Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 01:28

  mesurer le drame  

  ^

 

même si cette scène est jouée, même si ce n'est pas en France, c'est l'horreur.

 

 

 

Par BRAZIL - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 23:15

l'homophobie a toujours été le prétexte à des prises de plaisir sans passer pour PD. Allons, on en connaît tous des gars qui même une bite dans le cul restent dans le déni.-lol- Les violeurs de jeunes aussi. Pourtant tu prends plaisir à baiser un mec : tu es homo, non ?  

En janvier 2009, poussé en partie par l'indignation d'une série d'articles dans la New York Review of Books, le ministère de la Justice a enfin publié une estimation de la prévalence de l'abus sexuel dans les pénitenciers. Le recours aux plaintes déposées semblait sous-estimer le problème. Pour 2008, par exemple, le gouvernement avait déjà compté 935 cas confirmés d'abus sexuels. Après avoir posé des questions et effectué quelques calculs, le ministère de la Justice a publié un nouveau chiffre : 216 000. C'est 216 000 victimes, pas des cas. Ces victimes sont souvent agressées à plusieurs reprises au cours de l'année. Le ministère de la Justice semble maintenant dire que le viol dans les prisons représentait la majorité de tous les viols commis aux États-Unis en 2008, faisant probablement des États-Unis le premier pays de l'histoire à compter davantage de viols pour les hommes que pour les femmes.

Bien sûr les statistiques des viols hors les murs viennent s'ajouter à celles des viols de détenus, principalement de jeunes incarcérés. Et, bien sûr, donc, bien que beaucoup de violés consentent et se taisent, les actes sexuels coercitifs devraient être inclus dans les statistiques sur les agressions sexuelles. Le chantage, la pression ou la subornation de victimes rendent le sexe non consensuel, et il devrait en être tenu compte par la justice. Quel plaisir ce serait de voir les faux-culs confondus ! Parions que lorsqu'il s'agit de célébrités ou de politiques d'un rang élevé, les  relations sexuelles «consentantes» entre des personnes dont les différences de pouvoir rendent le consentement impossible sont «étouffées». Mais on ne peut pas penser que les bien-pensants américains acceptent que cette réalité soit rendue publique.  Et on ne peut pas penser non plus  qu'il soit possible de conclure publiquement que les États-Unis sont «le premier pays de l'histoire du monde à compter plus de viols pour les hommes que pour les femmes».

 

humiliating boy                            

horreur des horreurs

 

 

 


______________________________________________________________________________________________________

commentaires : "c'est tellement doux et honnête de se donner à quelqu'un qu'on aime ou même seulement qu'on désire. Quelle horreur le viol !"ICEDTEA

 

______________________________________________________________________________________________________

 

Tu es homophobe...Ah bon ? mais tu violes des gays et même des hétéros bien malgré eux   ... Des statistiques dont aucun gouvernement ne peut se vanter..aux  États-Unis, en 2008, on comptait davantage de viols envers les hommes qu'envers les femmes. Bien sûr principalement en prison.

Par BLANCDEBLANCS - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 20:07

  le cul du berger sentira toujours le thym ! 

Berger "d'ici" à 30 km de Cavaillon

 

 

Afficher l'image d'origine

Afficher l'image d'origine
Afficher l'image d'origine                            

PROMO :

 

       

    visitez avec plaisir la rubrique La chance AUX CHANSONS   

je répète : les musicos nous font la vie belle !   

Par mc diaporama - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 18:56

 

Histoire envoyée par Julien le 07/07/2008

Ma femme et moi aimons les randonnées. C'est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer et que nous veillons à pouvoir pratiquer pendant nos vacances.

Ce jour là, nous étions en randonnée de moyenne montagne, dans les Alpes, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée là-haut. C'était en juin, hors saison, et pour ainsi dire désert. Après 4 heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C'était splendide. Nous étions ravis.

Nous nous installâmes donc pour pique niquer au bord de ce lac d'un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes rases nous surplombaient. Quel bel endroit.

Notre déjeuner terminé, seuls au monde et avec le soleil qui donnait à plein, on s'était finalement effeuillé un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, caché par un énorme rocher qui nous surplombait de deux trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d'excitation flottait dans l'air. Je la sentais réceptive et en ce qui me concerne, j'étais déjà tout à fait excité par la situation.

