Partager l'article ! LOVE la boîte à bac d'été sans critiques : on y apprend les plaisirs homosexuels juste avant l'envol vers la cité universitaire et l'amour U: ...
cette expérience a orienté, plus que mes études, toute ma vie
http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/pension-entre-garcons-sujet_1266_3.htm
C'était l'été et j'avais presque dix huit ans.
Je n'étais pas une lumière à l'école et je préférais de loin m'amuser plutôt que suivre les cours. J'avais redoublé une première fois et le conseil
de classe m'avait généreusement admis à tripler. Autant dire que mes parents n'étaient pas spécialement fous de joie et après une bonne raclée, ils ont réussi à négocier que je passe en première
en contrepartie d'un été en pension pour rattraper mon retard.
J'ai donc été envoyé pendant 3 mois en pension à Toulouse au lieu de partir avec le club de rugby comme les années précédentes.
Arrivé dans cette pension catholique, j'ai aussitôt pris mes marques. Nous étions tous réunis dans une ancienne salle de classe reconvertie pour
l'internet estival en dortoir pour une dizaine d'élèves.
Dès le premier jour, j'avais sympathisé avec Lionel, blond, plutôt mince et timide. Il venait lui aussi de Bordeaux. Nous avons posé nos affaires
dans un coin de la pièce. Lionel a pris le lit de dessous et moi celui au dessus.
Les premiers jours de cours se sont bien passés. Nous travaillions le matin et l'après midi était réservé à toutes sortes d'activité. Je m'étais
naturellement inscrit dans l'équipe de Rugby et Lionel également, à ma grande surprise compte tenu de son gabarit plutôt léger.
Notre prof de sport semblait de toute évidence aimer les jeunes garçons. Il ne ratait aucune occasion pour passer dans les vestiaires et nous mater
sous divers prétextes. Les autres élèves avaient remarqué le manège et provoquaient volontaire le prof en restant longtemps à poils en entretenant des début d'érection visibles à tous.
Je suis rentré dans ce jeu et alors que je me balladais à poils en bandant légèremment, je me suis appercu que Lionel me matait discrètement. Quand
il s'est apperçu que j'avais suivi son regard, il est devenu écarlate, s'est habillé et a filé.
Le lendemain, après l'entrainement de rugby, Matthieu, un élève de 17 ans avait lancé sous la douche un défit consistant à démontrer qu'il était
capable de se branler et d'éjaculer en moins de 2 minutes. Le défit lancé, il a commencé à se palucher sous la douche devant tout le monde, l'un d'entre nous chronomètrant la performance. Pendant
que je regardais ce spectacle, j'ai pu remarquer que Lionel avait une érection qu'il avait du mal à cacher. Il semblait ne pas vouloir quitter les douches pour éviter d'être remarqué et restait
plus ou moins à l'écart.
Après que Matthieu eut terminé son exploit en ne dépassant que de 15 secondes le délai imparti, Lionel est rentré dans une cabine de vestiaire et je
me suis mis dans celle à coté de la sienne.
Je suis alors monté sur le banc de ma cabine pour demander à Lionel son peigne. Mais, alors que je venais de passer la tête par dessus la
séparation, j'ai vu Lionel en train de se branler discrétement. Je suis resté quelques secondes à le regarder faire et sentais que mon caleçon avait du mal à contenir mon érection.
Au bout d'un moment, comme si de rien n'était, j'ai demandé à Lionel son peigne. Il m'a alors vu et avait surtout remarqué que je l'observais depuis
un moment. Il était manisfestement gêné et ne savait plus ou se mettre.
Je lui ai alors dit qu'il pouvait continuer et je lui ai demandé si cela le dérangeait que je le regarde.
Lionel m'a alors souri et a repris sa branlette en se tournant vers moi. Pour ma part avec une main, je commencais à me carresser.
Mais en équilibre précaire sur la pointe des pieds, je commençais à tenir de plus en plus difficilement . Je lui ai alors demandé si je pouvais
venir dans sa cabine et Lionel a de nouveau souri.
Discrétement, dans le chahut du vestiaire, j'ai escaladé la séparation et me suis glissé dans la cabine de Lionel.
En m'appuyant sur son banc, mon pied a glissé et j'ai trébuché. je me suis alors accroché à lui et ai senti sa bite s'écraser contre mon
torse.
je n'avais jamais senti une autre bite que la mienne et ce premier contact raviva mon érection de plus belle.
