement tandis que je m'asseyais à ces côtés, vérifiant la qualité des taz. Je pris une feuille de clope à rouler et déposai le road 66 au milieu, j'en fis un petit para avant de me saisir d'un couteau pour préparer mes autres paras.
-Tu vas où ce soir? me fit-il.
-Au Gibus.
-C'est soirée gay pour que t'ailles là-bas?
-Non, c'est gay friendly.
-Repère de pédale ça, lâcha-t-il en me décochant un sourire et en tirant sur son bédo.
Avec le couteau je coupai le cacheton en 4 quarts que j'enroulai dans une feuille pour en faire 4 petits para. Je versais le reste du sachet dans une petite boîte métallique et rangeais mes paras dans le pocheton. En regardant Toby dans les yeux, je fis glisser ma main dans mon caleçon pour y planquer le sachet avant de répondre.
-Quand on est affamé on va voir partout…
-Arrête avec ça! Ca m'est arrivé 5 fois de baiser des mecs, c'est pas non plus…
Je me levai et lui arrachai le pétard des mains pour tirer dessus. Je fouillai dans mon portefeuille et lui tendis 40 euros.
-Bon allez, je dois bouger, j'ai 1h de transport pour aller là bas, et c'est 5 euros avant minuit.
J'enfilai une veste noire et taupe, mis mon portefeuille et mon portable dans mes poches.

2 minutes plus tard j'étais dans le métro. Je sentais que le bon verre de whisky me réchauffait bien. Durant le trajet je rêvais de techno, de drogue, de jeux de lumière et de mecs.

Je fus entraîné par le groupe dans lequel je me trouvais. Le videur venait d'autoriser une dizaines de personnes à aller à la caisse. J'étais dedans.
Carte d'identité? 5€ s'il vous plaît.
Je fis glisser ma carte d'identité et un billet sur le bureau. La caissière examina ma carte tandis que le son grave et basseux de l'intérieur m'arrivait aux oreilles. Elle me rendit ma carte, prit le billet, me tendit un petit ticket et me fit signe de lui donner ma main. Elle y apposa un tampon avant de dire « suivaaant ».
Je me dirigeai vers la porte, présentai mon ticket au vigile et rentrai dans ce temple de la danse. Le lieu était spacieux, sombre, éclairé de spots rouges. Il devait y avoir 150 personnes actuellement. En même temps -lol- il n'était que 23h30. Je me dirigeai vers le bar et achetai une bouteille d'eau. 6 balles. Je m'approchai de la scène, me fondis dans la foule dansante. Une fois bien planqué je fouillai mes couilles et sortis un taz que je glissai dans ma bouche avant d'avaler une gorgée d'eau.

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Allez, le deuxième à 00h, et je suis sûr de passer une bonne soirée. Je me laissais aller, dansant énergiquement au rythme de la warming-up.

Je regardais ma montre, 00h05, le moment de prendre mon deuxième para. Et de nouveau le même manège. Je me faufile au final de la foule et une fois bien planqué j'avale mon quart d'ecsta.  Normalement ça devrait commencer à monter d'ici 15-20min. Putain, la salle s'est remplie d'un coup! On devait être pas loin de 500 maintenant, des jeunes de 18 à 30 ans, tous bien foutus, virils, appâtés par le prix de la place avant 0h. Parce que oui, le public techno est sans doute le plus beau public du monde, je n'ai JMS vu de gens laids dans une boite techno, tous les mecs sont virils, masculins, bien foutus, de vrais dieux modernes.

La warm-up battait son plein, Le DJ se défonçait sur ses platines, passant à chaque fois la bonne track pour t'amener toujours plus loin dans ton délire musical. Un vrai magicien. Je reconnus Back To Space, une track incroyable qui ne cesse de monter pour ne jamais démarrer et c'est précisément sur le beat de cette musique que j'ai eu ma montée. Comme à chaque fois je m'en rendis très vite compte, j'avais le bout des doigts qui devenait extrêmement sensible, mes yeux semblaient mieux voir, mes pas se faisaient plus francs, plus énergiques. Vint ensuite la fluidité de mouvement, l'impression d'être composé d'eau, de flotter dans l'espace, de contrôler mais redécouvrir chacun de mes mouvements. Je regardais autour de moi, le public était dans le même état, cette track transportait tout le monde, c'était un véritable voyage. Vint enfin la sensation de roulis dans le crâne et les vibrations de pupilles. Je me pris une vraie vague de sérotonine dans la gueule. Je regardais la montre : 00h20, dans 1h15 je reprenais un quart. Je me laissais aller à la musique quand le dernier symptôme se fit sentir. Une douce chaleur envahit mon bas ventre, me faisant onduler du bassin encore plus violemment, un picotement se fraya entre mes cuisses faisant gonfler légèrement ma fermeture éclair. Ca y est, j'étais en chaleur.

Je regardais autour de moi en continuant de danser. Ce qui est cool en boîte techno c'est la possibilité de fumer à l'intérieur, un vrai privilège. Ce qui permettait d'approcher les mecs pour demander une clope, un feu. Je voyais tous ces mâles danser avec de grands sourires accrochés aux lèvres, la MD faisant effet. Il y a plusieurs types de mecs en boite electro, ceux qui kiffent le son, qui sont là pour danser et apprécier la musique, ceux qui kiffent les gens et la drogue, qui te sourient tout le temps et viennent te tripoter dans un but non sexuel, et les chasseurs. C'était eux que je visais. Ils étaient là pour abuser de la loque humaine sous drogue. Généralement ce sont de grands types baraqués à l'air très hétéro, après il suffit de savoir bien les choisir.