- On se baigne ?

- Tu es fou, elle doit être à 10 degrés.

- Il fait si bon dehors, ça donne envie. J'ai envie de toi, je me sens …. prêt à tout !

- Je sais que tu es toujours prêt à tout, obsédé, je pourrais te demander n'importe quoi !

- Exactement, demande moi n'importe quoi !


Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et était sans doute en train d'imaginer le gage qu'elle allait me donner.

- J'aimerais que tu fasses le tour du lac tout nu.

Le lac n'est pas si grand pensais-je en l'observant. Et puis on n'est pas sur les champs elysées, ça doit être possible.

- J'attends, il faut me mériter.

Je tombai le string, ma queue affichait une semi érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative.

- Mouais, pas mal.


Je partis donc par la gauche pour faire le tour de ce lac, sous le regard amusé de mon épouse qui resta à se prélasser au soleil. Je marchais d'un bon pas. Je la vis se lever et sans doute pour me narguer, elle retira son short puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur !

Soudain, j'aperçus au sommet d'une butte quatre hommes. Ils étaient dans son dos, elle ne pouvait les voir. Quant à moi, j'étais nu. J'allongeais la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac, et donc vers elle qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine.
J'avais encore une boucle de 200 mètres à faire. Je lui fis signe.
Elle passa la main entre ses cuisses, tenant un sein à pleine main pour le relever vers sa bouche.
Les hommes l'avaient en point de mire. J'étais tenté de me mettre à courir. Je réitérais mes signes. J'entendis sa voix atténuée par la distance : - viens vite me prendre, je t'attends, je suis toute mouillée.
100 mètres. Je trottinais en évitant les cailloux.

- Viens vite me baiser, j'en peux plus !!

Les hommes étaient maintenant sur le rocher et observaient ma femme.
En me voyant courir vers elle, elle s'installa au sol, cuisses largement ouvertes, en appui sur les coudes.

- Allez viens me prendre  ! Je veux ta queue !

- Bonjour Messieurs ! Dis-je à l'adresse des quatre types patibulaires qui observaient ma moitié en pleine extase.


Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher.

- Quel dommage ! dit une grosse voix, nous sommes arrivés trop tôt.

Je pris mon string et le passai. Ils disparurent et je les entendis rire en faisant le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d'allure un peu rustique.

- Regardez comme ils sont mignons, les gars

-  Ouais, c'est pas tous les jours qu'on voit ça.

- Depuis deux mois que je n'ai pas vu un autre cul que les vôtres, les gars, ça fait du bien !

- Tu vois l'monsieur, il s'apprêtait à en profiter et puis à cause de nous y peut pas !

- Oh moi jm'en fous y peut y aller.

L'un deux me jeta un regard soudain glacial :

- Ça vous dit plus, elle en voulait ya pas deux minutes.

- Et vous ma petite dame, vous gueuliez pour avoir une queue, c'est fini ?

- Écoutez, laissez nous maintenant, c'est du harcèlement ! répondit-elle fâchée.

- Ouais, c'est vrai, on a bien envie de vous harceler un peu. L'homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle semblait apeurée. D'un geste précis de ce bâton, il fit tomber les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux.

- Ou est l'intérêt de cacher un corps que nous avons déjà vu ? Madame se doigte devant nous, s'allonge les cuisses grandes ouvertes en gueulant « baise moi », et après elle joue sa sainte-nitouche.


Ils s'approchèrent d'elle. Je fis un pas pour m'interposer.

C'est bien, nous avons aussi un beau chevalier au string protecteur ….

Ma femme se leva et se colla contre moi.

Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, sur un torse musculeux.

- Les gars, dit-il, ce qui les gêne c'est d'être à poil alors que nous sommes habillés, alors on ne va pas les gêner plus longtemps, c'est pas poli.

Il lança sa chemise et se pencha pour défaire ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l'imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud.

- On ne vous fera pas de mal, vous aviez une furieuse envie de baise et ça nous convient tout à fait !

- Faut nous comprendre, on n'a pas une vie facile en montagne 5 mois par an, entre hommes.

- On s'arrange bien entre nous mais une femme ! C'est pas pareil.

- Vous n'avez qu'à vous branler, ça passera, dit-elle furieuse.

- Mais c'est ce qu'on fait, mais se branler devant une femme qui vient de crier « Viens vite me baiser, j'en peux plus !! », ce serait cracher dans la soupe.

