Jean-Marie "candaulisé" par la force des choses
On ne peut pas construire le présent sans référence au passé– Pourquoi penser que ma vie n’en vaut pas la peine ? Qu’est-ce
qui nous empêche d’être indépendants ?...Ca implique-t-il qu'on se quitte forcément ?
Certes je me sens inférieur, que suis-je maintenant sans ma bite ? Avant l'ablation je pensais que je ne valais pas moins que les autres,
que n'importe quel autre. Comment prendre un nouveau départ ?
Avec Sonia, nous formions un couple normal jusqu’au jour où j’ai eu ce stupide accident. Je roulais trop vite sur une petite route de campagne et
j’ai fait cinq ou six tonneaux pour me retrouver au beau milieu d’un champ. On m’a conduit à l’hôpital, on m’a sauvé la vie mais, pour le reste…
les apparences...sont sauves encore pour certains aitres, mais pas pour nous.
Ça aurait pu être pire car j’ai été sur le point de rester paralysé ! Après pas mal de rééducation, j’arrive tant bien que mal à remarcher, en
boitant un peu et sur de courtes distances, car je me fatigue très vite. Mais, le plus dramatique pour moi, depuis ce jour maudit, c’est que même mon moignon ne bande plus, il est impensable
d'avoir la moindre petite érection. C’est un drame pour moi, un calvaire et, vis-à-vis des autres, une véritable honte ! Je n’ai pas spécialement envie de continuer à vivre, n’étant même
plus un homme. Je suis un castrat, un castré.
Les médecins sont circonspects. Ils se veulent encourageants, ils préfèrent dire que rien n’est définitif, dans le sens que les prothèses vont tous
les jours des progrès que ça pourrait s'améliorer un jour. Mais, plusieurs mois il n’y a pas la moindre petite évolution de ce côté-là. Ils disaient aussi, à une certaine
époque, que je finirais un jour par courir comme un lapin ! En fait de courir, je me contente de claudiquer. Ils disent un peu tout et n’importe quoi. Je pense qu’ils ont surtout fait tout
leur possible pour essayer de calmer mes angoisses, car, on est dans la deuxième année qui a suivi l’accident, je fais dépression sur dépression. J’ai été très souvent au bord du
suicide et j'ai fait vivre un enfer à ma femme.
Sonia c’est une femme de tête, une sportive, une volontaire qui sait toujours ce qu’elle veut et qui fait en sorte d’atteindre ses objectifs. Elle
n’est pas spécialement féminine, c’est même un vrai garçon manqué.
Nous nous sommes rencontrés à un bal du 14 juillet.
C’est elle qui m’a dragué, elle m’a proposé de danser avec elle. Cela ne se fait pas de flirter avec un inconnu ! Nous nous sommes frottés dans
le noir sur un slow très appuyé, avant de nous éclipser comme des voleurs entre les baraquements de la fête foraine pour faire l’amour dans l’urgence.
Cette rencontre a été pour moi explosive, une vraie révélation, un véritable feu d’artifice : je venais, en quelques heures, de trouver enfin
chaussure à mon pied. Six mois plus tard, nous étions mariés.
Sonia aime les hommes virils et les rapports un peu brusques. Il y a seulement deux ans ans,j’étais vraiment viril, résistant et plutôt bien monté.
Et, comme ma belle m’inspirait, je bandais en général au quart de tour. J’adorais par exemple la prendre à la hussarde, encore dans sa tenue du travail quand elle rentrait le soir du
boulot. Nous baisions souvent dans l’urgence, parfois à même la table de la cuisine ; nous cassions beaucoup de vaisselle -lol-. Nous faisions beaucoup l’amour, presque tous les jours, et même
après de dix ans de mariage cela n’avait pas beaucoup changé. Malgré un physique assez ingrat, Sonia a toujours été ce qu’on appelle un bon coup. Question beauté, j’aurais sans doute pu trouver
cent fois mieux, car elle n’a vraiment rien d’extraordinaire ; qui sait, peut-être à cause de cela, question bagatelle, c’était vraiment le top du top !
Je lui ai toujours été fidèle et je pense qu’elle aussi, de son côté, ne m’a jamais vraiment trompé. Elle m’apprit, beaucoup plus tard, qu’il fut
une époque où un de ses collègues la poursuivait de ses assiduités. Elle avait fini par y succomber et ils s’étaient bécotés plusieurs fois dans les vestiaires, mais ça s’était arrêté là et le
dragueur avait été muté ailleurs. Je lui avais pardonné cette incartade. Après tout, il m’était bien arrivé à moi aussi de pincer les fesses d’une fille facile dans un
bistrot !
Le plus grand désespoir de mon épouse, c’est probablement celui de n’avoir jamais eu d’enfant. Une malformation congénitale l’empêchait d’en avoir.