La musique était montée d'un cran, le BPM*aussi. *(une unité de mesure utilisée pour exprimer le tempo de la musique ou le rythme cardiaque)  Toute la boîte était en transe sous les jeux de lumière lorsque je le remarquai. Un gars grand, musclé, moulé dans son débardeur gris. Un regard sévère et des veines prononcées. Ma bite gonflant soudainement à la vue de ce mâle, je me dirigeai vers lui discrètement en feignant de danser. Une fois à son niveau je m'approchai de lui pour lui demander une cigarette. Il me toisa du regard et sortit un paquet de clopes de marque slave. Il m'en tendit une, je soutenais son regard, je m'exhibais au travers de ce regard. Je pris la cigarette et l'allumai tout en le fixant des yeux. Il sourit et se gratta le paquet. Instantanément je baissai les yeux vers son entrejambe, je vis son grand geste pour remettre ses couilles en place. Putain quelle bosse. Je remontai vers la tête et voyais un visage suintant le vice et l'envie de baiser. J'affichais un micro sourire et me remettais à danser pour le chauffer un peu. Pourtant il me lâcha du regard. Un mec venait d'apparaître et il lui parlait. Mon mâle lui dit quelque chose à l'oreille que je ne pus entendre en raison de la musique. Soudain tous deux se tournèrent vers moi. Je venais de finir ma clope et voulant en savoir d'avantage sur ces deux gars je retournai à la charge.
T'aurais pas une clope?
Tiens.
Il me tendit à nouveau une cigarette et un briquet pour m'allumer la clope.
Je m'appelle Antonin, et lui c'est mon pote Jérémy et on voulait savoir si ça te plairait de nous suivre à mon appart.

Todavía recuerdo la verga gigante de mi vecino hetero

"ta ta tan " (Renaud )

Ils avaient l'air tellement sûrs d'eux, cela m'excitait au plus haut point. Je hochais bêtement la tête avec un sourire gourmand.

Nous sortîmes 10 minutes plus tard. La soirée fut courte, mais bon, la suite s'annonçait prometteuse. Je montai dans leur voiture, à l'arrière. Antonin se mit à l'avant tandis que Jeremy ouvrit ma portière pour monter à mes côtés. Antonin mit le contact et démarra. Il brancha son portable et mit le son à fond. Une grosse techno envahit alors l'habitacle tandis qu'Antonin tournait à l'angle de la rue.
-Tu t'appelles comment toi ? me demanda Jeremy en me fixant du regard.
-Alex.
-Tu faisais quoi ici?
-Je voulais danser et…
-et quoi?
-me lever un mec.
Jeremy regarda Antonin au travers du rétroviseur et un petit sourire pervers s'étendit discrètement sur ses lèvres. Il reprit :
    -et t'as pris quelque chose ce soir?
-j'ai pris la moitié d'un ecsta…
-c'est tout?
-Ouais mais là je vais en reprendre un.
-Ouais ben bouffe les tous mec, fais pas ta vierge.
    Je fouillai dans mon calbut pour chercher le pochetard. Faire ceci à côté des ces deux mâles était extrêmement excitant. Je sortis le sachet et le mis à la lumière de la rue pour mieux voir les quarts. J'en pris un et au moment d'avaler la gorgée d'eau pour le faire passer, Jeremy m'arrêta le bras.
-allez mec, ouvre la bouche, prend celui là aussi.
    Comme je n'obtempérais pas immédiatement Jérémy me prit fermement la mâchoire  et me fit ouvrir la bouche  avant d'y enfoncer un cachet entier!
-bois maintenant.
J'obéis, un peu choqué par ce qu'il venait de faire. Mais putain j'avais avalé 1 taz entier et un quart! Comment mon corps allait-il réagir à une telle quantité?! Jérémy de son côté s'était roulé un gros pett et avait ouvert la fenêtre pour le fumer. J'osai enfin parler.
-le tazz que tu m'as donné c'était quoi?
-ahah, t'as l'oeil toi. Un skullcandy.
Un skullcandy pour les non connaisseurs est l'un des cachetons les plus puissants sur le marché européen.
-t'inquiète pas, si jamais tu fais un bad on a de la coke pour te rétablir. Mais bon, t'as l'air d'avoir l'habitude de taper toi, ça devrait pas te tuer. Tu commences à sentir les effets?
En effet je me sentais soudainement tout fluide, mes sens étaient décuplés. Je sentis alors cette chaleur dans le bas du ventre, en bien plus intense que tout à l'heure. Je regardais dans le vide, oscillant au rythme de la musique. Mes yeux se posèrent d'eux mêmes sur l'entrejambe de Jérémy. Ce dernier le remarqua et s'attrapa le paquet pour jouer avec devant mes yeux médusés. Je remontai lentement mon regard vers son visage et je vis le même sourire vicieux que celui qu'arborait son pote tout à l'heure.
-C'est pour ça que tu nous as suivis hein?
J'opinai mollement, hochant la tête, le regard toujours dans le vide tant la drogue prenait possession de mon corps.
-Ouais c'est pour ça, c'est pour vos grosses queues!
Jérémy ricana en me toisant du regard et frappa le fauteuil d'Antonin.
-Eh mec t'as entendu ça? il ricana de nouveau en tirant une grosse barre sur son bédo avant de le faire passer à Antonin qui était concentré sur la route.

