HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE

Mardi 27 mai 2 27 /05 /Mai 23:30

 

Friend Amigo <claudemodou@gmail.com>

 18:58 (Il y a 4 heures)
   
À neo14
Salut François
Es-tu bien le François, auteur de L'auberge des garçons miroirs ? et de
Enzo et Mattéo ? 
Je me régale de ton talent de scénariste et de conteur
J'en ai fait une copîe pour mon plaisir personnel
Tu as encore davantage touché mon coeur dans ton évocation de :Arnaud   :" Il y eut de l'incrédulité dans les yeux d'Arnaud puis, à travers les sanglots contenus, son visage s’éclaira du plus joli des sourires." Aucun garçon n’est laid quand il sourit."
Vois-tu le formatage général qu'on subit dès l'enfance, dès la famille, dès l'école, dès la société...dès internet et tout le X .. qui  réduit à un complexe d'infériorité tout garçon qui  n'entre pas dans les canons et les références de la société .
Recherchons  ces jeunes pour les rassurer...
J'aime ce que tu fais 
Merci
Des bisous de 
claudio

 

Bon, Say hello to Enzo and his big long uncut cock. He&#8217;s a French guy, 30 years old, weighs 209 lbs, and loves to workout. Originally he was approached at a gym to do a nude massage video but ended up blowing two huge cumshots on camera as well. If you look closely as he stands up, you can see the cum splatters all over his lower abdominal and upper pubic area. Gay porn gif taken from the Enzo jerk off video at Keum Gay. ( via keumgay.com ) vous voulez que je vous raconte ce que j'ai retenu de cette histoire ? Laissez-moi d'abord m'habiller. 

Say hello to Oliver and his new haircut. Very handsome guy. I especially like his eyes and hairy chest. Photo reminds me of the earlier Colt models from coltstudiogroup.com For more hairy guy selfies, follow Naked Straight Guys. — Eh bien,

    Résumé : François, l"auteur de cette histoire, s'est égaré sur une route de montagne, en vue d'une grande maison qui s'avère être une auberge mystérieuse. Une tempête accompagnée d'un orage provoquant des chutes d'arbres l'oblige à s'installer à l'auberge en attendant la réouverture de la route. 

   François est très excité par cette scène dans la salle de bains

Panne d'électricité, bain, séchage en commun,  il est guidé et accueilli par les fils de ses hôtes,  deux jumeaux très attirants et équivoques...

Sera-t- il l'amant de Yannick ou celui de Yohann au cours de cette excitante nuit pleine 

de promesses? Non, je préfère vous dire tout de suite qu' il faudra renoncer à aller plus avant, de dévoiler ses intentions, laisser la chose comme possible, ne pas vouloir savoir, ajouter un chapitre aux Occasions perdues : Mon nom est Ce qui aurait pu être

Je m’appelle aussi Jamais plus Trop tard, Adieu.

Surviennent au repas les autres hôtes de l'auberge, notamment le jeune Arnaud, qui fera le quatrième des parties de cartes de la soirée.

 

    "Tableau émouvant d’un ado mal dans sa peau", il est très encadré par ses parents qui l'emmerdent et le rabaissent -"fais pas ci, fais pas çà". La soirée s'achève. François va au lit décidé à dormir puisqu'aucun des jumeaux n'a répondu à ses avances.

François n'est pas très gentil pour le garçon qu'il appelle "Mérou" et pour lequel il n'éprouve aucun désir....et, de sa part à lui, il n'y aura aucune provocation. Il n'est pas dit que le jeune homme n'ait pas été provoqué quand même !  "Installé en face de moi, il m’observait à travers ses deux aquariums. J’étais vache, je savais maintenant qu’il s’appelait Arnaud, mais Mérou lui allait si bien ! Il ne se passa pas une minute avant que Yannick, en posant le plateau de fromages bien au centre de la table, réitère le geste de son frère, sur mon autre épaule, prolongeant même le contact en allant pêcher une corbeille de pain vide. Tant pis pour Arnaud, je résistais de l’épaule et poussais mon bras doucement en arrière contre son entrejambe."

Après coup, le jeu des jumeaux vous semblera bien perfide...

"La conversation se prolongeait à table, il était encore bien tôt. Les jumeaux vinrent proposer à Arnaud de faire une partie de cartes et perfides, de me joindre à eux. Je laissai passer un temps décent puis je priais mes «nouveaux amis » de m’excuser et allais les rejoindre à une table près du feu. Ils avaient commencé à jouer à des jeux un peu enfantins dont j’avais oublié jusqu’au nom depuis mes dernières colos. En riant, ils m’en rappelèrent les règles et nous fîmes quelques parties plutôt joyeuses. Le poker menteur occasionna de grands éclats de rire mais aussi l’intervention des mères castratrices qui prièrent leurs rejetons de faire moins de bruit. J’étais aux anges, je dévorais Yannick et Yohann des yeux, m’imprégnais de leurs attitudes, me rassasiais de leurs mimiques. Arnaud n’était pas un garçon désagréable. Intelligent et sensé mais encombré par ses bras et par ses jambes, il servait de contrepoint à l’aisance et à la beauté des deux frères. Il est étrange qu'au même âge, certain ados aient l'air déjà de princes, de splendides papillons alors que d'autres ne sont pas encore sortis de leurs chrysalides...." 