Certes, nous aurions pu en adopter, nous avions même entamé des démarches en ce sens. Pourquoi est-ce que ça ne s’est pas fait ? Nous n’étions peut-être pas assez tenaces, mais d’un autre
côté nous étions déjà très heureux tous les deux.
Au moment de l’accident, nous faisions encore l’amour quatre ou cinq fois par semaine, une fréquence très largement au-dessus de la moyenne.
Pour ma belle, c’était un besoin vital de se faire du bien et, pour moi, un réel plaisir de satisfaire une femme aussi insatiable. Nous avions
évidemment tout essayé, tout ce qu’il est possible de faire à deux, au sein d’un couple. Sonia ne détestait pas la sodomie, bien au contraire : c’est souvent elle qui la proposait, et ces
séances d’enculage nous procuraient un bonheur intense, elles sublimaient nos rapports amoureux. Quant au plaisir de se faire attacher, ligoter, menotter ou défoncer par une matraque, il était
totalement réciproque. Son métier était souvent source d’inspiration pour nos étreintes amoureuses, le mien presque tout autant (j’étais chauffeur routier). Inutile de préciser que nos ébats
n’étaient pas cantonnés à la chambre : ils parcouraient la campagne et s’insinuaient dans les lieux publics.
*
* *
J’ai vraiment honte de moi quand je repense à tout ce que je lui ai fait subir pendant ces deux longues années. Suite à mon accident, nous ne
faisions plus du tout l’amour, mais, de plus, je ne prenais même plus la peine de m’occuper d’elle, je la laissais totalement à l’abandon. J’avais arrêté de travailler et je passais mes journées
à la maison à broyer du noir. Lorsqu’elle rentrait du travail, je lui faisais la vie en m’apitoyant sans arrêt sur mon triste sort. J’étais un bon à rien, un pauvre type, un inutile… En
témoignaient les bouteilles vides que je laissais traîner un peu partout et que j’avais de plus l’indécence de lui laisser ramasser.
Nos disputes étaient de plus en plus fréquentes et aussi de plus en plus violentes. Tous les prétextes étaient bons pour cette violence conjugale.
Lorsqu’elle partait le matin, je la traitais de tous les noms, de vicieuse, de salope, de putain. Par qui allait-elle encore se faire baiser ? Elle avait le cul en feu et ses collègues
devaient bien rigoler en pensant à ce con de mari impuissant !
— Tu es ridicule, me disait-elle, complètement ridicule. Tout ce que tu mériterais, c’est que je te trompe pour de vrai.
— Eh bien, vas-y, fais-le, jette-toi sur d’autres bites, puisque c’est ça qui te manque ! Tu étais pourtant bien contente de la trouver, la
mienne, quand je pouvais encore bander !
Elle partait généralement en claquant la porte.
Je n’avais plus de goût à rien, je ne voulais plus jamais rien faire. Ses jours de congé étaient encore plus moroses que le restant de la semaine.
Nous restions assis dans cet espace restreint, comme deux étrangers, devant la télé, sans nous parler, en attendant la prochaine dispute.
Plusieurs fois, je l’ai trouvée en train de sangloter, toute seule dans la chambre. Je n’ai rien dit, j’étais l’unique cause de son malheur. De
toute façon, qu’est-ce qu’elle pourrait bien faire d’un mari sans couille, d’un mari qui ne bandait plus, qui ne pourrait plus jamais bander ? Souvent, j’allais dormir dans le salon. Je
préférais faire lit à part.
Au bout de deux ans, elle était sur le point de demander le divorce. Les week-ends où elle n’était pas de permanence, elle préférait les passer chez
ses parents. De plus en plus souvent, elle s’absentait de la bicoque.
C’est sa mère qui m’a alerté. Elle m’a téléphoné un beau matin pour me dire que Sonia n’en pouvait plus, que c’était trop pour elle, qu’elle
n’arrêtait pas de pleurer et que, s’il me restait ne serait-ce qu’un peu de sentiment envers elle, il était plus que temps de le manifester. Le soir même, je suis allé rejoindre ma femme dans la
chambre. Dans la vie, il ne me restait plus que Sonia, et si je la perdais il ne me restait plus rien. Quelques jours auparavant, j’aurais dit : « Qu’importe ! Qu’elle aille donc se
faire foutre ! » et je me serais saoulé, mais là… c’était ma dernière chance… Pour que sa mère appelle, il fallait quand même que ce soit très grave !
— Ecoute, Sonia, on pourrait essayer d’en parler…
Elle avait déjà les larmes aux yeux.
— Est-ce que tu crois que c’est encore possible entre nous ? lui demandai-je.
— Je ne sais pas, je ne sais plus… Je ne crois pas.
— Sonia, je t’aime, je te jure que je ne voulais pas te faire tout ce mal.
— Mais le mal est fait.
Elle finit par consentir à se blottir contre moi, le corps secoué par des sanglots sans fin. Elle me dit tout bas :
— Je n’en peux vraiment plus, tu sais ?