On arriva dans une banlieue du 93, un bled complètement paumé qui suinte le dangereux une fois la nuit tombée. On descendit de la voiture sous la lumière jaunâtre du trottoir . Je les suivais. On gravit quelques marches, on longe une allée d'arbustes mal taillés avant d'arriver dans un hall d'immeuble. Dans ce hall, 2 types habillés en survet', grosses baskets au pied, bédo à la main bloquent l'entrée d'un couloir. On attend l'ascenseur, sans prononcer un mot, seuls les deux rebeux du couloir constituent un fond sonore à ce tableau éclairé à la lumière des ampoules jaunes de crasse. L'ascenseur arrive enfin. J'ai l'impression de glisser dedans tant je suis shooté. Je me vois dans un miroir de la cabine, j'ai les pupilles éclatées par la drogue, mes yeux sont noirs, mes iris ne sont plus visibles, je suis un vrai zombie. L'ascenseur s'arrêta au 11ème étage. Antonin me tenant par l'épaule m'indique le chemin. On longea un grand couloir dont la peinture partait par plaques sous le coup des infiltrations. Il devait être 2h du matin, tout était silencieux sauf quelques portes derrière lesquelles on entendait des rires, de la musique, la télé… Antonin tourna la clef dans la serrure de son appartement. J'entrai. Le lieu était assez petit, un petit salon avec une petite cuisine donnant sur une unique chambre de pas plus de 9m carrés… Il y avait un canapé deux places et une chaise. Au sol, de la moquette. Un vrai repère de mâle, juste le nécessaire. Jérémy ferma la porte derrière lui tandis qu'Antonin jetait sa veste sur le canapé. Il entra dans ce que je supposai être la salle de bain. Je l'entendis fouiller dans un placard. Il revint avec un petit sachet comme pour les médicaments, dans les mains. Je m'assis à côté de Jérémy dans le canapé. Antonin prit 2 verres, y versa la moitié du sachet dans chacun et les remplit d'eau. Il en tendit un à Jérémy qui le but d'un trait.
-C'est quoi ça?
-...

-...Du Kamagra.*(oral jelly version gélifiée du viagra)
- Ca fait bander pendant 6 heures quand on est de notre âge.

Antonin roula un joint et l'alluma, il le fit ensuite passer à Jeremy qui tira longuement dessus. Moi je restais toujours dans le même état, complètement shooté, pour autant, je n'étais pas inconscient. Antonin reprit le joint et me jeta un coup d'oeil.
-On va la réveiller cette salope.

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Il s'approcha de moi, mit ses mains de part et d'autre de nos visages de manière à créer un tuyau entre sa bouche et la mienne. Il tira longuement sur le joint et souffla toute la fumée dans le « tuyau ». Putain, j'étais trop stone pour réagir à temps, j'avais déjà la gueule enfumée. Je respirai, pris une grande gorgée de fum, mon dieu, les effets que cela m'a provoqué. Ne jamais mélanger fumée et taz… Jamais… Je me sentis m'effondrer dans ce canapé tant mon esprit dérouillait. Jérémy me rattrape en éclatant de rire, le rire du défoncé, le rire fou. Il me donna une tape sur l'épaule tandis que je me laissais pendre sur ses genoux… J'avais du mal à entendre ce qu'ils disaient, mais je crus entendre les mots « gueule » et « profond ». Jérémy me déposa à même le canapé. Ouf, ils avaient compris que je n'allais pas bien, ils me laissaient me reposer et faire mon bad trip paisiblement. J'avais la tête dans le vide, je ne me sentais pas bien dans cette position. Je voulus me reculer mais une poigne d'enfer me saisit le visage et me le remit en position.
-Ouvre.
Ne comprenant pas ce qu'il m'arrivait je ne fis rien.
Une putain de claque me réchauffa ma gueule sans que je l'ai vue venir.
-OUVRE!
J'obéissais mais je sentais que si je restais trop longtemps dans cette position je n'irais vraiment pas bien. C'est alors qu'un gland monstrueux m'ouvrit les lèvres. Il glissa lentement dans ma bouche puis, après avoir un peu forcé, dans ma gorge. Putain cette queue était immense! Je sentais enfin la paire de couilles venir se poser sur mon nez. Il resta un moment dans cette position sans bouger. Je suffoquais, mais n'arrivais pas à bouger. Il retira lentement sa bite de ma gorge alors que je prenais une grande inspiration. Pourtant dès que son gland fut revenu au bout de mes lèvres il replongea rapidement dans les profondeurs de ma gorge. Je bavais de partout, mes yeux pleuraient sous la force des coups de reins dans mon gosier. Je sentais petit à petit, au fur et à mesure qu'il me tapait le fond de gorge, que le mal dont j'étais victime commençait à empirer. C'est ainsi que j'ai commencé à avoir des remontées, que je contrôlais ou non, parfois un filet de bave bien graisseuse giclait hors de ma gorge pour venir couvrir la queue bandée ou mes yeux et mon front de son épaisseur. J'avais le hoquet, je couinais de mal être mais en même temps je devais reconnaitre que je prenais mon pied. Ce bâtard me démontait le fond de gorge et j'aimais ça, putain! Soudain la bite se retira d'un coup mais elle fut remplacée par celle d'Antonin, tout aussi énorme que celle de son pote. Il n'y alla pas par 4 chemins pour commencer et me planta sa queue de toutes ses forces au fond de ma gorge meurtrie. Je vomis immédiatement, j'avais la gueule recouverte de vomi. Ils m'arrachèrent mon tshirt et m'essuyèrent la gueule avec avant de me la réenfoncer avec la même violence. Etrangement je me sentais à ma place. Jérémy pendant ce temps m'avait relevé les jambes et m'enfonçait des doigts en crachant bruyamment sur mon trou. Il me le claquait, me bouffait le cul avant de me le détendre en tirant sur les côtés avec ses longs doigts musculeux. Je sentais sa barbe râper contre ma chatte et ça me faisait naturellement onduler du bassin, putain quelle pute je faisais, mais je ne pouvais toujours pas bouger sous le coup de la drogue. Antonin continuait de me bourriner la gueule sans pitié, s'arrêtant quelquefois lorsque j'étais à la limite de l'évanouissement. J'avais la gueule violette, les yeux rougis par les larmes, le visage entièrement recouvert de bave - vous savez celle qui vient du fin fond de la gorge, bien grasse, bien visqueuse, bien blanche et épaisse - et sans doute un peu de vomi. Je devais faire pitié la gueule ainsi ensevelie sous tant de fluides immondes.

