Partager l'article ! IL S'AGIT D'UN BOUI-BOUI BIEN TRANQUILLE...: Le patron s'appelle Bruno...prêt à me céder à un client... je me livre à ...
Le patron s'appelle Bruno...prêt à me céder à un client...
je me livre à vous comme je me suis donné à eux...
Le patron est là. Seul. Debout devant moi. C’est enfin le moment, où tout peut se décider, où chacun de nous va dévoiler son jeu. Et c’est à lui de commencer. Je suis toujours assis sur le comptoir, mon verre à la main, face à lui. Il me regarde. Comme s’Il n’arrivait pas à se décider. Comme s’Il ne savait pas par où commencer. Comme s’Il hésitait, comme s’Il avait peur. Il sourit légèrement puis en me regardant dans les yeux me dit simplement : “T’es une vraie petite salope toi, pas vrai ?”
“Un ami est venu me rendre visite. Il t’a croisé au bar, Il a très envie de toi. - Qui est-ce ? - Chhh… Ne pose pas de question, d’accord ? - … - D’accord ?” Comme je fais mine de me retourner, Il m'en empêche. “Tu es d’accord ? insiste-t-il -
…je réponds - ouihhh. La voix empreinte d'émotion”
Mais j’en tremble presque. De peur ? Ou d’excitation. A ce point, je ne sais plus.
- Chhh… c'est un ami, tu le connais aussi.
J’entends du bruit derrière moi. Des pas qui s’approchent, le bruissement de vêtements qu’on défait. Montée d’adrénaline. Des mains se posent sur mes fesses. Caresses. Mon dos. Mes seins. Plus rien. Le patron a reposé mon visage contre le comptoir. Une main posée sur mes cheveux Il regarde l’autre.
Douleur fulgurante. Il m’a frappé. Sur les fesses. Du plat de la main, il m’a frappé. Et il recommence. Encore et encore.
Chaque fois, mon corps bute contre le bois du bar et m’arrache des cris aigus. Je ne cherche pas à les retenir. Je connais ce genre d’hommes, je sais que ça l’excite. J’ai mal mais c’est
supportable. Il retient ses coups. Mais continue. Encore. Encore. Ça brûle. Je serre les dents.
Je n’aime pas ça. Il ne s’arrêtera que quand mes fesses auront atteint la teinte recherchée. Un rouge vif. Luisant. Il ne me touche pas. Sauf du plat de sa main. Il frappe. Encore. Encore. Les
larmes commencent à monter. Je ferme les yeux. Le patron, caresse mes cheveux. Et l’autre continue. J’ai l’impression que ça dure depuis de longues minutes déjà. Et il continue. Et cette fois,
je pleure tout à fait. J’ai arrêté de crier et ne pousse plus que quelques gémissements.
Et puis il s’arrête. Enfin. Je sens qu’il approche son sexe de mon orifice. Je ne suis plus du tout excité maintenant. Il me pénètre. Brutalement. Profondément. M’arrachant à nouveau des cris. Il commence un lent et profond va et vient. Je ens et ne vois pas. Dans ma tête j'imagine des images en gros plan Son sexe me paraît épais, je me sens déchiré.
Je me dédouble en pensée ...j'imagine en gros plan son gros sexe me pénétrer
Et il accélère. Il me baise fort. J’ai mal mais la situation m’excite et je commence à y prendre plaisir. Je plonge mon regard voilé dans celui du patron. Il me dévisage, guette le froncement de mes sourcils, ma bouche qui se déforme dans l’étreinte. Je ne le quitte pas des yeux. C’est comme si c'était avec lui que je baise vraiment. L’autre continue à me pilonner tantôt plus vite et tantôt langoureusement, tandis qu’il caresse doucement mes cheveux. Enfin Il m’embrasse à pleine bouche. Je le ventouse et m’accroche à sa bouche comme tout à l’heure à sa bite, comme un naufragé
Le voilà qui s’arrête. Il se retire. Je sens qu’il maintient mes fesses fermement écartées tandis que sa langue s’approche de mon trou. Il la glisse doucement sur le haut de mes cuisses. La caresse est douce alors que mon cul me brûle. Il remonte lentement. Je sens mon anneau se gonfler d’excitation quand il s’y pose délicatement. Je tressaille. Il lape. Il fait ça bien. C’est rare, des hommes qui sachent me prendre. Comme ça. C’est… si bon. Je suis totalement immobilisé. Mon torse contre le bar, mon visage dans Ses mains, mes yeux dans les Siens. Mes jambes maintenues dans les mains de l’autre, à la merci de la jouissance. Qui monte. Tranquillement. Sans un faux mouvement. Est-ce que ? Oui. Il glisse une main vers mes fesses. Il va le faire. Il glisse un doigt dans mon cul. S’il continue, c’est sûr je vais jouir.