 

    Un extrait du texte : [...]  Yannick joua le porte flambeau jusque dans ma chambre. Il posa la lampe sur le chevet et s’éclipsa aussitôt, je ne fis rien pour le retenir. Elle était loin maintenant la belle exaltation qui avait porté mes pas au début de la soirée. Cette situation je la connaissais bien, elle présidait souvent à mes amours, à mes désirs et devait être le lot de bien d’hommes qui les partageaient : l’engouement brutal pour un visage, un corps gracieux, l’espoir qui naît par un geste complice, un regard, une parole encourageante et puis le doute et l’hésitation, le mot que l’on ne trouve pas, le regard qui jamais ne se renouvelle, la peur, l’incertitude d’avoir mal interprété ce geste ou ce regard et puis le renoncement, le confort douillet de renoncer à aller plus avant, de dévoiler ses intentions, laisser la chose comme possible, ne pas vouloir savoir, ajouter un chapitre aux Occasions perdues :

Mon nom est Ce qui aurait pu être

Je m’appelle aussi Jamais plus

Trop tard, Adieu. [1]

Je soufflai la lampe sans même penser à sortir mon briquet et m’enfonçai nu entre les draps. Le trop copieux repas pesait sur mon estomac. Je m’endormis sur le dos, d’un sommeil lourd, peuplé de jumeaux sardoniques et facétieux. Dormir est un grand mot, je cheminais à la lisière de la veille et du sommeil, passant indistinctement de l’un à l’autre, continuant le rêve dans les périodes d’éveil. À quel moment me suis-je aperçu qu’une main était posée sur ma poitrine ? Était-ce dans un rêve ? J’émergeais comme du fond d’un océan de nuit, lentement au départ, retenu par des mains invisibles puis brutalement j’atteignis la surface, les yeux grands ouverts sur le noir profond. La main était toujours là, timide et hésitante, elle caressait mon torse.



Premiere étreinte : Je ne bougeais pas mais mon cœur s’affolait, le sang me battait aux tempes, le bonheur m’envahissait, me submergeait, irradiait dans ma poitrine depuis cette main légère. Je ne bandais pas mais tous mes sens étaient en alerte et exaltés. Mes yeux cherchaient inutilement à percer la nuit, mon nez aspirait la fragrance légère d’un corps en émoi, l’ouïe aux aguets pour découvrir le son ténu et oppressé d’une respiration inquiète, jusqu'à mon bras qui ressentait la chaleur irradiée par ce corps si proche.

Je glissais ma main sous les draps avec la lenteur d’un photographe animalier à l’affut, doucement pour ne pas effrayer, pourtant je perçus un tressaillement quand mes doigts rencontrèrent un genou. La main se suspendit au dessus de ma poitrine, je la capturai dans la mienne, la pressai délicatement, la reposai sur mon sein. Mes doigts avaient contourné le genou, s’immisçaient dans la tiédeur des cuisses, remontaient entre ces jambes au duvet si doux jusqu’à leur confluent. Allais-je rencontrer le tissu d’un slip ? Ce fut la masse soyeuse, étrangement fluide, presque fuyante, de ses bourses que mes doigt parcoururent, le garçon était entré nu dans mon lit. Au dessus, plantée droite, une verge dure d’une jolie taille, s’échappa à la caresse de mes doigts, vint les refrapper, s’éloigna encore, en proie à une de ces excitations incontrôlable habituelles à cet âge. J’en parcourus les flancs du bout des doigts, sans serrer, depuis une toison étroite et courte jusqu’à un prépuce charnu. Cet effleurement, cette caresse si légère fit accélérer la respiration du garçon et se crisper la main sur ma poitrine. Je continuais en serrant un peu, entraînant dans la descente la peau fine, décalottant le gland humide qui vint se nicher au creux de ma paume. Le souffle se suspendit puis devint halètement. De peur qu’il ne jouisse déjà, je descendis sur les bourses, les prenais à pleine main, jouai avec les lourds testicules, m’enfonçais dans la caverne un peu moite de son entrejambe.