La cabine était étroite et nous tenions difficilement tous les deux sans nous toucher.
Lionel a repris sa branlette et je me suis mis également à me branler doucement en le regardant dans les yeux.
Lionel me fixait en me souriant et je fus pris d'une irrésistible envie de l'embrasser. J'ai posé mes lèvres sur les siennes et l'ai serré dans mes
bras. Lionel se laissait faire. Avec mes mains je caressais son corps jusqu'à rencontrer sa bite que je me suis mis à branler doucement. Lionel gémissait.
je me suis alors assis sur le banc et je me suis mis à regarder sa queue de près. Elle sentait bon le savon et se dressait à quelques centimètres
seulement de ma bouche. Lionel me regardait et semblait me supplier. J'ai alors fait courir ma langue autour de son gland et l'ai sucé tout doucement. J'étais pour ma part surpris de plaisir que
je ressentais en sucant un garçon. Lionel se laissait faire et fermait les yeux. Pendant ce temps, je me branlais de ma main gauche et caressais ses fesses en dirigeant de plus en plus mes doigts
vers son cul.
Mon index avait trouvé son trou et titillait l'entrée. Au bout de quelques secondes, j'enfilais mon doigt dans le trou de Lionel qui gémit puis
j'initiais quelques va et vient lorsque Lionel se raidit et m'éjacula dans la bouche.
Lionel se mit alors à genoux et me suca à son tour quelques instants avant que j'éjacule sur son cou.
On est resté ainsi quelques minutes à reprendre nos esprits et à s'embrasser.
Je suis alors repassé dans ma cabine et, en sortant du vestiaire Lionel et moi sommes remontés au dortoir.
En remontant au dortoir, nous avons croisé Antoine, le prof de sport qui nous regarda d'un oeil lubrique. Il nous arrêta et nous demanda d'où nous
sortions.
On lui répondit qu'on sortait des vestiaires et il se mit à sourire franchement.
Il nous dit alors : c'est curieux car j'en viens et il n'y avait plus personne. je m'apprétais à les fermer. Encore deux minutes de plus et vous y
passiez la nuit ... mais peut-être que cela ne vous aurait pas derangés".
Lionel était paniqué et Antoine poursuivit : "montrez moi où vous étiez pour que je vous vois pas".
Antoine nous obligea à le suivre en direction du vestiaire et, arrivés en bas, nous demanda où nous étions.
On lui montra nos cabines situées au fond du vestiaire qu'il inspecta minutieusement. Soudain il s'arrêta devant une goutte par terre qui avait dû
couler : c'était mon sperme.
Il mit le doigt dessus, la fit rouler entre ses doigt puis y goûta ...
Lionel semblait sur le point de defaillir, pensant que nous étions bons pour un nombre d' heures de colle record. Pour ma part,
j'imaginais plutôt que Antoine nous trouverait une autre punition.
Il se tourna vers nous et nous dit : maintenant, montrez moi ce que vous faisiez pour mettre autant de temps à vous habiller.
Il mit sa main sur mon épaule et appuya afin que je me mette à genoux. Puis, il ouvrit sa ceinture et baissa son pantalon. Il me demanda de sortir
sa bite de son caleçon, ce qui ne me demanda que peu d'effort puisqu'il craquait de tous cotés.
Aussitôt après le départ de Lionel, je m'étais retourné et avais regardé Matthieu qui avait suivi toute la scène.
Matthieu était bien plus fort que moi et je n'avais pas la possibilité, comme Lionel, de mettre en pratique 10 ans de judo pour chasser de son
visage le sourire narquois qu'il affichait.
Je suis donc remonté dans le dortoir, me suis couché sur mon lit et j'ai commencé à lire l'un des livres dont on nous avait demandé de faire la
lecture pour nos cours de français.
Mais j'ai réalisé que mon esprit n'arrivait pas à se concentrer sur ma lecture. Mes yeux suivaient les lignes et mes doigts tournaient les pages
mais mon esprit était ailleurs.
Je pensais à cette semaine, à Lionel, à cette première fois et aux sentiments qui m'animaient. J'étais amoureux et savoir Lionel parti me rendait
triste. J'imaginais son corps, sa bouche. Je pouvais sentir son odeur encore enfermée dans les draps de son lit situé sous le mien. Il me manquait et je rêvais tout éveillé de son sourire, de
ses bras, des parfums de son sexe.
