MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit"

Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 08:17

que beaucoup de nos contemporains qui se croient sages fassent leurs se pénètrent de ces paroles japonaises du 7ème siècle.  

"Abstenons-nous de tout courroux et gardons-nous de jeter des regards irrités.
Et n'ayons nul ressentiment si les autres ne pensent pas comme nous.
Car tous les hommes ont un cœur, et chaque cœur a ses penchants.
Ce qui est bien pour autrui est mal pour nous, et ce qui est bien pour nous est mal pour autrui.
Nous ne sommes pas nécessairement des sages et les autres ne sont pas nécessairement des sots.
Nous ne sommes tous que des hommes ordinaires".

Prince Impérial Shôtoku (an 604)

Prince Impérial Shôtoku, Japon

Image associée  Image associée images Wikipedia (avec surprise)


commentaire: j'aurais peut-être fait ce mauvais jeu de mots, n'était mon profond et sincère respect pour (les paroles)du Prince

mais vue l'image érotique (publiée par Wikipédia svp !) mais là, Shoduku s'impose forcément. Bises à tou(te)s ! claudio.

Par Prince Impérial Shôtoku - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 24 août 4 24 /08 /Août 15:52

1997, Marius et Jeannette.  Robert Guédiguian voudrait sans doute nous faire partager son athéisme

 

émouvant monologue devant deux junes représentants des ethnies marseillaises

 

    Image associée Robert Guédiguian

   
Par claudio - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 août 2 08 /08 /Août 22:29

 Ce que vaut le transfert de Neymar : 193 200 Smic mensuels, ou 16 100 années de Smic,  2 Airbus A320 et demi ,15 971 Renault Clio,  

 

Neymar prend la tête du top 10 des joueurs les plus chers de l'histoire

Avec le paiement de sa clause libératoire de 222 millions d'euros, Neymar devient le joueur le plus cher de l'histoire, devant Paul Pogba. (Re)découvrez le Top 10 en images.

Neymar, 222 M€(Du FC Barcelone au PSG)
L’entrée de Neymar en tête de ce top 10 pousse Zinédine Zidane vers la sortie. Le mythique numéro 10 français ne fait plus partie des dix joueurs les plus chers de l’histoire. Avec une clause libératoire à 222 millions d’euros, Neymar arrive largement devant un autre français Paul Pogba. Pour le PSG et la Ligue 1, l’arrivée en France du Brésilien, qui se trouve à deux reprises dans ce classement, est porteuse de belles promesses. (F.Faugere/L'Equipe)

  et :  

 

journal l'humanité

Par MEDIA - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 2 août 3 02 /08 /Août 19:36

A: claudemodou@gmail.com

De :  nautonnier@.......fr  

Objet: ce VIOL tu as dû lire ça comme moi dans têtu ou dans  Yagg

 

 

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Tu sais quoi Claudio ? Fou, peut-être, mais je retiens cette phrase :
mais moi je suis différent dece bon sylvain . Quand je me suis trouvé devant l'équipe de violeurs, je me suis enfui en souhaitant qu'ils me poursuivent, me rattrapent et se livrent à des violences sur moi. En même temps, instinctivement, j'avais fui parce que je redoutais la violence sans limites. Depuis,( sans plus,) j'en ai des regrets. Au fond, je ne dois pas être le seul attiré et effrayé par le SM et ces histoires de viol et de violence elles ont reproduites et codées dans le SM
ci dessous  l'article de Yagg (bisous)
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19.05.2014 - 16 H 15 | voir les 6 COMMENTAIRES en cherchant les archives de Yagg

Témoignage: «Je m’appelle Sylvain, j’ai 39 ans et j’ai été violé par un homme»

Publié par YAGG

Sylvain a choisi de parler publiquement de ce qui lui est arrivé il y a 18 ans. Yagg vous livre son témoignage. Brut.

Sylvain Norget a 39 ans, il est photographe et vit à Bordeaux. Il y a 18 ans, il a été violé par un homme qu’il avait fait venir chez lui. Après des années de déni et de culpabilité, il tient à parler. Pour plusieurs raisons: pour lever un tabou, tout d’abord, celui du viol masculin ; pour que son histoire soit utile aux autres ensuite. Il réfléchit d’ailleurs à monter une association ou un groupe de parole à ce sujet. Si vous êtes dans le même cas que lui, il vous invite à le contacter. Laissez-nous vos coordonnées via YAGG et nous les lui transmettrons.