C’était l’endroit le plus délicat du monde où cohabitait la finesse de l’aine quand elle rejoint le sillon et la dureté majestueuse du prolongement de la queue. Les jambes s’écartèrent juste assez pour que je puisse, du majeur, suivre la couture, cette sorte de petit bourrelet de peau du garçon en formation, jusqu’à la margelle du puits mystérieux. Il ferma les jambes pour emprisonner ma main contre son bourgeon, mais aussi peut-être pour m’empêcher d’aller plus avant. Après une dernière caresse sur sa verge tendue, je fis musarder le dos de mes doigts sur son ventre moelleux, sur les vallons naissants de sa poitrine, sur ses tétins sensibles puis passant par le cou délicat, j’enlaçais de mon bras ses épaules et son dos. Je l’attirais à moi et le fis rouler sur mon ventre. Il s’y installa, allongé de tout son long, poitrine contre poitrine, les genoux serrés par mes cuisses, sa verge rigide blottie sur mon ventre, enveloppé dans mes bras qui le plaquaient à moi. Il s’abandonnait, la joue contre la mienne, son souffle dans mon cou, ondulant sous mes caresses esquissées, sous les frôlements de mes doigts qui parcourraient son échine et ses flancs dans de grands cercles lents jusqu’à ses jeunes fesses étroites et dures. Il dégagea ses genoux de l’étreinte de mes cuisses, laissant à mes doigts l’accès à son aride vallée. Je la parcourus en randonneur musard, depuis le mont Coccyx jusqu’aux gorges jumelles, faisant naître sous mes pas de brefs tressaillements.

L’ingénu, bouleversé par mes caresses, vint de la main, dégager mon sexe et le placer dans sa raie puis il souleva son bassin et fit suivre à mon gland humide le parcours de mes doigts. Son excitation était si visible que je me demandais s’il n’attendait pas de moi une caresse plus virile. Cette idée m’inquiétait : l’étroitesse de sa corolle méritait un bon lubrifiant que nous n’avions pas. Rapidement je compris que ce jeu lui suffisait et j’accentuais le frottement par des mouvements contraires. À chaque rencontre de nos ventres, ses boules se calaient dans la forêt de mon pubis, sa verge glissait entre nos muscles contractés. Il y eut dans le noir de la chambre, un petit cri de gorge, un « Ah » mourant et nos ventres en s’éloignant, entraînèrent une substance poisseuse. Je couvrais sa joue de baisers en cherchant la commissure des lèvres, il me les abandonna comme épuisé puis sa bouche devint dure, sa langue pointue et nous échangeâmes un baiser d’amants pendant qu’entre nos corps roulait sa semence. "

 

 

Deuxième étreinte : "De cette nuit, il me restera d’autres images, d’autres senteurs et goûts. L’odeur de son corps enfiévré, la saveur de son sperme à sa sueur mêlé et puis nos enlacements, nos étreintes cent fois recommencés. Il semblait insatiable sous ma langue, regonflait dans mon palais, offrait son corps à mes mains câlines, sans pudeur ni retenue. De nouveau je sentis sa demande mais également sa peur quand, sur son dos je m’allongeai. Je rompis le combat lorsque mon second doigt salivé ne put s’enfoncer. Il se montra têtu et volontaire, me retourna ventre à l’air, s’installa sur mon bassin. J’écoutais, inquiet, son souffle rauque, ses faibles plaintes nasales. Il s’arrêta tendu et tremblant, les mains crispées sur mes biceps quand mon gland fût passé, puis il se courba, posa son front sur le mien et d’un signe de tête, me donna son accord muet.

Anéantis par tant de bonheur, nous reposions l’un contre l’autre, enlacés, sa tête posée sur mon sein, ma cuisse abandonnée entre les siennes. Je pensais mes sens repus et ne plus désirer autre chose que la langueur de l’amour comblé. Peut-être me suis-je assoupi ? Une main qui emprisonnait mon sexe et doucement le branlait et la dureté retrouvée d’une jeune verge collée à ma jambe, réveillèrent au fond de mon ventre un désir enfoui depuis mon adolescence. Plus le garçon se frottait lascivement à moi, plus le désir de le sentir en moi, de lui rendre le plaisir qu’il m’avait offert montait dans mes reins. Je me tournai sur le ventre et l’invitai à me couvrir. Il hésita, certainement intimidé puis se décida et avec toute la fougue de sa jeunesse, cette façon brouillonne mais intense et sans retenue due à l’inexpérience, il me pénétra. Il me fit l’amour longtemps, m’emmenant dans des contrées inconnues, soulevant de son sexe des ondes de plaisir auxquelles je m’abandonnai. Dix fois je crus jouir sans pouvoir l’attendre, dix fois je me retins au bord de l’oubli. Notre délivrance arriva dans un sursaut et nous nous écroulâmes l’un sur l’autre, épuisés et heureux. "

 

 


Je fus sorti de mon lourd sommeil par le bruit entêtant d’une tronçonneuse. Le soleil perçait les volets et donnait un aspect pimpant à la chambre. La place à côté de moi était vide, j’étais déçu bien entendu de ne pas trouver à mon flan, un corps nu et abandonné, encore plongé dans le sommeil, ce qui est pour moi l’ultime récompense d’une nuit d’amour. Je n’avais nulle impression d’avoir rêvé, on n’atteint jamais un tel degré de félicité même dans les fantasmes les plus fous et le désordre des draps ainsi que les traces tangibles de nos jouissances me remémoraient nos ébats. Sommairement lavé et habillé, j’ouvris la fenêtre. À quelques pas de l’auberge, après le parking, des cantonniers municipaux débitaient un sapin tombé en travers de la route. Plus haut, celle-ci était toujours obstruée par le grand chêne abattu. Bottés de caoutchouc et couverts de leurs cirés, les jumeaux aidaient au travail en entassant des branches élaguées.