— Je sais.
Je l’ai serrée longuement en lui caressant la joue. Cela faisait des mois que cela ne nous était pas arrivé, des mois sans le moindre instant de
tendresse. Il n’y avait plus de câlins, plus d’attention, il n’y avait plus que moi et mon dégoût pour moi-même. Je m’apercevais soudain à quel point j’avais été un monstre, un être froid et
égoïste.
Les larmes roulaient sur ses joues, ses sanglots n’en finissaient plus. Je me suis glissé dans les draps, tout contre elle, et je l’ai serrée très
fort dans mes bras. Je l’ai tenue comme ça toute la nuit et elle a fini par s’endormir… Moi, je pleurais comme un gamin en la regardant dormir, conscient de tout le mal que j’avais pu lui faire,
conscient que je l’aimais plus que tout et que j’avais bien failli la perdre.
Au petit matin, elle s’est réveillée dans mes bras et je l’ai embrassée sur les joues, sur la bouche, avec empressement, un peu comme au premier
jour.
Curieusement, malgré l’heure tardive, ce jour-là elle n’a pas insisté pour se lever, elle qui était pourtant d’ordinaire toujours très ponctuelle à
son travail. Je l’embrassais partout, sur la bouche, sur les seins, sur tout le corps, en descendant lentement vers son puits d’amour. Un concert de baisers mélangés de caresses : voilà ce à
quoi elle avait droit ce matin-là. Ne pouvant mieux faire, je lui ai dévoré l’abricot comme jamais je ne l’avais fait jusqu’alors, en y mettant toute mon attention, en essayant d’être vigilant à
la moindre de ses sensations.
Une première vague de jouissance l’a emportée, mais je continuais encore à lui manger la chatte tandis qu’elle se tordait en tous sens sur le lit.
Je la dévorais désormais à pleine bouche, m’acharnant comme un fou sur son fruit bien juteux. Une seconde vague la terrassa, suivie immédiatement d’une troisième qui la laissa complètement
molle :
— Arrête, arrête, je t’en supplie, je n’en peux plus.
Elle ne m’avait encore jamais dit ça !
Elle reprit lentement ses esprits jusqu’à ce qu’elle soit enfin capable d’attraper le combiné pour téléphoner à son bureau:
-
— Allô, c’est Sonia. Je ne peux pas venir travailler ce matin, je suis clouée au lit avec une forte fièvre.
En douze ans de mariage, je ne l’avais jamais vue s’absenter une seule fois. Sonia n’était pas du genre à se faire porter pâle sous des prétextes
futiles. Même grippée, la goutte au nez, elle allait au turbin, quitte à filer sa crève à l’ensemble du bureau. Il fallait donc que l’événement soit de taille ! Et il l’était effectivement,
car il scellait notre réconciliation.
Les semaines qui suivirent notre nouvelle union, je lui fis l’amour tous les jours et parfois plusieurs fois par jour. Mon sexe désespérément mort,
je le remplaçais par mes doigts, par ma bouche et par des tonnes d’objets sexuels qui sommeillaient jusque-là dans l’armoire. Sonia reprenait à vue d’œil du poil de la bête. Elle redevenait
rapidement la femme heureuse et épanouie qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. Je rivalisais d’ingéniosité pour lui concocter des scénarios inventifs et innovants avec toujours comme objectif
celui de la faire jouir comme une folle.
Néanmoins, quelque chose manquait à mon bonheur. Sonia a toujours été beaucoup plus vaginale que clitoridienne, elle a toujours apprécié les
chevauchées sauvages et, malgré toute ma dextérité dans l’utilisation des godemichés et autres vibromasseurs, il me semblait qu’elle aurait pu jouir beaucoup plus encore. La force d’un coup de
reins, une profonde saillie dans son vagin, c’était ça qui lui manquait, une profusion de grands coups de bite. Elle disait pourtant que ça allait comme ça, qu’elle était très heureuse et qu’il
ne lui manquait vraiment rien. Mais je savais, pour l’avoir vécu, à quel point elle se trompait, elle qui avait été si friande de mes puissants coups de reins, du temps où j’en étais encore
capable.
* autrefois....
* *
L’idée d’offrir ma femme à un autre homme mit du temps à germer dans ma tête. Il faut dire que j’ai toujours été incroyablement jaloux. Le simple
fait de voir mon épouse danser avec un autre me mettait souvent dans tous mes états… Alors, l’idée que quelqu’un puisse profiter de ses sens et partager du plaisir avec elle m’était tout
simplement insupportable.
