ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric

Samedi 16 juillet 6 16 /07 /Juil 16:40

     ça doit rester un spectacle !

ils se penchent quelquefois sur nos sexes pour les mater de plus près en gros plan; on ne veut pas qu'ils touchent ou participent : on a conscience sue ça fausserait notre couple    

bonermakers: “Look, I was going to jerk off. You were going to jerk off. Why not conserve energy and watch some porn together and really enjoy each other’s company?? ”
      tantôt je suis le dominant tantôt c'est mon pote  

ils se disent bi curieux ou bisex et ils rêvent d'être à la place de l'un de nous mais restent la plupart du temps assis à nous mater...et pour ça ils paient !

     
      ici une sextape de 2015      

09 9 / 2015

 


  voir, voir, voir et qu'on se laisse voir voir voir et TOUT voir ça  ça leur plaît !

 

faut donc qu'on se place pour qu'ils voient BIEN

 

 

ça va loin des fois j'aime pas trop et je demande un supplément de tarif

 

vision de côté, vision de dessus ou de dessous ça va à nos clients on fait chacun de notre mieux et souvent c'est du sport,

 

mais on le fait tant que ça nous plaît ...n'oubliez pas que j'ai l'érection facile, c'est ça qui fait tout

 

 

et pas de chiqué chez-nous : tout est vrai      

     

    gaymanpornblog: “FOLLOW ME FOR MORE: 1. http://www.gaymanfuckblog.tumblr.com 2. http://www.gaycumsluts.tumblr.com 3. http://www.supergaypornblog.tumblr.com 4. http://www.gaymanpornblog.tumblr.com ”

 

 

     

     


 

 

 

Par JULIEN&CEDRIC - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 juillet 5 15 /07 /Juil 15:53

pour le gars, LA TENTATION EST FORTE Prise par surprise  pourrait-elle s'y opposer ?

Vat-il deflorer une étudiante vierge alors qu'il devait seulement  lui faire une anale ?

170504 vues
une étudiante tchèque le suce contre de l'argent. Elle est vierge, il lui propose dela sodomiser  pour la laisser vierge. Pendant qu'il l'encule, il pourrait très bien changer de trou et la déflorer... LA TENTATION EST FORTE Prise par surprise  pourrait-elloe s'y opposer ?
Après une bonne pipe, elle aussi se fait enculer
21135 vues Elle démarre très rapidement quand on la chauffe. Après une bonne pipe, elle se prend le sexe de son partenaire en anal.
Par MOTION - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Lundi 11 juillet 1 11 /07 /Juil 18:03

le 3e ayant sa verge plantée au fond de mon intimité pour bouger ensemble et jouir au rythme des coups de reins de celui qui mènera le bal.     une autre baise trio 2 hommes 1BI et son escort  

 

AssFucking’d sucking

 







 

 

Par AMIBI - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Lundi 11 juillet 1 11 /07 /Juil 17:17

des garçons bien doux et bien sensibles

j'ai chrché chanté par un homme ou un trans

la-prostitution-masculine   MON ANCIEN BLOG   

 

les demandes spéciales -lol-

ACCOMPAGNEMENT A LA FLUTE

on va te payer juste pour te regarder(faire) et se branler

CA VA T'ARRIVER TU VERRAS

 

jockdicks: Active Gay Porn Blog - Following Back All http://jockdicks.tumblr.com

 

  pourquoi et comment il fait "la pute"  

Je ne sais ce qui m'a pris, mais je l'ai suivi, je voulais lui parler, savoir, mais je ne voulais pas lui faire peur. Je l'ai suivi de loin, il a contourné plusieurs pâtés de maison, repassant deux fois aux mêmes endroits. C'était sûr il m'avait vu le suivre.
Dans une rue déserte, il se retourna et me fit face...