Malgré la distance, j’arrivais à les discerner grâce à d’infimes détails de comportement, à la démarche plus sensuelle de Yannick ou celle plus décidée de Yoann, au port de leurs têtes, à leurs gestes qui reflétaient la différence de leurs caractères. C’était Yannick, j’en étais certain qui, en me découvrant à la fenêtre, me gratifiait du plus joli, du plus rayonnant des sourires, un de ces sourires que l’on accorde qu’à un amant. Je fus submergé de tendresse et de bonheur. « Merci Ya » pensais-je, mais dans l’instant, Yoann, arrivé à sa hauteur me décocha un sourire tout autant éclatant et charmeur.

— Descends prendre ton déjeuner, il y a même du pain frais !

Dans la salle Veston et Robe-à-fleurs (ce n’étaient pas les mêmes fleurs) réglaient leur note, ils répondirent à mon sourire radieux par un salut gourmé. Les jumeaux furent appelés à la rescousse pour descendre les bagages. Ils arrivèrent en tempête, entraînant dans leur sillage une odeur de sapin fraîchement coupé.

— Je me débarrasse vite fait de la corvée et je viens te servir ton petit dej’, souffla Yannick en passant près de moi. Yoann pour ne pas être en reste, me fit un clin d’œil et une petite tape sur le bras.

Je m’installai à la table d’hôte après avoir salué. Arnaud n’était pas encore descendu. Je conversai avec le père en attendant le retour de Yannick.

— Nous allons partir, la ligne électrique ne sera pas réparée avant deux jours et ce qui était amusant pour un soir, va devenir une corvée si cela se prolonge… Surtout avec des enfants, ajouta-t-il comme pour s’excuser.

Pauvres enfants, pensais-je, obligés de se laver à l’eau froide et de s’éclairer à la bougie ! Cela ressemblait à une fuite, un abandon de navire et cette annonce me déplaisait fortement. J’essayai de les convaincre de rester, de ne pas laisser l’auberge sans clients et leur dis que j’avais décidé de m’installer ici quelques jours.

— Et vos amis ? intervint la femme.

— Je les ai prévenus hier soir et j’irai les voir ensuite, je ne devais leur faire qu’une courte visite.

— Non, nous ne restons pas, confirma le père, et puis c’est plus cher que je ne le pensais, me dit-il tout bas en se penchant vers moi.

Yannick, débarrassé de son ciré, en jean slim et polo bleu, posait devant moi un plateau chargé à profusion de pain, beurre, confitures, pots de café et de lait.

— Tu as bien dormi ? me questionna-t-il avec un sourire en coin et l’œil égrillard de celui qui en sait long.

— Comme un loir, d’une seule traite ! (menteur !)

Je le regardais s’éloigner, le regard rivé à ses jolies fesses serrées dans le jean étroit.

Arnaud fit alors une apparition chiffonnée. Il était vêtu comme la veille, les cheveux plus embrouillés encore, les lunettes de travers. Ce tableau émouvant d’un ado mal dans sa peau me fit battre le cœur. Et dire que je l’avais snobé hier soir, presqu’ignoré et je m’en voulais terriblement. Il s’assit face à sa mère, de l’autre côté de la table et semblait vouloir éviter mon regard.

— Arnaud ! Tu ne dis pas bonjour à Monsieur François ?

Il me fit un signe de tête contraint. Je lui répondis par un « Bonjour Arnaud » sonore, accompagné d’un petit sourire narquois ce qui lui empourpra les oreilles.

— Mais qu’as-tu fais à tes lunettes, elles sont pleine de traces de doigts... donne-les je vais te les nettoyer. Il dévoila son regard de myope aux yeux gonflés.

— Oh là là, tu n’as pas bien dormi cette nuit, il est temps qu’on rentre ! s’exclama la femme tout en frottant les verres avec une serviette.

Arnaud rechaussa précipitamment ses lunettes, autant pour retrouver la vue que pour cacher ses yeux cernés, il fixait la nappe l’air boudeur, sa mère se leva et sorti pour surveiller la gamine. Alors je poussais mon plateau vers lui et glissais sur le banc pour me placer en face.

— Tiens, je ne pourrai jamais finir tout ça. Commence à manger !

Nos regards s’accrochèrent et avant qu’il ne baisse le sien, je lui fis un clin d’œil appuyé. Il devint pivoine, chercha si on nous regardait puis ses lèvres s’étirèrent dans un fin sourire.