Tout d’abord, il était exclu que ce soit quelqu’un que nous connaissions, et il était hors de question qu’ils se revoient par la suite. Peut-être
alors un inconnu rencontré sur le net ? Rapports protégés obligatoires, cela s’entend ! Et puis, je tenais à assister aux ébats,pour bien contrôler la situation ; mais participer?
non quand même. Je m’imaginais même en train de les filmer afin que l’on puisse en rediscuter tous les deux par la suite. Toutes ces considérations orientèrent bien évidemment mes recherches. Je
mis une petite annonce sur Internet, du genre : « Couple quadra, recherche homme très viril pour relation d’un soir avec madame. Madame est très exigeante sur les performances sexuelles de
son partenaire, monsieur se contente de regarder et souhaite pouvoir filmer. Rapports protégés exigés. Hommes velus, barbus ou moustachus appréciés, une petite préférence pour les hommes d’âge
mûr et d’expérience. Nous ne pouvons pas recevoir mais nous pouvons par contre nous déplacer. »
J’eus rapidement plusieurs réponses, avant même de commencer à en parler à Sonia. Certains correspondants me réclamaient déjà des photos, parce que
je n’en avais pas publié avec l’annonce.
Un soir que je venais de lui faire l’amour tendrement, je dis à ma compagne :
— Chérie, je trouve ça injuste que, sous prétexte que ton mari est impuissant, tu sois privée d’une belle grosse queue.
— Mais j’ai vraiment tout ce qu’il faut, je t’assure, tu me fais jouir comme une malade.
— J’aimerais que tu rencontres d’autres hommes, des mecs, des vrais, des hommes virils, pour qu’ils te baisent bien profondément, pour que tu
jouisses encore mieux qu’avec ces jouets, comme au début de notre mariage.
— Des hommes ? Tu n’y penses pas ! Je ne veux pas te tromper.
— Oh si, j’y pense, au contraire, j’y pense beaucoup ces derniers temps. Ce serait en ma présence, évidemment, et je pourrais filmer tes jeux
d’amour avec ces hommes.
— Te connaissant, tu ne supporterais pas, tu en crèverais de jalousie…
Je lui tends quelques feuillets imprimés récemment.
— J’ai déjà eu quelques réponses…
Et de lui expliquer ce que je fais sur internet depuis quelque temps et l’idée qui me trotte dans la tête. Elle est stupéfaite. Elle parcourt les
messages, sans trop y croire.
— Tu es fou. Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Tromper mon mari avec des inconnus ! Je ne suis pas une pute.
— Ne dis pas que ça ne te plairait pas. Et puis, on peut aussi le voir différemment : ton mari qui t’aime t’offre un nouveau jouet et te
propose de prendre du plaisir avec…
— Je ne veux pas te faire souffrir.
— J’ai beaucoup réfléchi, j’en prends le risque.
— Et si l’un d’eux me reconnaissait ?
— Tous ceux que j’ai sélectionnés habitent à plus de cent kilomètres.
— Et s’ils ne me plaisent pas ?
— Alors : « Bonjour, bonsoir », on s’en va. Et puis, avant d’y aller, nous leur demanderons leur photo et on passera un petit coup de fil,
histoire de prendre un peu la température. Si tu as le moindre doute, alors on élimine… Regarde par exemple le troisième, il m’a l’air pas mal du tout. C’est un homme marié qui a à peu près nos
âges, il nous propose de le retrouver un de ces week-ends dans sa maison de campagne. Un grand, costaud, plutôt musclé, cela devrait te plaire. Que dirais-tu de l’appeler ?
— Laisse-moi d’abord y réfléchir, c’est si nouveau pour moi !
Vingt-quatre heures plus tard, de retour du boulot, je la vois revenir vers moi :
— Si c’est le seul moyen pour que tu acceptes d’arrêter de te lamenter sur ton impuissance, je suis d’accord pour l’appeler, ce type.
Et nous voici tous les deux sur la banquette du salon, à nous exciter autour du téléphone. Je compose le numéro du portable. Une fois, deux fois,
trois fois, un homme à la voix très grave nous répond :
— Allô, André L. à l’appareil…
— Enchanté, Jean-Marie T. Vous savez, la petite annonce sur Internet… Vous m’avez répondu en début de semaine.
— Ah oui, je vous remets.
— Je suis avec ma femme, Sonia. Elle est d’accord pour tenter l’expérience mais elle aimerait d’abord que nous échangions nos photos.
— Ecoutez, je vous envoie la mienne de suite.
Le temps de me connecter sur ma boîte mail et son message arrive déjà. C’est un grand brun, assez costaud, un peu chauve mais très beau dans
l'ensemble. J’en choisis une de mon épouse qui la met, je trouve, plutôt à son avantage, ainsi qu’une de moi, et les lui retourne de suite.
— Alors ? dis-je, un peu inquiet, comme il met un peu de temps à répondre.
— C’est d’accord pour essayer, répond-t-il sans vraiment d’enthousiasme.
Ma femme est un peu déconfite, car parfaitement consciente de sa déception. Il s’attendait à mieux, il a été déçu par la photo. Elle m’arrache le
combiné des mains :
— Écoutez, monsieur, si je ne vous plais pas, je pense qu’est inutile que nous perdions du temps ensemble et je préfère que l’on en reste là.
