Lundi 16 janvier 1 16 /01 /Jan 22:03

ne me dites pas que c'est faux parce que c'est filmé :  quelque part il y a toujours du vrai DANS LE GAY PORN  

 

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   la chute !

                           

i bet that smells and tastes just as incredible as it looks.

  cette incertitude dans ce regard c'est la même que l'opéré juste avant la piqûre de n'anesthésiste qui va l'emmener au pays ds rêves

cocksuckercaleb: “ He may have a cock, but he is getting his pussy fucked by a real man. ” There is no doubt that this guy was born to be fucked: he looks so comfortable in this position and the look on his face is pure ecstasy. With his eyes closed...

 

straightalphamike: “In this moment, the fag stops mattering. ” Does a fag ever matter in the presence of an Alpha?

 

                                         

le symbole de l'amour :le coeur percé d'une flèche

la flèche elle est là :

   grover3: “ I think he is surprised at how awesome it feels to be penetrated by a Man. ” Yes, once you are plowed by a true Alpha, you are never the same. Now you know what true sexual pleasure is, instead of the weak pleasure your so-called dick has...   

  la sidération elle est là  

  domnator3: “ No, it’s WRONG! ” How can it be wrong when it feels so RIGHT? 

 

   

 

 

   

   

  lui qui était si fier et dédaigneux, il a perdu de sa superbe

alphamalenyc: “ Make My dick feel fuckin great faggot or ur ass gets kicked out the door. Is that clear? ” A challenge like this brings out the best in a faggot. 

t'as avalé ! ben, tu vois !

 

Par MASC<->SUB - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 17:01

    Traps To Love // Sluts To Fuck  Avec l'aide de ses nouveaux amis, Rémi, le garçon roux, se transforme en cette jolie poupée si désirable   

   

 

 

 

 

Amazing…..

 

Amazing…..

 

Amazing…..

 

 

 

 

   

 

    

 

   

 

   

 

 

 on a l'idée que c'est Fred, Roland et Hughes   les nouveaux amis de Rémi

 

  Ah, Rémi te décides-tu pour tes seins ?  

 

 

 

 

 

 

 

Par ARNAUD h - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 16:01

      Traps To Love // Sluts To FuckSes inhibitions s’envolèrent comme par enchantement, il improvisa des demi-strip-teases, relevant le bas de sa robe pour exhiber ses fesses ou laissant échapper la bretelle d’une de ses épaules.  

  Extrait : C’était le dernier pas à franchir pour entrer totalement dans l’ambiance décoiffante de cet instant hors du commun. Dès qu’il l’eut franchi, il se coula dans son nouveau personnage avec une grâce et un plaisir manifestes.
S’il avait cru au départ que les compliments que lui adressaient les trois transformistes tenaient de l’autosatisfaction devant leur création – leur créature ? –, il comprit vite que leur admiration n’était pas feinte et qu’ils reconnaissaient en lui l’un des leurs. Même Jacques paraissait subjugué par la métamorphose de son jeune camarade.
Rémi prit confiance en lui et lâcha tout.
 

 

 

 

Jamais il ne s’était autant amusé de sa vie et ce qu’il avait cru devoir être une expérience douloureuse quelques heures plus tôt s’avéra, au contraire, une exquise surprise.
Alors ce fut une évidence pour le garçon roux ; le bonheur que Rémi n’atteindrait jamais, Rose pouvait s’en emparer !  