— Vous aviez deviné?

— Dès que j’ai pris ta main.

Je mentais. Cette nuit mes sens endormis, amoindris par l’alcool avaient abusé mon cerveaux et c’était l’image de Ya ou de Yo qui s’y était formée lors de mes premières caresses. En posant ma main sur une nuque chevelue j’avais compris mon erreur mais cela n’avait plus d’importance à ce moment, j’étais déjà conquis par la douceur de sa peau, la délicatesse de son corps, l’intensité de son désir, le feu qui le brûlait. C’était bien Arnaud que j'avais couvert de baisers enfiévrés, c'était bien lui que j'avais chercher à faire jouir de mes mains, de mes lèvres, de ma verge et c'était la verge de ce garçon, pas celle d'un fantasme, d'une illusion de YaYo que j'avais appelé à me transpercer. Oh mon doux et tendre amant, toi que j’avais appelé vilain, chez qui je n’avais pas su oublier les hublots pour trouver ton âme tout comme les trois capitaines n'avaient pas su enlever les sabots d'Hélène [Brassens!] et te dépouiller de tes hardes pour trouver ton cœur. Me pardonneras-tu mon indifférence ? Saurai-je un jour assez te remercier d'avoir forcé ma main et changer notre destin ?

— Je t’aime !

Je ne pouvais pas dire moins et j'étais sincère. Arnaud ne répondit rien, il piqua du nez vers la table puis deux grosses larmes coulèrent de dessous ses lunettes et s’écrasèrent sur la nappe. Il ne bougea pas lorsque Yoann posa devant lui un bol de chocolat brûlant. Les yeux du jeune aubergiste allèrent de mon visage aux joues mouillées d’Arnaud. Sans paraître autrement étonné, il enjamba le banc et passa son bras sur les épaules du garçon. Comment avait-il compris ? Avaient-ils, son frère et lui, été complices, instigateurs, entremetteurs, voyeurs ? C'est un secret que je n'ai jamais percé.

— Tu habites où ?

— La région parisienne...

— Et toi ?

— Pareil, la banlieue, soufflais-je, amusé par le ton de conspirateur que nous prenions.

— Eh bien vous allez vous revoir ! François va te donner son 06.

— Bien entendu... J'ai très envie de te retrouver...

Il y eut de l'incrédulité dans les yeux d'Arnaud puis, à travers les sanglots contenus, son visage s’éclaira du plus joli des sourires. Aucun garçon n’est laid quand il sourit.
Plus tard nous regardâmes, les jumeaux et moi, s’éloigner la voiture d’où s’échappait une main agitée en signe "d'au revoir" et non pas d'adieu.

— Bon, tu restes combien de temps ? demanda Yannick.

— Je ne sais pas, trois jours…

— Parfait, compléta Yoann, mais pas d’erreur, hein, nous ne sommes pas des Arnaud.

— Ça je l’ai compris. Tout juste de petits allumeurs.

 

— Eh, il faut bien remplir l’hôtel ! " Fin  

FrançoisT  L'auberge des garçons miroirs

 

    Ci-desssous, ce  Fake  convient-il pour représenter Arnaud ? peut-être, mais c'est une merveille au lit ! Personne n'est laid. Seriez-vous partant pour une nuit avec lui ? ?  

D'après ce récit "Aucun garçon n'est laid quand il sourit"

Voir les récits de François T dans Gai-eros : 

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cat%C3%A9gorie:Auteur:_Fran%C3%A7ois_T.   

 

 

 

Par FRANCOIS T - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 25 mai 7 25 /05 /Mai 06:40

 

 

    

 

Voilà Brandon, c'est mon plus jeune frère....Il est arrogant, grossier, hétéro et il déteste les "fags", les pédés comme il dit. Il y a deux semaines, il a découvert le mot de passe de mon compte sur mon ordi et depuis il sait tout. Un mot de lui et Pa' me tue ! Maintenant je dois l'appeler Monsieur ou "Maître". Tous les jours je dois lécher ses chaussures deégueulases et ses pieds puants. Maintenant tous ses devoirs scolaires : pour une note inférieure à A je suis battu. Je lui achète aussi bière et cigarettes. J'adore mon frère !!! .

 

 

 

skinnyfaggots: holy shit… :)

Il se dit taureau !

 

  bullythefag: Zack and Ethan were brothers. Zack, the older one, had always been the dominant one, at times even a bit of a bully. Their parents always thought it was just normal older brother/younger brother stuff and figured they’d grow out of it eventually. Earlier that summer he walked in on Ethan giving his best friend a blow job. Zack had long suspected his little brother was a fag so it didn’t come as a huge surprise, although he would rather not have found out about it like that. Zack was a total jock and he couldn’t stand fags. He didn’t really care what they did, he just thought they should stay in the closet. He really didn’t get why anyone thought wanting to suck another dude’s dick was something to have a parade about. He was determined to make sure Ethan knew his place and didn’t get any ideas about being equal to straight guys. When they were around their parents, Zack treated Ethan like nothing had changed. When they weren’t, he bullied him relentlessly. He told Ethan that if he complained about it he would tell their parents and everyone at school about what he had seen him doing. The best part was when their parents went away for a month and left Zack in charge. You should have seen the look on Ethan’s face when their parents made that announcement at dinner. . 