Devant son agressivité, son correspondant ne trouve rien à répondre. Du coup elle raccroche, furax :
— Il croit quoi, ce mec, que toutes les femmes ressemblent à Demi Moore ? Allez, on oublie, on passe à un autre. Moi, le premier, il me
plaisait bien.
Je reprends sa fiche.
— Le problème c’est qu’il est divorcé, je ne voudrais pas qu’il s’attache trop à toi.
— C’est à nous de mettre des barrières. Allez, file-moi son numéro, je prends les choses en main.
La voici qui rentre dans le jeu. Je reconnais bien là son caractère de fonceuse.
-
— Allô ? Clément ? Oui, bonjour, c’est Sonia T. à l’appareil, la dame de la petite annonce… Effectivement, je suis avec mon mari
Jean-Marie qui s’apprête à vous envoyer des photos de moi… Ah, d’accord ! Oh oui, j’aimerais bien… Et pour vous, c’est possible que ce soit une photo un peu... osée ?… Non, c’est
promis, je ne me moquerai pas… Pas du tout, il ne vous a pas menti, c’est vrai que j’aime les hommes plutôt virils… Oh, ne vous inquiétez pas, viril ne signifie pas monté comme un ours, ce
n’est pas la taille du sexe qui compte, c’est surtout l’endurance…
— Non chéri, pas celle-ci. Clément préfère les photos un peu plus coquines. Envoie-lui donc ces trois-là.
Elle les désigne sur l’écran. Sur l’une d’entre elles, ma belle a les yeux complètement révulsés et un gros godemiché profondément fiché dans sa
chatte. Sur une autre, elle tend ses fesses à la caméra. Le temps que les courriels arrivent… Le Clément en question est un bonhomme plutôt rondouillard, bedonnant, avec un torse incroyablement
velu. Sur la photo, il bande. Son sexe est d’une taille honorable, sans être pour autant extraordinaire. Tandis que ma femme détaille notre nouvel ami, je l’entends à l’autre bout du fil qui
complimente mon épouse. Elle n’en peut plus de ses louanges, elle se trémousse sur la banquette comme une jeunette.
-
— Oh, vous n’êtes pas mal non plus, Clément, et je suis vraiment impatiente de pouvoir profiter de cette très jolie queue… Non, il ne vous a pas
menti, je suis effectivement très cochonne… Je pense que oui, normalement nous sommes libres dimanche prochain… Oh, en voiture, et plutôt en début d’après-midi… La petite rue qui longe la
mairie ? Rue de Clairier, au numéro 15. Écoutez, je le note… Oui promis, nous vous retéléphonerons samedi soir pour confirmer… Bonne soirée, Clément, et au plaisir de vous revoir!
Et Sonia de raccrocher. Je sens qu’elle est toute fébrile et tout excitée. Son excitation fait vraiment plaisir à voir, même si elle m’inquiète un
peu. Ce qui me rassure, par contre, c’est que je ne la vois pas finir sa vie avec un type comme Clément. Il a l’air un peu primate et lourdingue. Sur la photo, il ressemble à un gros singe avec
ses grands bras qui pendouillent tristement le long de son corps.
La fin de semaine approchant, ma femme devient vraiment nerveuse. Je ne peux bientôt plus la tenir. La perspective de cette rencontre la fait quand
même un peu flipper. Elle me demande si c’est bien raisonnable d’aller comme ça chez cet inconnu. J’essaie de la rassurer en lui rappelant que c’est quand même elle qui m’a dit que, au son de sa
voix, il paraissait vraiment très gentil.
— Et puis, si quelque chose ne nous plaît pas, je serai avec toi, on pourra toujours s’en aller.
C’est moi qui téléphone à Clément samedi, en fin de soirée, pour confirmer :
— Nous serons là au plus tard vers quinze heures. Ma femme est un peu nerveuse, à vous de la mettre à l’aise.
Ensuite, je vais rejoindre mon épouse dans le lit conjugal.
— Tu ne seras pas jaloux ? demande-t-elle, un peu inquiète.
— Je te le promets.
— Je n’aimerais pas que ces disputes recommencent.
Pour lui prouver tout mon amour, je descends entre ses cuisses et entreprends de la lécher. Sous la caresse, elle se cambre, écarte les jambes et
m’offre sa corolle. Je broute son délicieux minou, elle adore ça. La jouissance qui en résulte diminue la pression et lui permet de s’endormir rapidement dans mes bras.
Le lendemain, durant tout le voyage, elle est particulièrement volubile. Clément par-ci, Clément par-là, comment cela va-t-il se passer ?
Est-ce qu’il sera à la hauteur ? Est-ce qu’il va la trouver à son goût ? Est-ce que j’ai bien pensé à prendre la petite caméra numérique ? Et la boîte de capotes, où
est-elle ?
