Mercredi 29 novembre 3 29 /11 /Nov 07:59

débarrassez-vous de l'idée que le cul c'est réservé à la merde. Eux ont franchi le pas !  

  qu'est-ce qui peut former les  éléments pour un ménage homo durable à trois ?

Un passif peut avec bonheur et tendresse jouer le trait d'union ...  

 

 

 

 

 

 

 

 

"Mon souffle de taireau..."

 

  cette photo on ne la comprend qu'après une observation attentive 


COMMENTAIRE :

Par JAMES - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 29 novembre 3 29 /11 /Nov 06:35

ALLEZ ! parle-nous en français...à l'oreille

 

ça devrait plaire cette avant-première promise aux oscars

Ajoutée le 1 août 2017


APPELEZ-MOI PAR VOTRE NOM Bande annonce officielle (2017) Armie Hammer Drame Movie HD


LES LIEUX : Été de 1983, Italie du Nord. Un Américain-Italien est amoureux d'un étudiant américain qui vient étudier et vivre avec sa famille. Ensemble, ils partagent un été inoubliable rempli de musique, de nourriture et de romance qui les changeront pour toujours.

CAST: Armie Hammer, Timothée Chalamet, Michael Stuhlbarg

LE LIVRE : Quand un gay devine par son intuition que l'être adulé est lui aussi gay, il dit "Y a-t-il quelque chose que tu ignores encore ? Tu sais tout ! " comme on ajouterait volontiers  "tu as toujours su ! "

 "Plus tard ou jamais", André Aciman

Commentaire Publié sur le site  CULTURE ET DEBATS en 2008 par Jean-Yves

                                                                                                                       

Le titre français chante comme le refrain perdu d'une comptine mélancolique ; le titre original « Call me by your name » [Appelle-moi par ton nom] annonce toute une jouissance.


C'est l'histoire d'une passion, durant un été, entre un lycéen italien brillant, Élio, et un tout jeune professeur américain de philosophie, Oliver, qui vient réviser la traduction d'un ouvrage qu'il prépare. écit banal pensera-t-on (les amours adolescentes ne sont pas un sujet nouveau) et pourtant celui-ci communique un sentiment de perfection car rares sont les auteurs qui savent capter, un passé obsédant, à distance tout en préservant sa force vive.    

« Plus tard ou jamais » est le réceptacle – quinze ans plus tard – de la mémoire amoureuse exaltée d'Élio où s'entrechoquent son présent solitaire, secret et cet été si singulier.  

Dans sa tentative de retrouver les moments avec Oliver, le narrateur, Élio, parcourt les lieux privilégiés, emblématiques de sa passion arrêtée par le retour de son amant dans son pays.  Élio raconte-t-il pour glorifier le souvenir de ce moment dont il aimerait retrouver les composantes ? Ce qui paraît incontestable, c'est que sa recherche des traces amoureuses dévoile le flux de son identité bien plus véridique que les seuls faits et gestes pourraient le montrer. Autant dire que la fiction (interrogation étonnée de cette aventure qui semble être née de rien) qu'Élio se fait, se nourrit de sa solitude et de ce qui est au cœur de toute vie : la fuite du temps et la tentation de l'éternité.        


Comment ne pas penser au poète, William Cliff ? : « C'est que depuis bien trop longtemps / Je te raconte ces histoires / toi que j'attends obstinément / sans que la honte ou la mémoire / enfin me montre que le temps / ne me rapporte en ses bagages / que du vent. »   Avec cette conclusion, que la mémoire d'un tel amour, malgré la force des mots, ne peut supplanter la mort.        


Après de courtes retrouvailles, quinze ans après cet été, Élio devine qu'il ne pourra ni revivre ni se défaire de son passé. Pour circonscrire un désir qui dépasse des frontières toujours rêvées, faut-il faire de sa vie une éternelle nostalgie en se remémorant sans cesse les moments bénis ?¤ Éditions de l'Olivier, Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean-Pierre Aoustin, 2008, ISBN : 9782879295756

 


commentaire : "ça va plaire à toutes les générations"  (Tempus Fugit )

 


Par RANGéDESVOITURES - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 22:28

un garçon qui rêve...

 

un homme qui découvre ses instincts profonds ...