 

De longs et puissants jets de sperme s'abattirent dans mon fondement. Il hurlait de plaisir. Je n'aurais pas imaginé qu'il devienne aussi bruyant et grossier. Il a pris son pied. Il resta en moi, puis se retira alors qu'il bandait encore, se présenta devant moi et m'enfonça sa bite dans la bouche.

Les semaines passèrent et plus rien, ni travail, ni rencontre, mes masturbations reprirent. Alors que je ne m'y attendais pas du tout, je suis tombé nez à nez avec Jean-Philippe en pleine rue.
− Bonjour Marc.
− Bonjour Jean-Philippe.
− Tu te promènes ?
− Oui et non, je cherche du boulot.
− Ce n'est que ça : il faut patienter.

Qu'attendais t'il par « que ça ». Je ne savais que pensais. Déjà, il me parlait, c'était pour le moins bizarre.

− J'aimerai te parler, mais pas dans la rue !
− Ou ?
− Tu peux venir ce soir chez moi ?
− Chez toi !
− Oui chez moi, je serai, normalement seul entre 20 et 21 h, si c'est le cas j'attendrais à l'entrée, surtout ne sonne pas. Si tu ne me vois pas à 20h05, c'est qu'il y a du monde, on verra alors plus tard.
− D'accord, pour moi c'est possible.

Je n'en revenais pas, il m'a parlé et de plus il veut que j'aille chez lui, alors que pendant 19 ans je n'y suis jamais allé. Cette affaire me sembla louche. A coup sur l'histoire du parc l'obligeait à me voir. Je devais être prudent, il me plaisait, mais ça ne fait pas tout. De plus c'était notre voisin, et je ne tenais pas à avoir de problème. Pour l'instant, en dehors de mon frère, les parents ne savaient pas que j'étais Gay. Une première approche récemment, me fit conseiller la prudence. Je pensai bien leur dire, mais je voulais avoir mon indépendance financière, donc avoir un appart, ce qui dans l'immédiat n'était envisageable qu'au prix de multiples privations.

Le soir venu, je suis allé à 20h devant son entrée, il m'attendait en jogging.
− Entre, je suis seul pendant une heure. Allons dans ma chambre.
Je l'ai suivi, contrairement a ce que je pensais, nous n'avons pas pénétré dans la maison par l'entrée principale, nous avons fait le tour de la bâtisse, il y avait un escalier en colimaçon, il ouvrit la porte donnant accès à une petite pièce.
− Enlève tes chaussures s'il te plait.
Il fit de même et ouvrit la porte donnant sur sa chambre. Elle n'avait rien a voir avec la mienne, deux fois plus grande, un grand lit en bois ancien, des meubles de style de la moquette et des tapis partout. Il me fit assoir sur un fauteuil, m'offrit une boisson et prit place en face de moi.
− Tu te doutes pourquoi je t'ai demandé de venir ?
Je fis l'innocent.
− Non.
− L'autre soir, tu m'as vu sortir du parc de … ?
− Oui.
− Tu sais ce qui s'y passe ?
− J'ai entendu des choses, mais je ne sais si c'est vrai.
− C'est un lieu de rendez-vous.
− Il y a des filles ?
− Peut être mais surtout des garçons.
− Tu es allé voir un garçon ?
− Oui, j'ai eu une relation avec lui, une seule fois.
− Pourquoi m'en parles-tu ?
− Je voudrais m'assurer que tu n'en parles à personne.
− Je ne vois pas pourquoi, j'en parlerai, c'est ta vie.
− Depuis que je sais que tu m'as vu, je ne sais plus quoi faire. Le soir ou tu m'as vu c'était une prise de contact avec un jeune. On s'est donné rendez vous pour quelques jours plus tard. J'avais envie, il a été honnête, mais j'avais honte de moi.
− Parce que, tu as eu une relation avec le jeune, ou parce que tu aimes les garçons ?
− Je suis attiré par les garçons, mais dans mon milieu, ce n'est pas très bien admis. Quand au jeune je l'ai sodomisé, mais je n'ai pas eu de plaisir particulier. Je lui ai permis de se masturber, peut être qu'il aimait, je l'ai bien payé. Tu sais tout.
− Je te remercie de ta franchise, aussi je me dois d'être franc avec toi, je savais toute l'histoire. Nous n'avons jamais eu de relation de voisinage, même, tu t'es toujours montré hautin, même dédaigneux envers moi. Il y a longtemps que j'en avais pris mon partie. Quand je t'ai vu sortir du parc, j'ai voulu savoir. J'y suis allé plusieurs soir à attendre, quand je t'ai vu je t'ai suivi, j'ai vu ce que tu as fait. Mais ça ne change rien au fait que c'est ta vie. Je peux t'assurer de ma discrétion.
− Tu as tout vu ?
− Oui, je t'ai vu et entendu. Ça c'est passé comme tu as dit. Comme tu as été franc sans chercher à biaiser, je suis honnête avec toi.
− Pourquoi m'as tu surveillé ?
− Simple curiosité, pas dans un esprit de méchanceté, ce n'est pas mon genre. Après t'avoir vu, je me suis dit que même les riches ont des soucis.
− Tu pourrais essayé de me faire chanter, me dénoncer aux parents !
− Tu ne me connais pas, ça se voit, l'argent, j'en ai peu, mais je le gagne honnêtement. De plus, il faudrait prouver que ça a eu lieu, encore que ça je pourrais. Mais je te le redis ce n'est pas mon genre. Tu aimes les garçons ?
− Oui, que les garçons hélas, mais je n'ai eu qu'une relation et tu la connais. Je peux te faire confiance ?
− Oui, je vais te montrer quelque chose et tu comprendras mieux pourquoi tu peux avoir confiance. Comme moi j'attends, ta confiance après ce que tu vas voir.

