Partager l'article ! NOIRS DESIRS-DESIRS RECIPROQUES DE NOIRS ET DE BLANCS (C'était quand...): ...
NOIRS DESIRS-DESIRS DE NOIRS
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Dans le taxi collectif, protégé par le poste radio-cassette, j'exhibais même les couilles. Le chauffeur qui lançait un oeil dans le rétroviseur ne pouvait rien voir, non plus que les autres occupants. Le poste radio-cassette nous protégeait des regards. Je fis comprendre à mon voisin qu'il pouvait me caresser. Il ne s'en est pas privé, semblant même heureux de le faire. Il me dit en pouffant de rire:
— C’est assez rare pour un blanc d’avoir une si grosse queue
— Elle te plaît alors? Tu pourras en faire ce que tu veux.
Arrivés à destination, très amusé par mon audace, il m'a proposé de poursuivre notre "conversation" quelque part. Il connaissait un petit hôtel qui louait des chambres à proximité. Ce n'était pas cher. Certes, l'endroit était miteux mais ça m'a plu. À peine entrés dans la pièce, il s'est déshabillé très vite. Il avait un corps parfait, mince et musclé, un petit cul à tomber assis et quand il a baissé son slip, j’ai découvert une queue de rêve, bien longue, au moins 25 cm et bien grosse pour son age. Moi qui me croyait un étalon avec mon 19 cm.
Il s’est assis sur le lit et tout en se branlant, il me dit de me déshabiller. Alors que je m’exécutais, il ne cessais de me regarder en passant sa langue sur ses lèvres et gémissait doucement. Cela m’excitait terriblement. Une fois nu, il me fit signe de venir le rejoindre sur le lit. Allongés côte à côte, il m’a léché les mamelons qui durcirent tout en caressant mes couilles avec ses doigts. Lentement, il fit glisser sa langue sur mon torse en descendant doucement vers mon bas-ventre. Ouvrant grand la bouche, il y engloutit une bonne partie de ma queue pour me sucer. Ce ne devait pas être sa première pipe car il pompait vraiment bien. Il m'a longuement sucé, gobant mes couilles à plusieurs reprises. Par moments, j'ai dû lui demander d'arrêter tant je craignais d'éjaculer trop vite.
Voulant goûter sa queue moi aussi, je le fis se retourner et commençai à le sucer. Excité par son cul, j'ai passé un doigts dans son anus avec beaucoup de douceur, le plus doucement que j'en étais capable, prenant tout mon temps. M’apercevant qu’il adorait ça, j’y introduit un deuxième puis un troisième. Son anus était bien mouillé et mes doigts s’y glissaient facilement. L’entendant gémir fortement, je lui dis:
— Tu aimes ça hein, te faire fouiller le cul?
— J’aimerais encore plus ça si ce serait ta grosse queue qui me le défoncerait.
"Moogly" avait des préservatifs sur lui. Il m'en a enfilé un avec un grand réservoir tout en léchant mes couilles et puis s'est laissé pénétrer sans problème. À chaque va-et-vient, il poussait une espèce de sifflement-soupir qui me rendait dingue. Je l'aidais avec plaisir à prendre son plaisir, en haletant moi aussi comme un fou. J’adorais sentir ma queue entrer et sortir de son cul bien humide. J'appréciais aussi sa maîtrise. À chaque fois que je me trouvais au bord de l'éjaculation, il savait me calmer, je ne sais comment.
Et puis, il changeait de position et c'était reparti. Le jeune homme était vraiment un virtuose de l'amour comme seuls les Africains peuvent l'être. J'ai toujours pensé que les noirs étaient doués pour le cul parce qu'ils s'y mettent tôt, s'entraînent beaucoup et ont le sang chaud, mais pour son âge, il battait bien des hommes plus vieux que lui
J'ai fini par gicler quand même, par salves, avec de divins gonflements dans la queue à chaque passage du sperme. Je suis resté à l'intérieur de son cul. Mon partenaire contractait son anus pour continuer à sentir la présence de mon membre. Enfin, celui-ci éjacula à son tour. "Moogly" a retiré le préservatif qui menaçait de couler sur le couvre-lit et le mit dans la corbeille à papier que j'eus la surprise de voir à moitié remplie d'autres capotes usagées, mêlées à des mouchoirs de papier chiffonnés. Il entreprit de me nettoyer le sexe avec sa langue. Ça me procurait un plaisir indéfinissable d'être lavé aussi simplement que ça. Puis, surpris, après quelques instants, je me suis remis à bander tout doucement.
Le jeune coquin semblait moins étonné que moi. Nous sommes retournés vers le lit, et là il prit l'initiative de s'asseoir à califourchon sur ma queue bien droite, si dure déjà, habillée d'un préservatif tout neuf. Je me suis mis à faire des mouvements de haut en bas lentement, puis plus rapidement. Le jeune homme avait rejeté la tête en arrière et soupirait à n'en plus pouvoir. J'étais très fier du plaisir que je lui donnais. Surtout que cette seconde fois, je sentais que je mettrais davantage de temps pour jouir. Mais quand j'ai déclenché, ce fut vraiment extraordinaire parce que "Moogly" s'est violemment agité en poussant des cris vraiment peu discrets, très explicites de nos ébats amoureux. Quand il éjacula de nouveau et s’est calmé, il m'a contemplé en souriant.
Comme il était beau. Je crois que j'aurais pu continuer à lui faire l'amour toute la nuit mais il devait rentrer chez sa famille. Rapidement, nous nous sommes lavés et rhabillés. On s'est quitté en échangeant nos coordonnées.
Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais téléphoné. Mais ce qui est sûr, c'est que ce jeune Sénégalais incarnera toujours ma plus grande jouissance. FIN
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