Perdu dans ces pensées, je n'avais pas remarqué qu'Antoine me surveillait depuis le pas de la porte.
J'avais glissé ma main dans mon caleçon et avais dégraffé les boutons de mon jean. les jambes légèremment repliées, je me caressais doucement en
pensant être seul. L'excitation montait en moi progressivement et je laissais courir dans mon imagination de vieux fantasmes tout en m'éfforcant de ne pas penser à Lionel que je respectais
trop.
Soudain, Antoine s'approcha et, en l'apercevant, d'un mouvement brusque, je sortis ma main de mon caleçon, posai mon livre sur mon jean et lui
lança : "si tu comptes me refaire le coup du vestiaire, cette fois-ci je ne me laisserai pas faire"
Mais Antoine avait déjà posé sa main sur mon jean et fouillait de ses doigts mon caleçon.
J'ai alors remarqué que la porte du dortoir était fermée et Antoine, après avoir attrapé mon sexe encore gonflé du plaisir solitaire que je
m'accordais, se mis à me sucer doucement. J'étais terrifié mais n'osais pas bouger.
Curieusement, et malgré mes efforts pour débander et décourager Antoine, ses coups de langues, la caresse de ses lèvres le long de ma bite
finissaient par me procurer du plaisir et je bandais de plus belle.
Au bout de quelques instants, Antoine me pompa énergiquement et malaxant mes couilles. Je sentis un doigt me caresser l'anus puis rentrer
doucement en contact avec le point sensible qui devait être ma prostate.
Mon corps se raidit et je gémissais de plaisir ce qui encourageait plus encore Antoine qui cette fois me suça en alternant les rythmes lents et
rapides et accompagnant ses lèvres avec sa main.
Antoine avait glissé plusieurs doigts en moi sans que je puisse en connaitre le nombre précisément. Les mouvements
de ses doigts, le contact de ses lèvres sur ma bite m'amenèrent ainsi jusqu'à l'orgasme et je me mis à éjaculer dans la bouche d'Antoine qui avala chacune de mes jiclées sans laisser tomber la
moindre goutte.
Antoine s'essuya les doigts avec les draps de Lionel laissant une trace suspecte sur un coin des draps blancs puis partit en me lancant : "un
partout, la prochaine fois je t'enculerai sauvagement !"
J'étais dans un état étrange : entre la petite mort du plaisir que je venais de ressentir et la honte de m'être laissé faire si facilement. Je
réalisais que ce comportement risquait d'encourager Antoine à recommencer. Mais une petite voix en moi semblait crier "chic".
J'ai chassé cette idée en pensant à Lionel, et en filant sous la douche pour me laver de cette impression de saleté qu'Antoine avait laissée sur
moi.
Ensuite, après cette douche, je décidai de me rendre en salle d'étude pour éviter tout incident similaire. Mais c'était sans compter sur le fait
qu'Antoine était justement chargé de surveiller la salle. Ses regards sur moi me mirent mal à l'aise et j'ai alors préféré partir plutôt que de risquer qu'il perçoive ma présence comme une
invitation supplémentaire.
Je m'assis donc dans le parc près de l'eau et repris ma lecture sans plus de concentration.
J'ai passé le reste de la journée à lire, me balader, et aussi à me demander ce qu'il advenait de Lionel à ce même moment. J'imaginais son père
decouvrant la revue, puis lui coller une raclée monummentale digne de celle que Lionel avait infligée à Matthieu.
J'imaginais aussi que si tel était le cas, ses parents ne le reconduiraient pas en pension et que je ne le verrais plus jamais. Je ne connaissais
même pas son numéro de téléphone.
Le soir, en allant me coucher avec les autres garçons restés pour le week-end, nous avons lancé l'idée d'une partie de tarot (jeu très prisé
chez-nous dans le sud ouest).
Parmi les garçons du dortoir, certains avaient eu vent de la rumeur me concernant confirmée par la réaction de Lionel et aussi par Matthieu qui
ayant découvert la revue porno, avait désormais la certitude que nous étions gay !
Mais ces garçons étaient assez sympa et je les appréciais. Laurent, le plus agé, lanca l'idée d'un strip tarot à gages ! A peine avait-il lancé
l'idée des nouvelles règles, et sans me l'expliquer, je me mis à bander comme un âne.