Jérémy me démontait le cul à la main et à la bave, ma chatte était une vrai patinoire tant il avait bavé dessus. 3 doigts rentraient à présent facilement dans ma petite chatte de salope. Il les sortit, laissant mon trou béant. Il se saisit d'un altère posé à côté, enleva les poids pour n'avoir plus que la barre métallique. Il crache un peu dessus, frotta le métal contre mon visage englué dans la salive pour le lubrifier et me le planta sans pitié dans la chatte, je sentis alors le métal froid ouvrir bien en profondeur ma chatte, que c'était bon… Jérémy me frappa le cul d'une bonne claque et entreprit de me démonter le trou avec ce bout de métal. Putain quel godeur, il m'avait véritablement affamé l'orifice! Antonin se retira alors de ma gorge dans un bruit de succion tandis que je laissais échapper une petite remontée. Antonin, prit la barre de fer plantée dans ma chatte et la secoua de toute ses forces, je me mis à hurler de plaisir/douleur. Il la ressortit d'un coup et se laissa tomber, queue bien lubrifiée en avant, dans mon trou béant. Il se stoppa net lorsque ses couilles lourdes et larges vinrent s'écraser contre l'aurée de mon cul Je soupirai de soulagement. Jérémy, vicieux jusqu'au bout ralluma le bédo et me refit une soufflette, me replongeant dans cet état catatonique . Je ne pouvais que me laisser faire, j'avais même du mal à émettre des sons. Antonin me labourait l'arrière train et je remarquais que j'étais cambré comme la plus ridicule des putes. Mais putain qu'est-ce que c'était bon de sentir une bonne grosse bite vous ramoner l'intérieur et vous élargir le trou! Je me mis à gémir de plaisir.
-Ta gueule salope! encaisse nos queues et fais pas de bruit!
Jérémy attrapa son boxer et me le bourra dans la bouche, me laissant me faire détruire le cul sans que je puisse manifester le moindre signe d'excitation ou plaisir.
Antonin m'écartait les fesses, les claquait, rajoutait des doigts à sa queue qd il me ramonait le ventre! Quel salaud! Il me poussa alors d'un coup, me faisant tomber du canapé pour me foutre à 4 pattes à même la moquette. Je sentis alors une « passation », Jérémy allait me la mettre et je sentais que ça n'allait pas être tendre. En effet, le bâtard me mit 3 doigts dans le trou pour tester la tendreté, puis y planta sa longue et épaisse queue également. J'avais donc 3 doigts plus 23x5 dans le ventre. J'étais tétanisé, je semblais ne plus rien ressentir que du plaisir à l'état pur.
-viole-le Jérém, détruis-lui sa chatte, il réclame que ça de plus pouvoir marcher!
Jérémy se défoula sur mon trou, le malmenant dans tous les sens, lui crachant dessus. Il sortait entièrement sa queue avant de l'y replonger dedans à de maintes reprises, il n'avait aucune pitié pour cette pauvre chatte distendue par le plaisir. Je me sentais bien, à ma place, la chatte offerte pointée vers le ciel, la gueule au sol collée contre la moquette par les coup puissants du mâle. J'étais vraiment bien et je me laissais aller, je gémissais de plus en plus fermement, le tshirt dans ma gueule était trempé de bave tant je mouillais de la gueule, mes bras pendant le long de mon corps tandis que seul mon trou était au centre de mon esprit, rien d'autre. Je n'éprouvais aucune gêne, j'étais si bien. Pourtant je devais paraître si dégoûtant, vicieux, pervers, écoeurant vu de loin, zombifié comme je le suis, la chatte offerte, les yeux roulant de bonheur dans leurs orbites . Je devais dégoûter, mais je me sentais à ma place et c'était ça le plus important.

Antonin le remarqua et me colla deux grosses baffes à la gueule pour me ramener à la raison.
-Profite salope, c'est pas tous les jours que t'auras droit à deux grosses bites comme les nôtres!
Et il enfonça sa grosse pine dans ma gorge à nouveau.

Ils me défoncèrent pendant pas loin de 4-5h… Ils jutèrent tous deux violemment dans mes trous, un sur ma gueule de pute, l'autre dans ma chatte de PD.

Ils refusèrent que je me rince et me virèrent de chez eux. Je suis donc parti, la gueule démolie et recouverte de bave, du foutre suintant de mon jean à la sortie de ma chatte. J'étais minable. Je vis d'ailleurs deux jeunes mecs qui changèrent de trottoir et éclatèrent de rire en me croisant. Mais je m'en foutais, j'avais passé une excellente soirée. Je pense retourner au Gibus la semaine prochaine FIN  

 fresque :

Image associée non, à aucun moment Antonin et Jeremy ne se sont baises ou suces entre eux, on aurait dit qu'ils dirigeaient hargne et haine envers Alex. Ils auraient dû le raccompagner, ça n'est pas dit et le quartier est dangereux.   

 

Image associéeHum, la drogue de l'amour ??? Sur Antonin et Jeremy ça n'a pas cet effet cool ! 