  ça arrive qu'il me ligotte et me fesse

  .

 

  Il me fait baiser et regarde en me traitant de chienne !

 

   

 

Il surveille et contrôle la pénétration

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ainsi que la fécondation

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il affole mes appétits

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Par x-tra - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 13 mai 2 13 /05 /Mai 00:45

 

 

imaginations...

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fraternityrow: aplethoraofmen: Glee Club :)

 

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à partir d'un moment le rêve compte tout autant que l'expérience

fraternityrow: those smiles make me think they might have had sex for the first time last night :)

 

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Par benkinnison - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 14:45

  Le patron s'appelle Bruno...prêt à me céder à un client...

je me livre à vous comme je me suis donné à eux... 

  Le patron est là. Seul. Debout devant moi. C’est enfin le moment, où tout peut se décider, où chacun de nous va dévoiler son jeu. Et c’est à lui de commencer. Je suis toujours assis sur le comptoir, mon verre à la main, face à lui. Il me regarde. Comme s’Il n’arrivait pas à se décider. Comme s’Il ne savait pas par où commencer. Comme s’Il hésitait, comme s’Il avait peur. Il sourit légèrement puis en me regardant dans les yeux me dit simplement : “T’es une vraie petite salope toi, pas vrai ?”

“Un ami est venu me rendre visite. Il t’a croisé au bar, Il a très envie de toi. - Qui est-ce ? - Chhh… Ne pose pas de question, d’accord ? - … - D’accord ?” Comme je fais mine de me retourner, Il m'en empêche. “Tu es d’accord ? insiste-t-il -

…je réponds  - ouihhh. La voix empreinte d'émotion”
Mais j’en tremble presque. De peur ? Ou d’excitation. A ce point, je ne sais plus. 

 

 

- Chhh… c'est un ami, tu le connais aussi.

J’entends du bruit derrière moi. Des pas qui s’approchent, le bruissement de vêtements qu’on défait. Montée d’adrénaline. Des mains se posent sur mes fesses. Caresses. Mon dos. Mes seins. Plus rien. Le patron a reposé mon visage contre le comptoir. Une main posée sur mes cheveux Il regarde l’autre.

 

    

Douleur fulgurante. Il m’a frappé. Sur les fesses. Du plat de la main, il m’a frappé. Et il recommence. Encore et encore. Chaque fois, mon corps bute contre le bois du bar et m’arrache des cris aigus. Je ne cherche pas à les retenir. Je connais ce genre d’hommes, je sais que ça l’excite. J’ai mal mais c’est supportable. Il retient ses coups. Mais continue. Encore. Encore. Ça brûle. Je serre les dents. before, during and after. I&#8217;d love to be whipped and punished
Je n’aime pas ça. Il ne s’arrêtera que quand mes fesses auront atteint la teinte recherchée. Un rouge vif. Luisant. Il ne me touche pas. Sauf du plat de sa main. Il frappe. Encore. Encore. Les larmes commencent à monter. Je ferme les yeux. Le patron, caresse mes cheveux. Et l’autre continue. J’ai l’impression que ça dure depuis de longues minutes déjà. Et il continue. Et cette fois, je pleure tout à fait. J’ai arrêté de crier et ne pousse plus que quelques gémissements.

Et puis il s’arrête. Enfin. Je sens qu’il approche son sexe de mon orifice. Je ne suis plus du tout excité maintenant. Il me pénètre. Brutalement. Profondément. M’arrachant à nouveau des cris. Il commence un lent et profond va et vient. Je ens et ne vois pas. Dans ma tête j'imagine des images en gros plan  Son sexe me paraît épais, je me sens déchiré.

eatsuckfuck: torontojock: (via poztony, poztony, bb-ironflat) you watch it go in and out real good, when it gets nice and juicy you can taste it(via torontojock)(via eatsuckfuck) The glow in his eyes, as he watches his father fuck his twin brother, is just, priceless! Je me dédouble en pensée ...j'imagine en gros plan son gros sexe me pénétrer

Et il accélère. Il me baise fort. J’ai mal mais la situation m’excite et je commence à y prendre plaisir. Je plonge mon regard voilé dans celui du patron. Il me dévisage, guette le froncement de mes sourcils, ma bouche qui se déforme dans l’étreinte. Je ne le quitte pas des yeux. C’est comme si c'était avec lui que je baise vraiment. L’autre continue à me  pilonner tantôt plus vite et tantôt langoureusement, tandis qu’il caresse doucement mes cheveux. Enfin Il m’embrasse à pleine bouche. Je le ventouse et m’accroche à sa bouche comme tout à l’heure à sa bite, comme un naufragé  