- Ouais … et une femme, un nouvel homme, ç'est très tentant …

- T'as raison, le monsieur aussi avait envie de baiser, faudrait pas le laisser sur le carreau.


Ma femme était tétanisée …

- Ecoutez, je veux bien vous branler, et puis vous partez !

Mon cri résonna dans la cuvette et surtout dans ma tête.

Ma femme me regardait stupéfaite.

- Une simple branlette ?

- Ouais, faudrait au moins nous sucer.

- Chéri, suce les, qu'on en finisse ! En plus ……….. tu en rêves.

- C'est vrai ? Regarde nos grosses queues, elles sont bonnes à sucer, on a les couilles bien pleines et on va te remplir la bouche.

- Oh oui, mon chéri, fais le !


Ses seins pointaient. Peur ou excitation ? Elle s'approcha de moi. Son regard avait changé.

- Allez fais le, sinon ils vont vouloir me baiser moi. Tu ne veux pas qu'ils me baisent devant toi ?! Elle passa derrière moi et baissa mon string faisant surgir ma bite tendue.


Elle posa ses mains sur mes épaules et appuya.

- Ca m'excite, dit-elle doucement en m'accompagnant à genoux. Fais le pour moi, c'est l'occasion.


Je fléchis les jambes.
Elle me tenait par les hanches. Son bas ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses.
Un homme s'approcha, sa bite qui me parut énorme se balançait devant son ventre.

- Regarde cette bite, je n'en ai jamais vu une comme ça. Ça va être bon.

L'homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse goutte translucide.

- Allez, suce moi, ma salope.

Il posa sa main sur mes cheveux et m'attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s'étala dessus.

- Vas-y, mon chéri


Je fermai les yeux, ouvris la bouche. L'homme y glissa sa queue.
Ma femme se releva.

- Je vais filmer, ça ne vous dérange pas ?

 -Tout ce que tu veux ma belle, on va te donner un beau spectacle !

- Oh oui, s'il vous plaît, qu'il s'en souvienne ! Elle installa le caméscope sur un rocher et le déclencha.


L'homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu'au fond. Il me baisait.

- Chéri, un effort, lance toi !

Je levai une main tremblante vers la hampe.

- Oui, c'est bien, dit-elle.

Je caressais les couilles velues et arrachai un soupir à l'homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active.

Un verrou venait de sauter.

Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançais sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j'aimais, alors j'y allais.
L'homme gémit, se cambra, m'ouvrit ses cuisses.

- Ah mon chéri, mais tu aimes ça !?

- Putain oui il aime ça, la dernière qui m'a sucé comme ça, c'était une pute à Grenoble, elle m'a coûté deux cent balles.

Les trois autres m'entouraient maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte.
Les flashs prouvaient que ma femme immortalisait tout.
La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ma victime.

- Quelle salope ! La feuille de rose ? J'adore, allez lèche moi le cul !

L'homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondit dessus langue en avant. Je lapais cet endroit avec passion.
Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressai vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco anale, j'avalais ce nouveau prétendant.

- Ah mon chéri, tu m'excites continue, donne leur tout ce qu'ils veulent, lâche toi !


Ce commentaire, s'il me fit plaisir, était inutile car j'étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant.
J'entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute.

-  Je crois que je vais lui faire le cul, dit le meneur.

- Oh oui, prenez le, je veux l'entendre gémir !

Ma femme semblait dans un état d'excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternais avec l'œillet que j'avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur pour faire haleter l'homme de plaisir.

- Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre !


Je jetai un coup d'œil à ma moitié qui m'offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j'avalai une nouvelle queue. J'y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu'elle perçoive bien mon intention.

- Laissez moi le préparer, dit-elle alors, je ne veux pas que vous l'abîmiez !


Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant : du beurre qui restait de nos sandwiches.
Elle me tartina la raie puis glissa un doigt dans mon anus.

- Je sais que tu aimes, ils vont bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t'ouvrir.

Elle commença à m'enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s'ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour se tenir raide.

- Bon allez, je crois qu'il est prêt dit alors le meneur.

- Toi, je te baiserai bien aussi, dit-il en s'agenouillant derrière moi.

Je sentis ses grosses mains m'attraper aux hanches.