Un des garçons devint écarlate et sembalit hésiter. Mais Laurent lança alors : "allez, fait pas ta chochotte ! T'en as déjà vu des bites dans les
douches. tu es d'ailleurs l'un de ceux qui s'y attardent le plus ..." Après ces mots, la petite assemblée composée de Laurent, Marc, Alex, JF et moi sinstalla sur un lit dans un coin et se
prépara. Chacun d'entre nous avait filé s'habiller de multiples couches de vêtements malgré la moiteur du dortoir, pour rester le plus longtemps possible vêtu.
La partie commencça et chacun d'entre nous se prit au jeu.
Au bout de deux heures et de multiples tours, Alex et moi ayant gagné à plusieurs reprises grace à des appels bienvenus au roi , restions les plus
habillés. En revanche Marc, le plus hésitant d'entre nous, restait couvert par son caleçon, son t-shirt et ses chaussettes.
Le gage du perdant encore inconnu à ce moment de la partie avait été glissé dans une trousse sur des petits papiers rédigés par chacun de nous. Le
perdant devrait donc tirer son gage sans savoir ce qui l'attendait.
Une demi heure plus tard Laurent n'avait plus que son caleçon et la partie entamée ne lui donnait que peu d'espoir de le garder. Après comptage et
recomptage, l'équipe de Laurent avait perdu et il dut abandonner son caleçon devant nous. JF, dans une excitation visible de tous à travers son slip trop étroit, tendit à Laurent la trousse
pour qu'il dévoile à tous le gage qu'il devrait subir. Nous étions tous contents de voir que finalement, celui ayant proposé cette partie soit finalement pris à son propre piège.
Laurent tira son sort, le lut, et dans une certaine hésitation nous le fit passer. C'était l'écriture de Marc, je la reconnaissais.
Sur ce papier était écrit : "fais une pipe à tous les joueurs !"
Laurent s'indigna et demanda qui avait écrit ce mot. Mais personne ne repondit et JF avait déjà baissé son slip et tendait sa bite en érection à
Laurent. Nous fîmes tous de même et seul Marc semblait peu excité par cette situation bien que ce soit son sort qui ait été tiré.
Laurent s'agenouilla devant JF, approcha ses lèvres de sa bite puis commença doucement à le pomper devant nous. Alex se branlait en voyant la
scène et Marc avait fini par bander à son tour. Il regardait discrétement Alex se branler et semblait y trouver beaucoup de plaisir. Puis Laurent se tourna vers moi et se mit à me sucer à mon
tour. Je sentais sa langue sur mon gland frotter les bords et je fus pris de quelques frissons de plaisir. JF qui avait poursuivi en se branlant se tourna vers moi, se colla à coté pour pointer
de nouveau sa bite vers la bouche de Laurent. A ce moment, Marc et Alex se rapprochèrent également et nous formions ainsi un cercle au milieu duquel Laurent assailli par nos bites, tournait et
tournait encore en dispensant ses coups de langue à chacun. Je sentis tout d'un coup une main posée sur les fesses les pelotant. C'était celle de JF qui à ce même moment approcha ses lèvres des
miennes et m'embrassa. Je n'avais pas remarqué qu'Alex et Marc en faisaient de même, Alex ayant sa main posée sur la queue de Marc qu'il caressait.
Les lèvres de Laurent, les mains de JF me caressant les fesses puis me branlant franchement, et la vision de Marc et Alex s'adonnant à de mêmes
plaisirs pendant que Laurent branlait et sucait tout ce qui se présentait à lui, provoqua un gémissement commun suivi avec quelques secondes de décalage par des éjaculations nourries dont
Laurent fit les frais.
Ses cheveux, ses épaules, son dos, son visage étaient couverts de sperme qui lui glissait sur les lèvres, les oreilles et les yeux.
Après cette partie, Marc et Alex se couchèrent dans le même lit, continuant à s'embrasser pendant que Laurent fila sous la douche.
Après nous être couchés, bien plus tard dans la nuit, nous pûmes entendre les craquements saccadés du lit d'Alex qui indiquaient avec évidence,
qu'une branlette avait lieu dans une relative intimité que nous ne semblions pas invités à partager autrement qu'en écoutant les soupirs et gémissements.
Le dimanche soir, Lionel et moi sommes repartis nous balader près du fleuve qui courait le long du parc de la pension. Assis sur la berge, à
quelques mètres seulement de l'eau, nous respirions à plein poumons ce sentiment de bonheur qui semblait remplir l'air.