http://arnaudh-s.blogspot.fr/2014/01/le-garcon-roux-22.html

enfin au lycée extrait du blog d'Arnaud h

Jacques, son aîné indiqua à son cadet, Rémi, la géographie interlope de la ville, les lieux de rencontres en plein air, les bars et les boîtes dans lesquels deux garçons pouvaient se draguer sans risque. Il lui indiqua un numéro de téléphone non surtaxé sur lequel des hommes se trouvaient connectés en réseau pour échanger propositions et rendez-vous. Contrairement à ce qui s’était passé avec Jean-Marie, ceci était fait sans contrepartie et n’était que l’entre-aide naturelle entre deux garçons que leurs goûts [rapprochaient]
Jacques, qui était un jouisseur, fit découvrir à Rémi les trios, les parties carrées, et les partouzes plus nombreuses ; cependant ils ne se frôlèrent jamais dans ses moments-là, s’occupant exclusivement des autres participants.
L’adolescent menait une vie frénétique, s’étourdissant d’une excitation permanente qui l’empêchait de sombrer dans la mélancolie maladive qui était la sienne depuis si longtemps. Il s’offrait au hasard la chance, feignant de croire qu’il tenait là sinon le bonheur au moins une part de celui-ci.
Mais au fond de lui, il savait bien que rien n’avait vraiment changé. Il détestait ce qu’il était, il se détestait.

  Qu’était-il, au fait ? Un grand garçon pâle et roux, efféminé, à la voix montant abruptement dans les aigus contre sa propre volonté, aux tâches de son qui avaient migré du visage aux avant-bras sans vouloir disparaître…
Il abandonnait son corps entre des bras qui n’étaient souvent ni tendres ni accueillants, il pompait des sexes qui n’étaient pas toujours propres… Et tout cela il le faisait par dégoût de lui-même. Son éducation ne l’avait pas préparé à affronter cette vérité insoutenable : il n’était qu’un pédé, un fruit sec, une branche morte de son arbre généalogique.
Comment aurait-il pu s’aimer puisque, autour de lui, les gens auxquels il tenait le plus ne pouvaient éprouver le moindre sentiment positif pour les gens de sa sorte ? 

  Un traitre

Il se souvenait qu’au collège, dans sa propre classe, il y avait un garçon dont il ne faisait aucun doute qu’il appartenait à la même catégorie maudite que lui, qui avait basculé dans le camp de ses persécuteurs pour n’être pas repéré et poursuivi à son tour. Il ne lui en voulait pas vraiment, il comprenait cette attitude sans voir ce qu’elle avait de bien plus dégradant que la sienne. Lui n’avait pas choisi d’être ce qu’il était, l’autre agissait en conscience. En l’insultant, en l’humiliant avec les autres, il s’enfonçait au plus profond de l’abjection. 

  [...] Sa vie était un piège, un labyrinthe duquel il était impossible de sortir. Il n’y avait pas d’autre solution que de continuer de se taire, de chercher une satisfaction éphémère et fugace. Du moins était-ce ainsi que Rémi voyait les choses, imaginant une absence d’avenir. 

    ★ ★     ★ ★    ★ ★     ★ ★     ★ ★     ★ ★    ★ ★     ★ ★ MAIS...

mardi gras ! 