- Laissez moi vous mettre dans son cul.

Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet.

- Mon chéri, tu sais il est gros, tu vas aimer.

Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J'étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi.
La bite me pénétra lentement. L'homme m'attirait à lui, ses doigts cramponnés à mes hanches. Et je me laissais aller. J'entendis la respiration haletante de ma femme.
Un homme vint s'agenouiller devant moi. Il n'eut rien à demander et je le pris en bouche avec gourmandise. Ma femme se pencha vers moi :

- C'est bon mon chéri, je t'adore en salope ! Tu vas me faire jouir !

Je suçais propulsé au rythme des coups de reins qui me baisaient. La bite me perforait les reins. Le ventre se collait à mes fesses, les mains étaient maintenant crispées sur mes épaules.

- Ah putain, il va me faire jouir, prend ma place !

Un nouveau venu prit possession de mon cul et le quatrième de ma bouche.

Je ne sais combien de temps ni combien de fois les types m'enculèrent ou profitèrent de ma bouche accueillante mais leur désir ne cessait de grandir, leur ardeur et même une certaine violence. Je n'avais plus aucune retenue et les incitais à plus de force.

Ma femme sentit venir le moment crucial.

- Je veux vous voir éjaculer sur son visage !


Je fus mis sur le dos. Deux types prirent place. Je les repris en bouche un moment. Leurs sexes étaient gras de mes sécrétions anales, je les nettoyai parfaitement.
Le premier manifesta des signes de fatigue. J'ouvris la bouche et le branlai de ma main, faisant tourner ma langue sous le frein. Soudain, l'explosion. Sa semence gicla et je la reçus sur ma langue et mes joues. Ma femme me regardait, passionnée.
Le second eut droit au même traitement avec le même résultat, tout aussi abondant.
Pour parfaire le spectacle, je regardais ma femme et jouant avec ma langue qui baignait dans les semences qui m'avaient inondées, mais sans avaler. Les deux autres vinrent se soulager sur moi.

Les types, soulagés, s'écartèrent et ma femme approcha. Elle me chevaucha, saisit ma queue et la dirigea vers son sexe. Elle était tellement trempée et ouverte que je m'y plantai à fond d'un coup. Elle se pencha, approcha sa bouche de la mienne et m'embrassa, tout en ondulant sur ma bite. Nous nous partageâmes tout le plaisir de ces quatre hommes, jusqu'à l'orgasme final.

Nous regardons parfois le film, dernier souvenir réel de cette expérience que ma femme avait secrètement organisé.

 

 

Par ALBERT - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 16:04

femme chaude : si vous avez fait une colo de vacances vous connaissez la chanson "Savez-vous Messieurs et Mesdames ce qu'il faut dans une maison ? Quatre murs, une chaude flamme femme De la joie en toute saison" ..."Nous, pré-ados, pour faire maronner le mono' on disait tout le temps "femme" au lieu de "flamme", exactement ce qu'on dit dans hot wife en anglais -lol-

Un STAG*(cerf) en argot américain c' est un HETERO qui partage sa femme ou sa petite amie sexuellement avec d'autres hommes et tire son plaisir uniquement de regarder son excitation et entendre sa jouissance. Il ne cherche pas d'autre femme en retour. C'est "Stag Hotwifing". Bien que perçu comme coquin, "Stag Hotwifing" a longtemps fait partie de l'histoire occidentale. Ne pas confondre avec cocu, puisque l'acte n'implique aucune humiliation du "cerf" ou tentative d'exposition de la domination par ces autres hommes vers lui. Ni la femme ni la petite amie ne le trompent, car elle a la permission et l'encouragement actif de son mari ou son ami dans ces échanges sexuels. C'est juste le désir d'un homme de voir sa femme ou sa petite amie sexuellement gratifiée par des hommes qu'il choisit pour elle. Cela se produit généralement soit en amenant un autre homme en trio pour le plaisir de la femme ou la petite amie, voire LE petit ami en regardant ou en écoutant son «plaisir» avec les autres hommes ou même l'entendre ensuite commenter les détails de ses aventures avec d'autres hommes à son mari ou petit ami après les faits . Les cerfs aiment et respectent leurs Hotwives dans leurs vies conjugales ordinaires et leurs relations réelles. Le récit :

         

Dave finit par convaincre sa femme d'accepter le cadeau d'un massage à domicile, surtout en promettant d'être dans la maison quand le gars viendra. Il a contacté Tyler et a mis son plan en marche. Il a rappelé à Tyler de la prendre lentement. "Ne force rien, vois juste le moment où elle est prête à y aller," dit-il. Il ne l'a pas dit à Tyler ou Allison, mais il a mis en place une série de caméras dans la maison afin qu'il puisse regarder à distance sa petite fantaisie se dérouler .