Lionel était content et je ne tenais pas à évoquer les évènements qui s'étaient produits durant son absence. Je restais assis, ma main effleurant
la sienne et riant aux blagues qu'il racontait en se moquant du dîner de famille auquel il avait assisté la veille.
Lentement, dans le crepuscule, les formes de son corps se détachaient en jeu d'ombre qui poussait mes mains à vouloir redécouvrir la forme de ses
cuisses sur lesquelles elles se promenaient.
Lionel s'allongea et se laissa faire ainsi. Ma main courait sur ses membres et remontait plus timidement vers son entrejambe en s'y
attardant de plus en plus. Cette main eut alors son succès puisque doucement, les formes qu'elle caressait évoluaient en laissant deviner le sexe tendu de Lionel. Ma main limitait donc
ses mouvements à cette forme qui, à travers le pantalon, laissait passer une chaleur douce.
Ma seconde main jusque là en reste, ouvrit les boutons du pantalon de Lionel pour s'y glisser. Après avoir traversé le pubis de Lionel, elle
se heurta rapidement à la forme devinée par l'autre main. Ce contact chaud et doux me poussa à baisser un peu le pantalon de Lionel pour que les mouvements soient plus libres. En soulevant
légèrement son boxer, son sexe jaillit tendu vers son nombril et indiquait par la goutte qui perlait au bout l'excitation de mon amant. Du bout des doigts, je récoltai cette goutte en la
portant à mes lèvres pendant que Lionel me regardait.
Puis je plongeai ma tête vers ce sexe pour lécher le gland rosé que le prépuce venait de libérer. Dans ma bouche, la bite de Lionel se gonfla plus encore et mes mouvements et coups de langue prirent un rythme tantôt lent, tantôt plus rapide à mesure que je sentais le sexe
se tendre et se détendre. J'accompagnais les mouvements de mes lèvres par des caresses sur les testicules, caresses qui progressivement s'orientèrent vers son anus. Je titillais cette
petite porte étroite du bout des doigts que j'humidifiais de temps en temps de salive. En quelques instants un doigt puis deux purent ainsi se réfugier bien au chaud et découvrir son point
sensible, probablement sa prostate.
A mesure que ma bouche et mes doigts s'excitaient, Lionel gémit de plus en plus jusqu'à ce que, après que son sexe se soit tendu longuement une
dernière fois, trois longues giclées de sperme inondèrent ma bouche.
Je laissais mes doigts quelques temps ainsi et couservais dans ma bouche la bite de Lionel qui lentement reprenait, à ma déception, ses dimensions
de repos.
Quelques instants après, Lionel remontait son caleçon et son pantalon et m'embrassait tout en semblant rechercher autour de ma langue le goût de
son sperme.
Nous restâmes ainsi quelques temps encore puis nous retournâmes vers le dortoir sur le chemin duquel Antoine semblait nous attendre ...
Le vent était chaud et nos corps l'étaient encore après ce moment de plaisir, à mesure que nous avancions la silhouette d Antoine se précisait
devant la porte. Il nous fixait avec son habituel sourire narquois et semblait impatient de nous voir. Lionel me murmura que si Antoine nous faisait encore un coup comme celui des vestiaires il
était prêt à le frapper encore plus fort que Matthieu. Je le rassurai en lui disant qu il ne ferait rien car le directeur devait être lui aussi dans les couloirs. Dans mon esprit la vision de
mon sperme giclant sur Antoine réaparut et je sentis une légère contraction dans mon boxer, et malgrè ma haine envers lui il m'était impossible de la faire disparaître.
" Tiens mais c'est mon couple préféré, lança Antoine, j espère que c' était bon ". Je dus me retenir de ne pas lui dire oui juste pour voir sa
réaction. Une fois face à lui il mit sa main sur mon épaule pour me retenir et insista pour avoir une réponse. Lionel lui répondit que ma bite était bien meilleure que la sienne. A cet instant
Antoine rougit, moitié honteux moitié en colére, il appuya sur mon épaule inconsciemment et je resentis une douleur. Il nous fixait toujours et s'avanca vers Lionel pour le mettre à genoux,
Lionel le défiait du regard.