chez Roland, Frédéric et Hughes

Rémi n’aimait pas davantage le carnaval que les fêtes de fin d’année. Il se sentait mal à l’aise d’une façon générale dans ces périodes qui assignaient à une joie obligée qui ne pouvait être que factice. Il évitait de traîner dans les rues dans ces circonstances, se terrant chez lui plus encore que d’habitude.
À cette occasion, Jacques le convainquit de participer à une soirée intime qu’organisaient quelques-uns de ses amis, omettant volontairement de préciser que ce serait une soirée déguisée.
Le jeune homme se présenta donc au rendez-vous en toute innocence.
Dès que la porte s’ouvrit à son coup de sonnette, il comprit qu’il était tombé dans un piège. Jacques se tenait devant lui, travestis en marquise froufroutante, dans une magnifique robe à crinoline, perruque blanche bouclée aussi volumineuse que le bonnet d’un horse-guard, boucles d’oreilles en bouchon de carafe.
— Bienvenue au bal des filles, dit-il d’une voix inhabituelle. Entre, je vais te présenter aux autres…
Rémi hésita une seconde. Son premier mouvement était de faire demi-tour et de prendre ses jambes à son cou. Il en voulait à Jacques de ne pas l’avoir averti, ou plus exactement de l’avoir attiré dans ce guet-apens.
— Je ne savais pas que c’était costumé. Je n’ai rien prévu, dit-il.
— Aucune importance, on va s’occuper de toi. Allez, ne fais pas ta timide…
Le garçon roux prit une grande respiration et entra. Il entra d’un même pas dans l’appartement et dans le jeu. Pour une fois, il ne se dégonflerait pas ! Et puis, ce n’était qu’une soirée en petit comité, après tout.
Jacques fit les présentations. Les trois amis qui vivaient ici en collocation étaient transformistes dans un cabaret gay. Ils y exerçaient leurs talents le week-end ; le reste de la semaine, le plus âgé était courtier en assurances, un autre était fleuriste et le troisième poursuivait des études de médecine.
Tous étaient déjà travestis.
Roland, l’assureur, était en working girl : chaussures à talons aiguilles, bas, jupe, pull et courte perruque noirs, veste rouge vif, il était le sosie de Patrick Timsit dans Pédale douce. Il en imitait les manières et la voix en parlant. La ressemblance était bluffante !
Frédéric, le fleuriste, était de taille moyenne et de corps assez mince. Il avait choisi un look plus déshabillé et plus corsé : pantoufles roses, culotte de dentelle et bustier rouges, kimono de soie noire et pour compléter le tout, une cravache était suspendu à son poignet par une dragonne.
Hugues, l’étudiant, était le plus grand du trio. Il portait des chaussures argentées à hauts talons aiguilles, des bas résille noirs ainsi qu’une longue robe également noire et fendue sur le côté à partir de la taille, une courte perruque blonde coiffée à la Mireille Darc.
Tous étaient maquillés et parés de plus ou moins de bijoux.
Rémi, qui n’avait jamais vu de travestis ailleurs que dans des films à la télévision, reconnaissait que ces trois-là et même Jacques étaient tout à fait crédibles.
— Viens, on va s’occuper de toi, dit Hugues. Nous avons tout ce qu’il faut dans la salle de bain. Toi, tu restes là et tu attends le résultat, ajouta-t-il à l’attention de Jacques. Fais-nous confiance !
Rémi les suivit docilement. Il était à la fois apeuré et intrigué. Il ne s’était jamais imaginé autrement qu’en homme, ne s’était jamais senti femme ni n’avait éprouvé l’envie d’en devenir une.
On le fit asseoir sur un tabouret pivotant, devant la glace murale qui trônait derrière les deux vasques encastrées dans un meuble dont le dessus était encombré de pots de crèmes, boîtes à poudres et crayons à cils.
Les trois professionnels l’étudièrent sans ménagement, comme des maquignons soupesant l’intérêt d’une bête à la foire. Ils se concertèrent brièvement en chuchotant, puis Hugues trancha.
