rencontres aléatoires sans sodo et sans lendemain sur Avignon. En connaisseur Jori ne va pas avec les "ersatz"ou les "tapettes"-lol- et il fait tous les parkings et aires de repos autour d'Avignon. Beaucoup d'entre nous l'ont rencontré sans le savoir, mais il y a eu peu d'élus : son "casting" est exigeant. Ca sort du"troupeau" son personnage garde tout son mystère.

  "  Moi c'est Jori 2  Je trouve que les mâles actifs virils sont assez rares, et moi j'ai toujours aimé les hommes de 40 ans. Ils dégagent un quelque chose, de bien. Ils ont du goût, une odeur de mâle, leur queue est excellente à sucer et ils aiment qu'on les papouille, qu'on les suce, qu'on les tripote. En plus, je les préfère routiers, alors là pour moi c'est super aussi je vais vous raconter une de mes aventures.

Ce qui m'est arrivé, il y a peu de temps en fait. C'était jeudi soir à 19h. J'habite sur Avignon et je revenais de Marseille, aussi avant d'aller voir ce qui se passait sur le parking du pont de Bonpas, sortie Avignon sud (84), je me suis arrêté sur les 4 parkings avant de sortir. Sur les 3 premiers, personne. Sur le quatrième, des voitures, un vieux (mais très vieux) dans un camion. Il n'est pas resté longtemps... et est parti faire sa route. Les 3 homos, sont partis également. Je suis seul sur ce parking. Je me demande si je vais rester... "C'est vraiment désert ce soir. Enfin je reste, je vais bien voir!"

Au bout d'un moment, un semi -remorque blanc arrive, se gare. Le gars au volant allume sa cabine, cherche quelque chose, descend de son bahut, et part vers les toilettes: un petit mec, la quarantaine, barbu, bien foutu. Je descends de ma voiture en me disant "Allons voir de plus près". J'arrive aux toilettes, il finissait de pisser. Il se secoue la bite, et repart à son bahut. Je me dis: "Bon, ben c'est pas pour ce soir!" J'avais faim, je remonte en voiture. Il ne part pas, il attend, allume une cigarette, et redescend de son camion! "Tiens! ho, ho!" me dis-je.

Il me regarde, s'approche de ma voiture. Je baisse ma vitre. Il me demande d'une fort jolie voix: "Tu cherches un copain?" Je réponds que, oui en effet, c'était le but de ma présence ici. Il me dit: "Viens!" Mais à ce moment, deux camions arrivent suivis de trois voitures. Un peu gêné, il me dit: "Bon! Tant pis!" Je lui réponds: "Bon, ben tant pis! Dommage!" Il s'en retourne dans son bahut, mais ne part pas! Je décide, moi aussi de rester sur ce parking.

Là, le balai des tapettes commence! Les trois voitures circulent lentement de long en large, appels codes/phares... Et ça tourne et ça retourne. Mon homme, imperturbable commence à tendre un écran sur son pare brise comme pour se protéger de ce bordel. Au bout de presque vingt-cinq minutes, les deux camions quittent le parking sans qu'apparemment il y ait eu de rencontre...

Soudain mon homme baisse sa vitre et me fait signe en criant: "Viens!" Surpris, je regarde autour de moi les trois ersatz dépités, qui remontent dans leurs autos. En attendant, je descends de la mienne, je monte dans le camion... Ça sentait le jules propret et la cigarette dans cette tanière. On discute un peu... Il me dit que son rideau de pare-brise ne fonctionne pas. Il baisse celui de mon coté et me dit sans transition, en se déshabillant, qu'il aime tout. Il garde son pull et son t-shirt. Mais le slip, le bénard, tout ça, ça vire. Je vois dans la demi-obscurité une jolie paire de fesses. Ce joli monsieur s'allonge en travers sur sa couchette et me dit: "Fais moi ce que tu veux!" Je lui demande, ce qu'il aime, "Tout!" me répond-il, "mais moi, je ne fais rien."

