Mercredi 25 juin
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J'ai beau être une bonne petite salope avec les mecs, j’adore aussi me branler et m’offrir quelques petits plaisirs solitaires bien hard, chez moi,
tranquillement dans ma chambre. En fait, je suis très cérébral. Même lorsque je me fais enfiler, je me raconte toujours des histoires dans ma tête. Cela me fait jouir encore plus fort.
L’avantage, dans l’imaginaire, c’est qu’on peut s’inventer ce que l’on veut. Je me fais mon petit cinéma tout seul, en imaginant les pires ou plus belles situations.
Hier après-midi par exemple, alors que je me faisais enculer dans les toilettes d’une aire de repos d’autoroute, au-dessus de Lyon dans la direction
de Genève, j’imaginais qu’il y avait des tas de types qui attendaient leur tour, derrière. Des routiers, des V.R.P., des mecs
vicelards, pressés de tirer leur coup.
Heureusement mon imagination vient au secours de la sécheresse de la réalité...
Lorsque je me branle, c’est pareil J’aime prendre tout mon temps et je me contente rarement d’une branlette rapide. Je me mets à poil, je sors mes
godes, mes plugs, mon chapelet anal à grosses boules et du gel pour bien lubrifier mon trou de balle. Je vais d’abord regarder quelques photos et vidéos bien bandantes sur le web. De temps en
temps, je m’amuse à discuter hard sur des tchats, et quand j’ai la trique hyper-raide, je me fous sur mon pieu. Dans ma chambre, j'ai installé plusieurs miroirs pour me voir sous tous les angles
lorsque je suis sur mon lit. Je suis voyeur, exhib! J’adore me voir quand je me fais sauter, et me montrer à celui qui me baise.
Dans mes petites siestes, je commence à m’introduire mes godes dans le cul. Les plus petits pour commencer et pour m’assouplir avant de prendre les
plus gros quand ma chatte est bien ouverte. Juste un petit conseil pour les mecs : le chapelet anal est un truc génial pour se dilater progressivement le cul.
Et je commence à me raconter mon histoire. En ce moment, il est surtout question de Blacks. Je n’en ai connu qu’un seul dans ma vie, et j’en garde
un super-souvenir. Physiquement, c’était un canon. Le mec parfait, grand, musclé, belle gueule, hyper viril et super-endurant II avait un cul magnifique et une superbe bite de 21cm entre les
cuisses. Je n’ai passé qu’une soirée avec lui, mais j’ai gardé sa queue plus de trois heures dans la bouche et dans le cul.
Il m’a rendu fou ! Il s’appelait Jean-Yves et n’était que de passage sur Lyon. Je l’ai rencontré aux abords d’un sex-shop de la rue de la Lanterne.
Jean-Yves se cherchait un mec pour la soirée. Quand il est ressorti de mon cul après m’avoir baisé une première fois, sa teub n’avait pratiquement pas débandé.
Peu de temps après, il me limait encore, tout en force et en puissance. Grâce aux miroirs de ma chambre, je pouvais voir son corps athlétique et sa
pine noire me transpercer le cul pour disparaître jusqu’aux couilles entre mes fesses. Le contraste de sa peau et de la mienne m'excitait encore plus. Aujourd'hui, il m'arrive souvent de me
branler en rêvant à ça. Mais cette fois, j’imagine qu’ils sont deux.