 

les voix chuchotées réussissent si bien (Etienne Daho, Julien Doré...) et là...Sufjan Stevens

le piano aussi est génial

The mystery of love  Sufjan Stevens

Oh, to see without my eyes
The first time that you kissed me
Boundless by the time I cried
I built your walls around me
White noise, what an awful sound
Fumbling by Rogue River
Feel my feet above the ground
Hand of God, deliver me
Oh, être capable de voir sans mes yeux
La première fois que tu m'as embrassé
Sans repères au moment où je pleure
Tu étais celui qui me protégeait
La dissonance, quelle musique désagréale
Je me promène le long du Rogue
Mes pieds ne touchent plus le sol
Abandonne-moi ici, Seigneur

Oh, oh woe-oh-woah is me
The first time that you touched me
Oh, will wonders ever cease?
Blessed be the mystery of love
Oh, mais que m'arrive-t-il ? (1)
La première fois que tu m'as effleuré
Oh, ce rêve prendra-t-il fin ?
Loués soient les mystères de l'amour

Lord, I no longer believe
Drowned in living waters
Cursed by the love that I received
From my brother's daughter
Like Hephaestion, who died
Alexander's lover
Now my riverbed has dried
Shall I find no other?
Seigneur, j'ai perdu la foi
Je me noie dans les eaux sacrées (2)
Maudit par l'amour que j'ai reçu
Par la fille de mon frère
Comme Héphestion, qui fit mourir
Alexandre d'amour (3)
Le lit de ma rivière s'est asséché
En qui puis-je croire, désormais ? (4)

Oh, oh woe-oh-woah is me
I'm running like a plover
Now I'm prone to misery
The birthmark on your shoulder reminds me
Oh, mais que m'arrive-t-il ?
Je cours comme un pluvier (5)
Je n'ai que mes yeux pour pleurer
La tache de naissance sur ton épaule
Fait monter des souvenirs en moi

How much sorrow can I take?
Blackbird on my shoulder
And what difference does it make
When this love is over?
Shall I sleep within your bed
River of unhappiness
Hold your hands upon my head
Till I breathe my last breath
Vais-je pouvoir encaisser ce chagrin encore longtemps ?
Un oiseau noir est dessiné sur mon épaule (6)
Et qu'est-ce que ça changera, de toute façon
Quand cet amour ne sera plus ?
Devrais-je dormir dans ton lit ?
Cette rivière de désarroi ?
Pose tes mains sur mon visage
Jusqu'à mon dernier souffle

Oh, oh woe-oh-woah is me
The last time that you touched me
Oh, will wonders ever cease?
Blessed be the mystery of love
Oh, mais que m'arrive-t-il ? (1)
La dernière fois que tu m'as effleuré
Oh, ce rêve prendra-t-il fin ?
Loués soient les mystères de l'amour
__________
(1) Ici, l'expression regroupe deux expressions : 1) woe is me et 2) woah is me. La première exprime le plaisir, la seconde l'envie que ça s'arrête. Cette phrase fait écho au premier baiser (le sentiment partagé éprouvé, entre l'envie de continuer et l'envie que ça s'arrête).

(2) Dans la Bible, les "eaux vives" sont les eaux apportées par Dieu.

(3) La mort d'Héphestion en 324 plonge Alexandre dans une profonde affliction (on dit qu'il est mort de chagrin, peu de temps après). Une tradition historique remontant aux auteurs antiques fait d'Héphaestion l'amant d'Alexandre. (Wikipédia)

(4) La phrase est construite sur un double sens : au début du couplet, l'auteur explique qu'il a perdu la foi (pour la mettre dans son partenaire). Or dans la religion, perdre la foi est un péché. Cette phrase peut dont être comprise de deux manières : d'un côté, va-t-il pouvoir retrouver l'amour ? De l'autre, Dieu sera-t-il miséricordieux ?

(5) Le nom d'un oiseau (référence au fait que ses pieds ne touchent plus le sol).

(6) Allégorie de la tentation.

Vous avez d'autres commentaires ? D'autres interprétations ? N'hésitez pas à m'en faire part dans les commentaires Suf

 
Publié par 21237    le 26 novembre 2017, 12:28.  sur https://www.lacoccinelle.net 

 

 

 

Armie Hammer and Timotheé Chalamet d

 

Image associée

 

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NOTES : Armie Hammer est en train de générer des sympathies pour sa performance dans Call Me By Your Name, mais son rôle dans la romance à thématique gay lui a causé des inimitiés. Et après avoir répondu à une histoire particulièrement minable sur lui-même sur Twitter (Je suis juste un gars qui aime son travail et refuse de faire autre chose que ce qu'il aime faire ...? ") , l'acteur a décidé de supprimer son compte Twitter définitivement


commentaire : "moi c'est la fraîcheur de Thimothée qui me touche et me va droit au coeur" (claudio)

 

 

Par claudio - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 08:40

http://www.gai-eros.org/w/index.php/CumSlut_(4):_L%27Homme

 

Organisation Mondiale de la Santé :Une période de transition critique. L'OMS considère que l'adolescence est la période de croissance et de développement humain qui se situe entre l'enfance et l'âge adulte, entre les âges de 10 et 19 ans.