À l’approche du village de notre hôte, elle me demande de m’arrêter dans un petit sous-bois. Elle fait pipi puis, trouvant sa culotte un peu sale,
elle décide carrément de l’enlever. Elle se parfume partout, sur la chatte, sous les bras, derrière les oreilles et dans le cou, puis elle réajuste son body et arrange ses cheveux dans le
rétroviseur. Nous repartons et les derniers kilomètres se passent dans un silence très religieux. Parvenus chez Clément, nous nous garons près de la maison d’en face et, avant de descendre de
voiture, nous partageons un long baiser très complice. Cette fois-ci, ça y est, nous y sommes, nous descendons de voiture et sonnons à la porte du petit pavillon.
Notre hôte est jovial et plein de bonhomie. Il nous accueille avec un large sourire. Il s’efface pour nous laisser passer, après avoir complimenté
ma femme sur sa tenue. Je lui tends une bouteille de pétillant qu’il saisit sans autre commentaire.
— Asseyez-vous, faites comme chez vous. Je peux vous offrir quelque chose à boire ?
Nous sommes tous les trois un peu gênés, devant nos verres de vin. Je crois qu’aucun d’entre nous n’a vraiment l’habitude de ce genre de situation.
Ma femme vide son verre et il lui en ressert immédiatement un autre. Il ne lui en faut pas beaucoup pour être un peu pompette, mais je crois qu’il lui faut quand même tout ça pour lui donner un
peu de courage.
C’est alors qu’elle se lève et va carrément s’asseoir sur les genoux de Clément qui n’en croit pas ses yeux. Moi non plus d’ailleurs, je suis
soufflé !
— Vous étiez plus bavard l’autre jour au téléphone, lui reproche-t-elle en le prenant par le cou. Est-ce moi qui vous intimide ? Je vais vous
confier un petit secret : je ne porte pas de culotte.
Du coup, notre hôte s’enhardit et je vois sa grosse paluche glisser le long de la cuisse de mon épouse et s’insinuer sous sa jupe.
— Vous voyez bien que je dis vrai ! ajoute ma coquine de femme en rigolant.
Tout en le laissant tripoter sa chatoune, elle entreprend de dégrafer les boutons de la chemise épaisse du gros bonhomme. Je vois sa main qui glisse
entre les poils longs et bouclés. Je sais qu’elle adore cette sensation que lui procurent les poitrines très velues, la mienne l’est d’ailleurs tout autant. De son côté, Clément a carrément
troussé la jupe et je vois ses gros doigts qui farfouillent la chatte de mon épouse et essaient de la percer. Elle se penche alors vers lui et l’embrasse tout d’un coup à pleine bouche en
glissant sa main fiévreusement le long de son ventre.
Je suis fasciné par la facilité qu’a ma femme à détendre l’atmosphère. Bientôt, elle se relève, s’agenouille devant notre hôte et entreprend de
dégrafer son pantalon. C’est avec dextérité qu’elle sort un beau sexe déjà dur et dressé. Elle se tourne vers moi : je n’en perds pas une miette. D’un petit signe de la tête, je
l’invite à continuer.
— Hum, quelle belle queue, dit-elle à Clément en embrassant timidement le gland tout congestionné.
Elle lui demande de se relever, descend son pantalon et son slip à ses pieds, puis entreprend de lécher les grosses bourses bien gonflées. Tandis
que sa langue pointue parcourt les grosses couilles de son amant, elle tourne les yeux vers moi, comme si elle attendait que je lui donne le feu vert pour emboucher la bite de notre ami. Son
regard vitreux est plein de concupiscence.
— Vas-y, chérie. Prends-la dans ta bouche cette grosse queue, puisqu’elle te fait envie.
Sans arrêter une seconde de me regarder, la voici qui embouche effectivement cette trique, elle l’avale bien à fond et la prend tout entière dans sa
bouche, au risque de s’en étouffer.
Elle pompe désormais notre homme, comme si c’était de moi qu’il s’agissait, avec un appétit féroce et un regard plein de sous-entendus. Clément, de
son côté, est aux anges. Il la regarde fièrement en train de lui pomper le dard et lui retient un peu la tête comme s’il lui forçait les lèvres. Elle est tellement excitée qu’elle mouille de la
bouche, je vois sa bave qui coule le long du sexe de son amant. Quelle suceuse, cette Sonia ! Je suis tellement subjugué que j’en ai oublié la caméra. Je la sors de mon sac et commence à
filmer ma belle pompeuse d’épouse. Mais celle-ci a d’autres idées en tête. Elle se relève et demande à Clément de s’écarter. Puis, un pied par terre et l’autre sur le fauteuil, penchée en avant
vers le dossier, elle lui présente sa croupe. Il est temps, selon elle, de passer aux choses sérieuses.
— J’ai très envie de me faire baiser, avoue-t-elle sans fioritures.