 

Le voilà qui s’arrête. Il se retire. Je sens qu’il maintient mes fesses fermement écartées tandis que sa langue s’approche de mon trou. Il la glisse doucement sur le haut de mes cuisses. La caresse est douce alors que mon cul me brûle. Il remonte lentement. Je sens mon anneau se gonfler d’excitation quand il s’y pose délicatement. Je tressaille. Il lape. Il fait ça bien. C’est rare, des hommes qui sachent me prendre. Comme ça. C’est… si bon. Je suis totalement immobilisé. Mon torse contre le bar, mon visage dans Ses mains, mes yeux dans les Siens. Mes jambes maintenues dans les mains de l’autre, à la merci de la jouissance. Qui monte. Tranquillement. Sans un faux mouvement. Est-ce que ? Oui. Il glisse une main vers mes fesses. Il va le faire. Il glisse un doigt dans mon cul. S’il continue, c’est sûr je vais jouir.

Mais il s’arrête. Se relève. Son doigt toujours en bonne place. De l’autre main, il continue de caresser ma verge. Je sens mon anus se dilater progressivement. Est-ce qu’il va... ? Je crois qu’il va le faire. Il crache.iammegadaddyissues: After all of Daddy’s guests have satiated themselves with my worn-out hole, when i’ve been fucked so long and hard and deep that i can no longer keep my pussy closed … that’s when Daddy takes His pleasures. Daddy loves a wet, sloppy, loose hole. As for me, i’m too exhausted and sore to move.

Je sens que son doigt glisse, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. Je veux qu’il le fasse. Je gémis. J’ai envie de lui crier de le faire. Mais. Ce n’est pas mon rôle. J’attends. C’est ce que je dois faire. Il prend son temps. Je crois qu’il a senti mon impatience. Il veut me torturer un peu. C’est son rôle, à lui. Et enfin… il m’encule.
J’ai peur qu’il me fasse mal mais je suis tellement excité que je doute que ça puisse arriver. Je sens enfin sa pine. Dans mon cul. Il pénètre lentement mais avec assurance. En moins d’une minute il est chez lui. "Hold him tight" said Uncle Ben as he kept pushing his fat 8 inch thick dick in my boy hole. Uncle Blake tightened his grip on my wrists as he watched his brother pushing his deep into their nephew&#8217;s boy hole. His rock hard dick twitched with anticipation as he too will bury his dick deep into the boy&#8217;s pussy. Held under their weight the boy squealed like a pig as he thought of the moment when his father asked his brothers to fuck the gay out of his son. Sa main toujours sur mon sexe. La langue du patronqui me maintient et que je suce. Je suis plein. Et heureux. Je crois qu’Il commence à se branler. Et l’autre accélère. Accélère encore. Si ma bouche n’était pas obstruée, je hurlerais pour de bon. Mon plaisir monte et monte. A ce moment, la seule chose que je redoute c’est qu’il s’arrête. Je vais jouir. Je me prends à rêver qu’il jouisse dans mon cul. C’est tellement excitant.
C’est si bon, tout ce qu’il y’a dans ma tête c’est “Mon dieu que j’aime me faire enculer !” L’autre garde le rythme, ne cesse pas le va et vient sur ma queue et… je jouis. Le patron retire sa langue de ma bouche et alors je me mets à crier si fort qu’on doit m’entendre de la rue. Je sens que mes jambes vont se dérober. L’autre me maintient d’une main, il s’immobilise, je l’entends grogner. Il tremble. Je tremble. Il a déchargé dans mon cul. Je lui en suis… très reconnaissant. Ce sentiment me surprend moi-même. Il reste un moment sans bouger. Puis, quand il se retire, je me sens humide entre les cuisses.

