osez, osez les mecs
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osez, osez les mecs
pendant que son copain filmait
Reste ! allez, avale, continue à pomper !
BLOG ET POST D ECONSEILLES AUX MOINS DE 18 ANS
avec les grosses on croit toujours que ça ne va pas rentrer mais ahrrrhhh ahrrrhhh
oui ! ouihhh ! ouihhh ! ouihhh ! ouihhh ! ouihhh ! ouiiicchh ! ahrrrhhh c'est bon !
Je ne voulais pas continuer à vivre le calvaire que je vivais. Je draguais toutes les filles (à tel point qu'elles me trouvaient lourd, limite obsédé) et j'ai joué les homophobes. J'ai réussi à terminer ma scolarité en leurrant tout le monde
Déjà en primaire, j'étais attiré par les garçons. Évidemment, à l'époque, homosexuel, hétérosexuel, ça ne voulait rien dire pour moi ; et je ne me posais pas non plus la question de savoir si c'était normal ou pas, c'était juste naturel. Visiblement, mon attitude ou mon comportement laissait déjà transparaitre, à mon insu, mon orientation sexuelle. Ainsi, mes parents ont un jour été convoqués par mon instit (j'avais 9 ans) qui leur à fait part de mon “problème”. C'est donc à 9 ans que j'ai été envoyé chez un psy pour enfants… Psy qui, si mes souvenirs sont bons, a avoué son impuissance et a conseillé à mes parents de m'amener devant un psychiatre. Par honte ? Par fierté ? Par peur ? Ils ne l'ont pas fait.
L'instit s'est-il laissé allé à parler de moi devant ses élèves, genre "il faut l'aimer" "il faut le protéger même s'il est différent"...? une erreur c'est sûr ! Etait-ce vraiment si flagrant ? Dès 9 ans, je me suis fait traiter au quotidien de tapette ou de PD par les autres enfants et par mes parents. Et je ne comprenais même pas ce qu'on me reprochait, de quoi il s'agissait. [est-ce qu'ils ne sont pas un peu la cause que, plus grand, j'ai inconsciemment "collé à l'étiquette" qu'ils me flanquaient : PD ? ]
Je suis devenu un gamin super difficile, colérique, à fleur de peau, violent physiquement et surtout verbalement… et profondément malheureux. Je n'avais pas d'amis et mes parents ne me supportaient pas.
A 14 ans, on a conseillé à mes parents de me changer d'école. On m'a envoyé dans une autre ville suffisamment éloignée pour que les fantômes de mon passé ne me suivent pas. Mon comportement a changé du jour au lendemain. Je ne voulais pas continuer à vivre le calvaire que je vivais. Je draguais toutes les filles (à tel point qu'elles me trouvaient lourd, limite obsédé) et j'ai joué les homophobes. J'ai réussi à terminer ma scolarité en leurrant tout le monde. Mes relations avec mes parents ne se sont pas vraiment apaisées, j'étais en conflit permanent avec eux, sur tous les sujets. Je leur en voulais énormément et j'étais plein de rancœur.
Durant toute cette période de mon adolescence, j'avais conscience que j'étais homosexuel. Je ne me suis jamais masturbé en pensant à une fille. Je collectionnais les photos de garçons dans les magasines, je regardais des sites gays en cachette, j'étais inscrit sur des forums gays. A plusieurs reprises, j'ai failli être démasqué. Une collègue de classe avait piraté ma boite mail (pas avec de mauvaises intentions) et avait découvert un mail suspect. Apparemment, on avait également découvert que j'étais inscrit sur un forum. En jouant les homophobes et les séducteurs, j'ai réussi à faire diversion.
Ensuite, je suis allé à l'université. J'étais tellement bien conditionné à jouer les hétéros que je n'ai pas saisi l'occasion de démarrer sur de nouvelles bases. J'étais assez populaire et très impliqué dans la vie estudiantine. Je n'ai pas souffert de ne pas vivre ma sexualité. J'avais beaucoup d'amis, je sortais énormément, je picolais pas mal, je m'amusais énormément. Certains bruits circulaient me concernant mais à vrai dire, mes proches s'en foutaient et n'y croyaient pas.
Les études terminées, je ne suis pas retourné dans ma région. Je suis resté en ville ; ce qui n'a pas été le cas de mes amis. Je me suis donc retrouvé tout seul du jour au lendemain. Là, mon homosexualité a refait surface et a occupé toutes mes pensées.