" Lâche le ! "
Cette phrase ne venait ni de moi ni de Lionel, c était le directeur qui venait d arriver au bout du couloir, Antoine obéit sans broncher. "
Comment osez vous toucher un élève même à l épaule ? " Antoine répondit que c'était uniquement pour nous menacer car nous n avions rien à faire dehors à cette heure ci ." Peu importe, pas de
contact avec les élèves ! Vous connaissez pourtant le réglement " rétorqua le directeur. Antoine ne sut quoi dire car il était coupé dans son élan. Le directeur se tourna vers nous avec un
regard noir et nous donna deux heures de colle le lendemain après midi pour être sortis hors du couvre-feu. Nous nous excusâmes auprès de lui en disant que ce serait la dernière fois. Il nous
envoya dans notre chambre et nous obéîmes rapidemment, en montant l'escalier je regardais Lionel en souriant et lui dis " Tu vois je te l'avais dit ". Il sourit également et me dit que c'était
la première fois où il était heureux de voir le directeur. Une fois dans la chambre les autres dormaient déjà . J ai enfilé un t shirt et enlevé mon pantalon, mais pour la première fois je
me glissai dans le lit de Lionel au lieu de monter dans le mien. Lionel fut surpris mais accepta sans hésiter.
Il se colla contre le mur afin de me laisser de la place, je me retrouvais ainsi face à lui, face à sa bouche. Je l'ai embrassé tendrement,
pendant ce temps ma main longea son corps pour atteindre son caleçon. Je sentis la chaleur et la solidité de son sexe. Ma main rentra dans son calson et à cet instant sa bite se raidit encore
plus, je commencais à faire des va et viens. Lionel mit à son tour la main dans mon boxer et fit de même. Après quelques secondes j'allongeai Lionel sur le dos et me mis à le sucer. Son gland
était si chaud et si bon dans ma bouche, j aurais voulu qu'il n' en sorte jamais. Lionel gémit doucement je poursuivis en accélérant les mouvements de ma bouche. Lionel me tira les jambes et
les mit sur son torse, à cet instant je sentis sa langue se frotter contre mon gland. Cette sensation nouvelle me fit gémir et Lionel gémissait encore plus fort. Le goût de sa bite dans ma
bouche et le plaisir qu'il faisait avec sa langue sur mon sexe me fit bander encore plus. Au bout de 5 minutes de plaisir intense, je recus une giclée de sperme de la part de Lionel,
il me fallut peu de temps pour en faire autant. Après cela nous avons passé la nuit l'un à coté de l'autre et je m endormis rapidement tout en regardant Lionel qui me souriait tendrement.
Ce week end les élèves devaient rester au pensionnat afin de réviser le plus possible pour le bac et nous étions tous dans la salle d'étude avec
le prof de français pour préparer l'oral. Le prof nous donnait quelques conseils comme bien articuler ou éviter de lire nos notes trop souvent. J'étais assis au fond de la classe avec Lionel et
malgrè l'importance de ce cours mon seul désir était d'être seul avec lui, on se souriait, mes yeux ne pouvaient quitter les siens et je dus me retenir pour ne pas l'embrasser.
A la fin du cours nous sommes sortis pour nous asseoir près de la rivière, il faisait beau et très chaud, plusieurs élèves étaient dans l'eau pour
se rafraîchir. Il y a quelques temps j'aurais regardé ces beaux corps humides et musclés mais je m'en fichais car je ne voulais plus que Lionel, son sourire, ses yeux, son corps, son affection.
Nous restions là à profiter du soleil et de ce moment de tranquilité, intimement je souhaitais que ce moment dure éternellement. Pour ne pas éveiller les soupçons nous parlions de notre famille
respective et j'appris que Lionel avait un petit frère de 10 ans. Pour ma part j'étais fils unique, cela me convenait très bien car j'avais toute l'attention de mes parents et aucune dispute
avec un frère contrairement à Lionel. Il m'expliqua que son frère n'arrêtait pas de lui prendre sa console et que ses parents le défendaient toujours quoi qu'il arrive, mais malgré cela sa
famille lui manquait beaucoup et la mienne me manquait aussi. Nous avons aussi parlé de foot et de séries tv tout l'après midi, j appris qu'il adorait dr house tout comme moi mais détestait
desperate housewives.