 Les ados subissent des pressions pour adopter des comportements à haut risque

De nombreux adolescents doivent faire face à des pressions et sont incités à consommer de l’alcool, fumer ou consommer d’autres drogues et avoir des relations sexuelles à un âge précoce, ce qui leur fait courir un risque élevé de traumatismes volontaires ou involontaires, de grossesses non désirées et d’infections sexuellement transmissibles (IST), y compris par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).

Beaucoup connaissent également de nombreux problèmes de santé mentale ou d’adaptation. Les modes de comportement qui s’instaurent au cours de ce processus, tels que la consommation ou la non-consommation de drogues ou la protection ou la non-protection lors des rapports sexuels, peuvent avoir des effets positifs ou négatifs durables sur la santé et le bien-être futurs. De ce fait, au cours de cette période, les adultes ont une possibilité unique d’influencer les jeunes.

Les adolescents se distinguent à la fois des jeunes enfants et des adultes. En particulier, ils ne sont pas entièrement capables de comprendre des concepts complexes ou les relations entre un comportement et ses conséquences, ou bien encore le degré de maîtrise qu’ils ont ou peuvent avoir sur la prise de décisions en matière de santé, y compris s’agissant du comportement sexuel.

Cette inaptitude peut les rendre particulièrement vulnérables à l’exploitation sexuelle ou à des comportements à haut risque. Les lois, les coutumes et les pratiques peuvent aussi influencer les adolescents autrement que les adultes. Par exemple, les lois et les politiques restreignent souvent l’accès des adolescents aux informations et aux services de santé génésique, surtout lorsqu’ils ne sont pas mariés.

En outre, lorsque ces services existent, l’attitude des prestataires vis-à-vis des adolescents qui ont des rapports sexuels constitue souvent un obstacle important à l’utilisation de ces services.

 

 

  Image associée

Age minimum de non-consentement: A quel âge est-on en mesure de dire «non»?

JUSTICE Marlène Schiappa a annoncé en octobre dernier qu'un projet de loi sur les violences sexuelles et sexistes était en préparation. Parmi les pistes de réflexion, la question de l’instauration d’un âge minimum de non-consentement…  

journal 20minutes: (il y a 12 heures 28/11/17) Pendant des mois, les parents d’Emilie*, 14 ans, ont cru qu’elle vivait une romance avec un garçon de 17 ans. Ils avaient bien remarqué que la collégienne avait changé, « qu’elle se prenait pour une femme ». Impossible d’ignorer les cadeaux, les bouquets de fleurs quasiment quotidiens lors des vacances de la Toussaint. Il y a également ce test de grossesse découvert dans la poubelle. « Elle recevait des lettres avec des petits cœurs, des petits chats, on ne pouvait pas se douter qu’il avait 31 ans », lâche le beau-père de la jeune fille, appuyé à la barre du tribunal correctionnel de Fontainebleau, en Seine-et-Marne. C’est par le coup de téléphone, début novembre, de la mère d’un camarade, qu’ils ont découvert que « l’amoureux de 17 ans » était en réalité son professeur de mathématiques.

version gay de cette histoire (fiction):

Introduction(et c'est peu de le dire !!! ) -lol- Résultat de recherche d'images pour "gros point d'interrogation " 

À l’école, alors que j’étais sur la fin de mes xx ans, j’ai eu un faible pour mon professeur de français. Il se nommait Jean Dxxx, 32 ans et j’avais entendu dire qu’il était bisexuel. Apparemment, il n’était pas marié mais plusieurs élèves l’ont vu au cours des années, soit avec différentes femmes, soit avec différents hommes. Ça se jasait dans le coin! Il était très masculin malgré tout - ce n’est pas un homme que l’on pouvait nommer «tapette» disons!

Depuis quelque temps, je rêvais de lui, je voulais qu’il baise mon corps d’adolescent délicat, comme un vrai homme. Mais je ne savais juste pas comment l’approcher. Pour une raison que j’ignore, il m’intimidait plus que n’importe qui. Pourtant, j'en avais vu bien d'autres... Puis, est venu le moment parfait…

Un jour, il nous demanda d’écrire un texte sur notre plus grande passion. Alors que mes camarades de classe écrivaient sur leur groupe de musique, leur actrice ou bien encore sur leur animal préféré, moi, j’ai décidé d’écrire sur un sujet plus particulier: l’Homme (notons le «H» majuscule!)