— Tu vas te couler dans une de mes robes en lamé. Elle sera à peine trop courte pour toi, mais ça ajoutera une note provocante au personnage. Ensuite on te donnera une longue perruque blonde, une paire de bas résille à grosse maille, des chaussures à talon aiguille assez haut pour que ta beauté nouvelle domine la soirée. Et on te maquillera et te prêtera les bijoux qui compléteront le personnage…
Le garçon roux était incrédule. Il lui semblait s’être dédoublé, être présent à la fois comme cobaye et comme observateur de ce qui allait se passer. C’était une situation et un sentiment très étrange.
— Déshabille-toi ! Enlève tout, n’aie pas peur, on est entre filles…
Gauchement, il s’exécuta ; essayant de garder son boxer blanc comme un dernier rempart de sa pudeur maladive, mais on lui fit comprendre que la robe fourreau ne supporterait pas un tel outrage.
Une fois entièrement nu, on lui tendit les bas, qu’il enfila gauchement. Ceux-ci montaient jusqu’à mi-cuisse. Ils étaient dotés à leur extrémité supérieure d’un fin lacet de soie qu’il fallait nouer serré afin que l’accessoire ne retombe pas sur les chevilles. Puis on lui fit passer la robe. Celle-ci était ouverte dans le dos jusqu’au bas des reins et il comprit pourquoi il lui avait fallu sacrifier son sous-vêtement.
— Maintenant, demi-tour !
On l’avait poussé sur le tabouret et obligé à pivoter pour tourner le dos à la glace.
— Tu ne dois rien voir de ce qui va se passer maintenant. Seul le résultat mérite que tu t’y intéresses.
Tous trois s’activèrent. On vérifia qu’il était rasé d’assez près avant de lui enduire les joues de fond de teint, plus ce furent ses lèvres dont le dessin fut rehaussé de rouge avant que lui soient collés de faux cils et qu’un pinceau habile ne vienne camoufler la flamboyante rousseur de ses sourcils.
Par bonheur, ses cheveux étaient coupés court, ce qui permit à la perruque de s’adapter à la perfection. Elle lui descendait jusqu’au milieu du dos. Cela lui alourdissait la tête.
Il sentit qu’on lui passait un collier de perle autour du cou. Il gardait les yeux fermés par crainte de ne pas supporter de voir ce dont on se servait pour sa transformation. Cela lui rappelait vaguement les séances de dentiste de son enfance, lorsqu’il crispait ses yeux clos pour ne pas voir la fraise s’approcher de sa bouche.
On lui glissa un bracelet au poignet droit en même temps qu’on lui enlevait sa montre beaucoup trop grosse pour être crédible au bras d’une femme.
— Il manque une touche finale, s’exclama Frédéric.
Rémi l’entendit farfouiller dans un tiroir, puis il sentit une sensation de froid au creux des reins, juste au-dessus du bas de la robe. Ce devait être un crayon gras, il sentait que l’on traçait des lignes. Ce fut bref, quelques traits à peine appuyés.
— Regardez-moi, ça, les filles… Le papillon sort de sa chrysalide !
Il entendit le déclic d’un appareil photographique, puis on le fit pivoter de nouveau.
— Tu es prêt ? demanda Hugues.
Il était perplexe, mais fit bravement un signe affirmatif de la tête.
— Alors ouvre les yeux…
Ce fut une rencontre bizarre que cet échange de regard entre lui et l’inconnue du miroir. Tous deux semblaient se regarder timidement et se découvrir avec appréhension.
— Alors, qu’en penses-tu ?
— Wahouh ! dit-il avec un accent où se mêlaient fierté et reconnaissance.
Il avait cru qu’on lui ménageait une mauvaise farce, qu’il serait ridiculisé une fois de plus, outrageusement grotesque, mais il s’était trompé. Le résultat de sa transformation faisait qu’il était méconnaissable.
Frédéric lui tendit son téléphone portable sur lequel il pouvait voir la photographie de son dos. Juste au-dessus de la limite du vêtement, semblant s’évader de son intimité, un papillon stylisé prenait son envol. Tatouage éphémère et sublime qu’il aurait voulu immortel.