Je me suis levé, j'ai baissé mon short et mon slip. J'étais debout devant lui le sexe à l'air, mais surtout rasé intégralement.

Il écarquilla les yeux. Je me suis rhabillé.
− Tu te prostitues ?
− Non pas du tout, mais je suis homo et j'assume, mes relations sexuels ne sont que consenties et non lieu qu'avec des personnes avec qui au moins il y a un certain feeling, voir amitié. D'autres critères entre en ligne de compte.
− Pourquoi tu me le dis ?
− Tu es honnête, donc je peux te faire confiance, et ceux-ci peux te rassurer, je suis comme toi. Ne crois pas que ce me sois facile, mes rencontres sont, hélas, rare. Je ne conçois que des relations acceptées par les deux parties. La pratique dépends des désirs de l'un et de l'autre. Il est hors de questions que je paye pour une relation, ce n'est pas une question d'argent, mais uniquement, je pense qu'on ne peux pas avoir de plaisir, autant se masturber, ça fait autant d'effet. D'ailleurs tu en as fait l'amère expérience et pourtant le gamin était mignon.
− C'est vrai, ça a été un fiasco, bien sur j'ai joui, mais en me masturbant aussi. Tu aurais pu le dire sans te montrer a demi nu !
− M'aurais tu cru ?
− En effet, j'aurais été inquiet. Bien évidemment, tu peux être sur de ma discrétion! Je peux te poser une question ?
− Bien sur!
− Pourquoi tu te rases le sexe si tu ne te prostitue pas ?
− Je me rase le sexe et le cul pour deux raisons. Premièrement quand ton partenaire te fait une fellation, qu'il passe sa langue sur ton anus et qu'il te sodomise, il n'y a aucun désagrément avec les poils qui rentrent dans la bouche. Et deuxièmement, les zones rasées s'avèrent être très érogènes, multipliant les plaisirs.
− J'aimerais te poser d'autres questions, accepterais tu de venir m'en parler une autre fois ?
− Si tu veux, ici ?
− Oui, je te tiens au courant, merci pour ta franchise.