Après quelques heures tout le monde partit manger, Lionel et moi restions là, seul à seul. Le soleil se couchait et nous étions désormais près des
arbres là où personne ne pouvait nous voir au cas où quelqu un préférerait fumer avant de manger. Je poussais Lionel contre un arbre et me mis à l'embrasser, c'était si bon de pouvoir enfin
l'embrasser. Lionel glissa ses doigts dans mon boxer, mon sexe était déjà dur depuis un moment et je sentais que celui de Lionel l'était également. Je me baissai et ouvrit son jean, je mis sa
bite dans ma bouche ma langue tournait très vite sur son gland et il se durcit très vite. Lionel fit des va et vient dans ma bouche et gémissait de plaisir. Ensuite je me mis à toucher son cul
en me rapprochant doucement de son anus, je réussis à glisser un doigt puis deux. Lionel adorait cela et se retourna en se cambrant. J'introduisit mon sexe dans son cul facilement, c'était si
chaud et si bon Lionel gémissait et après deux minutes j'inondais son intérieur de sperme bien chaud. Lionel était aux anges et moi je jouissais en lui pour la première fois.
Après nous être rhabillés nous restions là fatigués mais heureux, Lionel me regarda et me dit : Je t'aime Nathan.
Si je m attendais à ça !!! Lionel qui me balance sans prévenir " je t aime " sur le moment je ne savais pas quoi faire puis soudain le bonheur et
l'excitation montaient en moi si brusquement que je me suis jeté dans ses bras pour le serrer très fort en lui disant " Moi aussi je t'aime ". Cette étreinte dura un moment car j avais les
larmes aux yeux, de joie bien sûr, mais je ne voulais pas que Lionel le remarque.
" Lève-toi on va être en retard ". J'ouvris les yeux et vis Lionel assis sur le bord de mon lit qui venait me réveiller avec son immense sourire
habituel. Pour la première fois depuis très longtemps j'avais passé une nuit agréable, à peine levé je me remémorai ce moment magique où Lionel m'a avoué ses sentiments. Lionel baissait son
regard, je vis que mon pénis était dur et que cela était très visible je dus m'habiller rapidemment pour éviter que les autres le remarquent mais Alex fut rapide " Tu es en forme ce matin ! ".
Mon pantalon était au niveau de mes genoux, je lui répondis que si cela l' excitait il pouvait toujours venir toucher, Alex rougit et sortit de la chambre pendant que les autres
riaient.
La journée passa très vite Au diner le directeur nous annonça que nous pourrions rentrer chez nous ce week end afin de réviser tranquillement tout
en revoyant notre famille. J étais ravi de pouvoir enfin rentrer chez moi mais il y avait un souci : je ne serais pas avec Lionel ! Le soir les garçons organisèrent un petit tournoi de cartes
mais je n en avais pas très envie, je voulais réfléchir. Lionel décida d' y aller pour ne pas éveiller les soupçons des autres en restant encore avec moi, je me retrouvais donc seul à l étage
et je me dirigeais vers ma chambre. Soudain je sentis une main sur mon épaule mais surprise ce n était pas Lionel mais Antoine ( le prof ). " Enfin seul, je te rappelle que je dois te faire
quelque chose " il ouvrit la chambre et la referma aussitot, " Tu comptes faire quoi ?! " il ne me répondit pas et me retourna contre le mur. Il baissa son pantalon ainsi que le mien et y
glissa direct 2 doigts, ils étaient si chauds et ils rentrèrent rapidemment dans mon cul, de l autre main il se mit à me branler et mon sexe réagit aussitot. " Ahah je savais que tu attendais
ça, dit il en riant, mais je peux faire mieux ". Il se mit à genoux, m écarta les fesses et mis sa langue contre mon anus je me mis à jouir c'était si bon ! Antoine fit bouger sa langue pour me
donner encore plus de plaisir et je criais de plus belle, il enfourna sa grosse bite dans mon cul bien assoupli et se mit à faire des va et vient. Sa bite était dure, je ressentis de la
douleur mais très vite cela se transforma en plaisir, après quelques minutes je me mis à crier une nouvelle fois Antoine cria aussi et me mit plusieurs giclées de sperme tout chaud. Après je me
retournai et mis ma bite dans la bouche d Antoine, il ne refusa pas et au bout de 2 minutes je lui giclai dans la bouche, il avalait tout et j étais aux anges. Nous nous sommes rhabillés et il
me lança avant de partir " La prochaine fois tu me la mets dans le cul " je lui répondit que j avais hâte d y être.