 

    La MDMA est  « empathogène », c’est-à-dire qu’elle génère de l’empathie, d’où son surnom de « drogue de l’amour ». Les personnes qui en consomment décrivent un sentiment d’amour universel, l’envie de câliner son voisin, ils ressentent de l’énergie pour danser tout en restant « tranquille, sans devenir irritable », rapporte le docteur Muriel Grégoire 
Si la cocaïne peut être discrète socialement, les effets de la MDMA sont visibles, si bien que les gens n’ont pas envie d’être dans cet état tout le temps. » En cas de dose importante, la crainte de ne pas "redescendre" est fondée : on peut rester "perché" longtemps. Ceux qui en ont pris de fortes doses ou tous les week-ends pendant plusieurs semaines. Ils ont fait un “bad trip” et ils gardent des signes résiduels quelques jours voire quelques semaines après. Ils peuvent souffrir de troubles anxieux ou dépressifs (attaque de panique, anxiété du matin au soir), ou, plus rarement, de troubles psychotiques comme un sentiment de persécution, de déréalisation ou de dépersonnalisation, c’est-à-dire qu’ils ne reconnaissent plus où ils sont ou qui ils sont. »  « Peu chère, facile d’accès, de bonne qualité », la MDMA remplit tous les avantages d’une consommation « festive » de drogue, reconnaît Muriel Grégoire, psychiatre à l’hôpital Marmottan, spécialisé dans la prise en charge des addictions. « Elle a vraiment bonne réputation », ajoute la soignante, soulignant qu’il y a peu de risque de devenir accro : « C’est une drogue qui n’accroche pas. »        .lemonde.fr/addictions   
Image associée !
                       l'extasy a des effets plus positifs sur les mecs          

DEALERS INTERGENERATIONNELS ! 5000 pilules d'ecstasy saisies.  Le montant de la saisie se monte à 11'000 euros . Un cinquantenaire et son adolescent de 17 ans ont été arrêtés,

 

Les pilules d'ecstasy affichent le portrait de Donald Trump.

Dans le monde de la nuit, on aime se ramener avec le cachet de drogue "le plus cool". Et celui avec le portrait de Trump serait très apprécié, affirme le Daily Star. Les 5000 pilules d'ecstasy saisies affichent le portrait de Donald Trump. "Trump makes America  partying great again", soit "Trump rend les fêtes géniales à nouveau".

 

 

 

 

 

 

 

 


NOTES : L'auteur : Envoyez-moi vos coms' et délires par mail, ou alors demandez-moi d'écrire une histoire sur un thème précis, si j'ai du temps j'essaierai de le faire. Yvin flamby1995@hotmail.fr  L'ARTICLE :http://www.cyrillo.biz/history-gay-2016-plan-a-3-01.php

NOTES: The author: Send me your coms 'and deliriums by mail, or ask me to write a story on a specific topic, if I have time I will try to do it. Yvin THE ARTICLE: http://www.cyrillo.biz/history-gay-2016-plan-a-3-01.php


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Par A.L.E.X. FL.A.M.BY.. - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 23:43

videos d'illustration ne prenez pas ça pour un conseil ! car...c'est vous qui voyez !

LA MAGIE DU CHIFFRE TROIS !

 

baise d'étudiants (SOUS ECSTASY ils ont pris trois doses d'ecstasy à 1h d'intervalle chacune ça fait partie des "conneries" que l'on peut faire dans sa jeunesse pour arriver à se deshiniber le plus vite qu'on peut ... )   Nous
Tout c'qu'on veut c'est être heureux
Être heureux avant d'être vieux
On n'a pas l'temps d'attendre d'avoir trente ans
Nous
Tout c'qu'on veut c'est être heureux
Être heureux avant d'être vieux
On prend tout c'qu'on peut prendre en attendant  Daniel Balavoine

 

 

 

    SI L'AUTRE  JOUIT POUR EUX C'EST UN SUCCES

        quel sens donner à cette animation ? positif ou negatif ? 

 

Résultat de recherche d'images pour "GAY THREESOME ECSTASY ORGY" TROIS C'EST UN CHIFFRE PORTE-BONHEUR -lol-

DU SEXE  TOUS AZIMUTS ET DONC GAY A PROFUSION :   vous avez dit" paillarde ?

                                            partie hetero : 

Trois orfèvres, à la Saint Eloi
S'en allèr'nt dîner chez un autre orfèvre ;
Trois orfèvres, à la Saint Eloi
S'en allèr'nt dîner chez un autr'bourgeois
Ils ont baisé toute la famille :
La mère aux tétons, le père au cul, la fille au con.

Relevez, belles, votre blanc jupon,
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie les fesses,
Relevez, belles, votre blanc jupon,
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie le con !

La servante qui avait tout vu,
Leur dit : "Foutez-moi votre pine aux fesses" ;
La servante qui avait tout vu,
Leur dit : "Foutez-moi votre pine dans l'cul".
Ils l'ont baisée debout sur un'chaise,
La chaise a cassé, ils sont tombés sans débander.

                                               partie zoo

Les orfèvres, non contents de ça
Montèr'nt sur le toit pour baiser Minette :
Les orfèvres, non contents de ça,
Montèr'nt sur le toit, pour baiser le chat :
" Chat, petit chat, chat, tu m'égratignes,
Petit polisson, tu m'égratignes les roustons !"

 

                                              partie homo

Les orfèvres, chez le pâtissier
Entrèr'nt pour manger quelques friandises ;
Les orfèvres, chez le pâtissier,
Par les p'tits mitrons se fir'nt enculer.
Puis retirant leurs pin'plein's de merde
Ils ont sucé ça en guis'd'éclairs au chocolat.

Les orfèvres, chez le pèr'Balzar,
S'sont foutus des d'mis à travers la gueule ;
Les orfèvres, chez le pèr'Balzar,
Pour mieux pisser, retirèr'nt leur falzar.
Le pèr'Balzar, voyant leurs bit's immond's,
S'écria : " Je vais faire un'salad'de cervelas "

Les orfèvres, pour voir les rastas,
S'en fur'nt chez Vachett', café des p'tit's vaches ;
Les orfèvres, pour voir les rastas,
S'en fur'nt chez Vachett', café d'ces gens là.
Très excités par un gros Bulgare
Pour voir son anus ils ont mis c't enculé à nu.