Clément, qui vient d’enfiler maladroitement un préservatif, se tourne vers moi comme s’il réclamait mon assentiment pour pénétrer ma belle.
— Allez-y, puisqu’elle vous le réclame. Vous voyez bien qu’elle a besoin d’un bon coup de bite.
Il trousse la jupe avec ses grosses paluches et porte sa queue à l’entrée du sexe de mon épouse. Sentant le dard à l’entrée de sa grotte, celle-ci
pousse ses fesses en arrière et s’embroche avidement sur le vit. Nous nous regardons les yeux dans les yeux, elle et moi. Elle semble me dire : « Regarde comme c’est bon, regarde comme
j’aime ça, me faire trouer, j’en avais vraiment besoin de cette grosse trique en moi. » Puis elle se tourne vers son amant :
— Allez-y, Clément, baisez-moi bien fort, j’aime vos grands coups de bite.
Il n’en faut pas plus à notre homme pour qu’il se déchaîne entre les cuisses de ma femme. Il la défonce en ahanant et en lui tenant la croupe. Il a
tout d’un grand singe primaire. Mais Sonia aime ça, elle aime se faire saillir avec force et elle y prend manifestement beaucoup de plaisir.
N’étant pas très à l’aise, ils décident de poursuivre sur le tapis, Sonia à genoux, penchée sur la table basse. Notre homme entre à nouveau en elle.
J’essaie de filmer sa queue qui va-et-vient entre les cuisses de ma moitié, mais ce n’est pas toujours évident et je suis mal à l’aise. Sonia me réclame, je vais vers elle, elle m’embrasse à
pleine bouche :
— Il me pistonne vraiment bien, m’assure-t-elle. J’aime ses grands coups de queue qui rebondissent sur ma matrice.
À ses yeux révulsés, je comprends que la jouissance n’est pour elle plus très loin. Elle gémit :
— Oh oui, c’est bon, oh oui, j’aime ça, j’aime cette bite en moi. Elle me remplit bien. Vas-y, Clément, baise-moi encore, encore plus fort !(
je constate qu'elle est passée au tutoiement)
-
Clément accélère la cadence. Elle n’en peut plus, elle jouit. Notre homme la bourre sans relâche, toujours avec plus de force, il se déchaîne
contre ses fesses, et elle re-jouit, elle re-re-jouit, elle n’est plus que jouissance, elle bave sur la table jusqu’à ce qu’il s’effondre sur elle. Elle essaie de se dégager mais ce gros plein
de soupe est vraiment trop lourd.
— Oh putain, quel pied ! avoue-t-elle en se remettant de ses émotions. Merci, Clément, c’était vraiment génial.
Nos deux amants se relèvent. Ma femme vient s’asseoir sur mes genoux et m’embrasse à pleine bouche comme pour me remercier du bon moment que je
viens de lui faire vivre. Je la sens très chatte et amoureuse.
— Serait-il possible de prendre une douche? demande-t-elle à notre hôte.
Celui-ci est en train d’enlever maladroitement le préservatif tout gluant. Son sexe brille, luisant de sperme.
— Oui, je vais vous montrer.
Quand notre homme revient, il s’est réajusté. Il me confie :
— C’est un beau brin de femme que vous avez là. Elle sait ce qu’elle veut, la bougresse. Vindieu ! Dommage qu’elles ne soient pas toutes comme
ça !
Nous buvons nos verres, affalés sur le canapé, comme deux vieux potes.
Sonia revient de sous la douche. Elle est entièrement nue sous une petite serviette qui lui couvre à peine la poitrine. Je n’en crois pas mes yeux,
elle qui est d’ordinaire si pudique devant les étrangers. Elle tourne autour de nous et dénoue sa serviette. Elle est complètement nue dans le petit salon.
— Clément, comment me trouvez-vous ?
— Très excitante, répond ce rustre.
— Vous trouvez que j’ai de jolis seins ?
— Ils sont parfaits.
— Vous aimez mes gros bouts ?
Elle les prend dans ses doigts et les titille devant lui qui n’en perd pas une miette. Mon épouse est très fière de sa petite poitrine en forme de
dôme. C’est la partie la plus belle de son anatomie, elle le sait et elle en joue. Elle s’assoit sur le canapé entre nous. Je lui saisis un téton et l’étire longuement. Elle se mord les lèvres,
je sais qu’elle adore ça. J’invite Clément à faire de même de l’autre côté. Puis nous nous penchons pour les lui téter. Elle ne déteste pas qu’on les lui mordille et même qu’on lui fasse un peu
mal. Elle a vraiment l’air très excitée. Au comble de l’excitation, elle cherche la bouche de Clément et lui roule à nouveau une pelle baveuse. Je ne suis pas jaloux, mais quand même !
D’autant plus que ce sagouin en profite pour glisser encore ses doigts entre ses cuisses. Mais elle revient vers moi, me prend par le cou et se fait chatte :
— Oh chéri, s’il te plaît, j’aimerais encore profiter de cette belle queue avant de partir.