Trois quarts d'heures plus tard, je repartais, il m'accompagna jusqu'au portail et me serra la main. Quels progrès en si peu de temps. Son comportement avait changé à mon égard, mais est ce que ça perdurerai ? Qu'est-ce que je voulais, il me plaisait, quels étaient ces gouts. Avait-il envie de moi, quoique là, j'en étais plus certain. D'abord parce qu'il n'avait personne et lorsque je me suis mis nu, il a bandé aussitôt. Et plus simplement comment nous rencontrer sans éveiller les soupçons ?

Il revint tout nu avec un tube à la main.
− Tu veux bien me rendre service, habituellement je le fais tout seul, mais, comme tu es gay, tu connais, j'aimerais que tu me mettes de cette pommade sur ma rondelle et à l'intérieur de mon anus. C'est un antidouleur et un antiseptique. Ça ne te gène pas ?
− Pas du tout, je me lave les mains avant, questions d'hygiène, tu te mets ou ?
− Sur mon lit.
Je suis allé me laver les mains et je l'ai enduit de pommade, son anus était distendu, mais sembla apprécier ce doigt nouveau. Surtout le produit le soulagea.
− Tu fais pareil sur mon gland S'il te plait !
Je l'ai décalotté, lui ai enduit le gland, et refermé le prépuce. Puis je suis allé me laver les mains..
− J'aurais pu le faire tout seul, mais c'était pour me rassurer et être bien sûr que ce n'était pas une relation sexuelle que tu voulais, voire profiter de moi, alors que je suis tout seul. Je pense que tu comprends mes craintes.
− Je comprends ta prudence, mais je t'affirme, que je ne veux que des réponses à des questions que je me pose. Physiquement tu es un beau garçon, même un très beau garçon, mais je ne cherche pas du sexe, plutôt des explications c'est tout. Et je te le redis, si ça te pose problème, je pars dès que tu me le demandes.
− Et si je te demande de te mettre tout nu ?
− Je peux bien sur, ça ne gêne nullement, c'est même logique que tu me vois nu, vu que je te vois. Mais que si je peux prendre une douche, parce que je ne me suis pas lavé de la journée. Et je n'aime pas être sale.
− Pas de souci, tu sais ou est la salle de bains, je te donne le nécessaire.
Je suis revenu lavé et nu.
− Je te propose de manger avec moi, t'as pas mangé ?
− Non.
− On couche ensemble, en tout bien tout honneur, et tu me poses tes questions, ça te va comme plan ?
− Ça me va, je n'ai pas d'obligation.
Nous avons bu l'appétitif, puis nous avons diné ensemble en tête à tête. Une fois tout nettoyé, on s'est couché.
− Tu es le premier mec à coucher ici. Je n'ai jamais couché avec un garçon. ça peut te paraître bizarre, mais c'est la vérité. Je t'écoute ?
− Tu te prostitue depuis longtemps ?
− Un an.
− Tu le fais pour l'argent ?
− Oui et, un peu pour le sexe. Il y a des situations ou je prends mon pied, mais je t'accorde que c'est rare. Hélas le fric en est la première raison. Mon père m'a foutu dehors l'an dernier a 17 ans, parce que je suis un sale PD. Je me suis retrouvé seul, je connaissais le parc et ce qui s'y faisait. Au début ça a été très dur, mais il me fallait vivre. Ici j'ai un toit, un petit loyer, la tranquillité. Donc ça va, je sais il y a des risques de maladie (A l'époque le sida n'existait pas).
− Tout ces mecs ne sont pas propres, pas toujours jeunes, certains ne te payent pas !
− Il n'y en a qu'un qui me paye pas, le grand-père, il vient toute les semaines, mais sa retraite est petite, il me donne du fric trois fois sur quatre et comme il me fait toujours la même chose, je peux lui faire ce plaisir. Je suis un bon samaritain – Il rigola. Des sales, il y en a, tu as vu ce soir quand je me suis rincé la bouche, le mec il avait une queue dégueulasse, mais quand tu donnes ton accord pour une prestation, tu as intérêt à la faire, surtout si le mec est baraqué. Tu risques de prendre une sacré rouste et tu seras obligé de lui faire quand même, voire plus et il ne te paiera pas. Dans ce cas tu essaies de faire le vide dans ta tête et de faire au plus vite. La prochaine fois qu'il viendra je lui dirai non, que j'ai un autre rencard ou je lui laverai la bite avant.
