HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE

Vendredi 27 juin 5 27 /06 /Juin 00:08
 
 
 
Je rends hommage à l'auteur de ce récit : Trebor. Notre héros de ce soir (ils sont plusieurs en fait), Jérôme, était -comme moi- solitaire du sexe et, ceci entraîne cela, j'ai besoin qu'on me raconte une histoire avant de m'endormir. Celle-ci, assez complètement bisounours m'a plongé directement dans un rêve. Tout de suite j'y ai associé "la maison bleue" de Maxime Le Forestier que, comme moi encore, vous pourrez faire jouer tout en découvrant le récit "Initiation réussie" qui pourrait d'ailleurs recevoir d'autres titres ....le loft des garçons ou le garage bleu...
 
C'est une maison bleue Adossée à la colline On y vient à pied On ne frappe pas
Ceux qui vivent là ont jeté la clé On se retrouve ensemble Après des années de route...
Maxime Leforestier
 
 
Jérôme est un homme âgé de 28 ans qui habite une ville de moyenne importance où il réside depuis quelques années après qu’il ait quitté le domicile de ses parents. Vivre chez eux devenait difficile, ils auraient eu tendance à diriger sa vie, questionner sur ce qu’il faisait, qui il connaissait, etc. Mais le plus irritant pour Jérôme était d’entendre ses parents dire :
— Quand vas-tu nous présenter une petite amie ? Nous sommes déjà âgés et aimerions avoir des petits enfants.
Jérôme ne se sentait pas en pleine forme, de plus l’ambiance de travail avait complètement changé quand la direction de l’entreprise a été reprise par le fils du patron, alors, le boulot et ses parents, c’en était trop. Il s’est mis à consulter les annonces de recrutement. Après quelques mois de recherches infructueuses, il commençait à désespérer jusqu’au jour où une société de transports routiers recherchait une personne pour coordonner les transports. L’annonce précisait que le candidat devait avoir le bac et le permis poids lourd, il était possible que le candidat fût contraint d’assurer certains transports. Jérôme a vite envoyé son CV. Par retour du courrier, la société lui demandait de se présenter au siège de l’entreprise. Jérôme appréhendait cet entretien mais l’accueil a été très détendu, son profil et son apparence ont convaincu le directeur de l’entreprise de l’embaucher dès qu’il aura terminé son préavis chez son employeur. Cette ville de moyenne importance se trouve à 50km du domicile de ses parents, ainsi donc le week-end, il venait pour rechercher un appartement. La société lui ayant donné quelques tuyaux, il a fini par en trouver un convenable. Le déménagement de chez ses parents a été très rapide, n’ayant que ses effets personnels, sa chaîne hi-fi, sa télé, quelques ustensiles de cuisine donnés par ses parents, le tout chargé dans sa Clio. Après avoir embrassé ses parents, il est parti pour son propre appartement.
Arrivé, il disposait de quelques jours avant de commencer à travailler qui ont été nécessaires pour meubler et arranger son appartement. Heureusement, Jérôme avait des économies lui permettant d’acheter ce dont il avait besoin. Par chance, l’appartement était très propre et les sanitaires en parfait état. La cuisinière électrique, le réfrigérateur, la machine à laver sont livrés par trois employés d’un grand magasin. En ouvrant la porte, Jérôme se trouve face à un homme d’une cinquantaine d’années et de deux jeunes du même âge que lui ou sensiblement. L’homme porte une salopette de travail, les deux autres sont en jeans usés à certains endroits, probablement par le frottement des marchandises qu’ils transportent. Autant l’homme est souriant, autant les jeunes sont plus réservés; aimables mais réservés. Jérôme se sent bizarre en leur présence sans savoir pourquoi. L’homme à la salopette dit à Jérôme :
— Il y a un petit contre-temps, l’installation ne sera pas terminée avant midi, les plaques électriques sont en état de marche. Pour le reste, mes deux collègues, François et Didier, devront revenir cet après-midi pour terminer.
Avant qu’ils ne repartent, Jérôme leur propose un rafraîchissement.
En début d’après-midi, Didier et François arrivent et se mettent immédiatement au travail. Jérôme se sent de nouveau mal à l’aise, encore plus que ce matin, sa pensée est troublée par la sonnette de l’interphone.
— Nous venons livrer la chambre à coucher.
— Quatrième étage, première porte à droite.
— Très bien, merci.
Jérôme ouvre et découvre deux répliques de Didier et François, même apparence et même look.
— Moi c’est Sylvain et lui c’est Marc.
— Entrez, la chambre est au fond, il faut juste que j’enlève le matelas pneumatique.
En entrant, ils aperçoivent Didier et François.
— Salut les mecs, alors on se retrouve ce soir à l’endroit habituel ?
— Ok.
— Le temps que vous travaillez, je vais acheter des rafraîchissements.
— Bien m'sieur.
Jérôme met peu de temps pour faire ses achats, le magasin à cette heure était désert. La porte palière était restée entrebâillée, il allait entrer quand il entend Sylvain demander à Didier et François :
— Comment vous trouvez le client ?
— Ben, il a l’air sympa, déjà ce matin il nous a donné quelque chose à boire.
— Et vous ?
— Je ne peux pas dire exactement mais il ne semble pas très gai. Il a l’air bien balancé mais vous avez vu la coupe de cheveux à la pépère.
Jérôme décide de redescendre. Il appuie sur l’interphone et entend un des employés dire :
— Oui ?
— C’est moi Jérôme, vous pouvez m’ouvrir j’ai oublié mes clés.
— Oui!
Clic, clic. Quand il arrive à l’appartement, les jeunes ont pratiquement terminé. Pendant qu’ils se rafraîchissent, les questions sont posées: d’où venez-vous, que faites-vous, avez-vous des enfants, etc, bref presque une enquête. Jérôme n’a rien à cacher et répond aux questions mais toujours ce malaise. Ils le quittent en lui donnant une puissante poignée de mains.
Après avoir dîné, Jérôme repense à sa journée et cherche à savoir pourquoi il se sentait tout drôle. Il revoit en souvenir ces quatre hommes de son âge. Ce qu’il a tout de suite remarqué, c’est qu’ils sont larges d’épaules. Subitement il a l’image des jeans devant les yeux et se met à bander. Merde ! Qu’est-ce qui m’arrive ? Ce n’est pourtant pas la première fois que je vois des mecs en jeans. Il essaye de ne plus y penser et décide d’aller au lit car demain il travaille.
Presque deux mois qu’il travaille, son job lui plaît, il a tout de suite été adopté par le personnel et les routiers. Son patron le convoque dans son bureau :
— Jérôme, vous savez que nous avons un transport de marchandises sur deux ou trois jours et qu’il y a des arrêts maladie ? Comme vous avez le permis poids lourd, je voudrais que vous accompagniez Mario dans la conduite, vous connaissez la réglementation administrative.
— Pas de problème Monsieur, demain à 7 heures je serai là.
— Bien entendu, en raison de votre poste, vous ne dormirez pas dans le camion.
— Merci Monsieur, cela me gêne un peu.
— Pourquoi je vous prie ?
— Tout simplement vis-à-vis du chauffeur Mario, toute la journée nous allons être ensemble et je me vois mal lui dire : vous dormirez dans le camion et moi à l’hôtel. Ce serait vexant, je préfère dormir dans le camion.
— Votre délicatesse vous honore Jérôme, vous dormirez à l’hôtel avec Mario, mais soyez raisonnable.
— Raisonnable ?
— Oui, ne choisissez pas un hôtel quatre étoiles, dit le patron en souriant.
— Soyez sans crainte, un deux étoiles suffira...
Jérôme n’est pas du tout perturbé par ce changement et puis il va faire connaissance avec Mario. À 7 heures, Jérôme est devant le camion, cinq minutes après il aperçoit Mario.
— Ah, je suis un peu en retard, excuse moi, oh pardon, vous êtes mon supérieur et je vous ai tutoyé...
— Nous allons vivre ensemble 24 heures sur 24 pendant au moins deux jours alors on se dit TU. Je m’appelle Jérôme, de plus tu n’es pas beaucoup âgé que moi, j’ai 28 ans et toi ?
— 30 ans.
La journée s’est très bien déroulée, un reprenait le volant quand l’autre était fatigué. Tout en discutant de diverses choses, Jérôme qui se sait non pas timide mais discret et parfois secret, s’étonne d’avoir été prolixe. Ils dînent dans un routier dans une ambiance surchauffée tant il y a de monde. Il y a là un échantillonnage de l’aspect du routier. Jérôme remarque que beaucoup sont bedonnants et enveloppés.
Après avoir roulé 20km, ils trouvent un deux étoiles qui dispose d’une aire de stationnement. Jérôme demande une chambre avec deux lits et douche, réveil à 6h30. La porte de la chambre refermée, Jérôme laisse Mario se doucher le premier, le temps qu’il penne quelques notes. Mario ressort à peine séché car il fait chaud en ce soir de juin, une serviette nouée autour de la taille. Jérôme ne peut s’empêcher d’admirer la puissance et la beauté de son corps. Lui-même prend sa douche et se regarde dans la glace. Oui, il est moins puissant que Mario mais son corps pourtant fort enviable ne dégage rien par rapport à celui de son compagnon. Il ressort dans son pyjama, veste et caleçon. Mario est déjà au lit avec simplement le drap remonté au niveau du bas du ventre; instinctivement, Jérôme remarque la bosse sous le drap, il se couche.
— Dis moi Jérôme, tu es marié, tu as des enfants ?
— Non, je suis célibataire. Oh j’ai bien eu des copines mais ça n’a pas marché. Depuis que je suis ici, je n’ai pas encore essayé de trouver une copine
— Alors tu te…
Mario fait le geste de cracher dans sa main et de l’agiter de bas en haut, Jérôme se sent gêné et rougit un peu.
— Sois pas gêné, qui ne le fait pas ? Qu’est-ce que tu crois ? Quand j’ai roulé toute une journée et que je me retrouve seul dans le camion pour dormir et que je bande, eh bien je me branle. Moi aussi je suis célibataire...
— Dormons, demain nous nous levons tôt.
Jérôme est agité, il a du mal à trouver le sommeil, la vision de la bosse, la liberté de Mario de parler masturbation et puis soudain le souvenir des livreurs qui eux aussi avaient une belle bosse dans le jeans. Tout cela le fait bander... s’il avait été seul dans la chambre, il se serait branlé.
Aussitôt le petit déjeuner pris, ils reprennent la route. Avec un peu de chance, ils seront peut-être à l’entreprise ce soir.
— Tu t’es mal couché, tu as des mèches de cheveux récalcitrantes. T’as mal dormi ? J’espère que t’es pas fâché de ce que j’ai dit hier ?