Photo Sylvain Norget autoportrait

En attendant, voici son témoignage. Brut.

«Je m’appelle Sylvain, j’ai 39 ans.

Il y a 18 ans j’ai laissé une annonce sur une messagerie gay, un homme y a répondu et il est venu chez moi à ma demande. Voilà ce que j’ai fait. Lui, il m’a battu, menacé, insulté et pénétré de force. C’est un viol et de ça, je ne suis pas responsable mais je vais devoir vivre avec toute ma vie et je sais qu’une partie est détruite à jamais.»

 

Cela a duré plusieurs minutes, peut être un quart d’heure, pas plus. Et il est parti. En quittant mon appartement il m’a menacé mais déjà, à ce moment-là, je ne l’entendais presque plus. J’avais besoin de passer à autre chose, d’oublier vite. Bien sûr il a fallu se laver, par réflexe j’imagine. Je devais sortir avec des amies ce soir là. Elles sont venues me chercher comme prévu. Je les ai suivis et nous sommes allés diner dehors. En quittant mon immeuble j’ai eu peur qu’il soit encore là. Non, il était vraiment parti.
Les heures qui suivirent ont été étranges, je ne pensais plus à lui ou de moins en moins, puis plus du tout. J’ai ri avec elles, je me suis amusé. La soirée fut agréable. Je suis rentré chez moi et j’ai oublié très vite. J’ai oublié que pendant une demi heure, j’ai été violé. De toute façon le mot n’était même pas admissible. J’avais 21 ans. A l’époque, je n’ai raconté cette histoire qu’à une seule personne, une de mes amies avec qui j’étais sorti ce soir là. Elle a fait tout ce qu’elle a pu pour m’aider. Elle a choisi de me faire rire, me faire sortir. Je l’en remercie. Elle ne pouvait pas faire autrement, elle ne savait pas comment réagir. J’ai d’ailleurs appris bien plus tard que personne ne sait réagir lorsque l’on dit avoir été violé. Il n’y a pas de réaction type. Il n’y a pas de bonnes et de mauvaises réactions. Certains sont gênés, d’autres choqués, d’autres encore terriblement tristes pour vous. Parfois, dans votre propre famille certains ne préfèrent même pas en parler ou vous prendre dans leur bras. C’est encombrant un viol et je le comprends.

Mais tout cela je ne l’ai découvert que 10 ans plus tard. Parce qu’il m’a fallu 10 ans pour comprendre que j’avais été violé. Dix ans pour réaliser que j’étais dans le déni. Le déni c’est la négation de la réalité. J’ai oublié inconsciemment la réalité pour survivre. Sans déni je serais devenu fou ou je me serais donné la mort. Ce déni est devenu mon ami imaginaire pendant 10 ans. Mais un jour, la mémoire revient. Elle revient parce qu’elle est pleine et qu’elle déborde, parce qu’il est temps d’affronter. Il faut se souvenir à nouveau pour cesser d’être coupable. Parce qu’évidemment pendant tout ce temps on est devenu fautif. Je suis la cause. C’est de ma faute s’il est venu chez moi, c’est de ma faute puisque je lui ai donné rendez-vous. Encore de ma faute puisque je l’ai connu en appelant un numéro de téléphone de rencontre gay. Je ne me suis pas défendu lorsqu’il m’a poussé sur le canapé, lorsqu’il m’a giflé, lorsqu’il m’a mis son couteau sous la gorge. Je l’ai laissé faire. Timidement je lui demandais d’arrêter et de sortir de mon appartement. Timidement parce que je n’avais pas le courage de le repousser. Il était sur moi et bientôt en moi. Il m’insultait et je ne parlais plus. J’étais lâche. Il avait presque raison d’abuser de moi parce que je ne valais rien. Le déni n’est pas le meilleur ami que l’on croit. Pendant 10 ans j’ai tout gardé pour moi. J’ai survécu en me détestant, parce que c’était plus simple que de mettre un mot sur ce qui m’était arrivé. Un gay se fait prendre, si c’est de force c’est parce qu’il le veut bien. S’il se laisse faire c’est parce que ce n’est pas un homme. Je n’étais pas un homme.