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Drague nocturne : Les mecs a qui je m'offrais ne cherchaient pas à savoir qui j'étais, ils ne posaient aucune question (si ce n'est s'assurer que j'étais bien passif).
Oh lui !
il veut me baiser ni vu ni connu pas de raison de lui refuser
On peut nous prendre en photo,
mais surtout qu'on puisse pas nous reconnaître. On s'encule bien !
Et lui:
je lui demande pas sa carte d'identité pour le sucer
Lui je l'ai sucé sur cette terrasse publique
puis il a voulu me prendre ; j'instant (public) fut délicieux.
C'est ça la drague : on attend du hasard qu'il nous gâte :
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Je n'arrivais plus à penser à autre chose qu'aux hommes. Je ne suis pas parvenu à vivre ouvertement mon homosexualité. J'étais terrifié à l'idée que l'on me surprenne (peur irrationnelle car personne ne pouvait vraiment me surprendre). J'ai donc commencé à fréquenter un lieu de drague, la nuit. C'est dans un parc que j'ai eu mon premier rapport sexuel. Même si ça semble assez glauque, je ne m'étais jamais senti aussi bien de ma vie. Tous les soirs j'y étais. Les mecs a qui je m'offrais ne cherchaient pas à savoir qui j'étais, ils ne posaient aucune question (si ce n'est s'assurer que j'étais bien passif). Ensuite, je me suis mis à créer des profils sur Gaypax, Planetromeo… et à rencontrer des mecs chez eux ou chez moi, en toute discrétion. J'ai commencé à vivre mon homosexualité uniquement à travers les plans cul.
Aujourd'hui, la situation s'est à peine améliorée. Je ne me cache pas ; enfin, pas sur les sites. J'affiche ouvertement ma photo. J'ai couché avec des centaines de mecs (sans exagérer). Pourtant, je n'ai encore jamais eu de petit copain .
Je n'ai toujours pas fait de coming-out. Je ne prétends plus être hétérosexuel. Je ne parle pas de ma vie privée. Je ne nie pas. Je ne confirme pas. Évidemment, c'est un secret de polichinelle. Je ne suis jamais sorti avec aucune fille. On ne peut pas mettre ça sur le compte d'un physique ingrat.
Le plus surprenant, c'est la réaction de mes parents. Ils ont totalement oublié ce que j'ai vécu plus jeune. Les relations se sont apaisées. Ils sont ouvertement fiers de moi. J'ai fait de brillantes études. Ils n'hésitent pas à se vanter devant ceux qui m'ont dénigré enfant. Nous n'abordons jamais ma vie privée/affective. Une fois à l'année (généralement le 31 décembre/1er janvier), j'ai droit à cette question qui me laisse sans voix, qui me surprend toujours, qui me met mal à l'aise : quand est-ce que tu nous ramènes une petite copine ? :-O J'ai tellement peur de revivre ce que j'ai vécu enfant que je suis totalement incapable de leur répondre : JAMAIS, JE SUIS PD. Pourtant, ils ont l'air d'en être conscients. Régulièrement, ils regrettent ouvertement qu'ils n'auront pas de descendance et que l'héritage qu'ils me laisseront sera perdu après moi.
C'est un frein. Je suis convaincu que c'est l'une des raisons qui explique pourquoi je n'ai jamais vécu une vraie relation. Si ça devient sérieux, il faudra présenter mon amoureux. Je ne me sens pas capable de vivre cette expérience. Et je refuse de faire endurer ça à un homme. Alors, je ne rencontre que des bi ou des hétéros curieux (homos refoulés). Ainsi, j'évite tout engagement.
C'est un manque. Je me sens seul alors que je suis entouré. Je ne suis pas dépressif pour autant, les plans cul font office de pansement (cercle
vicieux, je le sais).
D'une certaine manière, j'en veux à mon entourage de ne pas me faciliter la tâche. J'ai 31 ans, rien n'est perdu. Pourtant, j'ai l'impression de
trainer derrière moi des charrettes trop lourdes que pour me permettre d'avancer…
Regardez-le bien celui-là : il se fait baiser comme une reine et par de très grosses queues
moi je me régale de mater
et ça attire "les mouches -lol-
J'ai couché avec des centaines de mecs (sans exagérer). Pourtant, je n'ai encore jamais eu de petit copain
chut bébé, pas trop de bruit...jouis et taisons-nous
P
un actif et ses partenaires :
garder le son de la vidéo ci-dessous pour l'ambiance
Pour ma part je n'aurais jamais aimé qu'un mec qui me baise parle de mon cul comme de ma "chatte" comme si ma masculinité à moi était niée, gommée, effacée ! Ni qu'un anglo-saxon m'appelle "slut" Voudrais-je être une femme ? NON ! je veux jouir en tant que mec et mec seulement.