En regardant les pages de mon texte, on pouvait imaginer simplement que j’écrivais sur l’humanité, les hommes et les femmes de la société qui ont fait avancer l’histoire…

Mais… voici une copie de ce texte que j’ai retranscrit ici spécialement pour vous!

L'Homme

L’Homme

Écrit par Jim(…) pour le professeur Jean Dubé, en date du 7 juin 2000

  "Dans les années 1970, une femme a écrit un essai sur les hommes et comment nous pouvons les définir. Voici le résultat:

* Physiquement, les hommes sont virils, athlétiques, forts, braves et, contrairement aux femmes, ils s’en foutent un peu de leur apparence et de l’âge qui avance. * Leur fonction est de garder la famille en état, de la protéger.

* Sexuellement, ils sont plus agressifs, ont plus d’expériences, et peuvent être célibataires sans que ce soit un réel problème pour leur image.

* Ils sont émotionnellement froids et ne pleurent jamais.

* Intelligemment, ils sont logiques, intellectuels, rationnels, objectifs et pratiques.

* Au niveau interpersonnel, ils sont surtout leaders, dominants, disciplinaires, indépendants, libres et individualistes.

* Finalement, ils peuvent aussi être: ambitieux, agressifs, fiers, égoïstes, confiants, compétitifs et aventureux.

Depuis l’avènement des «hommes roses», nous voyons ces dernières valeurs devenir de plus en plus insignifiantes aux yeux de la gent masculine.

Malgré le fait que j’aime bien la compagnie des hommes roses, j’adore aussi être en présence des Hommes, avec un H majuscule, imposants.

J’aime savoir qu’ils se lèvent le matin, qu’ils prennent une douche, se lavant un corps superbe, parfois se masturbant le sexe gonflé qui ne demande qu’à éjaculer un trop-plein de semence. Mmm… juste à y penser, j’ai la chatte de garçon qui mouille!

Mais ce n’est pas tout! La journée ne fait que commencer! Ensuite, ils vont au travail: il y a les hommes qui mettent ces costumes avec chemise et cravate, ce qui les rend à mes yeux très dominants… Et il y a aussi ceux qui vont travailler dans la construction, avec des bottes, des jeans, des camisoles et, parfois, torse nu! Mmmm ils sont si sexy! Je voudrais toucher leurs muscles, lécher cette peau en sueur…

À la fin du travail, par moment, ils vont au gym s’entraîner: peut-être pas pour devenir Monsieur Univers, mais au moins pour se garder en forme… Croyez-moi, monsieur le professeur, j’aimerais tellement les attendre dans les douches du gym!

Un Homme parmi eux arriverait nu dans les douches et moi je serais déjà sous l’eau, à terre, le corps doux et soumis, n’attendant qu’à être pris dans toutes les positions! Je me placerais à genoux, entre les jambes de l’Homme. Son pénis grossirait au niveau de mon visage innocent pour devenir une belle grosse queue chaude et juteuse. Avec ou sans prépuce, je prendrais entre mes lèvres son gros gland, goûtant le précum délicieux. Je le sucerais comme un bonbon au sucre d’orge, avec ce miel doux qui coulerait dans ma gorge…

Car, comme dans la chanson, moi aussi j’aime les sucettes!

J’en rêve depuis longtemps! Et je réalise mes rêves! J’aime avoir un pénis dans ma bouche, le lécher partout, les couilles et la hampe. Tout toucher pendant que l’Homme s’accote sur le mur, les mains masculines sur ma tête, caressant mes cheveux et poussant pour que je prenne tout dans ma gorge. Il ne ferait qu’obtenir plus de plaisir que sa femme peut lui en donner!

Vous, monsieur le professeur, je suis sûr que vous prendriez plus de plaisir avec moi qu’avec n’importe quelle maîtresse ou amant!

D’ailleurs, ma bouche et ma chatte vous désirent au moment où j’écris ces mots… Je veux d’abord votre pénis dans ma bouche avant que vous me défonciez la rondelle de toutes vos forces!

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"Votre sexe est comment? Sept pouces? Huit? neuf? Avez-vous un gros gland? Est-ce que vous avez beaucoup de précum? Avez-vous des couilles grosses comme des œufs? Votre hampe a-t-elle des veines sous la peau? Êtes-vous circoncis? Aimeriez-vous sentir ma langue entre la peau et le gland?  

Hummm… Mon propre pénis est tellement dur pendant que je vous écris! Je vous regarde de ma chaise, pendant que tout le monde écrit autour de moi. Vous êtes à votre bureau, si beau, si sexy, si masculin… Je ne peux pas me retenir de me toucher…

Je vous veux!!!"

