Mardi 6 septembre
2
06
/09
/Sep
06:05
gays à l'insu de tous
à 18 et 19 ans ils se planquaient dans un ancien refuge pour leurs petits jeux pervers. Fabrice était fou du cul de Denis qui avait une chute de reins incroyable, une
raie délicieusement duvetée et... un petit trou très serré et accueillant.
— Putain, Denis, écarte tes cuisses pour qu’on voie bien ta fente !
Les deux garçons avaient 18 et 19 ans et ils avaient pris l’habitude de venir se réfugier dans un ancien refuge pour s’adonner à leurs petits jeux
pervers. Avec sa petite gueule de frappe, Fabrice était le dominant et meneur. Il était fou du cul de son pote, Denis. Il est vrai que ce dernier avait une chute de reins incroyable, une raie
délicieusement duvetée et ... un petit trou très serré et accueillant
— Si j’écarte plus, je vais me péter la gueule par terre, Fabrice.
— Connerie, mec ! Je t’ai déjà vu ouvrir ça beaucoup plus fort pour nous montrer tes trésors. Mmm, j’adore voir ton petit cul bien tendu. Je suis
certain que tu peux m’en montrer plus...
à 18 et 19 ans ils se planquaient dans un ancien refuge pour leurs petits jeux pervers. Fabrice était fou du cul de Denis
qui avait une chute de reins incroyable, une raie délicieusement duvetée et... un petit trou très serré et accueillant. Le point d’orgue de leur séances de sexe était naturellement la baise de ce
cul par Fabrice... mais, pleins d’imagination, nos deux gaillards savaient toujours pimenter les préliminaires avec des jeux coquins.
[ A cet âge on a trouvé "ses marques et on peut avoir -au moins l'un des deux- un studio et un lit, mais eux étaient loin de disposer de ces trésors
et leurs colocs étaient hétéros purs et "endurcis".]
L’exhibition du cul de Denis était un grand moment. Largement inspiré de ce qu’ils avaient vu dans des films X hétéros, Denis devenait la femelle
soumise s’offrant au mâle en rut.
— Fais-moi ton grand jeu, mon amour ! lui lança Fabrice. Montre à ton mec ce que tu lui offres...
— Tu aimes ça, hein, que je sois une pute offerte à tes désirs.
— Et toi, tu n’aimes pas peut-être... ?
— J’adoooore !
— Alors fais-moi palpiter ce petit trou. Je veux que ta fente appelle ma bite, ma grosse bite bien large qui te donne du bonheur.
— Oh oui, Fab’, je l’aime tant ce gros paf. Quand tu me ramones le trou, je suis au paradis.
Les mains de Fabrice caressaient le dos puis les lobes fessiers de Denis tout en évitant tout contact avec la raie velue. C’était son petit jeu à
lui, faire monter l’excitation de sa pute jusqu’à ce qu’elle le supplie de lui mettre la bite au cul. Denis savait très bien ce qui l’attendait : un long limage alternant douceur et force. Avec
ses 18 ans à peine, Fabrice — qui se disait bi — avait déjà une forte expérience de la baise.Et puis, il avait rencontré Denis (plus âgé que lui et triplant sa terminale) et leurs petits jeux aux
douches étaient devenus insuffisants. Fabrice avait tout le temps envie de se vider les burnes et Denis savait y faire. Un cul serré et doux ; une bouche gourmande et une langue experte : que
demander de plus. De lieux glauques en lieux glauques, il avait fini par entraîner SA pute dans le bois. Un ancien refuge pour chasseurs était devenu leur lieu de débauche...
Fabrice déroula enfin une capote sur sa bite et il encula son mec.
— Putain, qu’est-ce que j’aime ça ! hurla Denis. Tes coups de reins sur mes fesses m'excitent beaucoup...
— Je me souviens qu’au début, la taille de mon sexe t'effrayait un peu.
— Vantard !
aimer la baise n'exclut pas de rigoler !
Derniers Commentaires