Jacques attendait le résultat avec impatience et ne fut pas déçu.
— Je savais que tu étais fait pour ça ! s’exclama-t-il avec une admiration parfaitement sincère qui acheva de rassurer Rémi.

Ce fut une soirée endiablée comme le garçon roux n’en avait jamais connu

 

Jacques paraissait subjugué par la métamorphose de son jeune camarade.
Rémi prit confiance en lui et lâcha tout. Ses inhibitions s’envolèrent comme par enchantement, il improvisa des demi-strip-teases, relevant le bas de sa robe pour exhiber ses fesses ou laissant échapper la bretelle d’une de ses épaules.
Jamais il ne s’était autant amusé de sa vie et ce qu’il avait cru devoir être une expérience douloureuse quelques heures plus tôt s’avéra, au contraire, une exquise surprise.
Alors ce fut une évidence pour le garçon roux ; le bonheur que Rémi n’atteindrait jamais, Rose pouvait s’en emparer ! 

Toulouse,
27 et 28 décembre 2013
2 et 3 janvier 2014

 

Par ARNAUDh - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 15:01

Rémi le garçon roux au destin partiulier

 

Gingerlicious!

  "PD"? OUAIS ET ALORS  ? 

Une lecture de blog recommandée : Arnaud h  http://arnaudh-s.blogspot.fr/2014/01/le-garcon-roux-13.html

 si ce n'était qu'un blog de récits gays bien tournés...bon! mais c'est une vérité qui nous éblouit dans sa simplicité originale.

"C’est dans les rochers adossés à la falaise qu’il fit la connaissance de Jean-Marie, l’été de ses quatorze ans. Jean-Marie avait deux ans de plus que lui, c’était un adolescent sûr de soi, un petit caïd d’une quelconque banlieue parisienne qui passait ses vacances ici avec ses parents et qui se prit d’amitié pour Rémi. Ses préoccupations de jeune coq l’amenèrent presque naturellement à faire l’éducation sexuelle de celui-ci. Il lui apprit donc à se masturber, lui montrant sans pudeur comment procéder et l’invitant à l’imiter.
La première fois fut laborieuse. Rémi n’éprouvait aucune excitation à voir son nouvel ami s’astiquer le membre de la sorte. Le jet blanc qui fusa jusqu’à un trou d’eau lui rappela douloureusement ses draps souillés et fut pour lui l’occasion d’un dégoût fugace. Son vis-à-vis lui demanda d’en faire autant, mais il avait honte de se montrer nu et ceci ne l’incitait guère à bander.
Il repensa à la scène le soir même au moment de se coucher et fut surpris de l’excitation qui le gagna soudain au souvenir de ces images. Il s’allongea sur son lit tandis que sa main trouvait naturellement le chemin et les gestes qu’il lui fallait faire. La libération fut rapide et abondante, souillant son ventre plat jusqu’au menton. Il s’essuya avec un mouchoir en papier tandis que son cœur battait la chamade et semblait ébranler tout son corps.
Durant le séjour de Jean-Marie, les deux garçons jouèrent quotidiennement à ce petit jeu. Tantôt c’était à celui qui éjaculerait le plus loin ou le plus dru, tantôt à celui qui amènerait l’autre le plus rapidement à la jouissance à grand renfort de caresses réciproques.
Lorsque son nouvel ami regagna la capitale, Rémi se désintéressa de la chose. Ce jeu solitaire n’avait retenu son attention qu’autant qu’il le pratiquait en compagnie. Désormais il ne se manuélisait que rarement, mais toujours en ressassant les images de ce qu’ils avaient fait au pied de la falaise, dans les trous d’eau des rochers. Il avait essayé de s’exciter sur des magazines pornographiques étalant de pulpeuses poitrines, sans résultat probant. Pour lui, cela ne signifiait pas qu’il était pédé, comme on continuait à le dire autour de lui ; simplement qu’il manquait d’imagination et préférait le vécu aux fantasmes.
L’année scolaire passa sur un rythme long et interminable. Rémi attendait les vacances non dans l’espoir de revoir Jean-Marie, mais parce que c’était l’occasion pour lui de retrouver une douce solitude loin de ses persécuteurs. De l’adolescent parisien, il n’avait aucune nouvelle. Pourquoi en aurait-il eu, d’ailleurs ?
La première quinzaine de juillet fut morose. Il allait à la plage, ce qui signifiait pour lui se cacher dans les rochers à l’ombre protectrice de la falaise. Il emportait avec lui un livre de poche qu’il n’ouvrait pas la plupart du temps, se contentant de s’asseoir nu sur un rocher, les yeux tristes, embués de larmes qui ne sortaient pas.
Il y avait en lui une mélancolie qu’il ne s’expliquait pas. Bien sûr, il était le souffre-douleur du collège, c’était insupportable, cependant il n’accordait que bien peu d’importance à ce que les autres pouvaient penser ou dire de lui.
Il ne s’aimait pas, ne voyait pas de justification à sa vie, n’imaginait pas d’avenir qui puisse être plus souriant que ce qu’il avait vécu jusque-là. C’était un état latent et imprécis, ponctué de vagues envies de mort, de l’idée de nager au large jusqu’à épuisement. Cela l’agaçait, il se sentait lâche, se disait qu’il n’avait pas même le courage de son propre suicide s’il fallait que cela eût l’air d’un accident.
Et puis Jean-Marie fit sa réapparition.
Il avait forci, une fine moustache soulignait sa lèvre supérieure, son maillot de bain Speedo avait été volontairement choisi une taille en dessous de la sienne afin de mieux mouler ses formes. Rémi enregistra la chose machinalement, la trouvant passablement ridicule.
L’adolescent lui tendit la main et, tandis qu’il la saisissait, l’attira contre lui pour l’embrasser, ses lèvres se collant aux siennes, sa langue forçant le passage jusque dans sa bouche. C’était son premier baiser. Il eut un haut-le-cœur, mais l’autre le tenait fermement, se montrant insistant. Il finit par se laisser aller à la douceur de cette sensation nouvelle qui n’était pas si déplaisante qu’il avait voulu le croire au départ.
Tandis que leurs langues luttaient, il sentit l’érection de Jean-Marie contre son ventre, ses mains qui lui caressaient le dos et venaient ensuite en reconnaissance vers sa propre érection. Il pensa que tout allait recommencer comme l’an passé, que son ami allait lui donner du plaisir manuellement, ce qu’il lui avait dit s’appeler un "cinq contre un".
— Tu vas voir, je vais t’apprendre de nouvelles sensations bien plus intéressantes et intenses… souffla Jean-Marie en l’obligeant à s’agenouiller à ses pieds tandis qu’il dégageait son sexe du vêtement trop serré.