Stupéfait par tant d’empressement, je ne peux que répondre :
— Ma chérie, c’est à Clément qu’il faut demander.
Celui-ci fouille toujours vicieusement l’entrecuisse poilu de mon épouse. Il me regarde, interrogatif, comme s’il s’attendait à un refus de ma
part.
— Ma femme est vraiment insatiable, crois-je utile d’ajouter à son encontre.
— Ce n’est pas désagréable, répond-t-il avec humour.
— Mais, cette fois, mon amour, j’aimerais qu’il me baise sur son lit et en missionnaire, intervient Sonia, la perverse. J’aimerais voir son visage
quand il s’enfonce en moi. Alors, Clément, qu’en pensez-vous ?
— Pour sûr que j’accepte… Et plutôt deux fois qu’une, ajoute celui-ci grassement en faisant rouler dans ses doigts le gros téton dardé… À force de
vous toucher, j’en suis encore tout raide.
Ma femme éclate de rire.
— Alors, voyons ça de plus près…
Je la vois se pencher vers la braguette de notre homme et emboucher sans rechigner le membre encore visqueux de sa dernière jouissance.
— C’est vrai qu’elle est très raide, avoue-t-elle entre deux léchouilles.
Sonia est à nouveau entre les cuisses de sa victime et je la vois distinctement avaler son gros vit. Bon dieu, ce qu’elle aime ça, ça fait plaisir à
voir. Le savoir-faire de mon épouse fait que notre homme est tendu à l’extrême. Elle lui enfile prestement un préservatif puis, le saisissant doucement par la queue, elle l’entraîne vers la
chambre à coucher. Elle s’allonge sur le lit et lui demande de se déshabiller entièrement avant de la saillir.
— Entièrement nus, comme si nous étions mariés, ajoute-t-elle à mon encontre.
Je le vois s’approcher, avec sa grosse bedaine, entre les cuisses ouvertes de mon épouse. Il saisit son membre bien raide et le guide avec dextérité
vers la grotte secrète de ma moitié. Puis il l’embroche d’un puissant coup de reins et entreprend de la labourer sans plus attendre. Sonia se martyrise les seins en regardant cet impressionnant
amant en train de la saillir. Elle le regarde droit dans les yeux et l’encourage à aller plus fort. De mon côté, caméra à la main, je ne perds pas une miette de ce spectacle époustouflant… Cela
dure un long moment. Il l’embroche comme une bête en ahanant comme un vieux bouc. Elle, de son côté, gémit à chaque coup de boutoir. Elle en veut vraiment, la bougresse ! Il accélère encore
la cadence. Les yeux vitreux de ma femme m’annoncent qu’elle va bientôt partir, ce qu’elle ne tarde d’ailleurs pas à faire. Elle jouit à répétition tandis que lui continue à la défoncer par de
puissants coups de bite. Je suis subjugué par tant de ferveur et regrette presque quand il termine sa besogne et qu’il s’effondre sur elle en beuglant comme un cerf.
Lorsqu’elle sent qu’il commence à débander, elle le repousse et arrache le préservatif qu’elle vide grassement sur sa poitrine avant d’étaler le
sperme sur ses tétons. Elle se masse les seins avec : spectacle hallucinant, je n’en crois pas mes yeux. Je savais ma femme cochonne mais pas à ce point-là. Sont-ce les longs mois de
privation qui l’ont rendue ainsi ?
Il est temps de partir. Nous nous en allons à contre-coeur. Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à nouveau dans le même petit sous-bois. Elle
vient alors à califourchon sur moi pour m’embrasser avec passion.
— Si tu savais combien je t’aime, m’avoue-t-elle avec enthousiasme.
Après ce premier round, nous avons maintes et maintes fois recommencé. Il y eut de bonnes expériences, de moins réussies aussi, mais jamais de
véritables galères. Ma femme est heureuse ainsi et je suis heureux de la rendre heureuse.
Quant au père Clément, c’est l’un des rares que nous revoyons de temps en temps.
Quand nos entrevues se passent bien et qu’il me semble que notre hôte ne représente pas de danger particulier pour notre couple, il m’arrive
d’encourager mon épouse à demander un autre rendez-vous, de façon à approfondir la relation.
Le père Clément, c’est devenu un habitué. Ce vieux veinard a même eu droit un jour à sa voie royale : une sodomie en bonne et due forme. Ce
n’est pas le mauvais bougre, il n’a peut-être pas inventé la poudre, mais il baise bien Sonia et c’est un de ceux avec lequel elle prend le plus son pied ! Dans tout ça je suis plus
heureux, ou tout au moins moins malheureux, de savoir ma femme comblée sexuellement. C'est que moi aussi mon excitation est à son comble : mon moignon coule d'un bout à l'autre de chaque
rencontre et sonia veut porter remède à ma situation , mais comment ???
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