C'est doux, c'est chaud, et, on l'espère ! accueillant. Mais encore ? Qu'éprouvent-ils vraiment entre nos bras, quand, paupières mi-closes, ils savourent leur volupté à eux ?
«Avec ou sans préservatif, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances...»
«C'est difficile d'isoler la sensation de pénétration de tout ce qui l'entoure. C'est global.»Il y a aussi les parfums, les odeurs
Les uns « soie », les autres « velours ». Tous d'accord pour dire que « la texture » est fondamentale, et différente avec chaque mec
«C'est fluide, enveloppant.»«C'est absorbant, ça vibre.»«On ne sent pas de fond, juste des bords.»
Il y a des anus affamés, d'autres enfantins, un peu apeurés, certains où on flotte, où on ne sent rien. Il y en a qui vibrent, certains qui enserrent plus, certains qui éjaculent... J'arrive aujourd'hui à deviner un peu le sexe d'un mec à sa personnalité: timide, élégant, animal, brutal, coquin... Son sexe fait partie de ce que j'aime en lui, comme sa taille, ses hanches
Manu a une vie sexuelle très active. Ce chercheur de 39 ans explique avoir des amants depuis une vingtaine d’années. Beaucoup. Un chiffre qu’il pense à trois zéro, puisque, entre partenaires réguliers et rencontres d’un soir, il couche chaque année avec une centaine d’hommes. Le ton n’est pas vraiment à la vantardise, plutôt à l’humour trash et permanent :
« De l’expérience que j’ai, plus les mecs sont virils d’apparence, plus vite ils sont à quatre pattes ! Dernièrement, je suis sorti avec deux jeunes mecs complètement folles, au lit c’était le retour de l’homme de Neanderthal. »
Certains hommes hétérosexuels aiment se faire sodomiser par des femmes avec des gadgets fabriqués à cet effet. »
“Ce soir je te fais un enfant”. « Se faire sodomiser ou simplement fantasmer cette pratique provoque chez beaucoup d’hommes la peur d’être féminisés et assimilés au sexe dit “faible”. »
C'est doux, c'est chaud, et, on l'espère ! accueillant. Mais encore ? Qu'éprouvent-ils vraiment entre nos bras, quand, paupières mi-closes, ils savourent leur volupté à eux ?«Avec ou sans préservatif, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances...»
«La pénétration, c'est une plongée en apnée. Tu prends une bouffée d'air avant, et tu y vas. Tu entres dans un univers fluide qui t'aspire, comme un aimant.Lui, il s'ouvre un peu comme un lotus, et là tu expires. C'est un univers familier, une sensation tellement naturelle ! ...» (Pascal)
Mais le mieux, "le top", ça ressemble à quoi ? Au moment de la pénétration, la sensation d'être à l'étroit, bien sûr. Mais c'est plus complexe qu'on l'imagine. Certes il y a les «mécanistes», mais aussi les partisans de la sensation globale. Comme ils le font tous remarquer: «La taille du sexe a son importance, mais ça ne fait pas tout. Comme pour vous, non?» Quand j'étais minot, les copains me décrivaient l'orgasme de telle façon merveilleuse que je croyais qu'il suffirait de pénétrer quelqu'un(e) pour atteindre le nirvana. Eh ben non ! y a du boulot avant non ?