Ainsi s’achevait mon devoir. J’ai donné ma copie au professeur, encore en érection, et je suis sorti de la classe en même temps que tout le monde.

L'acte

Deux jours plus tard, j’avais de nouveau un cours de français. Le prof, au lieu de donner les copies des élèves sur les bureaux, décida de faire venir les jeunes à son bureau plutôt. Étrangement, quelque chose me disait que ma feuille avait un lien avec tout ça.

Comme par hasard, monsieur Dubé me fît venir à son bureau en dernier.

— Félicitation Jim, tu as la plus haute note de la classe.

Je regardais le chiffre: 97%

— Un 100% aurait été un peu louche, rajouta-t-il, tout en dézippant secrètement son pantalon à côté de moi. Aussi, puisque nous gardons toutes les copies de devoir dans un dossier, je serai forcé de ne pas placer ton travail avec ceux des autres élèves. Je dirai que je l’ai perdu, probablement jeté sans faire exprès… Mais, je vais garder ça chez moi, en sécurité!

À ce niveau, sa voix semblait très excitée, tout comme moi, et je voyais maintenant la grosse bosse sous son sous-vêtement. Je pouvais remarquer une tache de précum sur le devant. Il écarta le tissu et sa belle queue sortie du trou.

— Caresse-la…

Je ne me fis pas prier et je me suis mis à la toucher, puis à la masturber pendant que nous faisions semblant de corriger mes feuilles.

— Hummm oui… Tu es très doué, Jim.

— Je sais. Je désirais vous faire une présentation de mes talents.

— Tu peux le faire autant que tu veux…

Le précum coulait entre mes doigts et rendait les mouvements assez glissants. Par moment, il gémissait et il devait cacher les sons par un bruit de gorge. Je le voyais regarder droit devant lui, pour voir si on nous remarquait, mais non. Tous ces idiots qui osaient m'écœurer et me traiter de fif et de tapette ici, à l’école, étaient en train de s’emmerder à travailler, pendant que moi j’étais au paradis avec monsieur le professeur! Ah que j’adore ce pouvoir que j’ai de séduire les hommes et les gars que je veux!

Puis, très vite, j’ai senti sa queue pulser entre mes doigts, devenir très dure! L'homme m'a arrêté la main un instant, pour prolonger le plaisir, et j'ai repris une bonne masturbation pour encore une minute de chaleur. Quand j'ai su que c'était le bon moment, j’ai mis son gros membre plus à l’horizontale, pointant le sol, et, soudain, j’ai vu de longs jets de sperme sortir du gland rouge venir s’écraser sur les souliers du prof, pendant que ce dernier étouffait ses cris de jouissance du mieux qu’il le pouvait.

Lorsque la cloche annonçant la fin des cours sonna au même moment, l’homme et moi avons sursauté pendant que tout le monde se jetait à la sortie comme des animaux, nous laissant seuls. C’est alors que le prof, avec la queue toujours sortie de son pantalon et le gland plein de sperme, se leva et alla verrouiller la porte après avoir enlevé ses souliers, restés sous le bureau.

— Mets-toi à genoux par terre et nettoie le sperme de mes souliers, m’ordonne-t-il.

Pendant que j’agissais, il se mit derrière moi, baissa virilement mon pantalon et vit dans mon petit derrière un buttplug que je gardais en moi depuis le midi.

— Mmmmm… Tu es encore plus salope que je croyais!

Il enleva le jouet sexuel, qui fit un «plop» en sortant de mon anus tout ouvert. De sa main, il prit son sexe et passait le gland sur mes lèvres anales pour les mouiller de son sperme. Puis, sans attendre, il plongea le tout en moi, d’un seul coup, me faisant gémir pendant que ma langue léchait le sperme de ses souliers.

Il me baisa comme un vrai homme préhistorique pendant dix longues et savoureuses minutes! Les couilles poilues frappaient mes fesses enflammées qui en demandaient toujours plus, aux sons de succion humide. Mon corps d’ado se faisait balancer en avant puis arrière pendant qu’il me tenait fermement par mes hanches minces

C’est dans un cri intense qu’il se mit à jouir copieusement en moi. Puis, il se retira et me mit à quatre pattes devant lui pour me frapper et frotter le visage de son sexe encore très dur et pour faire couler un restant de sperme entre mes lèvres. Finalement, il me leva debout et, d’un coup, entra le butt plug de nouveau dans ma chatte, encore avec ce son de succion excitant.

— Tiens! Garde ma semence en toi! Je veux que ton cul se rappelle de mon passage!