Il y a Jean-Yves et un copain à lui, black aussi. Dans mon fantasme, je les imagine en treillis avec des rangers. L'unif me fait bander. Le pote de
Jean-Yves est super-baraqué, la boule à zéro. Tous les deux ne se sont plus vidé les couilles depuis plusieurs jours. Ils ont besoin d'une bonne salope, d'une bonne pute prête à tout. Nous sommes
encore dans les escaliers qui montent jusqu’à mon petit appart que, déjà, ils me tripotent partout, palpent mon cul et ma tige, m’embrassent. Moi aussi, je touche leur paquet à travers leur
treillis et je sens les deux bites énormes qui vont me défoncer la gueule et le cul pendant des heures. On arrive chez moi et on passe directement dans ma chambre. Je leur mets le zob à l’air,
juste sorti des braguettes. J’ai deux belles pines noires et raides devant moi. Je dégage aussi les couilles. Je pompe un des deux viers, puis je suce l’autre. Mes mains astiquent deux gros
manches hyper-raides avec des glands énormes et circoncis. Je songe déjà au moment où je vais les recevoir dans le cul, et j'imagine ma pastille complètement dilatée sur le chibre qui la
transperce. Jean-Yves et son copain défont leur froc, et leur treillis tombe sur leurs rangers. Je continue de bouffer leur queue, je lèche leurs couilles et je caresse leurs cuisses. Je me
déchaîne comme une truie en rut. Assis sur mon lit, j’enfourne les deux pistons jusqu’à ce qu’ils viennent buter au fond de ma gorge. Ils commencent à m’insulter, l’un et l’autre, me fouettent le
visage avec leur bite puis me font mettre sur le lit, à poil et à quatre pattes, les reins creusés et les fesses tendues comme une grosse femelle en manque. Ils m’examinent, m’écartent les
fesses, branlent mon zob, sucent mon cul et le liment avec leurs doigts. Je me laisse faire, impatient de me faire bourrer le cul. C’est le pote de Jean-Yves qui commence. Il vient se placer à
genoux derrière moi et, pendant que son copain lui écartèle mes fesses, il promène son gland gonflé dans toute ma raie en me disant : “Vas-y, sale pute ! Dis-moi que tu la veux ! À fond et
jusqu’aux couilles !” Je suis à plat ventre sur mon lit, un gode planté à fond, et je me frotte contre le drap tout en poursuivant mon histoire, mon fantasme.
Je supplie le copain de Jean-Yves de m’enculer. Enfin, j’ai son gland qui presse ma rondelle. Je force pour m’ouvrir encore mieux et j’ai le chibre
qui s’enfonce dans mon cul. Je pousse un grand gémissement de plaisir. La pine progresse par à-coups. Je me sens dilaté à l’extrême et la colonne de chair progresse dans mes entrailles jusqu’à
être plantée jusqu’à la garde. Jean-Yves tient toujours mes fesses écartées et regarde la bite de son copain me défoncer le fion. C’est comme un gros gourdin qui me lime à une cadence régulière
et profonde. Puis, Jean-Yves vient s’installer devant moi, assis, les cuisses écartées, avec sa queue plaquée contre son ventre. Il m’ordonne de le sucer. Je saisis la tige et je la pompe pendant
que l’autre mec m’éclate le cul. Il me fesse pour me voir bouger des reins et m’empaler tout seul sur son pieu. J’obéis. D’un côté, je pompe, de l’autre je remue des hanches comme si je taillais
aussi une pipe avec mon cul.
Quand j’en suis là, dans mon fantasme, généralement je ne suis plus très loin de jouir. Je me tourne. D’une main, je tiens le gode et je m’encule,
de l’autre, j’astique mes couilles et ma queue. Dans les dernières images, je vois deux Blacks complètement déchaînés sur moi qui m'enculent à tour de rôle et me font sucer leur bite chaque fois
qu’elle ressort de mon cul. Je me retiens tant que je peux, et lorsque j’éjacule, le foutre explose sur mon ventre et sur mon torse. J'ai des éjaculations très abondantes, et les giclées de
sperme souillent tout mon ventre. J’imagine que pour finir, Jean-Yves et son pote se sont mis à genoux près de moi et déchargent eux aussi sur mon corps et sur ma gueule d'assoiffé de
jute.
Bien sûr, je passerais volontiers du rêve à la réalité. J’attends... Ça viendra peut-être !
Arnaud, 24 ans en 2002
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