— Non, sois tranquille. Au moins cela renforce notre camaraderie toute récente.
— C’est gentil ce que tu dis là en lui posant, le temps d’un éclair, la main sur le genou.
Encore une fois Jérôme se sent troublé, sa queue grossit alors il empoigne le journal, le pose sur les jambes et fait semblant de lire. Semblant parce que l’origine de cette excitation lui est inconnue et l’empêche de se concentrer sur la lecture.
— Les nouvelles sont bonnes ? demande un Mario rusé.
— Rien d’intéressant.
Ils sont de retour à l’entreprise juste avant la fermeture. Le patron qui allait monter dans sa voiture remarque le camion et vient vers eux.
— Bonsoir Messieurs, déjà de retour ? Je pensais vous revoir seulement demain matin.
— Nous avons eu beaucoup de chance, la circulation était fluide et nous n’avons pas eu à attendre lors du déchargement et du rechargement, répond Jérôme.
— Merci Jérôme, à vous aussi Mario. Au moins, si un jour j’ai un problème, je sais que j’ai un tandem sérieux. Allez vous reposer et à demain.
— Bonsoir Monsieur ! disent–ils en chœur.
En s’approchant de sa voiture, Mario propose à Jérôme de le raccompagner.
— Merci de ta proposition mais j’ai ma voiture. Une autre fois peut-être et puis on est appelé à se revoir.
— Tu sais Jérôme, j’ai eu du plaisir à bosser avec toi quoique parfois tu sembles un peu coincé. Allez ma poule, à un de ces jours.
Ma poule ! Jérôme est complètement désorienté. Certes il se souvient avoir déjà entendu cette expression dans des films mais qu’on lui dise cela à lui le perturbe. Il rentre chez lui avec le pressentiment qu’il va passer une mauvaise nuit.
Jérôme s’entend bien avec ses collègues, ils sont tous mariés, plus d’une fois il a été invité à l’apéritif mais sans vraiment de liens amicaux. Alors le soir, il se promène au hasard dans les rues, le quartier qui se trouve derrière son immeuble lui est encore inconnu. Il décide donc de s’y rendre. J’ai le temps de rentrer se dit-il, demain c’est le week-end et il n’a pas envie de le passer chez ses parents comme cela lui est déjà arrivé. Ce quartier n’est pas très animé, pas très bien éclairé et n’offre rien d’intéressant à découvrir. Il s’apprête à rentrer chez lui quand il entend et voit une dispute, une bagarre même, dans la rue où il se trouve. Il approche en pensant que sa venue fera fuir les belligérants. Pas du tout, deux gaillards s’acharnent sur un mec de même corpulence, mais seul. Jérôme approche.
— Deux contre un, vous n’avez pas honte ?
— Ta gueule, on t’a pas sonné. Ça ne te regarde pas, nous on n’aime pas les PD, fous nous la paix !
— Être homophobes ne vous donne pas le droit de le tabasser !
Un des agresseurs s’approche de Jérôme, le poing levé, pour le frapper mais lui qui a fait un peu de judo réussit à le dominer. Il insiste sur la prise, l’agresseur braille tellement, la douleur est vive. L’autre arrive et veut frapper Jérôme qui lui envoie un coup de pied dans l’entrejambe. Vaincus, ils ont fait vite pour déguerpir, un tient son bras tandis que l’autre met ses mains en coquille sur son paquet. Jérôme approche pour secourir l’agressé qui saigne du nez et de la lèvre.
— Pas trop douloureux ?
— Ça va, merci de m’avoir aidé.
— Je n’habite pas loin, venez chez moi que je vous soigne.
— Non merci mais j’accepte que vous m’accompagniez au local de mes copains.
— Volontiers, je vous suis.
— Vous n’êtes pas d’ici. Je ne vous jamais vu.
— J’ai emménagé il y a seulement quelques mois.
On s’arrête devant ce qui a dû être un ancien petit garage, l’homme frappe à la porte.
— Qui c’est ?
— C’est moi, Antoine, ouvre.
— Mais qu’est-ce qu’il t’est arrivé ?
— J’ai été agressé par deux anti-pédés, c’est Monsieur qui les a fait déguerpir, un avait mal au bras, l’autre aux couilles.
C’est alors qu’il réalise que sept hommes l’entourent. Il reconnait les livreurs, François, Didier, Sylvain et Marc.
— Merci pour ton courage, merci d’avoir aidé notre ami, surtout quand tu as su qu’il était PD, comme nous tous ici soit-dit en passant. Tu aurais pu dire, un PD, qu’il se démerde mais tu t’es battu pour lui. C’est pourquoi nous tous ici on t’est redevable car ce qui touche l’un de nous, touche le groupe.
— Oh, je n’ai rien fait d’extraordinaire. Je n’ai même pas réfléchi mais voir deux individus s’acharner sur plus faible en nombre m’est insupportable.
— Tu es pressé ? Sinon tu peux rester.
En chœur les autres s’écrient :
— Oui, reste qu’on fasse connaissance !
— Demain c’est le week-end, j’ai le temps mais je ne voudrais pas déranger. Vous êtes entre vous et je ne tiens pas à vous empêcher de faire ce que vous avez à faire.
— Dis-moi, tu me sembles un peu coincé. Quand on est allé chez toi, nous quatre avons eu la même impression. Ne t’inquiète pas pour nous, tu peux si tu veux rester jusqu’à ce qu’on parte. Tout d’abord, on va te faire découvrir notre repaire. Ce petit garage appartient à mon oncle, il a transféré son activité dans un local beaucoup grand et moins retiré que celui-ci. La mairie parle de le racheter mais elle en offre un prix tellement dérisoire que mon oncle attend. Sachant qu’on cherchait un local pour nous réunir, il nous l’a proposé; à nous de payer l’électricité et l’eau, nous mettons chacun 40 euros par mois pour les différents frais. L’avantage aussi, si on fait du bruit, c’est que les voisins sont assez loin à part un couple de personnes âgées qui occupe la petite maison en face.
Au fond de cet espace qu’était le garage se trouve une grande façade vitrée derrière laquelle on aperçoit dans un espace séparé, douche et wc, deux grandes pièces. Deux vieux canapés, une grande table, des chaises, un petit réfrigérateur et un meuble composent l’aménagement. Dans un coin à angle droit, d’épais coussins de mousse sont posés par terre, un peu comme un salon oriental. Il y a des livres, une télé, CD et cassettes, dans une autre pièce du matériel de musculation. Jérôme s’assoit sur le canapé, c’est alors qu’il réalise que pris par la nouveauté et la visite des lieux, il n’avait pas détaillé les hommes présents. Ils ont tous les cheveux très courts, on sait au moins que le matériel de musculation est utilisé; malgré les chemises ou les T-shirts, on devine les muscles. Certains portent des pantalons de cuir, d’autres des jeans, ils sont tous là, assis les jambes écartées, faisant ressortir la bosse des jeans. Jérôme, lui, est assis d’une façon moins détendue. La jambe droite de François entre en contact avec la jambe gauche de Jérôme et la jambe gauche de Sylvain avec sa jambe droite, c’est à ce moment là qu’il ressent des picotements dans son bas-ventre. Il a beau boire sa bière pour ne plus y penser mais rien à faire, il bande davantage. Son jeans beaucoup moins près du corps que les autres laisse malgré tout voir le sexe en érection. Tous s’en aperçoivent et esquissent un petit sourire de sous-entendu. François, décidé à décoincer cet homme qui lui a plu dès le premier regard, passe son bras sur le haut du canapé, derrière la tête de Jérôme.
— Tu nous as dit que tu n’étais pas marié mais tu as une copine ?
— Non, surtout depuis que je travaille dans cette ville et puis je n’ai pas eu le temps ni l’occasion de faire des rencontres.
— Eh bien, à défaut de nana tu sais où trouver des copains parce que nous, on te trouve sympa et on aimerait mieux te connaître si tu es d’accord...
— Oui, bien sûr, moi aussi je vous trouve sympas.
— Cela ne te dérange pas qu’on soit gays ?
— Pas du tout, mais c’est la première fois que je parle avec des hommes, sachant qu’ils sont gays.
— Quel effet ça te fait ?
— Aucun, non aucun.
— Sois franc !
— Non je te dis, vous pouvez me croire.
— Menteur, et ça c’est quoi, c’est pas de l’effet ?
François a saisi à travers le jeans la bite raide de Jérôme.
— Je, je, je crois qu’il faut que je parte !
— Pourquoi ? Tu nous as dit que tu avais le temps, détends-toi, laisse-toi aller...
C’est alors que les mains de François et Sylvain se sont mises à lui caresser les cuisses. Jérôme se contractait, croyant maîtriser son excitation parce qu’en lui-même, il devait le reconnaître, cela lui plaît énormément. François a ouvert la braguette pour lui sortir son sexe d’une taille plus qu’honorable.
— Mais c’est qu’il est bien monté le bougre. Il nous avait caché ça. Les amis, il devrait faire partie de notre communauté, il a de quoi assumer.
François commençait à sucer la queue de Jérôme qui essayait de protester, de lutter, mais sans ardeur tant il était prisonnier du plaisir que lui procurait François puis Sylvain quand François embrassait Jérôme, tellement excité qu’il a éjaculé sur le visage de Sylvain. Gêné, honteux, Jérôme s’est vite rhabillé, levé, "salut les gars !" direction son appartement.
Revenu chez, lui il a pris une longue douche comme S’il voulait faire disparaître toute trace de souillure mais il n’arrêtait pas de penser à François et tous ces jeans gonflés.
Il s’est réveillé de bonne heure, il a mal dormi. Il s’apprête pour aller chercher du pain pour son petit déjeuner mais il constate qu’il n’arrête pas de bander et décide donc de rester à l’appartement. Il se contentera de biscottes. Sous la douche, Jérôme se masturbe avec frénésie, il se sent un peu apaisé, s’habille et va faire quelques courses. Après le repas de midi, il se sent pensif, las, sans énergie et sans désir de faire quoi que ce soit. La sonnette retentit.
— Oui, qui est-ce ?
— François, ouvre.
Une fois entré, Jérôme questionne François :
— Salut, qu’est-ce que tu veux ?
— Te parler, ne sois pas fâché pour hier soir, peut-être que je n’aurais pas dû mais j’en avais envie. Ne me dis pas que tu n’as pas aimé. C’est nouveau pour toi, c’est la première fois mais tu dois être honnête avec toi-même et admettre que les hommes t’excitent. Je crois que tu es coincé depuis trop longtemps alors laisse moi t’aider.
François s’approche et embrasse passionnément un Jérôme qui sent toutes ses résistance tomber. Il répond au baiser de François qui le caresse de partout et commence à le déshabiller. La chemise, le pantalon, le slip, ils se retrouvent tous les deux nus, allongés sur le lit dans un 69 gourmand, François lui dit alors :
— Je suis autant passif qu’actif, je voudrais que tu me prennes.
— Mais j’ai jamais fait cela, dit Jérôme.
— C’est pas plus compliqué qu’avec une nana, tu verras c’est mieux qu’une chatte.