Je me suis rhabillé pendant que lui faisait de même. Avant de sortir de la classe, l’homme s’approcha de moi et pencha ma tête au niveau de son sexe à nouveau afin que je vienne lécher la toute dernière goutte de sperme coulant de son gland. Il me fit un clin d’œil et me dit:

— Demain midi, je t’attends ici. Je vais te donner un bon truc chaud à boire avant que tu manges le dîner familial! C’est plein de protéines et bon pour toi!

Il me retourna et frappa mes fesses pendant que je sortais, faisant sursauter agréablement le jouet sexuel en moi…

NOTES : l'inspiration de cet article vient de l'écrit de JIM un canadien pur sucre dont l'écrit fleure bon l'accent québéquois

 http://www.gai-eros.org/w/index.php/CumSlut__(4):_L%27Homme


commentaire :
Par JIM +OMS - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 07:18

 La découverte éblouie du bareback m'incite à faire avec Karl le mélange de nos spermes dans le cul de Jim...chairs contre chair  J'ai un sombre secret, que très peu de gens connaissent… Je baise un mec… En fait, pas juste un mec… C’est un jeune ado de presue 18 ans, qui est mon demi-frère. Cet adolescent est adorable:depuis longtemps il suce les queues et se fait enculer comme si sa vie dépendait du sperme! Apparemment, c’est son père qui l’a initié, y’a quelques mois. Depuis, mon ami Karl et moi, on prend la relève quand son papa ne peut pas le baiser.  

Les premiers temps, je le baisais avec un condom. Pas que nous soyons atteints d’une infection sexuelle, mais dans ma tête de mec, un cul c’est un cul: on s’en sert pour aller à la toilette et c’est tout. Donc l’idée de mettre ma queue dans ce trou me répugnait. Puis, est venu un soir où j’avais cette envie de le baiser comme un fou, pour me rendre compte à la dernière minute que je n’avais plus de condom. Fuck, j’y suis allé pareil et… wouah c’était extra! Bon, je suis conscient des risques, mais je sais que ce p’tit Jim se fait constamment tester (son père en prend bien soin!) et moi je sais que j’ai rien alors…

    Nous sommes à quelques jours de la fin de l'année et je suis plus excité que jamais! Ma grosse queue est dure comme du roc pendant que je suis couché dans le lit de ma chambre chez ma mère. Au début, j’essaye de penser à des filles à gros seins pour m’exciter, mais… seul ce p’tit Jim me revient en tête pour y rester. Je revois en tête sa belle chatte de garçon, toujours bien chaude et toute ouverte pour me recevoir. Je me dis que la prochaine fois, j’aimerais bien le lécher… Mais je me dis, soudain, que je veux cette première fois ce soir, alors que je suis en forme pour ça!  

Je l’appelle donc. Au début je parle à la mère de Jim, puis à mon père, et je lui dis de me passer ma salope (ben j’ai pas dit ça comme ça, mais c’est ce qu’il est pour moi de toute façon). Bien clair et vite, je lui ordonne de se préparer, de se laver bien profondément la chatte et de nous attendre, moi et Karl. Puis, j'appelle ce dernier et lui fais part de mon plan: on avait prévu de double pénétrer Jim un jour... eh bien on va le faire ce soir!

Karl et moi arrivons chez mon père quelques minutes plus tard. Nous jasons avec la famille quelques moments puis nous descendons, prétendument pour aller jouer à un jeu vidéo. Mais nous prenons la direction de la chambre de Jim où la porte est fermée. Sans même cogner, j’entre, déjà avec un début d’érection dans mon pantalon.

Jim est là, nu sur son lit, confortablement étendu sur le dos, se caressant la poitrine. Il met un doigt et un pouce dans sa bouche pour les lécher, puis les met autour d’un mamelon avec lequel il joue tendrement. Cet adolescent est trop pour moi! Sans prendre le temps de me déshabiller, je saute sur le lit et me dirige entre les jambes de Jim, que j’écarte doucement du revers de mes mains masculines. Je vois apparaître devant moi, au creux de son corps et à la lueur de la lumière, sa belle chatte de garçon. Elle me fait fondre!

— Oh Jim…

Je ne finis pas ce que je commençais à dire et je me mets à caresser ses fesses de mes mains. Puis, j’approche dangereusement mes doigts de son trou, dont les muscles sont si excités et prêts à se faire ouvrir par un homme. Je mets un doigt dans ma bouche pour le mouiller sensuellement, et je vais caresser l’anus du petit chéri qui se donne à moi tout en entier. Et j'y entre doucement deux doigts dans ses entrailles serrées.