It was sunday and Dan was incharge of the house and their three sons. His wife had gone to her parent’s house with their two girls and won’t be back till next week. Last month dan and his friend fucked his oldest boy in the attic. That day the boy spoke back to his father in front of his friend and he needed to be taught a lesson. It was afternoon and his three sons (oldest 19 and other two younger than him) were playing in the living room. Dan was already down with his 5th beer. He came into the living room holding his 6th bottle of beer and said, “Hey billy, stop playing with your brothers and come upstairs in the attic with me.” Billy got nervous and asked, “Why?” not looking straight in his father’s eyes. "I need some fixing to do.", said dan as he adjuated his hard-on in his jeans. "I don’t want to. Can’t you do it yourself?" said billy as he pushed his fingers deep into the rug they were all sitting on. The other two boys avoided eye contact with anyone and kept staring at the rug. "Get up and come upstairs, I won’t ask again." he said as he started climbing the stairs. He looked back and billy was still sitting on the rug. "If you are not in the attic in 2 minutes, I will do that fixing right in front of your brothers." he said. He looked at the boy and knew that he would follow him up to the attic. He took another sip from his bottle. Billy was now standing at the base of the stairs. Go get me another beer from the fridge and come up. He looked at the other boys and said, “Your brother and I are working in the attic, don’t come upstairs. Just sit here and play.” The boys nodded their head as fast as they could. Billy climbed the stairs slowly, making a squeeking sound on the wooden stairs with each step. His dad was already naked and leaning against the wall sipping the last few drops from the bottle. Billy came few steps inside and stood in the middle of the attic. His dad walked past him and closed the door. He came behind the boy. His face an inch away from his neck. Billy could feel the heavy breathing down his neck and the smell of alcohol. Somehow unknown to him, his own cock started to get harden. His father took the beer bottle from his hands and it opened making a *pop* sound. He came in front of billy, his hard 8 inch dick swinging and poking billy’s front. “Your lips are just like your mother’s”, he said as he moved his fingers and thumb roughly on the boy’s lips. After two hours Dan came down with his shirt hanging on his shoulders, all sweaty, his jeans just hanging by the waist, zipped but unbuttoned. He looked at the boys who were still sitting on the rug, silent and avoiding eye contact with him. “You boys hungry? Want me to make you some burgers?” The boys nodded vigorously. “Come on, let’s go in the back and start that grill.” said dan and he opened the back door. The boys rushed after their daddy in the backyard. Once they were gone, billy came down from the attic slowly. He was start naked and holding torn pieces of what earlier happened to be his clothes. The stairs still made that squeeking sound, sticky liquid leaked from his buttocks down to his legs as he walked. His own dick was still amazingly semi-hard. From the living room he saw his dad, shirtless, flipping burgers on the grill. He stood in the living room as he looked at his body admiring his shoulders as more and more cum leaked and travelled down his own leg on to the rug.

Je suis haletant, les larmes aux yeux. Le patron m’embrasse. Essuie mes larmes. Tandis que l’autre se rhabille et sort. Quand j’entends la porte claquer, je me laisse glisser sur le carrelage froid. Il me rejoint. S’assoit à mes côtés et me prend dans ses bras. Il caresse mes cheveux, mes épaules, mon ventre. Après toute cette chevauchée sauvage, j’ai tellement besoin d’un câlin. Et c’est si rassurant de savoir qu’Il sait ça. Nous restons comme ça de longues minutes.

Et puis il se relève et m’attrape par le bras. Il me présente sa bite et il est temps pour moi de lui marquer ma gratitude.  Je suis épuisé mais tellement reconnaissant que je n’aurai pas de mal à trouver l’énergie pour le satisfaire. Il a perdu son érection. Je le prends donc tout doucement dans ma bouche. Je titille son gland avec ma langue, remplis ma bouche avec sa bite. Mais elle ne gonfle pas. Je descends ma bouche sur ses cuisses, l’embrasse, le caresse. Je glisse mes mains sous ses couilles, les soulève légèrement, les lèche, remonte jusqu’à la base de son sexe, le reprends. Mais mes caresses sont sans effet. Je sens qu’il trépigne, qu’il est mal à l’aise. Cela va rendre notre relation plus complexe. Même s'il est comme moi, en attente qu'on le baise, je vais l'aimer, aimer sa complicité. On peut monter des coups tous les deux : les amis sont bien plus fidèles que les amants. A lui je m'en remets en confiance. Il pourrait m'en demander plus...
Tout à coup il me soulève et me serre contre lui. Alors que je pose sur lui un regard interrogateur il me dit “Non, mais… T’es pas un garçon qu’on baise, toi. T’es un mec dont on tombe amoureux.”

 

 

 

 

 

Par Jo - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 18:13

et après Qui ça dérange ? 

Gigolo se faisant défoncer le fion .
HUMMMMH WHAT ELSE ?

  WHO CARES ? Tout le monde s'en fout !

  I'm just a gigolo  everywhere I go,
People know the part I'm playin'.
Pay for every dance, sellin' each romance,
Ooohh what they're sayin'?
There will come a day, when youth will pass away,
What will they say about me?
When the end comes I know, there was just a gigolo's
Life goes on without me.


I 'm just a gigolo, everywhere I go,
People know the part I'm playin'.
Pay for every dance, sellin' each romance,
Ooohh what they're sayin'?
And there will come a day and youth will pass away,
What will they say about me?
When the end comes I know, there was just a gigolo's
Life goes on without me.


'Coz I... Ain't got nobody and there's
Nobody cares for me, there's
Nobody cares for me
I'm so sad and lonely, sad and lonely, sad and lonely
Won't some sweet mama come and take a chance with me?
Cause I ain't so bad.

I... Ain't got nobody and there's
Nobody cares for me there's
Nobody cares for me, nobody cares for me, nobody cares for me
 

Par gaycasting - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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