François avait apporté des capotes et du gel, il est sur le dos et regarde son futur amant.
— Vas-y, entre doucement, continue, actionne-toi maintenant.
Jérôme reconnaît que les sensations n’ont rien de comparable de celles ressenties avec une femme, son sexe glisse dans l’intimité de François qui pris par le plaisir gémit, pousse son cul pour que la queue entre le plus profondément possible.
— Vas-y, encule-moi, oui j’aime, défonce-moi !
Jérôme aussi est pris dans le délire tant ce qu’il ressent est fort, il est comme étourdi, esclave du plaisir qu’il ne contrôle même pas son éjaculation dans la capote. Prenant bien soin en se retirant, il s’allonge sur son amant, l’embrasse et prend son sexe dans la bouche jusqu’à la jouissance. Ils se caressent, ils sont heureux, ils restent ainsi un bon moment et se rhabillent.
— Tu viens avec moi ? lui dit François non pas comme une question mais plutôt une injonction. Tu m’accompagnes au supermarché ? Je dois acheter des bières et de quoi manger pour ce soir, le samedi soir, nous mangeons ensemble tous les huit, sauf qu’aujourd’hui nous serons neuf.
— Tu es sûr que les autres sont d’accord ?
— Tu es vraiment aveugle, tu n’as par remarqué comme ils t’avaient tous adopté ? Après avoir travaillé chez toi, Sylvain, Marc et Didier avaient envie de te mieux connaître. Quant aux autres, avec ce que tu as fait pour Antoine, ils te veulent comme ami.
— Je ne sais pas quoi dire, c’est tellement inattendu.
Alors qu’ils ressortent du supermarché, un homme avance lentement en regardant par derrière l’arrivée d’une grosse moto, Jérôme reconnait Mario.
— Salut Mario, j’ignorais que tu habitais dans le coin.
— Jérôme ! qu’elle surprise, comment vas-tu ? Oui, j’occupe un petit appart tout près d’ici, on est un peu cons de n’avoir pas échangé nos adresses.
— Mario, je te présente mon ami François, François voici Mario, un collègue de travail.
Les deux hommes se regardent, échangent une virile poignée de mains, se sourient.
— Quand on était ensemble dans le camion, tu m’avais dit ne pas avoir d’amis depuis que tu vis dans cette ville.
— Je t’avais dit la vérité, ça a changé depuis hier.
— J’aurais aimé prolonger la conversation mais je suis pressé, aussitôt mes achats faits, j’ai rendez-vous chez le dentiste.
— Sois tranquille Mario on se reverra, j’en ai l’intuition, dit François.
— Avec plaisir, salut les mecs.
— Pourquoi as-tu l’intuition de le revoir ? demande Jérôme.
— Ce mec est comme toi et moi, j’en suis presque convaincu.
L’affirmation de François laisse Jérôme songeur, il repense aux deux jours passés ensemble. Il n’a rien laissé paraître ni même tenté. Je n’aurais jamais pensé à cela se dit-il, et moi ai-je eu le moindre soupçon que j’étais PD ? Ils arrivent au local, tous les amis sont là, regardent la TV, lisent, d’autres sont dans la salle de muscu. Quand ils aperçoivent Jérôme, tous viennent l’embrasser sagement. L’étonnement de Jérôme est tellement visible qu’ils éclatent tous de rire.
— Dorénavant tu fais partie de notre communauté, dit François.
— Tu veux dire que… s’exclament-ils.
— Oui, en partie, il y a encore beaucoup à faire mais il aime ça.
Jérôme devient rouge de gêne.
— N’aie pas honte, ici tout le monde se connait intimement et aime passionnément la queue. Tu vas voir, toi aussi tu vas connaître cela, en attendant viens faire un peu de muscu avec nous !
— Tu aurais dû me prévenir François, j’aurais apporté un jogging.
Marc le prend par le cou, l’entraîne dans la salle de muscu, ouvre un placard et sort un jock-strap.
— Fous-toi à poil et mets cela. Ici, le matos et les fringues sont à tout le monde, on a la chance d’être tous de même taille. C’est très pratique quand on a oublié quelque chose chez soi.
Jérôme se retrouve en tenue d’Adam devant Marc et François. Quand il enfile le jock-strap, Jérôme se met à bander. François l’embrasse, lui caresse la queue pour ensuite lui faire une pipe, aidé par Marc qui visiblement prend plaisir à sucer une belle bite. Dans un ultime sursaut Jérôme, sort sa queue de la bouche pour éjaculer sur le sol.
— Eh bien, t’es vraiment excité, on va te satisfaire. En attendant un peu de muscu !
Jérôme passe sur les différentes machines, c’est qu’ils sont bien équipés les lascars, et termine par un développé couché, François est derrière pour l’aider à reposer la barre, le regard sur son volumineux paquet provoque une nouvelle trique de Jérôme, François sourit de bonheur. Le sport terminé, avant la douche, Sylvain s’approche.
— Il faut changer ton look pépère. Tout d’abord, je vais arranger tes cheveux, laisse-toi faire...
Sylvain porte un jeans en cuir qui laisse deviner un beau paquet, et un gilet de même matière. Jérôme regarde le tatouage de Sylvain sur son pec, en peu de temps il se retrouve avec les cheveux extrêmement ras. Avec sa barbe de deux jours, il est transformé, il prend sa douche. Serviette autour des hanches, il demande à Marc où il a mis ses vêtements.
— Ils sont là-bas, tu les reprendras quand on repartira d’ici. En attendant, rejoins les potes dans la pièce où il y a les vêtements.
Pris d’une exaltation subite, d’un geste rapide, il se débarrasse de la serviette et déboule à poil, la bite pas complètement au repos devant ses potes. Tous sont ravis de son initiative, ils l’embrassent, le caressent. Lui est aux anges, complètement détendu. Antoine lui dit :
— Fais-moi plaisir, mets ce jeans.
— Oui mais où est mon slip ?
— Non pas de slip, à poil dans le jeans, comme nous tous.
Il n’a jamais porté de jean aussi moulant, taille basse, avec quelques traces d’usure à certains endroits. Didier lui tend un gilet en cuir, François lui passe une épaisse chaîne autour du cou et Sylvain le couvre d’une casquette en cuir également. Jérôme se regarde dans la glace et aime son reflet.
— Maintenant Jérôme, tu vas nous chercher du pain et des gâteaux pour ce soir. Qui veut l’accompagner ?
Tous sont volontaires, c’est seulement Sylvain et Didier qui l’accompagnent. Jérôme ne se sent pas trop décidé à sortir ainsi d’une part et d’autre part, se laisser aller, briser les interdits, lui dit de le faire. Les voilà tous partis. Bien entendu, ils ne passent pas inaperçus dans les rues, de l’étonnement certes mais pas de propos haineux ou hostiles. Cette situation excite tellement Jérôme que son sexe est tendu vers la droite, plus que visible dans le jeans. Il se sent fier de son sexe, exhibitionniste même, tout comme Sylvain et Didier.
La soirée a été volcanique. Jérôme a voulu que François lui fasse l’amour en étant le premier à l’enculer, seulement une fois, le temps que Jérôme s’habitue. Plus tard, il s’est fait prendre par plusieurs de ses nouveaux amis, comme lui n’a pas été en reste avec eux. Ils ont passé le week-end tous ensemble pendant lequel Jérôme les aura tous connus intimement mais c’est toujours François le préféré.
Quand Jérôme a repris le travail, ses collègues ont été surpris de sa coupe de cheveux pour en définitive convenir que cela lui seyait mieux. Ils ont remarqué qu’il était plus souriant et très professionnel. Ce qu’ils ignoraient, c’est que Jérôme s’éclatait complètement avec ses amis depuis plusieurs semaines.
Un matin son patron l’appelle.
— Jérôme, je sais que ce n’est pas votre fonction mais j’ai encore un problème de double chauffeur. Pourriez-vous partir demain pour deux ou trois jours ? Suivant le déroulement de votre travail, je veux dire par là qu’il ne faut pas prendre de risques inutiles pour essayer de réduire la durée du transport. J’ai deux bons éléments, je ne veux pas les perdre... Ah oui, parce que vous accompagnez Mario.
— Non Monsieur, il n’y a pas de problème. D’ailleurs, quand vous m’avez embauché, j’ai été informé de cette éventualité, c’était précisé dans l’annonce parue.
— Merci Jérôme.
Alors qu’il allait quitter l’entreprise pour rentrer chez lui, Jérôme aperçois Mario qui vérifie son moteur et son chargement.
— Salut Mario, on part demain ?
— Ah bon, c’est toi qui m’accompagne ? Quand j’ai posé la question, on m’a répondu qu’on ne savait pas encore. Quoiqu’il en soit, je suis content de faire équipe avec toi. Dans ce cas, donne-moi ton adresse, je passerai te prendre en voiture demain matin.
Jérôme rentre chez lui, se douche, se change, car il a changé une partie de sa garde-robe. Il hésite ce soir entre un jeans ou un cuir, va pour le jeans, ça me moule tellement les couilles et la bite. Humm, il enfile son perfecto et se rend au local car il doit informer ses amis qu’il sera absent 2 ou 3 jours. Ils ont tous un emploi, il se pourrait qu’il n’y ait personne. Il attendra puisque maintenant il a une clé. Sylvain est déjà là, ils s’embrassent quand arrive François. Jérôme explique pourquoi il sera absent.
— Dis Sylvain, tu le diras aux autres, ce soir j’aimerais rester avec mon chéri.
— Allez, partez et baisez bien !
— Sois sans crainte ! répond Jérôme.
Les deux amis ont dîné ensemble et fait l’amour une bonne partie de la nuit.
— Alors tu pars avec Mario ? lui dit François. Tu vas pouvoir vérifier si mon intuition était bonne.
— Que veux-tu dire ? Et comment ça, "vérifier" ?
— Mon chéri, tu aimes tellement le cul maintenant que tu ne tiendras pas deux jours sans baiser. Remarque, il n’est pas mal, il doit avoir une grosse queue, je ferais bien un trio ave toi et lui, tu me raconteras.
Mario est à l’heure, klaxonne, Jérôme descend immédiatement, il avait préparé son sac avec ses affaires de toilette, une paire de T-shirts et un jeans au cas où il aurait un problème avec celui qu’il porte. Pour le travail, il met ses anciens jeans. Les deux amis retrouvent la même bonne entente qu’ils ont partagée au précédent voyage. La journée passe vite, ils s’arrêtent pour diner. Jérôme a un petit souci, la serveuse a renversé de la sauce sur son jeans. Confuse et gênée, elle demande de l’excuser tout en essayant avec de l’eau chaude de nettoyer la tache. Ils retournent dans l’hôtel de la dernière fois, il a l’avantage d’offrir une aire de stationnement sûre pour le camion ; l’hôtelier les reconnait, donne la même chambre.
Mario passe le premier à la douche, Jérôme prend cette fois ci un plaisir non dissimulé à contempler le corps de Mario.
— T’es bien balancé, tu fais quoi comme sport ?
— Je me suis inscrit dans un petit club de muscu pas très loin de chez moi, c’est pas terrible au niveau matériel mais l’abonnement n’est pas élevé. Que veux-tu, on ne peut pas tout avoir.
Mario ressort avec la serviette autour des hanches, se met assis dans son lit. Jérôme se déshabille dans la salle de bains et ressort lui aussi avec la serviette autour des hanches.
— Tu n’as pas mis ton pyjama aujourd’hui ? Mais dis donc, toi aussi tu es bien foutu, tu fais aussi de la muscu ?
— Oui, dans une petite salle privée.
— Depuis ce matin, je cherche à savoir ce qui a changé. Tu es le même que la dernière fois mais différent. Les cheveux ras, ça te va beaucoup mieux que ton ancienne coiffure mais tu parais plus libre, plus détendu et puis cette grosse chaîne autour du cou te donne un petit air voyou.
Jérôme ôte sa serviette avant d’ouvrir son lit, la queue très légèrement raidie, sous le regard d’un Mario nerveux. Jérôme remarque que le drap se tend par le sexe en érection de Mario.
— Eh bien quoi Mario, t’as jamais vu un mec à poil ?
— Si, mais que s’est-il passé depuis la dernière fois ? J’en reviens pas !
— Dis moi Mario, tu ne serais pas un peu PD par hasard ? Tu bandes comme un cheval !
— Euh, euh, qu’est-ce que tu as contre les PD ?
Alors Jérôme s’approche du lit de Mario, lui arrache le drap pour voir une bite aussi belle que la sienne. Jérôme lui répond :
— Moi rien parce que j’en suis un.
En disant cela, il attrape la bite de Mario qui gémit de plaisir par l’effet de la pipe. Alors Mario tend le bras, caresse les fesses de Jérôme, lui entre un doigt dans le cul. Jérôme change de position pour un 69 passionné pour finir par se branler mutuellement.
— Mais je rêve ! Autant tu étais coincé la dernière fois, ta gêne quand j’ai mimé le geste de la masturbation, qu’aujourd’hui tu me fais une pipe extraordinaire. Mais que je suis bête, j’ai trouvé ! C’est ton ami, celui que j’ai vu au supermarché, c’est lui qui t’a libéré, même si c’est ton mec j’aimerais le remercier de t’avoir transformé, mais que je suis con, si je le remercie il saura que toi et moi on a fait quelque chose. Comment l’as-tu connu ?
— Ne t’inquiète pas, François a tout de suite vu que tu es PD. Lui et moi on s’aime sincèrement mais on ne se cache rien quand on baise avec un autre, de toute façon il est là puisque c’est au sein de notre petit groupe, François sait qu’on allait baiser. Dans notre communauté nous sommes tous accros à la bite.
Alors il raconte comment tout ça s’est produit grâce à l’agression d’Antoine.
— Merde, vraiment ça existe des mecs comme vous avec votre façon de vivre et penser ?
— Oui, car nous nous aimons réciproquement. Nous disposons d’un local où on se retrouve, c’est d’ailleurs là que je fais ma musculation, nous avons notre propre matériel et chacun l’utilise. Sans vantardise, même si les visages ne sont pas des canons de beauté, je t’assure que les corps et les queues compensent largement, et ils savent s’en servir avec expérience.
— Ça, c’est eux qui le disent, sinon, comment pourrais tu le savoir et être si sûr ?
— Tout simplement parce que ils m’ont tous baisé et moi je les ai tous baisés.
— Non, c’est pas vrai, je rêve !
Jérôme embrasse Mario, prélude à de longs moments de baise et de gémissements de plaisir dont l’hôtelier ne pouvait ne pas entendre, la chambre est à côté de la réception. Ils se sont endormis, enlacés, jusqu’à ce que l’hôtelier les réveille au téléphone.
Douche et habillage, Jérôme se félicite d’avoir prévu un jeans de rechange. En le dépliant, il voit qu’il s’est trompé de modèle, il croyait avoir pris un des anciens alors que celui-ci est de ceux qu’il porte avec ses amis, donc très collant. Mario, qui voit Jérôme hésitant. lui demande s’il y a un problème.
— Non, non, pour moi il n’y en aucun.
Mario voyant que Jérôme enlève son mini slip reste bouche bée. Jérôme enfile son jeans et se retourne vers Mario.
— La vache, qu’est-ce que t’es sexy, quel paquet ça te fait ! Où l’as-tu acheté ?
Mario qui se met à bander s’approche et caresse l’entrejambe de Jérôme on distingue le sexe en biais.
— Arrête, on n’a plus le temps, il faut encore prendre le petit déjeuner.
L’hôtelier les salue encore plus chaleureusement que d’habitude, tous les regards se tournent vers eux quand ils entrent dans la salle du petit déjeuner, imaginez, deux mecs très virils au paquet gonflé. Comme la dernière fois, ils vont pouvoir rentrer pas trop tard. Le patron, les voyant se garer, demande :
— Vous êtes déjà de retour ?
— Oui, et il était inutile de payer une nuit d’hôtel simplement pour le plaisir.
— Merci Messieurs, surtout ne changez pas.
Mario raccompagne son ami à son appartement, Jérôme aperçois de la lumière dans la cuisine, il invite Mario à monter qui hésite car il devine que François est là. Après les rapports sexuels avec son mec, il a peur de se trahir et de la réaction de François. Jérôme insiste. En ouvrant la porte, Jérôme voit son François rayonnant de joie de retrouver son amant, ils s’embrassent avec fougue. François ouvre les yeux et voit un Mario dans ses petits souliers.
— Eh bien quoi Mario, entre et assieds toi ! Excuse nous mais deux jours sans se voir... J’espérais vraiment votre retour ce soir, j’ai préparé à diner. Naturellement, Mario tu restes.
— Mais, vous voulez certainement rester seuls pour vous retrouver ?
— Tu nous aideras à nous retrouver, lui répond François. Mets-toi à l’aise.
Mario reste dubitatif par cette phrase sibylline.
Ils sont assis au salon, discutent en buvant un peu de café. François et Jérôme sont assis sur le canapé, Mario dans un fauteuil en face d’eux. Les deux amoureux s’embrassent avec fougue, Jérôme pince et suce le téton de François qui lui s’occupe de sa braguette tout en s’affalant un peu plus sur le canapé. Ils s’arrêtent et rouvrent les yeux quand ils entendent le léger crissement du cuir quand Mario gesticule pour remettre en place sa bite complètement raide. François se lève, va vers Mario.
— Tu as des problèmes d’espace Mario ? Je vais t’aider.
Il lui ouvre la braguette et lui sort la bite. Pendant ce temps, Jérôme s’est débarrassé de son jeans. Complètement à poil, il vient aider François pour déshabiller un Mario tout étonné mais oh combien excité. François lui fait connaître combien il est expert dans l’art de tailler des pipes, remplacé par Jérôme pendant que l’amant titille de la langue la rosette de Mario. Bref, la nuit a été très chaude, à tour de rôle, ils ont connu l’enculade et une bite dans la bouche simultanément. C’est repus de sexe, heureux et détendus que Jérôme dit :
— Pendant mon voyage, j’ai vérifié, comme on en avait parlé, si ton intuition était bonne...
— Oui et je tenais moi aussi à vérifier dit François. Ce qui est certain, c’est que Mario a visiblement apprécié vu la quantité de foutre qu’il nous a envoyé. Mais dis-moi, à part avoir baisé avec Jérôme, il y a combien de temps que tu ne l’avais pas fait ?
— Oh, je travaille beaucoup et avec le peu de copains que j’ai, c’est pas évident.
— Mario, Jérôme et moi on va t’aider si tu veux de vrais amis. Dès que tu peux, Jérôme t’amène à notre local.
Après une telle nuit d’amour, l’offre de François à lui faire connaître d’autres amis, c’est l’esprit léger et serein que Mario regagne son domicile.
— Qu’en penses-tu ? dit Jérôme.
— Il me plaît et je suis persuadé qu’il risque de plaire à Sylvain qui aimerait vivre comme nous, en plus du groupe.
C’est avec un peu d’appréhension que Mario a découvert le repaire avec tous les amis réunis. Vite rassuré parce que il s’est senti tout de suite accepté. Jérôme et François ont tout de suite remarqué que Sylvain était particulièrement attiré par Mario. Tous lui ont demandé de rester pour le week-end et parfaire les connaissances et devenir le dixième du groupe d’amis qui l’ont connu intimement et réciproquement. C’est alors que lui et Sylvain se sont trouvés.
La vie s’écoulait tranquillement, le quartier un peu intrigué par ce groupe d’hommes au look particulier, on jasait, on supposait ci, on supposait ça, mais tous savaient qu’ils étaient PD. Beaucoup pensaient que c’était anormal et immoral mais jamais le groupe n’a eu à entendre, depuis l’agression d’Antoine, de propos haineux.
Un samedi, ils étaient presque tous réunis, la porte du garage s’ouvre brutalement. Didier entre en criant :
— Venez vite, il y a le feu chez les petits vieux !
Tous se précipitent. La grand-mère à la fenêtre d’une pièce du rez-de-chaussée sanglote, crie : "Mon homme, sauvez mon homme !" Alors nos amis, n’écoutant que leur courage, interviennent instinctivement. Sans téléphone, un court vers l’habitation la plus proche, d’autres brisent la vitre de la fenêtre, entrent et passent la grand-mère par la fenêtre. D’autres trouvent le papy évanoui, le sortent à l’air libre. D’autres essayent de sauver ce qui peut l’être. Bref, quand les pompiers et l’ambulance arrivent, c’est pour voir dix gaillards en pleine action de sauvetage. L’incendie est vite circonscrit, papy et mamy sont emmenés en observation à l’hôpital, la foule de curieux laisse passer l’ambulance, les pompiers rangent leur matériel, entendent : «C’est chez les PD qu’il y a eu le feu ? Boff, dans ce cas c’est pas grave !» Un des pompiers se précipite vers la personne :
— Est-il possible d’être aussi méchant ? Non c’est pas chez les PD qu’il y a eu le feu mais ils ont fait ce que vous n’auriez pas eu le courage de faire certainement, ils sont tous intervenus en attendant notre arrivée. Sans eux, le grand-père serait mort, pauvre crétin !
On peut dire que le pompier ne parlait pas mais gueulait pour que tous alentour entendissent.
La mairie a tenu, lors d’une réunion officielle, à remercier publiquement les dix amis. Photo et article dans la presse locale et régionale. Dans l’article, les noms étaient cités, précisant que tous étaient salariés de telle ou telle société, qui soit-dit en passant était une espèce de pub gratuite pour les entreprises, qui n’ont pas oublié d’être reconnaissantes envers leurs salariés.
Mais nos amis ont la gloire modeste, l’harmonie et l’amour de leur groupe est le plus important. Ils ont vite oublié les honneurs et les éloges et toute cette histoire, sauf de rendre plusieurs fois et tous ensemble, visite à papy et mamy à l’hôpital.
 
Ouf ! c'était long, mais c'était Bô.  Ca m'a mené tout droit au dodo...mais pas tout de suite...oui c'est ça, répétez le geste suggestif de Mario... et bonne nuit à vous qui me suivez si fidèlement dans mes choix...Merci !  claudio  
 
 Terminer ou continuer avec le fond sonore du piano...
 
 Houlà, mais ça devient...cochon !  Et la vidéo ci-dessous...pas moins
28 ans et du temps à rattraper !
 
 
 
Par Trebor - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 00:30
 
 
   
J'ai beau être une bonne petite salope avec les mecs, j’adore aussi me branler et m’offrir quelques petits plaisirs solitaires bien hard, chez moi, tranquillement dans ma chambre. En fait, je suis très cérébral. Même lorsque je me fais enfiler, je me raconte toujours des histoires dans ma tête. Cela me fait jouir encore plus fort. L’avantage, dans l’imaginaire, c’est qu’on peut s’inventer ce que l’on veut. Je me fais mon petit cinéma tout seul, en imaginant les pires ou plus belles situations.
 
 
Hier après-midi par exemple, alors que je me faisais enculer dans les toilettes d’une aire de repos d’autoroute, au-dessus de Lyon dans la direction de Genève, j’imaginais qu’il y avait des tas de types qui attendaient leur tour, derrière.ruggedrnr: Follow Rugged Rural & Redblooded Des routiers, des V.R.P., des mecs vicelards, pressés de tirer leur coup. piggybuffalo: Cocksuckers Rule!: Help a Cocksucker out - Follow Me and Cocksuckers will Rule Forever!  
 
    Heureusement mon imagination vient au secours de la sécheresse de la réalité...  
   
Lorsque je me branle, c’est pareil J’aime prendre tout mon temps et je me contente rarement d’une branlette rapide. Je me mets à poil, je sors mes godes, mes plugs, mon chapelet anal à grosses boules et du gel pour bien lubrifier mon trou de balle. Je vais d’abord regarder quelques photos et vidéos bien bandantes sur le web. De temps en temps, je m’amuse à discuter hard sur des tchats, et quand j’ai la trique hyper-raide, je me fous sur mon pieu. Dans ma chambre, j'ai installé plusieurs miroirs pour me voir sous tous les angles lorsque je suis sur mon lit. Je suis voyeur, exhib! J’adore me voir quand je me fais sauter, et me montrer à celui qui me baise.
 
 
Dans mes petites siestes, je commence à m’introduire mes godes dans le cul. Les plus petits pour commencer et pour m’assouplir avant de prendre les plus gros quand ma chatte est bien ouverte. Juste un petit conseil pour les mecs : le chapelet anal est un truc génial pour se dilater progressivement le cul.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Et je commence à me raconter mon histoire. En ce moment, il est surtout question de Blacks. Je n’en ai connu qu’un seul dans ma vie, et j’en garde un super-souvenir. Physiquement, c’était un canon. Le mec parfait, grand, musclé, belle gueule, hyper viril et super-endurant II avait un cul magnifique et une superbe bite de 21cm entre les cuisses. Je n’ai passé qu’une soirée avec lui, mais j’ai gardé sa queue plus de trois heures dans la bouche et dans le cul.
 
  xgendadsandsons: hangingnudetrucker: gay2day: yes deeper ohh, he loves it Deeper yesHttp://hangingnudetrucker.tumblr.com Like this and want to see more older guys fucking younger guys visit….http://xgendadsandsons.tumblr.com/ (guys in all images believed to be over 18) Lying on the couch, letting a real man take you. Deep. Hard. Fast. All I want right now
 
Il m’a rendu fou ! Il s’appelait Jean-Yves et n’était que de passage sur Lyon. Je l’ai rencontré aux abords d’un sex-shop de la rue de la Lanterne. Jean-Yves se cherchait un mec pour la soirée. Quand il est ressorti de mon cul après m’avoir baisé une première fois, sa teub n’avait pratiquement pas débandé.
rockcockjock: Pleasure. Pure submission. Where I’d like to be right now
 
Peu de temps après, il me limait encore, tout en force et en puissance. Grâce aux miroirs de ma chambre, je pouvais voir son corps athlétique et sa pine noire me transpercer le cul pour disparaître jusqu’aux couilles entre mes fesses. Le contraste de sa peau et de la mienne m'excitait encore plus. Aujourd'hui, il m'arrive souvent de me branler en rêvant à ça. Mais cette fois, j’imagine qu’ils sont deux.
 
 
 
  slavenikuk: You ready bitch, huh? Open your cocksucking throat cas I’m gunna fuck it.  
 
Il y a Jean-Yves et un copain à lui, black aussi. Dans mon fantasme, je les imagine en treillis avec des rangers. L'unif me fait bander. Le pote de Jean-Yves est super-baraqué, la boule à zéro. Tous les deux ne se sont plus vidé les couilles depuis plusieurs jours. Ils ont besoin d'une bonne salope, d'une bonne pute prête à tout. Nous sommes encore dans les escaliers qui montent jusqu’à mon petit appart que, déjà, ils me tripotent partout, palpent mon cul et ma tige, m’embrassent. Moi aussi, je touche leur paquet à travers leur treillis et je sens les deux bites énormes qui vont me défoncer la gueule et le cul pendant des heures. On arrive chez moi et on passe directement dans ma chambre. Je leur mets le zob à l’air, juste sorti des braguettes. J’ai deux belles pines noires et raides devant moi. Je dégage aussi les couilles. Je pompe un des deux viers, puis je suce l’autre. Mes mains astiquent deux gros manches hyper-raides avec des glands énormes et circoncis. Je songe déjà au moment où je vais les recevoir dans le cul, et j'imagine ma pastille complètement dilatée sur le chibre qui la transperce. Jean-Yves et son copain défont leur froc, et leur treillis tombe sur leurs rangers. Je continue de bouffer leur queue, je lèche leurs couilles et je caresse leurs cuisses. Je me déchaîne comme une truie en rut. Assis sur mon lit, j’enfourne les deux pistons jusqu’à ce qu’ils viennent buter au fond de ma gorge. Ils commencent à m’insulter, l’un et l’autre, me fouettent le visage avec leur bite puis me font mettre sur le lit, à poil et à quatre pattes, les reins creusés et les fesses tendues comme une grosse femelle en manque. Ils m’examinent, m’écartent les fesses, branlent mon zob, sucent mon cul et le liment avec leurs doigts. Je me laisse faire, impatient de me faire bourrer le cul. C’est le pote de Jean-Yves qui commence. Il vient se placer à genoux derrière moi et, pendant que son copain lui écartèle mes fesses, il promène son gland gonflé dans toute ma raie en me disant : “Vas-y, sale pute ! Dis-moi que tu la veux ! À fond et jusqu’aux couilles !” Je suis à plat ventre sur mon lit, un gode planté à fond, et je me frotte contre le drap tout en poursuivant mon histoire, mon fantasme.
 
 
Je supplie le copain de Jean-Yves de m’enculer. Enfin, j’ai son gland qui presse ma rondelle. Je force pour m’ouvrir encore mieux et j’ai le chibre qui s’enfonce dans mon cul. Je pousse un grand gémissement de plaisir. La pine progresse par à-coups. Je me sens dilaté à l’extrême et la colonne de chair progresse dans mes entrailles jusqu’à être plantée jusqu’à la garde. Jean-Yves tient toujours mes fesses écartées et regarde la bite de son copain me défoncer le fion. C’est comme un gros gourdin qui me lime à une cadence régulière et profonde. Puis, Jean-Yves vient s’installer devant moi, assis, les cuisses écartées, avec sa queue plaquée contre son ventre. Il m’ordonne de le sucer. Je saisis la tige et je la pompe pendant que l’autre mec m’éclate le cul. Il me fesse pour me voir bouger des reins et m’empaler tout seul sur son pieu. J’obéis. D’un côté, je pompe, de l’autre je remue des hanches comme si je taillais aussi une pipe avec mon cul.
Quand j’en suis là, dans mon fantasme, généralement je ne suis plus très loin de jouir. Je me tourne. D’une main, je tiens le gode et je m’encule, de l’autre, j’astique mes couilles et ma queue. Dans les dernières images, je vois deux Blacks complètement déchaînés sur moi qui m'enculent à tour de rôle et me font sucer leur bite chaque fois qu’elle ressort de mon cul. Je me retiens tant que je peux, et lorsque j’éjacule, le foutre explose sur mon ventre et sur mon torse. J'ai des éjaculations très abondantes, et les giclées de sperme souillent tout mon ventre. J’imagine que pour finir, Jean-Yves et son pote se sont mis à genoux près de moi et déchargent eux aussi sur mon corps et sur ma gueule d'assoiffé de jute.
Bien sûr, je passerais volontiers du rêve à la réalité. J’attends... Ça viendra peut-être !
Arnaud, 24 ans en 2002
 
 LE REVE D'ARNAUD :   
 
 
 
 
   
Par e-sex - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 18 juin 3 18 /06 /Juin 23:53
 
C'est vieux comme le monde, même les mômes, même les hétéros purs et durs
ne peuvent nier un gros plaisir à se torcher : leur cul jouit comme celui de tout le
monde. Il suffit de chercher plus loin pour avoir plus et mieux.(Rabelais, 16e siècle,
définissant le meilleur "torchecul")
De raffinement en raffinement les doubles godes à 2 têtes pour un plaisir à deux et
même plus car on avait deux "tortionnaires"qui avaient tout l'air de prendre leur pied.
 
http://doublehad.tumblr.com/  http://doublehad.tumblr.com/
 
Une pause bière et nous voici en place sur les slings. Les appareils de suspension sont placés de façon que nos culs soient bien en face l'un de l'autre.
— Tiens Patrick, commence à lui enfoncer ça!
Mon bourreau prend le fameux double gode, impressionnant surtout pour sa longueur (je dirais: 60 cm, 30 pour chacun ). Je sens l'objet pénétrer profondément dans mon cul, jusqu'à ce qu'il m'arrache un cri de douleur en arrivant au premier virage de mes boyaux.
— Branche l'autre dessus!
L'autre bout du gode entre dans le cul de mon poteau jusqu'à ce que nos deux culs se touchent. Il n'a pas crié; il est résistant mon copain!
— Oh! que c'est bon! T'en as pas un peu plus long?
— Tu vas moins rire tout à l'heure, petit con!
Ils se placent derrière nos têtes légèrement renversées vers l'arrière et fourrent leurs bites encore molles et couvertes de sperme dans nos bouches gourmandes. Chacun empoigne la bite de son esclave et crée en tirant et en poussant un mouvement de va-et-vient faisant sortir et entrer le gode qui nous envahit les entrailles: une super branlette! Tous nos trous sont occupés et nos bites sont agitées de belle façon...que demander de mieux? Nous nous accoutumons à la douleur sur cette balançoire originale; nos bites sont bien raides et celles de Patrick et Michel prennent une bonne consistance grâce à la chaleur de notre accueril buccal. Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est entièrement entré de chaque côté. Le supplice devient un véritable plaisir. Le double godage est de plus en plus violent mais on tient bon!
Je jouis sans me toucher :
— Humm!!! Quelle belle giclée!
Je ne sais pas si mon copain a joui mais je vais bientôt le savoir en examinant sa poitrine. Moi j'ai envoyé de beaux jets jusque sur mon menton. Le double gode est arraché de nos petits culs meurtris.
— Regarde! Ton môme a de la merde pas loin!
En effet, un bout est légèrement coloré.
— C'est normal, je n'ai pas chié ce matin; je suis constipé!
— Bravo! on va en profiter!
Nos anus sont très près l'un de l'autre.
— Pousse! Chie-lui dans le cul!
Mon pote fait de gros efforts pour évacuer un étron certainement de belle taille; je sens cette matière dure arriver et forcer mon trou. Incroyable et sublîme! Je me fais enculer par la merde de mon copain! Les deux mecs aident à faciliter cette pénétration pour le moins insolite. Ils lubrifient un max. L'étron est énorme; il dépasse les dimensions de pas mal d'enculeurs! Que Julien a dû souffrir pour chier ça! Ils achèvent la pénétration en poussant au max avec l'une des extrémités du gode. L'impression que me fait cette présence insolite est colossale et le fait d'être manipulé et observé me fait débander et juter sur mes couilles...  
Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est entièrement entré de chaque côté
http://doublehad.tumblr.com/
Quelle belle giclée !
 
 
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Description:

MILIT : Il n'y a pas que chez les civils qu'on cherche à évacuer le stress. Difficile de croire que votre voisin de chambre est pile votre partenaire sexuel idéal. Tendez-lui la perche ! lol !

 
 
 
 
 
Par ouhhhhh13 - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 15:04
 
 
 
 
 
L'ORAGE
Ça m'est arrivé au Sénégal à l'époque de mes trente ans. Je n'avais pas de voiture et devais donc me déplacer en ktaxi collectif. Une fin d'après-midi que j'étais à la gare routière de Dakar, le temps menaçant a laissé place à un orage violent. Des pluies diluviennes se sont abattues sur la ville. J'étais trempé quand j'ai pris un taxi de passage presque complet.
TOUJOURS UNE IDEE QUI TROTTE DANS MA PETITE TETE
Il ne restait qu'une place libre au fond, à côté d'un jeune noir très mignon. Il n'a pas particulièrement apprécié que je me sois assis près de lui car j'étais aussi mouillé que si je sortais tout habillé du bain... En plus, je transportais avec moi un Eposte radio-cassette qui était fort encombrant. On a quand même fini par discuter. J'ai appris qu'il s'appelait Moogly, ce que j''ai interprété comme un faux nom,  qu’il avait 17 ans et qu'il était étudiant. Il baillait fréquemment, découvrant de belles dents blanches.
— Fatigué?
— Oui, je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit...
— Pourquoi?
— J'étais avec un ami...
— Et qu'est-ce que t'as fait avec ton ami pour que tu t’endormes comme ça?
Le jeune homme sourit et plaça son index sur sa bouche, des oreilles indiscrètes pouvaient nous entendre. La conversation et surtout la simplicité de mon voisin m'avaient beaucoup excité.
— On reparlera de tout ça à destination? lui dis-je.
NOIRS DESIRS-DESIRS DE NOIRS  Il me fit un signe qui voulait dire qu'il n'en savait rien. Alors j'ai joué le tout pour le tout! En tournant la tête, absolument stupéfait, le jeune homme a découvert ma queue toute raide, hardiment sortie de mon jean mouillé...                                          
       
NOIRS DESIRS-DESIRS DE NOIRS
         
  PHOTOS DE MISE EN AMBIANCE...
  suite en cours de mise en page patience !  
 
 
 
Suh before Massa’s breeding niggers were put to da bitches dey had to spend several days doing performance, strength and endurance exercises so dey produced maximum output to keep Massa’s Plantation Nigger Breeding Program on schedule….any nigger bucks dat could not ‘perform’ an failed to get da breeding bitches producing little niggers would be flogged and den sold Suh
LE RECIT ...
 

Dans le taxi collectif, protégé par le poste radio-cassette, j'exhibais même les couilles. Le chauffeur qui lançait un oeil dans le rétroviseur ne pouvait rien voir, non plus que les autres occupants. Le poste radio-cassette nous protégeait des regards. Je fis comprendre à mon voisin qu'il pouvait me caresser. Il ne s'en est pas privé, semblant même heureux de le faire. Il me dit en pouffant de rire:

— C’est assez rare pour un blanc d’avoir une si grosse queue

— Elle te plaît alors? Tu pourras en faire ce que tu veux.

Arrivés à destination, très amusé par mon audace, il m'a proposé de poursuivre notre "conversation" quelque part. Il connaissait un petit hôtel qui louait des chambres à proximité. Ce n'était pas cher. Certes, l'endroit était miteux mais ça m'a plu. À peine entrés dans la pièce, il s'est déshabillé très vite. Il avait un corps parfait, mince et musclé, un petit cul à tomber assis et quand il a baissé son slip, j’ai découvert une queue de rêve, bien longue, au moins 25 cm et bien grosse pour son age. Moi qui me croyait un étalon avec mon 19 cm.

Il s’est assis sur le lit et tout en se branlant, il me dit de me déshabiller. Alors que je m’exécutais, il ne cessais de me regarder en passant sa langue sur ses lèvres et gémissait doucement. Cela m’excitait terriblement. Une fois nu, il me fit signe de venir le rejoindre sur le lit. Allongés côte à côte, il m’a léché les mamelons qui durcirent tout en caressant mes couilles avec ses doigts. Lentement, il fit glisser sa langue sur mon torse en descendant doucement vers mon bas-ventre. Ouvrant grand la bouche, il y engloutit une bonne partie de ma queue pour me sucer. Ce ne devait pas être sa première pipe car il pompait vraiment bien. Il m'a longuement sucé, gobant mes couilles à plusieurs reprises. Par moments, j'ai dû lui demander d'arrêter tant je craignais d'éjaculer trop vite.

Voulant goûter sa queue moi aussi, je le fis se retourner et commençai à le sucer. Excité par son cul, j'ai passé un doigts dans son anus avec beaucoup de douceur, le plus doucement que j'en étais capable, prenant tout mon temps. M’apercevant qu’il adorait ça, j’y introduit un deuxième puis un troisième. Son anus était bien mouillé et mes doigts s’y glissaient facilement. L’entendant gémir fortement, je lui dis:

— Tu aimes ça hein, te faire fouiller le cul?

— J’aimerais encore plus ça si ce serait ta grosse queue qui me le défoncerait.

"Moogly" avait des préservatifs sur lui. Il m'en a enfilé un avec un grand réservoir tout en léchant mes couilles et puis s'est laissé pénétrer sans problème. À chaque va-et-vient, il poussait une espèce de sifflement-soupir qui me rendait dingue. Je l'aidais avec plaisir à prendre son plaisir, en haletant moi aussi comme un fou. J’adorais sentir ma queue entrer et sortir de son cul bien humide. J'appréciais aussi sa maîtrise. À chaque fois que je me trouvais au bord de l'éjaculation, il savait me calmer, je ne sais comment.

Et puis, il changeait de position et c'était reparti. Le jeune homme était vraiment un virtuose de l'amour comme seuls les Africains peuvent l'être. J'ai toujours pensé que les noirs étaient doués pour le cul parce qu'ils s'y mettent tôt, s'entraînent beaucoup et ont le sang chaud, mais pour son âge, il battait bien des hommes plus vieux que lui

J'ai fini par gicler quand même, par salves, avec de divins gonflements dans la queue à chaque passage du sperme. Je suis resté à l'intérieur de son cul. Mon partenaire contractait son anus pour continuer à sentir la présence de mon membre. Enfin, celui-ci éjacula à son tour. "Moogly" a retiré le préservatif qui menaçait de couler sur le couvre-lit et le mit dans la corbeille à papier que j'eus la surprise de voir à moitié remplie d'autres capotes usagées, mêlées à des mouchoirs de papier chiffonnés. Il entreprit de me nettoyer le sexe avec sa langue. Ça me procurait un plaisir indéfinissable d'être lavé aussi simplement que ça. Puis, surpris, après quelques instants, je me suis remis à bander tout doucement.

Le jeune coquin semblait moins étonné que moi. Nous sommes retournés vers le lit, et là il prit l'initiative de s'asseoir à califourchon sur ma queue bien droite, si dure déjà, habillée d'un préservatif tout neuf. Je me suis mis à faire des mouvements de haut en bas lentement, puis plus rapidement. Le jeune homme avait rejeté la tête en arrière et soupirait à n'en plus pouvoir. J'étais très fier du plaisir que je lui donnais. Surtout que cette seconde fois, je sentais que je mettrais davantage de temps pour jouir. Mais quand j'ai déclenché, ce fut vraiment extraordinaire parce que "Moogly" s'est violemment agité en poussant des cris vraiment peu discrets, très explicites de nos ébats amoureux. Quand il éjacula de nouveau et s’est calmé, il m'a contemplé en souriant.

Comme il était beau. Je crois que j'aurais pu continuer à lui faire l'amour toute la nuit mais il devait rentrer chez sa famille. Rapidement, nous nous sommes lavés et rhabillés. On s'est quitté en échangeant nos coordonnées.

Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais téléphoné. Mais ce qui est sûr, c'est que ce jeune Sénégalais incarnera toujours ma plus grande jouissance. FIN

 

  - ça vous a plu ?    
 
 
 
 
 
 
White Man fucking His nigger.
 
Suh dis slave grovels at Massa’s feet an begs not be sent to da fields as a punishment for being a lazy nigger - Massa don’t like slaves dat whine, especially lazy ones) so orders dat dis no good nigger it is flogged long and hard before being banished to a plantation slave coffle never to return to da big house again Suh
 
Suh dis is Massa’s newest nigger slave waiting to be put through its paces an evaluated to see if it is good enough to be a bed buck for Massa Suh
 
Suh one of Massa’s best bed bucks shows its Massa the special pleasure skills dat only a really good nigger slave can give to its white Massa Suh
 
 
White Man fucking His nigger.
 
White Man fucking His nigger.
 
Suh dis worthless nigger slave buck grovels before Massa in da hope dat Massa will want to use its holes for His pleasure an maybe keep it as a bedroom buck an not send it out to join a slave coffle in one of da many plantation fields Suh
  Pour te faire jouir mon enfant :
 
 
Suh dis is one of Massa’s House niggers cleaning an polishing da floor ready for Massa’s Evening Dinner Party where it gonna wait on table den later on it gonna be part of da entertainment…but Massa not gone and told it dat bit Suh
 
 
Suh da Massa’s son he sho likes to try out all da new niggers at da plantation when he arrives back from college Suh an dis time dere is over hundred new ones fo Him yet to try Suh
 
Suh sometime Massa jus let his nigger household slaves dress in da tribal costumes fo his guests an allow dem to do da wild savage nigger dances to entertain His guests an show da inferiority an natural submissive nigger slave nature in front of da watching white superior Massas Suh
 
Suh dis stupid nigger slave think dat dis overseer has forgiven it for sitting on furniture id da big house dat is reserved for Massa’s family an friends an is rewarding it by playing with its body….but da overseer jus want something to hold onto while he administers 50 punches to da monkey nuts Suh!
 
 
Suh dis slave grovels at Massa’s feet an begs not be sent to da fields as a punishment for being a lazy nigger - Massa don’t like slaves dat whine, especially lazy ones) so orders dat dis no good nigger it is flogged long and hard before being banished to a plantation slave coffle never to return to da big house again Suh
 
Suh Massa believe dat any nigger slave dat wants to be one of His bedroom bucks needs to be able to identify its Master an’ any other superior white dat He allows to use it by smell an taste alone an often blindfolds it to see if it has developed dat useful skill…failure = flogging…success = sex Suh
 
 
Suh da only nigger slaves allowed to use da furniture in da big house are Massa’s bed bucks when dey is serving HIm Suh
 
Suh a well trained nigger slave does a ‘full present’ for inspection by Massa Suh
 
  Suh dose niggers dat was lucky enough to be chose to work in da kitchens also is lucky enough to be used fo da pleasure of da kitchen overseer’s Suh
 
Suh dat is a sign of a well trained nigger slave it is able to pleasure its Massa with its mouth without groping Massa’s superior white body which badly trained pleasure slaves often do Suh
 
Suh dis lucky nigger slave is allowed to take Massa’s huge white cock down its throat…to lube it up ready for Massa to use in its other hole Suh
 
Suh Massa’s son is in charge of training nigger slaves as bedroom bucks for da big house and dey sure does get a long hard training session before dey is considered good enough to be allowed to serve Massas guests Suh
 
Suh Massa’s brother uses a bedroom buck hard but it is only a nigger slave an we needs to be put in our place an kept dere by strong white Massa’s dat can show dere superiority over a worthless nigger slave Suh!
 
Suh Massa will use any of da plantation nigger slaves for His pleasure at any time during the day, us niggers must give Massa maximum pleasure and den return to our slave duties and complete dem on time as if nothin had happened otherwise we gets punished real bad Suh!!!
 
Suh Massa like his nigger bed bucks to be as flexible as possible…..da more flexible da nigger slave is da more likely it is to be kept by Massa as a bed buck Suh
 
  Suh dis newly enslaved nigger sho is pleased to be told by da Massa’s son dat it is to become His personal bed buck an knows it will willingly submit to anything an everything dat He desires to give Him pleasure however much it may dislike it Suh 
 
  Video clips du même topic : réalistes parce qu'elle sont FURTIVES, AMATEUR, Désolé qu'elles soint si brèves, mais elles reflètent assez
 bien un climat du récit !  
THEME "white cock in a black ass"
 
 
 Vu la répression dsns certains pays africains le lory hole dans les wc n'est pas invraisemblable
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
 
Par valère - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 31 mai 6 31 /05 /Mai 14:25
 L'ANNIV DE HARRY
  
 
 

Pour le coup je manque de crever d’une crise cardiaque. La lumière s’allume et…

— Joyeux anniversaire Harry!

Ouais, heureusement que je suis pas cardiaque. Dans la salle il y avait Dean, Seamus, Neville, et Ron qui tenaient une grande banderole.

— On s’est dit qu’on pourrait te faire une surprise pour ton anniversaire et on a décidé de monter ce petit cadeau.

Agru? Là, j’le sens mal.

— Choppez le! 

 J’en étais sûr. Je savais qu’ils allaient me préparer quelque chose du genre. En plus, pour ajouter à la surprise, ils étaient nus derrière la banderole. La vue de leur corps m’a légèrement mis hors service pendant une fraction de seconde. Aïe, pas bon, ils se rapprochent. Je veux ouvrir la porte, mais Colin, l’a magiquement fermée. Shit, j’ai pas le temps de prendre ma baguette. Ils sont sur moi. Neville me tient les jambes et Ron et Dean, les bras. Seamus se plante devant moi. Il bande très dur.

— Pour ton anniversaire Harry, on t’offre un viol collectif.

— Quoi! Mais ça va pas? Lâchez-moi!

Bon, j’avoue, suis encore plus excité et largement consentant. Mais un viol, comme son nom l’indique, ou pas, ça doit pas être consenti. Il se trouve qu’en plus de mes talents au pieu, je suis aussi très bon acteur. Mais aucun de mes amis n’est dupe. Ils savent, je sais qu’ils savent et ils savent que je sais qu’ils savent, vous me suivez? Bref, c’est un viol simulé.

Seamus, le blond écossais, se met à genoux en travers de mon ventre et arrache les pans de ma chemise.

— On va tellement te baiser que tu pourras plus marcher!

Putain, comment il fait pour avoir une voix aussi érotique, merde! C’est pas du jeu! Comment il veut que je résiste si il me tente comme ça.

Il arrache brutalement mon pantalon et mon boxer. Ça y’est je suis complètement nu. Ron et Dean m’attachent les bras aux pieds d’une table. Ils sont nus tous les cinq. Ron, Seamus, Neville, Dean et Colin. Mes quatre voisins de dortoirs sont musclés. Pour Ron je comprends, c’est le gardien de l’équipe de Quidditch et il s’entraîne beaucoup pour mériter sa place, bien que je lui dise que c’est inutile. Je savais déjà que Seamus et Dean étaient musclés. Leur longue pratique du football avant Poudlard leur avait valu une solide armature et ils n’avaient jamais cessé de s’entraîner pour la renforcer. Le plus surprenant c’est quand même Neville. Nu, je ne peux plus, voir en lui le jeune garçon gauche et grassouillet qu’il était en première année. Bien que toujours tête en l’air, ses connaissances en botaniques sont quasi illimitées et il battait même Hermione dans ce domaine. Ses journées en plein soleil à s’occuper des jardins avec le professeur Chourave ont fait fondre ses bourrelets et renforcé sa carrure, il est devenu très séduisant.

Colin, lui, allie la grâce et la beauté. Il se dégage de son corps frêle une fragilité et une pureté que dément la lueur lubrique dans son regard. C’est Seamus qui commence. Son membre est raide. Je frissonne. Il écarte mes cuisses et prononce une formule. Un petit tube clair apparut dans sa main.

— Ron! Tu lui as montré mon livre! dis-je.

— Moi? Mais pas du tout.

Tu parles, ce con a un sourire de deux kilomètres de long. Seamus s’enduit le sexe de lubrifiant et le presse contre mon orifice avide. Il s’y enfonce comme dans du beurre.

— T’aimes ça, hein? Petite pute, me dit-il.

— Les insultes, t’es pas obligé.

— Ça fait plus réaliste, ajouta-t-il.

Rien à ajouter. Surtout que je ne peux plus rien ajouter. Alors que Seamus commence ses vas et viens en moi, puissants et rapides, Dean à déjà prit ma tête pour y enfoncer son propre sexe. Il bouge des hanches et l’engin rentre et sort de ma bouche. Je sens Seamus accélérer, il est au bort de l’extase et moi je suis de plus en plus excité. Il se cambre et projette sa semence en moi. Mon sexe me fait mal tant il est tendu. Seamus se retire. Son sperme coule de mon intimité ce qui sert de lubrifiant à Neville qui le remplace. Dean jouit à son tour dans ma bouche. Je n’ai pas le temps d’avaler que Ron enfonçait le sien entre mes lèvres. Les mains de Neville me prennent les hanches et me retournent.

— Préviens, Neville! Grogne Ron que j’avais failli mordre.

Neville ne dit rien mais il sourit. Il devient vraiment pervers. Mais où est-ce que ça lui est venu? Pas de moi, j’espère! Ron s’enfonce de nouveau dans ma bouche et Neville revient en moi. Il est plus doux que Seamus, ses mouvements sont cadencés et rythmés comme les saisons. Si j’étais en possession de ma bouche je sourirais de mon trait d’esprit, mais malheureusement, là je suis très pris.

Alors que Neville et Ron me prennent, j’aperçois Dean et Seamus qui se masturbent. Mais où est passé Colin? Un souffle sur mon sexe durci me renseigne. Sa langue commence à lécher mon gland. Je grogne, je gémis. Ron est plus expert en matière de sexe, il ne jouit pas aussi vite que Dean mais en gémissant, j’ai contracté mon palais sur son sexe et il s’est vidé en grognant. Son sperme et celui de Dean que je n’avais pas avalés coulent entre mes lèvres. Toujours fiché en moi, Neville me remet sur le dos et s’immobilise, fait deux ou trois mouvements et jouis dans mon intimité. À ce moment, Colin se met à califourchon sur moi et s’empale sur mon membre.

— Je croyais que tu étais vierge! Je m’exclame.

— Plus depuis ma quatrième année.

— Si tôt! dis-je.

— T’avais le même âge ta première fois.

Il commença à bouger des hanches lentement, langoureusement. Son intimité se contractait savamment autour de mon sexe. D’habitude, on appelle celui qui pénètre le dominant. Ben là j’avais plutôt l’impression que c’était lui qui menait le jeu et qui dominait. Pour la première fois depuis le début, j’avais l’impression de me faire violer. Chacun de ses mouvements m’arrache un cri de plus en plus fort. Autour de nous, les quatre autres se masturbent en grognant. Le sexe de Colin vibre devant mes yeux. Son anneau se serra une dernière fois. La pression atteint son paroxysme. Je jouis à l’intérieur de Colin tellement fort que mon sperme dégouline hors de son intimité. Dans un concert de grognements, Ron, Dean, Seamus et Neville, projettent leur semence sur mon corps fourbu. Mon sexe toujours en lui, Colin se couche sur moi, sans prendre la peine de nettoyer mon torse. Le sperme se colle à ses cheveux blonds mais il s’en fout. Chacun de mes condisciples dépose un baiser sur mes lèvres en me souhaitant un joyeux anniversaire et se couche contre moi, complètement crevé.

Je suis fatigué, couvert de sperme, j’ai mal aux fesses, mais je suis content d’avoir des copains comme ça...

 

 
Ce n’est pas tellement un scoop, mais l’acteur Daniel Radcliffe, qui joue Harry Potter, accepte d’embrasser tendrement un autre homme (James Corden) pendant au moins une trentaine de secondes lors de la remise d’un award pour sa prestation dans Equus.
Cliquez pour voir la vidéo…Harry potter embrasse un homme
 essentiellement connu pour incarner Harry Potter au cinéma ; il est né le 23 juillet 1989 dans le quartier de Fulham à Londres.
enfant unique, couramment appelé Dan, Daniel Jacob Radcliffe est un jeune acteur rendu célèbre par son rôle de Harry Potter dans l’heptalogie cinématographique éponyme adaptée des romans de Joanne Kathleen Rowling. 
       
Par Ron&Draco - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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