— Ooouuuhhh… Mmmmm comme c’est chaud…

Derrière moi, Karl se déshabille complètement et va sur le lit, mettre son sexe entre les lèvres de Jim.

— Suce-moi bien, lui ordonne-t-il.

Trop excité, je n’en peux plus. Je penche ma tête entre les jambes et commence à lécher cette chatte qui me tente au maximum. J'essaie d’entrer ma langue dans son trou après avoir tout léché et mouillé. Puis, j’entre trois doigts qui vont l’ouvrir. J’en profite pour lécher les lèvres anales séparées et entrer ma langue dans son trou. Pendant ce temps, je dézippe mon pantalon et en ressors mon pénis bandé à fond.

Je termine d’embrasser l’anus du p’tit Jim, puis je mets ma queue à la hauteur du trou. Sans aucune autre préparation, ni lubrification autre que ma salive, je pousse le gland qui entre, et je pousse encore pour faire entrer la moitié de ma queue. Avant, Jim se mettait toujours un dildo dans le cul, mais cette fois, non. C’est donc très serré et sûrement douloureux pour lui, mais je m’en fous un peu présentement: moi je suis bien et c’est ce qui compte!

Je fais quelques va-et-vient en lui et des larmes lui coulent sur les joues pendant qu’il suce encore Karl, tel un nouveau-né qui désire ardemment obtenir son lait du sein maternel. Mais il ne résiste pas et se laisse faire docilement. De toute façon, je sais qu’il aime être soumis et cela, malgré tout ce que ça implique! J’ai ses jambes sur mes épaules, de belles jambes imberbes de minet et je les embrasse, les lèche. Puis, je lui prends un pied… un très beau pied d’ailleurs… et je fais la même chose. Je fais le tout comme si je marquais mon territoire avec ma salive.

Soudainement, sans trop y penser, je me penche sur lui, ce qui écarte encore plus ses jambes et permet de faire entrer toute ma queue en lui. Pendant qu’il gémit avec la queue de Karl dans la bouche, des larmes lui coulent encore des yeux et de ma langue perverse, je lèche sa joue rougie.

— Regarde-moi dans les yeux, que je lui ordonne.

Je vois ses beaux grands yeux bleus me regarder, soumis. La queue de Karl fait une bosse sous la joue de Jim et je vais la lécher par-dessus la peau, comme s’il s’agissait d’un suçon, pendant que mon ami la maintient en place pour bien sentir ma bouche. À ma propre surprise, je ne m’y arrête pas. Ma langue descend et parcours toute la hampe, évidemment toujours par-dessus la joue, et je me rends jusqu'aux lèvres de Jim. Pour la première fois de ma vie, ma langue frôle la peau d’un pénis. Mais ce n’est pas cela qui m’excite: c’est le fait que je touche les lèvres de Jim qui, elles, sucent mon ami. Cette idée me rend dingue!

Et comme si je ne pouvais pas m’arrêter, de ma main je retire la queue de Karl, toujours pendant que ma langue est collée aux lèvres de ma salope. Lorsque je sens la forme du gland ressortir de sa bouche, puis furtivement toucher ma langue, je jouis presque sans bouger des hanches. Je ressors donc de son cul, d’un coup sec, et, pour la toute première fois encore, me voilà qui me mets à lécher la bouche de ma pute, où, je sais, se trouvent des goûtes de précum de Karl. Et je lui fais un énorme french-kiss sauvage. Lorsque j’arrête, je prends sa tête fortement entre mes mains et le regarde dans les yeux.

— Ouvre la bouche.

Il s’exécute et, à ce moment, je lui crache un bon gros jet de salive épais entre les lèvres, mais il y en a aussi un peu partout sur le nez, le menton et les joues. Je prends alors la queue de Karl bien fermement, assez pour sentir les veines pulser, et la lui remets moi-même dans la bouche et profondément. J’entends alors la gorge de Jim qui s’ouvre et fait un son étrange. Je pense un instant à s’il va être malade, mais non. Alors, je le maintiens en état, pendant que Karl gémit.

— Aaaaah merde! C’est crissement bon, ça!

Mais je le retire:

— Jouis pas tout de suite, oublie pas ce qu’on veut faire!

Très vite, je prends Jim dans mes bras et je me couche sur le dos sur le lit, avec lui assis sur moi, face à moi. Je prends sa bouteille de lubrifiant et je mets le bout dans l’anus directement. Fortement, je pèse sur la bouteille et je remplis son cul. Sans plus attendre, excité comme jamais, je positionne ma queue et je l’encule brutalement, tout d’un coup, du gland jusqu’aux couilles, en mettant ma main sur sa belle gueule d’ange pour ne pas que personne ne l’entende crier dans la maison. J’ai cette envie de violer son intérieur, mais pas seul.