Le matin du massage, après que Tyler est arrivé, Dave a prétexté une excuse et a laissé sa femme à la maison seule avec le beau jeune homme. Dave avait couru à travers la villa et avait décidé de l'endroit d'où il pouvait regarder les caméras-espions sans être vu lui-même : sa tablette dans sa voiture garée dans la rue d'où il captait la wifi de la maison. Etonnament le son lui parvenait aussi.

Il avait senti qu'Allison était un peu nerveuse au début. Elle tremblait quand Tyler avait installé la table de massage et lui avait demandé de se déshabiller. Dave n'était pas du tout étonné que sa femme porte encore une culotte, mais il était un peu choqué qu'elle porte sa culotte sexy, la lingerie qu'il lui avait offerte pour son anniversaire. Tyler l'avait étendue face cachée sur la table de massage, la couvrant presque complètement d'une serviette avant de commencer à masser son cou et ses épaules.

Au début, Dave était un peu déçu du manque "d'agressivité" de Tyler. Avec le temps, alors qu'Allison commençait à se détendre, Dave vit comment Tyler s'arrangeait pour lentement tirer vers le bas et rabattre la serviette jusqu'à ce qu' Allison soit presque complètement découverte et donc nue. Tyler a travaillé le bas de son dos avant de se déplacer jusqu'à ses cuisses et ses mollets, répandant généreusement de l'huile sur son corps presque nu

«C'est, vraiment joli ça !» dit Tyler, effleurant la culotte de ses doigts. «Êtes-vous sûre de vouloir la garder? Je ne veux pas la tacher avec l'huile », suggéra-t-il.

Allison répondit nerveusement.  Son "Je, euhh", n'était pas si assuré ... "peut-être que vous avez raison," dit-elle et a commencé à vouloir l'enlever.

"Tout va bien," dit Tyler en la poussant doucement sur la table. "Je vais vous aider." Avec sa lente, insistante traction sur les attaches, Allison était maintenant complètement nue.

Tyler passa quelques minutes à masser les fesses d'Allison et le bas du dos. Quand elle a commencé à dériver et à gémir, Tyler a déplacé ses mains à l'intérieur des cuisses. Dave s'attendait à ce que sa femme se tendît ou s'opposât, mais à la place, il la remarqua  commencer subtilement à écarter les jambes, donnant à Tyler un meilleur accès.

Il remonta lentement l'intérieur de ses cuisses et redescendit, chaque fois il évitait sa chatte avec ses doigts. Allison commençait à se tortiller, à ressentir, à anticiper le contact sur son sexe. Au lieu de cela, Tyler se pencha en avant et pratiquement chuchota : "Tournez-vous s'il vous plaît."

Allison, dans une stupéfaction proche de la gêne étonnée roula facilement. Tout soupçon de sa timidité antérieure avait disparu quand elle s'est couchée sur le dos, les seins exposés et les jambes légèrement écartées.

Tyler la regarda et sourit à sa victoire. Il porta alors son attention sur la poitrine avec de généreuses quantités d'huile. L'érection de Dave devenait douloureuse et il l'a laissée sortir de son jean , espérant que personne ne pourrait voir à l'intérieur de sa voiture. Il s'est caressé lentement la queue pendant qu'il regardait Tyler continuer à taquiner sa femme et diriger ses mains fortes et fermes vers le haut et vers le bas d'un corps plein de ses expériences passées , très impatient d'être libéré de ce son brûlant désir.
Les mouvements de Tyler rapprochèrent  peu à peu  et il commença à se consacrer précisément à la région entre l'abdomen d'Allison et ses cuisses. Sous l'effet du massage, la tête d'Allison se balançait d'avant en arrière, les yeux résolument fermés. Enfin, Tyler laissa glisser ses doigts sur sa motte  et rouler sur son clitoris et ses lèvres. Il serra ses lèvres entre ses doigts solides, huilés, laissant son pouce brouter son clitoris.
      slutinsecret: “ Oh. oh my. Uh. Hello. ”
"OOOOOooohhhhh!" Allison gémit lentement au début. "Ohhhh, puis ouuouououo!" Elle haleta soudain alors que son premier orgasme secouait tout son corps.