Bon alors j'approche ma bouche de sa cuisse gauche, puis droite; je remonte, lui caresse avec mes lèvres ses couilles, je papouille sa queue qui se met à gonfler. Elle n'est pas très grosse, mais bien jolie et odorante comme je les aime. Je goûte, son gland, et là j'entends "hummmm". Je change pour embrasser son ventre, ses seins. Il n'est pas poilu, un peu potelé, adorable... Je redescends sur son joli petit bâton, je descends sur ses couilles, je les gobe, et il relève les cuisses. Je lui demande: "Tu aimes qu'on te bouffe le cul?" Il me répond: "J'adore ça!" Je le voyais bien et là, l'extase...

J'embrasse ce cul propre, je le lèche goulûment, j'enfonce ma langue et ce cul se dilate, s'entrouvre accompagné par des "hummm" de plaisir. Il m'arrête voulant d'autres caresses... Je remonte ma bouche pour lui sucer cette belle queue raide et lui caresser le ventre, les seins, les épaules. Il me prend les mains... Je les sens un peu rudes et dures mais les doigts bien faits... comme la queue que je lui astique. Je la sors de ma bouche, je la lèche, je l'embrasse. Il me dit: "Que c'est bon! Tu me régales." Je suis aux anges.

Il envoie ses pieds en l'air et là je lui caresse les fesses, je lui lèche son trou comme un affamé. Il soupire et pousse des petits cris quand je lui masse, le haut des cuisses, [le tour osseux du bassin]. Je lui masse les fesses, je lui caresse les couilles, la queue, il est fou, il me crie d'arrêter. J'engage le pouce dans son trou du cul largement dilaté maintenant en lui suçant sa queue en même temps. Je retire mon pouce pour lui enfoncer à nouveau après l'avoir mouillé de ma salive. Je lui fous ensuite mon index, puis mon majeur, deux doigts en même temps. Il aime! Je tourne mes deux doigts doucement. Il aime vraiment ça, le coquin...

Je retourne avec ma bouche travailleuse lui sucer son organe délicieux, à grand et petits coups de langue. Il n'en peut plus... Soudain, il jouit en criant "OOUUIIIIIIIII!" Sa rondelle se contracte, et il crache une semence blanche. Moi je le caresse avec les mains partout et je lui lèche ce cul avec lequel je l'ai fait jouir comme un fou. Un moment après, il me dit: "Tu m'as tué!" Je lui réponds que ce fut délicieux. Il est content (et moi donc!).

Après la redescente, nous parlons de choses et d'autres. Il doit aller sur Paris... douze heures de route, mais en forme maintenant. Il est 21h30. Nous sommes restés plus de deux heures ensemble... Et je lui ai bouffé le cul pendant au moins une heure. Je suis aux anges et lui aussi. Nous nous reverrons peut être...

Moi, voilà comment j'aime les mâles! En partant il m'a dit "Merci!!!" Alors ça les mecs, c'est le must! C'est super gentil, un macho qui vous dit merci comme ça, du fond de ses tripes, sincèrement. Rien à voir avec les tantes blasées que l'on peut rencontrer le plus souvent...

Voilà, je vous raconterai peut être encore une histoire, car des moments et des mecs comme ça j'en connais quelques-uns uns qui laissent rêveur. D'ailleurs, tous, lorsqu'ils passent sur Avignon, me téléphonent pour savoir si je suis libre et si on peut se voir! Hé hé, moi ça me rend super content!