Mais il s’arrête. Se relève. Son doigt toujours en bonne place. De l’autre main, il continue de caresser ma verge. Je sens mon anus se dilater progressivement. Est-ce qu’il va... ? Je crois qu’il va le faire. Il crache.
Je sens que son doigt glisse, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. Je veux qu’il le fasse. Je gémis. J’ai envie de
lui crier de le faire. Mais. Ce n’est pas mon rôle. J’attends. C’est ce que je dois faire. Il prend son temps. Je crois qu’il a senti mon impatience. Il veut me torturer un peu. C’est son rôle, à
lui. Et enfin… il m’encule.
J’ai peur qu’il me fasse mal mais je suis tellement excité que je doute que ça puisse arriver. Je sens enfin sa pine. Dans mon cul. Il pénètre lentement mais avec assurance. En moins d’une minute
il est chez lui. Sa
main toujours sur mon sexe. La langue du patronqui me maintient et que je suce. Je suis plein. Et heureux. Je crois qu’Il commence à se branler. Et l’autre accélère. Accélère encore. Si ma bouche
n’était pas obstruée, je hurlerais pour de bon. Mon plaisir monte et monte. A ce moment, la seule chose que je redoute c’est qu’il s’arrête. Je vais jouir. Je me prends à rêver qu’il jouisse dans
mon cul. C’est tellement excitant.
C’est si bon, tout ce qu’il y’a dans ma tête c’est “Mon dieu que j’aime me faire enculer !” L’autre garde le rythme, ne cesse pas le va et vient sur ma queue et… je jouis. Le patron retire sa
langue de ma bouche et alors je me mets à crier si fort qu’on doit m’entendre de la rue. Je sens que mes jambes vont se dérober. L’autre me maintient d’une main, il s’immobilise, je l’entends
grogner. Il tremble. Je tremble. Il a déchargé dans mon cul. Je lui en suis… très reconnaissant. Ce sentiment me surprend moi-même. Il reste un moment sans bouger. Puis, quand il se retire, je me
sens humide entre les cuisses.
Je suis haletant, les larmes aux yeux. Le patron m’embrasse. Essuie mes larmes. Tandis que l’autre se rhabille et sort. Quand j’entends la porte claquer, je me laisse glisser sur le carrelage froid. Il me rejoint. S’assoit à mes côtés et me prend dans ses bras. Il caresse mes cheveux, mes épaules, mon ventre. Après toute cette chevauchée sauvage, j’ai tellement besoin d’un câlin. Et c’est si rassurant de savoir qu’Il sait ça. Nous restons comme ça de longues minutes.
Et puis il se relève et m’attrape par le bras. Il me présente sa bite et il est temps pour moi de lui marquer ma gratitude.
Je suis épuisé mais tellement reconnaissant que je n’aurai pas de mal à trouver l’énergie pour le satisfaire. Il a perdu son érection. Je le prends donc tout doucement dans ma bouche. Je
titille son gland avec ma langue, remplis ma bouche avec sa bite. Mais elle ne gonfle pas. Je descends ma bouche sur ses cuisses, l’embrasse, le caresse. Je glisse mes mains sous ses couilles,
les soulève légèrement, les lèche, remonte jusqu’à la base de son sexe, le reprends. Mais mes caresses sont sans effet. Je sens qu’il trépigne, qu’il est mal à l’aise. Cela va rendre notre
relation plus complexe. Même s'il est comme moi, en attente qu'on le baise, je vais l'aimer, aimer sa complicité. On peut monter des coups tous les deux : les amis sont bien plus fidèles que les
amants. A lui je m'en remets en confiance. Il pourrait m'en demander plus...
Tout à coup il me soulève et me serre contre lui. Alors que je pose sur lui un regard interrogateur il me dit “Non, mais… T’es pas un garçon qu’on baise, toi. T’es un mec dont on tombe
amoureux.”
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