                              partie delire trash

Les orfèvres, au son du canon,
Se retrouveront tous à la frontière ;
Les orfèvres, au son du canon,
En guis'de boulets, lanc'ront des étrons.
Bandant tous ainsi que des carmes,
A grands coups de vits repousseront les ennemis


 


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Par ALEX - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 09:54

Je regardais autour de moi en continuant de danser. Ce qui est cool en boite techno c'est la possibilité de fumer à l'intérieur, un vrai privilège. Ce qui permettait d'approcher les mecs pour demander une clope, un feu. Je voyais tous ces mâles danser avec de grands sourires accrochés aux lèvres, la MD faisant effet. Il y a 3 types de mec en boite electro, ceux qui kiffent le son, qui sont là pour danser et apprécier la musique, ceux qui kiffent les gens et la drogue, qui te sourient tout le temps et viennent te tripoter dans un but non sexuel, et les chasseurs. C'était eux que je visais. Ils étaient là pour abuser de la loque humaine sous drogue. Généralement ce sont de grands types baraqués à l'air très hétéro, après il suffit de savoir bien les choisir.

La musique était montée d'un cran, le BPM aussi. Toute la boîte était en transe sous les jeux de lumière lorsque je le remarquai. Un gars grand, musclé, moulé dans son débardeur gris. Un regard sévère et des veines prononcées. Ma bite gonflant soudainement à la vue de ce mâle, je me dirigeai vers lui discrètement en feignant de danser. Une fois à son niveau je m'approchai de lui pour lui demander une cigarette. Il me toisa du regard et sortit un paquet de clopes de marque slave. Il m'en tendit une, je maintenais son regard, je m'exhibais au travers de ce regard. Je pris la cigarette et l'allumai tout en le fixant des yeux. Il sourit et se gratta le paquet. Instantanément je baissai les yeux vers son entrejambe, je vis son grand geste pour remettre ses couilles en place. Putain quelle bosse. Je remontais vers la tête et voyait un visage suintant le vice et l'envie de baiser.  

 

Il me tendit à nouveau une cigarette et un briquet pour m'allumer la clope.
Je m'appelle Antonin, et lui c'est mon pote Jérémy et on voulait savoir si ça te plairait de nous suivre à mon appart.
Ils avaient l'air tellement sûrs d'eux, cela m'excitait au plus haut point. Je hochais bêtement la tête avec un sourire gourmand.

 

 

 

   
Par JEREMIE DOYAL - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 9 décembre 6 09 /12 /Déc 03:33

marre de me branler, un gode enfoncé dans le cul, en pensant à mes potes de la fac.La fac pour moi c'est à la fois un régal et un supplice car il y a tant de beaux mecs à mater et il est difficile de distinguer qui est gay et qui ne l'est pas !......à 19 ans Julien est bien décidé à réaliser son rêve : enfin se faire dépuceler. Il sera pénétré, pas défoncé, pas dosé ni fécondé     

 

     Stop it, stop looking at me...

   Une annonce sur un site gay gratuit décide Julien : "Actif bien membré cherche plan gay bien chaud et rapide, sans baratin ni prise de tête".  

J'ai répondu que ça me branchait, il m'a répondu : "OK, tu viens chez moi, tu me suces, je te baise, je jouis dans ton cul et tu te tires !" Au moins ça a l'avantage d'être clair ! En plus ça me convient tout à fait. J'ai décidé de me faire enfin prendre, j'en ai marre de me branler, un gode enfoncé dans le cul, en pensant à mes potes de la fac. En plus, la webcam montre un torse jeune, à la peau cuivrée, sans un poil, avec des pecs bien dessinés. Sans doute un Maghrébin, j'ai toujours fantasmé sur les Arabes; mon pote Sébastien s'est déjà fait baiser par un Marocain et il m'a avoué qu'il n'avait jamais autant joui ! D'après lui, ils sont tous membrés comme des ânes, seuls les Noirs ont d'aussi grosses bites qu'eux. Je lui demande son adresse, il habite du côté de La Villette; en métro, je dois mettre 20 à 25 minutes pour y aller. "Pas de problème, me répond mon correspondant, ma bite t'attend…"

J'ai un peu de chance, car j'arrive même plus vite que prévu. L'immeuble est plutôt vieux. Pas d'ascenseur, je monte au 3ème, sonne à la porte. On vient m'ouvrir. C'est bien un Maghrébin, la trentaine, une belle gueule, il me sourit et me fait entrer. Il est en survet Adidas noir; il n'est plus torse nu, mais je devine une silhouette sportive, celle d'un mec viril, comme je les aime. J'ai le cœur qui bat : c'est la première fois que je vais chez un homme qui veut clairement me prendre . Toutes mes aventures sexuelles ont été avec des garçons de mon âge, un peu par hasard, dans des boîtes, ou dans les chiottes du bahut, des trucs rapides sans pénétration; ou bien avec mon pote Sébastien des branlettes à deux, en matant un film gay; une seule fois je l'ai enculé, mais pas longtemps car j'ai éjaculé très vite, et lui avait trop mal et voulait que j'arrête… Aujourd'hui, -ce qui me fout un peu la trouille-, c'est que j'ai accepté qu'il me prenne… je n'ai jamais été pénétré par une queue de mec… ça doit faire mal… même si je me suis entraîné plus d'une fois avec un gode !