Voilà Pleins phares à tous " .

jori

      Désolé mais on voit bien que l'emplacement et  la surface de certaines publicités sur erog sont abusifs et empêchent de bien lire l'article    

des mecs comme ça j'en connais quelques-uns qui laissent rêveur. D'ailleurs, lorsqu'ils passent sur Avignon, ils me téléphonent pour savoir si on peut se voir! Hé hé, moi ça me rend super content!

il m'a rentré

moi je l'avais appelé sur grindr "viensje suis seul"

 ...aucune provocation de ma part, n'est-ce pas ?

je l'ai invité à se mettre à l'aise lui aussi 

moi toujours pareil, dévoué et tout...

  lui, il a de suite lâché les chiens

  moi j'étais surpris par son furieux doitage et recevoir la copieuse fessée

c'est un étalon : j'étais pris

à ce moment je rigolais moins

il m'a fait mordre les coussins

sur  la viéo on voit que je n'éprouve pas que de la douleur -lol- le plaisir se mnifeste, ah le con !

encore une phase forte : il me pilonne

La culbute derrière-> devant, dites-moi si quelqu'un vous a déjà fait ça ?

n'esayez pas de me parler : je ne suis qu'à lui

  pas déçu, non, mais c'est encore lui qui a choisi : je préfère la jute dans le cul

après il a rentré les chiens au chenil-lol-

j'espère le revoir et qu'on fasse mieux encore !  

FIST EN PRISON Samir, voici votre coloc Léo. Le gardien referme la porte à clé derrière moi. Je pose mon sac sur le lit double, en haut et serre la main à ce compagnon inconnu

    laisser aller les sensations… Il y a aussi un peu de honte je crois, mais une honte coquine,

1 mois en prison : le toubib

50 km/h au dessus de la limite autorisée, des restes de cannabis dans le sang et un accident responsable m'ont entraîné une peine d'un mois de prison ferme...sans compter l'amende qui va avec et bien évidemment le retrait de permis, j'avais tout gagné au volant de ma nouvelle Audi A3...

[...]

-"Bien, approchez vous Léo, et déshabillez vous" me demanda le docteur. Le surveillant s'assied sur le siège à côté et nous observait.

Je m'approche donc, sans dire un mot et ôte mon t-shirt, pantalon et chaussures, je me retrouve en slip blanc.
-"Le slip également Léo". Je m'execute et me retrouve dans le plus simple appareil.
-" Allongez vous sur la table". Je m'allonge donc sur la table, à poil. Le docteur enfile des gants et commence à me palper le ventre, et différentes parties du corps. Il s'attarde un instant sur mon pénis, qu'il décallote, puis fais rouler mes couilles dans ses doigts.
-"Parfait. Maintenant, placez vos jambes sur ses étriers". Il avance 2 étriers et je place mes jambes dessus, j'ai l'impression d'etre sur une table d'accouchement, je sens l'air frais sur ma chatte qui était désormais à vue.
-"Je vais procéder à l'examen approfondi de votre prostate. Détentez vous."

J'étais détentu, c'est sûr...Je savais que j'allais aussi dérouiller.
Le docteur prend un tube de vaseline et s'en enduit les mains. Il en appose sur ses doigts qui viennent se poser à l'entrée de mon cul. C'est froid et agréable à la fois. Le docteur insère un doigt, qui me paraît déjà bien gros, il me fixe de ses yeux bleus. Son doigt entre facilement dans mon cul ramoné quotidiennement des 22 cm de Samir. Puis rapidement, il rajoute un second et un troisième doigt, je commence à sentir la pénétration. Il les rentre doucement, en effectuant de petits mouvements de rotation dans mon anus. Je commence à ressentir du plaisir.
-"Tout va bien?
-Oui, oui ça va".