1998
Un jour je rencontre un très gentil garçon. Il m’invite à dîner chez lui, j’accepte. J’ai envie de lui. Non, je veux qu’il ait envie de moi. Je veux qu’il me désire et je fais tout pour ça. Il est tendre et calme. Nous faisons l’amour et il commence à me parler, me serrer, me coller, m’étouffer. Sans méchanceté, mais il est là, trop présent. J’ai fait semblant de dormir toute la nuit avec son souffle sur ma nuque et sa peau collée à la mienne. Tout est revenu à ce moment là. Le déni a une date d’expiration. Au matin je suis parti aussi vite que j’ai pu. Il n’y était pour rien, il n’avait rien fait de mal, il avait juste réveillé ma faute. J’en ai parlé à une deuxième personne à ce moment là. La deuxième en 10 ans. Elle m’a écouté, elle n’a pas choisi de me faire rire. Elle a voulu me voir et me serrer dans ses bras. On a parlé, j’ai cru que ce cauchemar était bel et bien derrière moi.

2004/2010
Le temps passe et le bon garçon arrive, celui qu’il faut, celui qui aime vraiment. Nous nous aimons, nous faisons l’amour, je ne suis pas choqué, je ne suis pas effrayé, tout se passe bien. Nous sommes en couple depuis six ans. Mais j’ai des sursauts quand on me touche par surprise, des gestes inconsidérés voire violents. Quelque chose ne va pas. Un geste sera celui de trop. Un homme me touche un jour sur une plage, il s’approprie mon corps sans mon autorisation. Il surgit.Il m’agrippe. Je suis terrifié. Je vais m’effondrer à ce moment là. Quinze ans après le viol. Quelques jours plus tard je suis prostré dans mon appartement. Mon ami ne sait plus quoi faire. Je suis par terre, je deviens dingue. Ce n’est pas la main de mon amoureux qui m’a touché mais celle d’un inconnu, encore. Je pleure bien sûr mais je délire surtout, j’ai peur de tout. C’est peut-être encore ma faute, parce que j’étais sur une plage dite «homo», parce que mon corps était presque découvert. Tout s’écroule et je me souviens de tout, de tous les gestes, de tous les mots, de sa tête, de son corps lourd qui prend de la place, de son sexe qui entre, qui ne sort plus et qui s’attarde jusqu’au bout. Je me souviens de moi qui n’ai rien dit. J’ai dû l’encourager peut-être.

2011/2012/2013/2014
Il m’a fallu une thérapie pour comprendre que je n’étais pas coupable. Il m’a fallu des antidépresseurs pour vivre, travailler, dormir. Il m’a fallu du temps pour me pardonner. Aujourd’hui faire l’amour avec l’homme que j’aime m’est difficile voire impossible. J’aimerais me forcer pour lui, pour ne pas qu’il me quitte. Mais il ne faut plus se forcer et il ne me quittera pas. Il m’aime et il comprend. Après 18 ans de culpabilisation, de silence, de refoulement, j’ai développé des phobies, des angoisses : je suis hypocondriaque, j’ai peur de tous ceux qui peuvent élever la voix trop fort autour de moi, je peux facilement me laisser humilier, j’ai peu d’estime de moi, je ne peux pas prendre le métro la nuit. J’ai peur de la mort, j’ai peur de beaucoup trop de choses. Maintenant je sais une chose mais c’est peut-être la plus importante : Il y a 18 ans j’ai laissé une annonce sur une messagerie gay, un homme y a répondu et il est venu chez moi à ma demande. Voilà ce que j’ai fait. Lui, il m’a battu, menacé, insulté et pénétré de force. C’est un viol et de ça, je ne suis pas responsable mais je vais devoir vivre avec toute ma vie et je sais qu’une partie est détruite à jamais.»

Photo Sylvain Norget

Par yagg-nautonnier - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 28 juillet 5 28 /07 /Juil 23:38

NON CE N'EST PAS IRRESPECTUEUX IL AIMAIT LA VIE QU'ON AIME et il avait bien raison

 

Bien sage, attends-moi après le concert

il a tout caché de sa vie personnelle  

 

 

 


commenaire : "les artistes disparus trop jeunes nous émeuvent : ils nous font philosopher plus vite"

" il a fallu attendre longtemps la vérité sur la nature de sa maladie." "oui, il est mort du sida." 

Par A JORGE LAGO - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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