«Plus c'est serré mieux c'est. Il y a des culs où on se sent comme aspiré à l'intérieur. On se sent plus désiré.» (Julien)
« Tout est dans la contraction, le rythme qui crée une caresse tout le long du sexe. Comme dans la masturbation. On découvre la sexualité avec nos mains, c'est un jeu de pression. (Rires.) Non, ce n'est pas une question d'âge mais de bonne volonté. Il y a des exercices tout simples pour muscler les parois du rectum , et même des joujoux conçus pour. L'idée c'est d'être dans un anus actif, vivant, qui ne subit pas.» (Edouard)
«Plus ou moins étroit, moi je m'en fous. Ce qui compte c'est comment on fait l'amour ensemble: est-ce qu'on se lâche ou pas... Même avec la même personne, c'est toujours différent. Aimer son partenaire c'est un plus. Mais je crois aussi à l'histoire d'une seule nuit sans lendemain, jamais avec le même. L'abandon et la perte de soi peuvent se passer avec n'importe qui» ?«Avec ou sans préservatif, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances..."la mer, la mer toujpurs recommencée, frotti-frotta, avec ses flux et ses reflux » (Bernard)
«Moi j'adore les anus bien épilés, doux, accueillants. Et sentir l'humidité qui monte, comme une vague. Il y a des anus qui vous aiment, qui aiment votre sexe. Ils vous aimantent, et on les quitte à regret... J'aime de plus en plus le sexe masculin. Un partenaire faussement silencieux, jamais soumis. Il s'ouvre, se ferme, vient vous cueillir : c'est lui qui fait tout...» (Emmanuel)
«Quel que soit ton partenaire et la qualité du rapport, c'est surtout tes propres sensations que tu perçois. Jamais tu n'es si proche et si à l'écoute de toi-même.» (Paul)
On aurait pu se contenter de ce tableau impressionniste. Mais nos témoins ont été plus généreux. Pris au jeu, toutes barrières tombées, aucun n'a rechigné à entrer dans les détails. Et à préciser les sensations de cette lente montée vers l'extase. Quoique... A les écouter, l'extase semble plutôt coïncider avec le tout début: cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre.
«La pénétration, c'est un aboutissement. En termes de chasse, c'est le coup de fusil... (Rires.) Pour en arriver là tu as pataugé des heures dans la forêt. Et enfin, ce n'est plus lui qui te balade, c'est toi qui décides! Surtout avec un nouveau partenaire, c'est une jubilation. Une fierté. Ça a à voir avec la domination, la virilité. Le gars te fait confiance, il s'offre. Quand tu entres en lui, tu peux le sentir s'ouvrir, avec ce cri aspiré qui te rend si fier et te porte en avant... Tu ressens forcément une forme de puissance. Tu deviens macho même si tu n'es pas macho. Inconsciemment tu te dis: "C'est moi le mec, je vais le prendre, le déchirer."» (Pascal)
«Qu'on soit dans la séduction du 1er jour ou avec un homme qu'on connaît depuis quinze ans, c'est toujours l'aboutissement. Le moment intense où on passe à la fusion, à l'alchimie. L'essentiel pour moi, c'est de retarder le plus possible cet instant "le glissement progressif du plaisir"... Et là, à l'instant T, ce qui est intéressant c'est la résistance. La sensation de ce corps fermé qui s'ouvre (qu'on ouvre). Et ce n'est jamais gagné. Ce que j'adore c'est entrer et sortir juste le bout de mon sexe. Rester à l'orée, de lui et de moi. Un jeu très jouissif : j'y vais, j'y vais pas. Un jeu sur le temps.» (Paul)
«C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec le gars. Jusque-là, tu es dans le jeu de séduction, dans la démonstration, tout est exacerbé pour conquérir l'autre. Et soudain tu es moins dans le jeu. C'est là que tout commence (ou tout avorte).» (Bernard)
«On obtient de la partie adverse un truc sacrificiel, qu'il se donne. C'est la même symbolique depuis des lustres.» (Edouard)
«J'aime pas qu'on éteigne la lumière. J'adore regarder mon sexe qui entre en lui, c'est toujours aussi magique pour moi. Observer la vigueur de mon sexe qui le pénètre. Ce pont entre nous. Comme si mon sexe devenait extérieur à moi, un être à part entière qui a, à la fois, son autonomie (je lui lâche la bride) et qui ne l'a pas par mon contrôle. » (Emmanuel)
Et ensuite, une fois installés l'un dans l'autre ? Là commence le «pas de deux», une expression qui revient souvent. La pénétration, c'est comme une danse où chacun, tour à tour, invente le rythme. Finie la phase de domination. Place au dialogue, à l'échange, au partage.