Au petit matin je me suis levé sans faire de bruit car les garçcons étaient rentrés tard hier et ils dormaient encore, mon regard se posa
sur Lionel mon beau Lionel qui ne se doutait pas de la monstrueuse erreur que j avais commise la veille. Le fait de le voir et d'imaginer sa réaction s'il savait me rendait malade et j'en avais
l'estomac noué. Une fois en cours je concentrai mon attention sur les cartes que le prof d histoire-géo nous expliquait pour ne pas croiser le regard de Lionel. " Ca te dirait de faire le tour
de l Europe tous les deux ? " Je fus surpris de la question de Lionel, l'idée même de voyager avec lui ne m était jamais venue à l esprit. Je lui répondis que cela serait super mais que mes
parents ne me laisseraient jamais partir car ils sont du genre à s'angoisser pour un rien.
Après avoir mangé nous sommes allés près de la rivière comme d habitude mais je n'étais pas d humeur à me détendre vu la nuit mouvementée de la
veille. Lionel se colla à moi et je mis ma tête sur son épaule, afin de ne pas y repenser je choisis de soulever une question majeure " Dis moi, on va pouvoir se voir cet été ? " Lionel
semblait gêné mais soulagé que la question vienne de moi. Il me répondit qu il viendrait le plus souvent possible car cela ne gênait pas ses parents de l'amener voir des copains. Il me dit
aussi qu il avait parlé de moi à ses parents et qu ils me voyaient comme son meilleur ami. S'ils savaient ! Cependant il fut un peu vexé car mes parents ignoraient tout de lui, en même temps,
je ne savais pas trop quoi leur dire. Nous passâmes un moment l'un avec l'autre et nous profitions de ce moment car nous avions peur de ne plus en avoir.
Le soir venu, nous étions dans la chambre, les autres jouaient encore aux cartes et nous étions dans mon lit. Lionel commença à glisser sa main
dans mon boxer mais je n'étais pas d'humeur au sexe " Et si on faisait un câlin sans sexe ? Je n'ai pas envie que notre histoire se résume à ça " Lionel fut surpris, limite déçu car je
sentais sa bite bien dure contre ma cuisse. " Tu as raison on peut passer une nuit sans gicler " Il émit un petit rire mais il sonnait faux. Je me sentis gêné mais je devais réfléchir à notre
avenir.
Le mercredi après midi nous révisions tous dehors pour le bac qui était lundi. Il faisait très chaud, nous transpirions et nos cahiers nous
collaient aux doigts. Je voulais parler seul à seul avec Lionel, je prétextais que je devais prendre mon cahier de svt dans ma chambre et Lionel me proposa de m'accompagner il a dû deviner. Une
fois dans la chambre, je tournai le verrou. " J ai bien réfléchi, je t'aime et je ne veux pas te perdre ! "
Lionel se jeta dans mes bras, les larmes aux yeux et me dit que lui aussi m'aimait et qu il allait tout faire pour que l'on passe le plus de
temps possible tous les deux pendant les vacs. J essuyais mes larmes sur mon t-shirt et me mis à l embrasser avec passion. C était si bon de l'embrasser. Je sentis ma bite se durcir et vira
aussi sec mon short, Lionel enleva le sien il n'avait rien en dessous. Je mis mon caleçon de coté et il se mit à me sucer. Il était assis sur son lit et j étais debout face à lui. Sa langue
lécha ma bite bien raide et je l ai mise illico dans sa bouche. C'était si bon que je me mis à geindre ( pas trop car nous devions être discrets ). Il se leva pour cracher dans le lavabo " Je
ne m y ferai jamais " Dit il en riant. " Je lui ai dit que son tour viendrait ce soir et il fut d accord d'attendre un peu pour ne pas éveiller les soupçons de nos camarades.
En sortant nous vîmes Antoine et Mathieu ( le méchant du début qui avait entretenu la rumeur que nous étions PD) ) sortir d'une chambre,
Antoine remettait sa ceinture et Mathieu était rouge. Je refermai la porte doucement pour ne pas être vu par le prof. Lionel et moi étions surpris....
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commentaire : non, il n'y a pas de fin à ce récit talentueux...
-"Pour ma part je ne suis pas choqué que Nathan n'avoue pas à Lionel qu'il a subi les assauts du prof. Je n'ai pas une idée de la fidélité qui ferait qu'une fois fait de vous une pute.."
-"il est hyper bien ce récit, je l'ai lu trois fois en 2 jours mais le seul truc qui me gène c'est qu'il n'y à pas vraiment de fin... On s'attend à autre chose et à un beau final... Désolé de cette critique mais je reste sur ma fin, malgré que le texte soit super ! "
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