Karl, à son tour, se positionne à quatre pattes derrière Jim. Je sens son gland s’accoter sur la chatte de Jim et sur ma queue en même temps. Puis, lentement, il pénètre lui aussi, doucement. Je sens son sexe frotter contre le mien, étirant les parois anales de plus en plus. De l’eau coule sur mes lèvres, et ce sont les larmes de Jim qui reviennent. Je lèche cette eau salée et on se met à baiser le jeune adolescent ensemble, comme des vrais hommes qui se laissent aller sur une belle petite pute. On l’encule à fond, de long en large, de toutes nos forces viriles et de nos plaisirs égoïstes de mâle. Tous les muscles de nos corps de gars sont bandés comme notre queue et ils s’activent férocement. La sueur nous coule de partout très vite.

J’enlève ma main de sur la bouche de Jim et je penche sa tête vers la mienne pour lui faire un french-kiss bruyant. Puis je le regarde dans les yeux en lui tenant la tête, tout en l’enculant toujours bien profondément et violemment avec mon ami.

— Oui, laisse-toi faire, t’es un bon garçon!

Je lui chuchote cela comme pour le consoler, même si je continue de le baiser à toute vitesse. Je lèche ses lèvres et continue de lui parler:

— Bon garçon… Prends tout dans ta belle chatte délicieuse... Tu aimes ça?

— Oui...

— À quel point?

— J’adore ça!

— Tu aimes nos queues?

— Oui!

— Dis-le...

— J'aime vos grosses queues chaudes...

Sa voix douce est secouée à chacun de nos va-et-vient. Son visage a l’air épuisé et son corps est plus mou qu’à l’habitude, alors que le mien et celui de Karl sont probablement au maximum de notre performance.

— Tu sens bien nos queues dans ton cul, hein?

— Oui, c’est trop bon…

Sa voix est faible. Ça m’excite encore plus de voir qu’on lui fait cet effet, et je l’embrasse encore. Nous arrêtons de le baiser un moment, et je mets sa tête dans le creux de mon épaule pour le faire reposer. Je le sers entre mes bras, puis mes mains parcourent la peau de son dos, puis je les dirige vers ses fesses. Mes doigts touchent les lèvres anales étirées à fond de son anus. Sa chatte est définitivement ravagée par notre passage! Juste à cette idée, je veux tout à coup jouir en lui, l'envahir de mon jus béni.

— Tu veux venir, Karl?

— Ouais j’ai trop envie!

— OK, on y va à pleine puissance!

D’un seul coup, je relève Jim et le maintiens en place en le tenant légèrement par la gorge pendant que nos queues se mettent à le pilonner de nouveau. Karl, lui, lui tire un peu les cheveux en le baisant. Nous sentons la sève monter le long de notre sexe et nous mener tout droit dans les étoiles.

— Aaaaaah fuck!

Je crie sans me retenir, ne pensant plus aux gens dans la maison qui peuvent nous entendre, puis je me dis soudain que je n’ai qu’à donner comme excuse que j’ai perdu un game à notre jeu vidéo. Les cris suivants ne sont que gémissements refoulés entre mes dents serrées, sur ma respiration de taureau. Ma queue grossit encore un peu, pulse de plus en plus, puis elle éjacule une rivière de sperme dans ce superbe cul tout ouvert. C’est suivi par Karl dont je sens les jets chauds éclabousser mon sexe.

Puis, c’est l’effondrement: Karl se retire, et la queue fait un "plop" en ressortant, pour ensuite se coucher à côté de nous. Jim, lui, jouit sur mon ventre sans pouvoir se contrôler. Son anus est tellement dilaté que lorsque j’en ressors, beaucoup de sperme coule de son trou, le long de ses jambes délicates et tout épuisées. Quelques gouttes tombent aussi sur mon ventre. Alors que Jim se couche sur le ventre, fatigué, je prends le sperme avec mes doigts et les remets dans son trou pendant que je lui bécote le cou. Puis, une dernière fois, je mets en lui mon pénis encore à demi bandé pour pousser la semence bien au fond.

Malgré moi, je rebande. Je décide de jouir une deuxième fois, toujours dans son trou ¤ 

  extrait de chroniques de >JIM sur gai-eros  http://www.gai-eros.org/w/index.php/CumSlut__(3):_Double_p%C3%A9n%C3%A9tration

  NOTES  : aucun visuel pour ce texte 


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Par ECRIT PAR JIM Ca - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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