Il m'emmène dans la pièce principale, et on s'assoit sur un divan. Je le regarde un peu mieux : c'est vrai, il a une gueule de vrai mâle, à la limite un peu racaille. C'est pas pour me déplaire… même si je me demande comment les choses vont se passer… Très vite il avance son paquet vers mon visage ; " Alors ? t'aimes ça… la bite ?... Vas-y… ouvre ton paquet cadeau !" Et appuyant derrière ma tête, il me colle la gueule contre la bosse qui déforme son jogging. Je sens aussitôt que ce qu'il y a sous le tissu est dur. J'ouvre la bouche et saisis dans ma mâchoire ce bâton de chair qui est mon "cadeau"… La forme de sa queue apparaît alors clairement : une belle queue longue et raide se dessine le long de sa cuisse. Parole, il n'a pas de slip ! Putain, la queue de Sébastien est un modèle réduit en comparaison. Elle me rappelle une grosse bite que j'ai branlée dans des toilettes publiques il y a quelques mois… Déjà la queue d'un Arabe… Sans attendre, il baisse son froc et sa bite se détend comme un ressort, bien droite, heurtant mon nez au passage. Je fais un mouvement en arrière, surpris par la vigueur de ce membre se libérant du froc. Tout de suite, un parfum de sexe et d'urine me chatouille les narines. Et comme s'il était pressé que je passe à l'action, il approche son gland de ma bouche. Je lèche cette belle boule violacée, fendue par un méat profond, que la circoncision détache bien de la verge. Tout en passant ma langue sur cette extrémité turgescente, j'évalue la taille de l'engin. Il doit bien faire 22 ou 23 centimètres… et très épais avec ça ! Jusqu'à présent, je n'ai utilisé que des godes de 20 cm au maximum ! J'ai beau faire un effort, à m'en décrocher la mâchoire, je n'arrive pas à la faire entrer tout entière dans ma bouche… Il pousse à chaque fois… mais ma gorge n'arrive pas à avaler toute sa verge et j'ai des hauts-le-cœur qui m'obligent à tout recracher. "Lèche-moi les couilles !" Il a dit ça gentiment, et j'obéis aussitôt. Il a deux grosses boules, allongées, un peu comme des questches: même la couleur foncée rappelle les prunes. Il se rase, et j'aime ça, pas de poils qu'on avale, et les différentes parties de son sexe sont mieux mises en évidence : ses testicules tout comme sa bite elle-même, dont la taille exceptionnelle apparaît clairement. J'aurais aimé le raser, comme je le fais à Sébastien. A coup sûr, comme mon pote, sa queue doit gonfler et s'allonger au fur et à mesure qu'avance le rasage et c'est un vrai bonheur de tenir à la fin une bite en pleine érection, une queue, qui n'attend plus qu'une chose : être branlée !

Je m'applique dans ma fellation, enduisant bien son membre de salive, titillant son méat avec le bout de ma langue, gobant ses couilles une par une, ce qui provoque chez lui un mouvement de recul, comme si je lui faisais mal. Tout son corps dégage ce délicieux parfum viril des vrais males; et cette odeur devient céritablement enivrante quand je plonge mon nez sous ses couilles et que je lèche son scrotum. Il adore apparemment que je lui fasse çà et lâche un "Ah !" de jouissance chaque fois que ma langue s'aventure dans ce coin intime de son anatomie. Sans doute mes câlineries commencent à le chauffer, car il retire le haut de son survêt. Je revois son beau torse, aperçu grace à sa webcam, quand on s'est contactés. Superbe corps d'homme. Ses tétons sont bien dressés, ses pecs et ses abdominaux tendus. C'est pas le genre de mec super musclé, mais sous un épiderme très lisse et sans poils, on devine des muscles à fleur de peau, qui donnent à son corps une fermeté et une virilité sans équivoque. Je ne peux m'empêcher de caresser ce beau garçon, le premier vrai garçon bien foutu, qui me fait bander comme un dingue. A côté, Sébastien est déjà à son âge tout mou, il n'a pas cette silhouette de vrai mec, et je crois qu'avec quelques années de plus, il sera encore plus enrobé ! Je me régale à caresser ce corps sec et chaud, et j'ai l'impression que lui aussi aime que mes mains effleurent sa peau dans les moindres recoins.

- Tu es Marocain ?

- Oui… Pourquoi ?

- T'as un super corps ! J'adore… Et il sourit.

Et subitement, il se penche vers moi et m'embrasse !
Un baiser extraordinaire, très mouillé. Sa salive déborde des coins de ma bouche, sa langue fouille la mienne, empêche toute initiative de ma part. C'est la première fois que j'embrasse un Arabe, la première fois qu'une bouche me dévore de la sorte… Jamais avec mes copains on s'est roulé une pelle avec une telle fougue ! Et aussi brutalement qu'il ait commencé, il s'arrête, prend ma tête entre ses mains et l'accompagne jusqu'à sa bite pour que je reprenne ma fellation. Pendant que je le suce, il m'enlève mon polo et fait glisser son jogging vers le bas, puis s'en débarrasse. Il glisse une main le long de mes reins, sous mon jeans, puis sous mon slip et passe un doigt dans ma raie. Je me cambre… le contact de sa main entre mes fesses m'excite… Ce mouvement, que je n'ai pas pu réprimer, lui laisse deviner que je ne suis pas trop reticent à ce qu'il s'occupe de cette partie intime de mon anatomie. Il me redresse, baisse mon jeans et mon slip. Il peut maintenant voir que je bande à mort… autant que lui… Il m'entraîne dans la pièce à côté, où il me jette brutalement sur le lit. Je me retrouve couché sur le ventre, le cul en l'air, face à lui. Il saisit à pleines mains mes fesses et commence à les malaxer. Et, se couchant sur moi, tend sa bouche vers la mienne pour me rouler une nouvelle pelle. Très vite, il glisse le long de mon corps et commence à me mordiller les fesses. Il me les lèche… Je trémousse de plaisir… Je n'en peux plus quand je sens sa langue s'insinuer dans ma raie et s'arrêter sur ma rondelle. Comme quand il m'a roulé une pelle, il emploie une quantité incroyable de salive, que je sens couler sur mes couilles et me pénétrer en même temps que sa langue… On ne m'a jamais fait ça ! J'en gémis de plaisir, ce qui l'encourage à en faire encore davantage. Il a l'air déchaîné… Un doigt vient forcer mon sphincter; je le sens qui entre doucement, mais de plus en plus profondément… J'adore ! c'est bien plus jouissif que les godes que je m'enfile tout seul... Deux doigts. Il écarte bien les parois… il met en même temps la pointe de sa langue. Que c'est bon ! Je bande comme jamais. Je n'attends plus qu'une chose : qu'il me prenne ! Et tant pis si ça me fait mal, si sa queue est trop grosse, si j'ai mal au cul pendant une semaine !! J'ai trop envie de sentir sa chair chaude me pénétrer, sa longue et grosse bite me fourrager le fion, ses couilles frapper contre mes fesses. Et mon souhait va se réaliser. Tout en douceur… comme un pro qu'il est. Je m'étonne que la douleur ne soit pas plus forte… Ça me brûle… c'est vrai. Mais rien d'insupportable. Et si je ne sentais pas sa verge entrer et sortir, je pourrais croire qu'il n'a pas encore commencé à m'enculer… "Tu aimes ? Tu la sens ?" Je réponds ausssitôt que c'est la première fois que je me fais baiser, et que bien sûr j'adore…. Il rigole, content de dépuceler un jeune mec et que mon cul soit capable de recevoir son bel outil !