Il y rajoute le pouce, que je sens bien passer, j'ai l'impression qu'il a vraiment des gros doigts épais, et enfin le petit doigt...j'ai désormais ces 5 doigts dans ma chatte entrés sur 4/5 centimètres. Il les ressort et les rerentre doucement, le surveillant matte la scène avec toujours ce sourire de coin. Je souffle de plus en plus fort, je commence à avoir quelques gouttes de sueur sur le front.
Puis le médecin se retire et retrousse sa manche. Il s'enduit alors de vaseline, mais cette fois ci, jusqu'au poignet. Je craignais le pire...
-"très bien, soufflez et détentez vous Léo".Il réintroduit les doigts de la main qui entrèrent sans encombre. Puis tout en la tournant dans mon cul dilaté, il exercait une pression, si bien que sa main disparaissait de plus en plus en moi, je pousse quelques cris, mélangés à des gémissements, je ne voyais plus sa main ni son poignet, tout était rentré....il me fister carrément le bougre... J'avais l'impression qu'il m'arrachait les boyaux, il me fixait toujours du regard tout en tournoyant lentement sa main et son avant bras dans mon cul explosé...
-"Ca fait du bien, non?
- oui... oui...." répondis je entre 2 souffles.

En tournant la tête je m'appercu que le surveillant général avait sorti sa queue et qu'il se la paluchait en observant mon fist. Je pouvais également deviner une belle bosse dans l'entrejambe du docteur...
- "Qu'est ce que tu mattes Léo?" Me demanda le suveillant général.
- " Rien, rien monsieur"
Il se lève de sa chaise et se rapproche de moi, la bite dressée comme un i. Il l'appose à 2 centimètres de ma bouche.
- "C'est ca que tu mattes, hein? Ben vas -y suces la, lèche la comme tu l'as fait la dernière fois à mes collègues."
Il m'enfourna sa bite dans la bouche. J'avais du mal à respirer et à le sucer en même temps. Le médecin retire son avant bras de ma chatte, je sens que je suis méga ouvert, car l'air frais de la pièce entre littérallement dans mon cul.
-" Voilà, c'est ça, suces bien, vas-y". Le médecin enlève son gant à son tour et sort sa bite que se révèle très large.

Il se branle doucement tout en me touchant la chatte de quelques doigts.
-" On va désormais vérifier le comportemant de votre prostate en action Léo"
Et, pendant que j'avais toujours la bite du surveillant général en bouche, le docteur approche son gros gland luisant de ma chatte...il mouille sa bite avec sa salive et me la claque direct dans mon cul déjà explosé. Malgré le fist, je la sens bien passer, elle ne doit pas être aussi grande que celle de Samir mais plus large par contre.
J'ai droit à de beaux coups de butées en pleine chatte par le viking qui s'avère être un bon baiseur, et à de bon coups de bite en fond de gorge par le surveillant, j'adore être baisé comme ça par tous les trous.

Le médecin se retire et s'assied sur la chaise, la bite droite comme un i, luisante de mes sécrétions anales.
- "vas t'empaler dessus Léo" me demande alors le surveillant général. Je me relève donc de ma table d'auscultation, j'ai l'impression que j'ai un peu la tête qui tourne et surtout le cul explosé et vient m'asseoir sur la bite bien épaisse du médecin, face à lui.... je m'empale sur son gros gland, lui m'attrappe les fesses de ses deux grandes mains et m'appuit à fond jusqu'à buter dedans. Il me relève ensuite et me fait l'ascenseur avec sa belle teub.
- "Avec le cul que tu as, il y a forcément de la place pour 2" Le surveillant général, arrive derrière moi, je sens sa queue dressée sur le haut des fesses. Puis le médecin, qui a sa bite rentrée à fond dans mon cul, m'écarte bien les fesses.
-"vas y" dit-il à son collègue.
Je sens alors le gland du surveillant sur mon cul, il insiste et force le passage puis sa bite entre et rejoint celle du médecin...j'avais désormais les 2 bites dans le cul. Je ne maitrisais plus rien.

Pendant 5 bonnes minutes, les 2 me niquèrent comme une pute, je hurlais de plaisir...et sans même me branler, je jouis sur le torse du médecin, sentir ces 2 queues en moi me rendait fou...
-"je vais venir" dit alors le surveillant général.
-"moi aussi" répondit le médecin.
-" vas y, on lui remplit la chatte" Et les 2 me lachèrent leur sauce quasiment en même temps, j'étais pris en sandwich par ces 2 mecs et leurs queues m'avaient inondé de sperm...