Lui donnant toutes les indications requises, il l’initia ainsi à la fellation. Ses mains s’agrippaient à ses cheveux afin de maintenir sa tête tout en lui imprimant un rythme soutenu et l’empêchant de se dégager.
Rémi était intrigué et excité. Il imaginait parfaitement ce que serait l’issue de cet exercice et se demandait comment éviter cela. L’odeur du sperme le dérangeait depuis le premier jour, il n’avait aucune envie d’en tester le goût !
Jean-Marie se libéra dans un cri rauque en même temps que ses doigts se desserraient. Rémi eut un spasme de dégoût qui le cassa en deux tandis qu’il crachait et rendait ce qu’il avait ingurgité malgré lui.
— Tu verras, tu aimeras ça. La première fois, ça surprend toujours ! ironisa son ami.
Ce n’était pas une vaine promesse. De fait, les jours suivants, le garçon roux prit de plus en plus de plaisir à emboucher le membre de son compagnon de jeu. Il s’appliquait tout en se masturbant lui-même, conjuguant les rythmes pour parvenir à une libération simultanée de leurs jouissances respectives. Le maître se montrait plus que satisfait de son élève, aussi jugea-t-il qu’il eût été criminel de ne pas poursuivre plus loin cette initiation.
Un soir, il mit fin à l’exercice en son milieu ; faisant se relever Rémi, il le plaqua contre un rocher.
— Je vais t’emmener au ciel et te faire voir les étoiles, murmura-t-il.
Il prit son tube de crème solaire qui était posé non loin dans sa pochette de plage, afin d’en enduire copieusement l’anus de son compagnon avant de s’introduire en lui de façon plutôt brutale.
La douleur fut fulgurante. C’était une brûlure insupportable qui le fit hurler.
   