Comme pour me remercier, il me tend sa bouche pour qu'un nouveau baiser baveux consacre notre union. Puis il me met sur le côté, lève une de mes jambes et me prend dans cette nouvelle position. Sa queue entre encore plus profondément en moi. Je n'ai pas du tout mal et mon amant peut voir ma bite bien droite. Je suis super excité par ce qu'il me fait. Il faut dire qu'il baise come un chef. A se demander s'il ne fait pas çà professionnellement : n'est-il pas escort, ou acteur porno ? Il me baise dans cette position une bonne dizaine de minutes. Il transpire et la sueur colle nos deux corps. Il est bien chaud le mec et de temps en temps donne des coups de reins qui enfoncent encore plus sa queue en moi. Je ponctue ses coups de bite plus violents d'un "ha !" plaintif, qui ne le dissuade pas de recommencer. Je sens qu'il est heureux, qu'il apprécie de me posséder, de baiser un mec à la peau claire… encore puceau ! Il me demande : -"T'as quel âge ?" -"Dix-neuf." -"Dix-neuf ??" Il arrête de m'enculer et m'embrasse. Mais cette fois plus posément, comme un amoureux, tendrement. Il retire sa queue de mon cul et me demande de me mettre à quatre pattes. Tout en introduisant de nouveau sa queue entre mes fesses, il répète : -"19 !???... et t'avais jamais fait l'amour ?" -"Si… avec un copain, mais pas comme çà…" " -Comment pas comme çà ? Tu aimes comme je te baise ?" -"C'est clair… on voit que t'as de l'expérience…" Il s'arrête, sort sa queue, se couche sur le dos : -"Allez, à toi ! Amuse-toi avec ma queue ! Assieds-toi dessus et fais-la bien rentrer !" En me disant ça, ses yeux brillent d'envie; il est heureux que je sois son jouet. Mais moi aussi je suis comblé : en une seule fois, je goûte à tous les plaisirs qui s'offrent à un passif. Sans me faire prier, je m'empale sur son dard toujours aussi raide et dur. Mais très vite, je sens que la brûlure est intolérable : sa bite n'est entrée qu'à moitié et j'ai l'impression qu'elle me transperce de haut en bas. J'interromps la pénétration, mais mon amant pousse sa queue vers le haut pour, croit-il, m'aider. Pour la première fois, je gémis de douleur et le supplie d'arrêter. On se couche tous les deux sur le côté. -"Tu veux pas que je te la mette bien au fond… j'ai envie de te donner mon jus…" -"Non, pas comme çà…ça fait trop mal…" Il paraît ne pas comprendre ce qui m'arrive : que se passé-t-il j'étais si content de ce qu'il me faisait… Puis, résigné, il se met à se masturber, lentement, faisant tourner sa main autour de sa queue. Sa bite circoncise ne coulisse pas bien, mais elle est de plus en plus gonflée, les veines de plus en plus apparentes; C'est beau de voir un beau mec bien membré se branler. J'approche ma bouche de son gland et lèche ce beau sexe violacé. Il est à genoux devant moi et semble prêt à décharger son arme. J'observe avec intérêt ce beau zeb d'Arabe sur le point d'éjaculer. Mais, je me trompe, mon bel amant va encore s'astiquer le chibre pendant cinq longues minutes avant de lâcher son premier jet de foutre. Une giclée qui va tout droit sur ma gueule, suivie de trois ou quatre autres tout aussi puissantes. Et mon amant me tend sa queue, d'où coule un filet de sperme : -"Vas-y ! nettoie-la bien… laisse rien perdre, c'est des vitamines !" "Tu aimes ?", me demande-t-il. -"J'adore… c'est super bon… en plus ton sperme est super épais !" -"T'es un vicieux, toi !"

On s'arrête, pourtant je n'ai pas joui… Mais je pourrai toujours me branler ce soir dans mon lit en pensant à ce que je viens de vivre. Je me rhabille en vitesse. Lui reste à poil et me regarde. Puis il s'approche et me roule une dernière pelle. Je lui demande : -"Tu t'appelles comment ? " -"Karim… et toi ?" -"Julien… On pourra se revoir et faire l'amour une autre fois ?" -"Imposible, ça fait deux ans que je vis en Espagne… et je rentre chez moi demain. Ici, c'est la maison d'un cousin… Mais je n'oublierai pas ton beau cul et notre baise de cet après-midi." Et il m'embrasse une dernière fois.¤

 

fresque :

la Paix soit avec NOUS les escorts ... 

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  Notes : lire l'histoire sur son site d'origine : CYRILLO  http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2015-Le-Marocain-01.php

 

 


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Par Julien - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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