«Qu'est-ce que je ressens, alors? Du plaisir! (Rires.) C'est génial d'être en communion, noyé dans l'autre, en fusion. Hyperattentif au -moindre tressaillement... Il peut arriver aussi qu'on s'ennuie. Qu'on ne jouisse pas .Il m'est déjà arrivé de bâiller, et même une fois de m'endormir (dans le désert d'une histoire perdue). Ce n'est pas juste un truc mécanique, être dans un cul, son cul, respect. Le plaisir n'est pas garanti. Tout dépend de la manière dont les corps s'entrechoquent et de ce qui se passe dans l'esprit... Parfois c'est le passif qui reprend le dessus, qui impose les choses. Là tu peux te faire baiser... (Rires.)» (Bernard)
«Dans la tête, c'est toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Moi je suis un cérébral. Parfois me traverse l'idée que je coupe l'autre en deux. Je suis le marteau de Thor à moi tout seul. (Rires.) Parfois c'est le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens... Et cette humidité... Tu mesures l'envie, la correspondance. Tout le reste c'est un jeu de contractions. Pourquoi croyez-vous qu'on vous tape sur les fesses, qu'on vous tire les cheveux, qu'on donne un coup de reins plus fort? C'est pour obtenir une contraction. (Rires.) Parfois on se sent comme aspiré. C'est délicieux. » (Edouard)
«Quelle douceur d'être dedans! Ce n'est pas seulement moi qui le pénètre mais lui qui m'accueille, me veut en lui, me prend... Mon plaisir est très lié à l'envie qu'il a de moi. «J'adore poser ma main sur son ventre quand je suis en lui, pour sentir mon pénis aller et venir dedans.» Il y a une sensation que j'arrive à isoler, très agréable: lorsque mon pubis vient cogner contre ses fesses, cette idée que je suis plus loin dans son ventre et j'habite mon gland explorateur. Surtout quand je me retire et rentre soudain à nouveau. Il est ouvert béant. J'ai l'impression alors qu' il m'aspire et que je pourrais aller très, très loin... Les mouvements aussi entrent en jeu. Comment il bouge. J'ai plus de sensations lorsque les mouvements sont lents. Quand le gars demande un va-et-vient plus violent, ?«ah, prends-moi fort, défonce-moi...!» le plaisir est plus psychologique. C'est sa façon de s'abandonner qui me comble. Quand je le sens trembler, frissonner, feuler à mon oreille, j'ai toutes les sensations décuplées.» (Julien)
«Plus je vieillis, plus j'adore rester, sans forcément aller et venir en lui. Je crois que par moments ça ne lui déplaît pas. Il m'est même arrivé de ne plus savoir qui était en qui qu'on s'endorme comme ça. J'ai parfois l'impression d'être totalement bouffé et passif. Un jour un gars m'a dit en serrant son conduit : "C'est moi qui ai ton sexe." C'est ça, oui: comme si je lui donnais mon sexe un moment, comme on donne la main...» (Emmanuel)
«C'est la trêve. L'osmose. Une alchimie digne d'un parfum. Etre en lui, ça évoque pour moi quelque chose de rond, de parfait.» «C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Sébastien, 35 ans)
«Avec le pote, je repère le moment où il va jouir, et je peux, en me calant sur ses pusationstions, jouir à l'unisson. Ces moments-là, c'est de la téléportation.» (Sébastien)
Pas envie qu'il sorte ...
Un passif : On pourrait écouter leur respiration "d'après", des heures, mais il faut bien conclure puisqu'il débande . «Cet instant serait-il triste»? Pas vraiment, non. C'est plutôt un état de béatitude qu'ils vivent. Et encore un cliché de l'homme repu qui vole en éclats: dans l'ensemble, ils aiment bien rester en nous. Et savourer, dans une semi-conscience, le calme après la tempête. (José, passif)
«Je suis toujours bien là, je n'ai pas envie d'en sortir... Ce qui est jouissif avec celui qu'on baise, c'est jouir en lui, rester et s'endormir. L'un dans l'autre. J'adore particulièrement somnoler en chien de fusil, mon sexe dans son cul.» (Julien)
«Avec mon copain j'ai envie d'être en lui tout le temps. De dormir dedans... Malheureusement, en se retournant, on finit toujours par se séparer...» (Emmanuel)
«C'est mon moment préféré. En fait c'est toujours LUI qui me rejette... (Rires.) Surtout ne plus bouger, fermer les yeux, ne pas parler. L'animalité est là, dans ce moment de plénitude, de calme, après le jeu, la fièvre, éventuellement le combat. Peu importe où tu te trouves, ce qui se passe autour: tu ne sens plus les limites de ton corps, tu es en suspens. Et en sécurité en le serrant plus doucement dans tes bras. Peut-être parce que c'est un retour aux sources... Dans ces moments-là, on pourrait venir me poignarder ou me cambrioler, je ne réagirais pas. Plus rien n'existe autour. Peut-être même plus l'autre, qui devient une part de toi-même. C'est un moment très égoïste, en fait, où tu profites pleinement de toi. En mode relaxation. Ça a à voir avec la spiritualité, avec une sensation mystique.» (Paul)
L'ANUS? LE RECTUM FUN
SON OBSESSION LUI DEFORME SA TETE D'ACTIF -lol-
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