Les doigts de Tyler n'étaient toujours pas entrés en elle, mais elle venait d'avoir son meilleur orgasme depuis des années. Tyler s'était arrêté, mais maintenant il frottait, s'éloignant parfois de sa chatte pour masser d'autres zones érogènes.

"Wowwww," Allison a ri quand elle a recouvré ses sens. «Je n'ai jamais ... hoohhh  Tyler ...», continua-t-elle tout à fait incohérente.

"As-tu aimé ça?" Tyler taquina. Allison hocha vigoureusement la tête. - Essayons donc, dit Tyler. Il lui prit fermement mais lentement les chevilles et lui leva les pieds au-dessus de la tête.

Dave était surpris que sa femme ne semblât pas résister, mais en fait, elle a courbé le dos pour l'accueillir.

"Je pense que tu vas  apprécier ça," promit doucement Tyler , en parcourant d'une main de haut en bas le dos de ses cuisses. Allison se tortilla anxieusement, implorant pratiquement Tyler de le faire. Avec un sourire satisfait, Tyler glissa deux doigts bien huilés à l'intérieur d'elle.

Allison hurla et saisit la table de massage. "Ah mon dieu, baise-moi par pitié ... Ouiiiii !"

N'ayant plus besoin d'encouragement, Tyler y alla pleinement de toute sa force, tâtant Allison avec des coups forts et lents qui s'accélèrent rapidement alors qu'Allison gémissait et se tortillait sur la table. Elle commença bientôt à spasmer erratiquement alors qu' un autre orgasme la saisit. Comme elle avait joui, 
Tyler ralentit ses doigtages et retira même ses doigts, la fessant par jeu pendant qu'elle se relevait.

Allison se mit à rire à la fessée ludique. Son rire fut rapidement remplacé par des gémissements et des cris parce que Tyler,ayant détourné son attention s'était remis à doigter sa chatte. Elle revint à elle rapidement, s'ouvrant à Tyler et jetant son sexe sur les doigts agissants pour répondre coup pour coup en rebondissant sur ses coups forts et rapides.

Allison pouvait à peine respirer, mais se rendait à Tyler. "Nnooon, arrêtez, arrêtez, je ne peux pas," elle a haleté. Elle prit une profonde inspiration alors que Tyler se tenait sur elle. Soudain, Allison se pencha sur la table. Dave savait qu'elle était sur le point de dire qu'elle ne pouvait plus faire cela ou quelque chose sur la façon dont elle se sentait coupable.

- Je ne peux pas, répéta Allison. «Pas ! plus tes doigts !» elle haleta. "Tu as besoin de me baiser," ajouta-t-elle, saisissant les shorts de Tyler et les tirant vers le bas. Elle plongea avec avidité sur son sexe...

              hotwifetales: ““I don’t know, honey,” Allison said skeptically. “I appreciate the gesture, but I don’t know how I feel about having a stranger in the house. And for a massage?!?” Dave eventually convinced his wife to accept the gift of an in-home...          

                      alexandhissubmissivepet: “ Making Pet’s pussy ready for my cock! -Sir ”   

zaftigbi: “ oh shit… ”
confessions-from-my-filthy-mind: “ Guh. ” 
Et l'imagination de Clive court à travers le net :
       

 

 

 

 

 

après ce calibrage, ce vannage, Tyler savait qu'il devait se faire plus doux,

coldnightshotsex: “ I’ll watch ”

revenir à des fondamentaux apaisants

et laisser Allyson exprimer sa reconnaissance avant qu'il ne la comble...

_________________________________________________________________________________________

commentaire :  " ouais, moi je pense à Dave le mari en train de se branler dans l'auto avec son ipade -lole-"(couic)  

 

      

Par CLIVE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • FORESKIN 08
  • unnamed ANGEL
  • tumblr lunxnrtA191r3sfcso1 500
  • INVISIBLES VINTAGE ENTRE LIGNES
  • INTERGEN 00001
  • S ENTRAINER A SUCER AVEC BANANE

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés