Partager l'article ! Récit : Harry Potter UN GAY AU CARACTERE TRES GAI: L'ANNIV DE HARRY ...
Pour le coup je manque de crever d’une crise cardiaque. La lumière s’allume et… — Joyeux anniversaire Harry! Ouais, heureusement que je suis pas cardiaque. Dans la salle il y avait Dean, Seamus, Neville, et Ron qui tenaient une grande banderole. — On s’est dit qu’on pourrait te faire une surprise pour ton anniversaire et on a décidé de monter ce petit cadeau. Agru? Là, j’le sens mal. — Choppez le! |
J’en étais sûr. Je savais qu’ils allaient me préparer quelque chose du genre. En plus, pour ajouter à la surprise, ils étaient nus derrière la banderole. La vue de leur corps m’a légèrement mis hors service pendant une fraction de seconde. Aïe, pas bon, ils se rapprochent. Je veux ouvrir la porte, mais Colin, l’a magiquement fermée. Shit, j’ai pas le temps de prendre ma baguette. Ils sont sur moi. Neville me tient les jambes et Ron et Dean, les bras. Seamus se plante devant moi. Il bande très dur.
— Pour ton anniversaire Harry, on t’offre un viol collectif.
— Quoi! Mais ça va pas? Lâchez-moi!
Bon, j’avoue, suis encore plus excité et largement consentant. Mais un viol, comme son nom l’indique, ou pas, ça doit pas être consenti. Il se trouve qu’en plus de mes talents au pieu, je suis aussi très bon acteur. Mais aucun de mes amis n’est dupe. Ils savent, je sais qu’ils savent et ils savent que je sais qu’ils savent, vous me suivez? Bref, c’est un viol simulé.
Seamus, le blond écossais, se met à genoux en travers de mon ventre et arrache les pans de ma chemise.
— On va tellement te baiser que tu pourras plus marcher!
Putain, comment il fait pour avoir une voix aussi érotique, merde! C’est pas du jeu! Comment il veut que je résiste si il me tente comme ça.
Il arrache brutalement mon pantalon et mon boxer. Ça y’est je suis complètement nu. Ron et Dean m’attachent les bras aux pieds d’une table. Ils sont nus tous les cinq. Ron, Seamus, Neville, Dean et Colin. Mes quatre voisins de dortoirs sont musclés. Pour Ron je comprends, c’est le gardien de l’équipe de Quidditch et il s’entraîne beaucoup pour mériter sa place, bien que je lui dise que c’est inutile. Je savais déjà que Seamus et Dean étaient musclés. Leur longue pratique du football avant Poudlard leur avait valu une solide armature et ils n’avaient jamais cessé de s’entraîner pour la renforcer. Le plus surprenant c’est quand même Neville. Nu, je ne peux plus, voir en lui le jeune garçon gauche et grassouillet qu’il était en première année. Bien que toujours tête en l’air, ses connaissances en botaniques sont quasi illimitées et il battait même Hermione dans ce domaine. Ses journées en plein soleil à s’occuper des jardins avec le professeur Chourave ont fait fondre ses bourrelets et renforcé sa carrure, il est devenu très séduisant.
Colin, lui, allie la grâce et la beauté. Il se dégage de son corps frêle une fragilité et une pureté que dément la lueur lubrique dans son regard. C’est Seamus qui commence. Son membre est raide. Je frissonne. Il écarte mes cuisses et prononce une formule. Un petit tube clair apparut dans sa main.
— Ron! Tu lui as montré mon livre! dis-je.
— Moi? Mais pas du tout.
Tu parles, ce con a un sourire de deux kilomètres de long. Seamus s’enduit le sexe de lubrifiant et le presse contre mon orifice avide. Il s’y enfonce comme dans du beurre.
— T’aimes ça, hein? Petite pute, me dit-il.
— Les insultes, t’es pas obligé.
— Ça fait plus réaliste, ajouta-t-il.
Rien à ajouter. Surtout que je ne peux plus rien ajouter. Alors que Seamus commence ses vas et viens en moi, puissants et rapides, Dean à déjà prit ma tête pour y enfoncer son propre sexe. Il bouge des hanches et l’engin rentre et sort de ma bouche. Je sens Seamus accélérer, il est au bort de l’extase et moi je suis de plus en plus excité. Il se cambre et projette sa semence en moi. Mon sexe me fait mal tant il est tendu. Seamus se retire. Son sperme coule de mon intimité ce qui sert de lubrifiant à Neville qui le remplace. Dean jouit à son tour dans ma bouche. Je n’ai pas le temps d’avaler que Ron enfonçait le sien entre mes lèvres. Les mains de Neville me prennent les hanches et me retournent.
— Préviens, Neville! Grogne Ron que j’avais failli mordre.
Neville ne dit rien mais il sourit. Il devient vraiment pervers. Mais où est-ce que ça lui est venu? Pas de moi, j’espère! Ron s’enfonce de nouveau dans ma bouche et Neville revient en moi. Il est plus doux que Seamus, ses mouvements sont cadencés et rythmés comme les saisons. Si j’étais en possession de ma bouche je sourirais de mon trait d’esprit, mais malheureusement, là je suis très pris.
Alors que Neville et Ron me prennent, j’aperçois Dean et Seamus qui se masturbent. Mais où est passé Colin? Un souffle sur mon sexe durci me renseigne. Sa langue commence à lécher mon gland. Je grogne, je gémis. Ron est plus expert en matière de sexe, il ne jouit pas aussi vite que Dean mais en gémissant, j’ai contracté mon palais sur son sexe et il s’est vidé en grognant. Son sperme et celui de Dean que je n’avais pas avalés coulent entre mes lèvres. Toujours fiché en moi, Neville me remet sur le dos et s’immobilise, fait deux ou trois mouvements et jouis dans mon intimité. À ce moment, Colin se met à califourchon sur moi et s’empale sur mon membre.
— Je croyais que tu étais vierge! Je m’exclame.
— Plus depuis ma quatrième année.
— Si tôt! dis-je.
— T’avais le même âge ta première fois.
Il commença à bouger des hanches lentement, langoureusement. Son intimité se contractait savamment autour de mon sexe. D’habitude, on appelle celui qui pénètre le dominant. Ben là j’avais plutôt l’impression que c’était lui qui menait le jeu et qui dominait. Pour la première fois depuis le début, j’avais l’impression de me faire violer. Chacun de ses mouvements m’arrache un cri de plus en plus fort. Autour de nous, les quatre autres se masturbent en grognant. Le sexe de Colin vibre devant mes yeux. Son anneau se serra une dernière fois. La pression atteint son paroxysme. Je jouis à l’intérieur de Colin tellement fort que mon sperme dégouline hors de son intimité. Dans un concert de grognements, Ron, Dean, Seamus et Neville, projettent leur semence sur mon corps fourbu. Mon sexe toujours en lui, Colin se couche sur moi, sans prendre la peine de nettoyer mon torse. Le sperme se colle à ses cheveux blonds mais il s’en fout. Chacun de mes condisciples dépose un baiser sur mes lèvres en me souhaitant un joyeux anniversaire et se couche contre moi, complètement crevé.
Je suis fatigué, couvert de sperme, j’ai mal aux fesses, mais je suis content d’avoir des copains comme ça...
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