− Et l'âge de tes clients ?
− Curieusement il y a des jeunes, ce sont souvent des mecs qui ont des copains qui les enculent, mais qui refusent l'inverse, alors ils viennent pour se satisfaire dans mon cul. En général il le font bien, j'arrive à prendre mon pied dans ces cas là. Il y a beaucoup d'hommes mariés et des pervers. Ils ont des idées à la con, et je ne veux pas, j'ai eu la chance que ça ne m'arrive qu'une fois, mais un mec m' a défendu.
− Tu pourrais rester plus longtemps et te faire plus de fric ?
− Non trop risqué, il y a les bastonnades anti PD. Quand ça arrive c'est toujours vers 2 – 3 heures du matin, en semaine c'est rare, le risque est plus grand la nuit du vendredi au samedi et du samedi au dimanche au sortir des boîtes. Ils viennent à plusieurs, te foutre une râclée et il te piquent ton fric.
− Ça t'es arrivé ?
− Une fois, ils sont venus, j'étais le premier qu'ils ont rencontré et donc j'allais recevoir les coups, quand un mec leur a dit de laisser tomber parce que j'étais trop jeune : il y en a des plus vicelards plus loin. J'ai reconnu, dans mon « défenseur », un client, comme quoi. Mon voisin a reçu une sacré râclée, il lui ont piqué son fric. J'ai eu de la chance. Je me suis tiré aussitôt. Il ne faut pas compter sur les autres pour te défendre.
− Ce soir j'ai vu une femme !
− Oui elle vient apprendre a faire une fellation, son mec adore, mais elle n'y arrive pas et à mon avis elle n'y arrivera jamais, pour une seule raison, ça la dégoûte et ça c'est quasi insurmontable. Mais elle vient, la première, elle paye, je bande je jouis, pas de souci pour moi.
− La première fois que je t'ai maté, en fait je suivais ton client, car je le connais et je voudrais en savoir plus.
− Comment veux tu que je m'en rappelle, il a fait quelque-chose de particulier ?
− Oui. Il t'a fait baiser ton short, il t'a demandé si tu t'étais lavé le cul. Tu lui a pris la bite dans ta « gueule », c'est le terme qu'il a utilisé. Tu l'as sucé, puis tu t'es tourné, écarté tes fesses. Sans ménagements, il t'a enculé et joui dans ton cul. Quand il s'est retiré, il a mis des doigts dans ton cul et tu as du te masturber. Ensuite, tu lui as nettoyé, la bite et les doigts. Pour te payer, il t'a balancé des billets en disant que c'était la dernière fois. Tu t'en souviens ?
− Oui, il était bizarre comme mec. Notre âge, je l'ai vu une fois avant.
− Qu'avez vous fait ?
− Aussi bizarre que ça paraisse, rien. Il m'a seulement demander de baisser mon short, il a tâté mes couilles, je me suis retourné, il a mis un doigt dans mon cul et c'est tout. Il m'a seulement dit qu'il reviendrait le jour ou tu l'as vu et que je devais avoir le cul propre (Sans sperme), qu'il m'enculerait et voulait connaître le prix. Rien que pour ça il m'a donné des billets et c'est tout. Quand tu l'as vu, tu sais ce qu'il a fait. C'est vrai que ça le dégoûtait, mais il avait trop envie. Il m'a balancé les billets, mais il a été très généreux. C'est souvent le cas des gens qui ont très envie et qui trouvent, après coup, que c'est dégoûtant, ils reviennent rarement, mais ils payent plus, beaucoup plus.
− Tu crois que tu le reverras ?
− Non, ce mec, il veut un mec régulier, c'est évident, mais il ne dois pas pouvoir recevoir, ou il n'a pas les moyens d'entretenir un minet à demeure, ce que j'aimerais qu'il m'arrive un jour.
− Tu aimerais être entretenu ?
− Bien sur, je préfèrerai me taper un seul mec et vivre bien, que de devoir me taper 5 a 6 mecs par soir avec les risques en plus. J'ai soif, pas toi ?
On a bu un verre.
− On dort ?
− OK bonne nuit.