Le surveillant se retira le premier, puis je m'extrais de la bite épaisse du médecin, j'étais épuisé, lorsque je passa ma main sur ma fesse, j'étais ouvert comme pas possible et dégoulinant de foutre, qui coulait sur mes cuisses....
- "allez Léo, finis bien le travail, viens nous nettoyer la bite"
Je me mis à genoux et pris soin de bien lécher les 2 bites, celle du médecin était vraiment épaisse, je m'étonnai d'avoir réussi a avoir pris ces 2 bites dans le cul.
-"Très bien Léo. Ta prostate se porte à merveille. Rhabille-toi je vais te reconduire à ta cellule."

J'étais une fois de plus comblé, je n'avais pas envie de quitter cette prison, vraiment....

   «  Par la suite, je peux dire que j'ai été marqué par cette expérience en prison et j'ai fisté autant que j'ai été fisté. Je sais donner de ma personne sans y être forcé…on peut fister avec tendresse, pas comme le toubib, quoique ce dernier prenait son pied en me fourrageant et il cherchait à communiquer malgré la présence du gardien chef. Le fist c'est bien mieux seul à seul pour le peu qu'on se parle. Après mon retour à la vie normale et aussi étonnant que ça puisse paraître je l'ai fait et je me le suis fait faire -lol- J’adore qu’on me le fasse, mais pas de façon préméditée du  genre RV fist. Ce qui est vraiment excitant c’est de ne pas voir tout ce qui se passe et du coup ne pas comprendre, laisser aller les sensations… Il y a aussi un peu de honte je crois, mais une honte coquine, magique. Et donc voilà t’es là, ton/ta partenaire s’affaire à te caresser et te tripoter tout en te regardant intensément dans les yeux et puis ça avance petit à petit, je n’ai pas forcément besoin de beaucoup de lubrifiant si on est bien excités. Ce qui me plaît c’est le doute et l’inconscience de ce que les mains font : où en est-on ? Qu’est ce qui est déjà rentré ? Quoi déjà mais non? Mais oui ! Je viens de le dire, j’aime aussi l’aspect “partage” de cette pratique. Ce n’est pas juste le pénétrant qui profite du voyage. T’as l’impression d’être en expédition, tu te sens vraiment complice et très proche. Je trouve qu’ au niveau des sensations, c’est vraiment charnel au possible… J’atteins rarement l’orgasme dit “anal” et me pénétrer moi-même ne me provoque presque aucune sensation ! Lorsque “je pratique le fist” tout mon corps est en apesanteur, j’ai chaud, c’est un peu comme si je rougissais de tout mon être. Je m’oublie, c’est l’intensité qui me submerge…Et ensuite quand je ne veux plus, je retire doucement la main de mon partenaire et je suffoque… Et là, à ce moment tu as juste envie de te fondre avec l’autre alors tu fais un gros câlin très fort et tu te sens reprendre progressivement le contrôle de ta personne en douceur et c’est magique. »

 « Je ne sais pas si je dois dire que je pratique ou que j’ai pratiqué. Je pratiquerai sans doute encore. Enfin, le fist est quelque chose pour moi d’exceptionnel, dans tous les sens du terme. C’est une sensation et une émotion très forte, J’ai été vraiment très étonné que l’on puisse jouir autant de cette manière, mais cela ne reste pas facile à gérer, tant émotionnellement, physiquement que psychologiquement. J’éprouve une double sensation attirance/crainte chaque fois que j’y pense, bien que j’y ai vraiment pris du plaisir. Cela me demande un travail sur moi, ça ne va pas de soi. Un travail de lâcher prise et de confiance exceptionnelle en l'Autre. Il faut bien choisir son partenaire...mais c'est con de dire ça : il faut bien tomber plutôt! -lol- Je remercie mon initiateur, le toubib de la prison. Fou non ? .»