— Respire à fond, ça va passer… T’en fais pas, j’ai pas mis de préservatif à cause de la crème grasse. Ça ne servirait à rien. Mais je me retirerai à temps…
Sachant qu’elle était inéluctable, Rémi avait malgré tout imaginé que la chose arriverait différemment. Tout cela n’avait rien de romantique. Jean-Marie ne l’aimait pas, il se servait de lui pour son plaisir, pour tuer la vacuité de ces vacances en famille auxquelles il ne pouvait échapper. Lui non plus ne l’aimait pas ; pour aimer quiconque il faut commencer par s’aimer soi-même.
[coller à l'étiquette "PD" que les "autres"lui avaient flanquée] 
Il ne l’aimait pas, cependant il lui savait gré de cette initiation au plaisir. Jean-Marie, il le savait, lui avait ouvert les yeux sur une réalité qu’il n’avait pas su comprendre seul, malgré les quolibets des autres garçons. Il était bien un pédé, et toute cette semence qu’il répandait en suçant son compagnon ou se faisant prendre par lui le lavait de l’insulte idiote et infamante. "...
  Gingerlicious! 

    "PD"? OUAIS ET ALORS  ? 
http://arnaudh-s.blogspot.fr/

  le garçon roux fabriqué comme beaucoup d'entre nous en lesquels la sexualité parcourt de nombreux méandres avant d'aboutir à une stabilité répétitive sans plus d'inovations. Et puisqu'on parle de l'augmentation du nombre couples de même sexe, on a la surprise un peu plus loin dans la nouvelle on verra que Rémi, dans les plans à trois, ne "consomme" pas avec son camarade, mais préfère avec les autres, le copain étant le témoin N°1, et le confident ...Tel est son mental...chacun peut établir des comparaisons avec lui-même...   

  Traps To Love // Sluts To Fuck  ah, Rémi tu ne le sais pas, mais tu y cours... Ah, le destin... 

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commentaires :

 

 

 

Par ARNAUDh - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 11:48

18 DECEMBRE 1865 ABOLITION DE L'ESCLAVAGE AUX USA

28 août 1963soit 100 ans après, il faut faire une " Marche pour les droits civiques" à Washington car le pays a marché contre sa propre loi jusque-là en maintenant, contre tout droit la discrimination raciale.

Pour la première fois, les Etats-Unis vont frapper une pièce en or dont la Lady Liberty sera une femme noire. La pièce sera commercialisée à l'occasion de la commémoration du 225e anniversaire de l'US Mint, le service américain d'émission des monnaies.


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                                            Rosa Parks  et Martin Luther King                                         

 

 

Je croyais qu'on aurait ainsi immoralisé Rosa Parks qui a déclenché la protestation de 1963, mais non, c'est une belle noire inconnue qui est sur les pièces (de 100 dollars s'il vous plaît).Non, mais c'est bien !

 For the first time ever, there will be a black Lady Liberty on a coin

Résultat de recherche d'images pour "la nouvelle pièce de 100 dollars the new US 100 $ coin"

 

"For the first time ever, there will be a black Lady Liberty on a coin"

ET ...

 

si on doit encore opposer les mérites ou les défauts respectifs des blancs et des noirs, c'est  B. Obama  qui aura été le premier président à déclarer publiquement son soutien au droit des homosexuels,  après avoir longtemps laissé planer le doute sur ses opinions dont il était comptable vis à vis de 325 millions de citoyens  des USA . Il se serait longuement interrogé et entretenu avec son entourage avant de parvenir à la conclusion qu’il était tout à fait possible pour un couple homosexuel d’ « entretenir des relations monogames très étroites  et d’élever des enfants ensemble ». Ces déclarations relançaient une polémique dans un pays très divisé ou un américain sur deux était pour le mariage gay,

Par claudio - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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