Je couchais avec un mec, un beau mec et j'en n'avais pas envie. J'ai passé une partie de la nuit à réfléchir. Il s'est endormi, c'est lové dans le creux de mon ventre, tel un enfant rassuré.

On s'est réveillé vers 10h du matin. Je bandais comme un âne.
− T'es en forme quand tu te réveilles toi !
− Peut être un rêve érotique.
− J'en faisais partie ?
− Les rêves tu sais ….
− Tu aimerais me la donner dans la bouche, pas comme client, comme un ami ?
A cette idée, il se mit a bander lui aussi.
− En ami tu prends la mienne, et toujours en ami je prends la tienne qui prend du volume.

Nous nous sommes mis tête bêche et nous nous sommes donnés du plaisir, dans une fellation d'amour. Il avait un beau sexe, il se l'était lavé dans la matinée, car j'en senti tout de suite la fraîcheur. Il était à l'origine de mon érection, c'est certain. C'est avec un immense plaisir qu'il a pris ma verge et que j'ai pris la sienne, nos fellations durèrent longtemps. Nous nous sommes vidés l'un dans l'autre avec délectation. Puis nous nous sommes embrassés longuement. Un baiser d'amis, d'amoureux.
− Merci.
− Merci à toi, ta semence je la garde, celle-ci c'est le fruit du plaisir.

Nous sommes restés ensemble jusqu'en début d'après midi, puis je suis parti. Il me fit savoir, deux mois plus tard, qu'il avait un ami qui pourvoyait à tous ses besoins. J'étais heureux pour lui.

J'en savais plus sur Jean-Philippe, et d'un certain coté, j'étais content que la rencontre à laquelle j'avais assisté, n'était qu'une passade. Mais si passade il y a, peut être avais-je un espoir. Depuis que je l'avais vu sortant du parc, je ne l'avais plu revu et j'attendais avec curiosité, notre prochaine rencontre. Serait-il plus causant, ou toujours aussi hautain.

Mais une autre crainte me vint à l'esprit et s'il avait tout bonnement changé d'endroit, dans cette grande ville il y avait plusieurs endroits, plus ou moins discrets et j'avais appris par le môme que l'endroit le plus prisé actuellement était un autre parc en sortie de ville....

   SVP je suis escort, ne m'appelez pas pute    

      

.

 

    
 

J'ai beau protester, il me rétorque : " tu paies un loyer, non ? " ou bien "C'est ma façon de te donner un coup de main" et il me laisse toujours un nombre impressionnant de billets sur la table. Une fois j'ai voulu qu'il les reprenne et il s'est vexé très fort. Vu sa situation je le comprends et on joue finalement sur deux tableaux : l'amour vrai et l'indépendance. C'est peut-être pas plus mal.

 

 

Mon amant (préféré) est aussi le plus fort et le plus doué, il me pistonne sans cesse, il me baise a fond, il me remplit la chatte avec son sexe dur, énorme….c’est au point que j’ai l’impression que je vais jouir sans même toucher à ma bite.

 

Tout le monde peut enculer ou se faire enculer, mais le faire bien, vraiment bien, est un art.
C’est un art que j’ai appris et je perfectionne constamment.(Lui, je ne sais pas où il a appris !!!)

   La préparation est très importante.  

  D’abord la préparation générale
Se faire enculer, c’est assumer son coté passif, féminin. Cela implique qu’il faut savoir séduire le male, « être belle. », « être feminine ». C’est une affaire de détails et de soins réguliers.
Pour ma part, je me rase régulièrement les couilles et le cul, car je veux que mes amants, lorsqu’ils écartent mes fesses, découvrent une belle chatte et pas une masse de poils. Je me rase partiellement le pubis, en laissant un petit triangle mignon et coquin.
Parfois je me rase aussi les aisselles et les jambes. J’ai la chance d’avoir une poitrine lisse , assez dodue et de grands tétons qui pointent bien. On m’a dit que j’ai la poitrine d’une fille adolescente et j’en suis très fier. Mes fesses sont aussi assez sexy. Je suis, somme toute, un mec qui assume volontiers sa nature féminine.
  

 

Ensuite, la préparation immédiate.
2-3 heures avant de faire l’amour, j’aime bien prendre un bain et me nettoyer soigneusement la chatte. Encore une fois je veux que mes amants pénètrent une chatte pomponnée, parfumée, lubrifiée…
Je me fais un lavement, pour être parfaitement propre. Ensuite je me lubrifie avec un gel intime et je me mets un plug, d’abord le petit, ensuite le moyen, et parfois le gros, quand j’attends un amant particulièrement bien doté. Je me promène nu, et me dandine le cul pluggé devant le miroir en admirant mon corps. Je garde le plug dans mon cul pendant un petite heure, au moins, pour m’assouplir la chatte et bien l’ouvrir pour le male que j’attends. Cela m’excite et me fait bander. Je me caresse le corps, surtout les seins, et j’effleure ma queue mais pas plus.

 

Voila, je suis préparé.

 

Je m’habille, en choisissant d’abord le slip que je vais porter. J’ai une grande collection de strings, de différentes couleurs et formes. Je me mets un string assez serré, style brésilien, un peu transparent.. Le string découvre complètement mes fesses assez grandes, rondes et rebondies. Je le sens chatouiller la raie de mon cul, c’est excitant. De plus il met en valeur mon sexe. A travers le tissu semi-transparent, on aperçoit ma bite et mes couilles (qui ne sont pas si petites !).
Ensuite j’enfile un jean serré, un T-shirt noir qui me fait ressortir la poitrine. Je reste pieds nus, c’est plus sensuel.

  Et j’attends mon amant de ce soir…je sais que ce soir, je serai une vraie salope, une chienne en chaleur…  

 

Voilà qu’ il sonne à la porte.

 

Pierre est un grand garçon d’une trentaine d’années, musclé, sportif et il me plaît beaucoup. Il est marie, avec 2 enfants. Je sais qu’il aime sa femme mais il adore coucher avec moi. Je suis en fait sa maîtresse.

 

Je l’embrasse et nous prenons un verre, assis sur le canapé.
Je le sens se détendre. Il est souriant, séduisant. Il a envie de moi, je le sens.

 

Je me lève pour remplir son verre et je prends soin de bouger lentement, lascivement en roulant mes fesses, un tout petit peu. Il me suit du regards et je sens qu’il me déshabille des yeux.

 

Je reviens avec son verre. Je m’installe à son cote, nos jambes se frôlent. Il met la main sur ma cuisse et commence a me la caresser et me la palper. Je caresse son dos, j’ai envie de lui, je l’embrasse. Nos bouches, nos langues se mêlent dans un long baiser. Je suce sa langue, je la sens pénétrer dans ma bouche. Il m’embrasse le cou, me mordille l’oreille.

 

Il retire mon T-shirt et me caresse le dos. Ensuite il commence a me caresser et me tripoter légèrement les seins. Il prend mes tétons entre deux doigts et les serre assez fort. Cela me fait bander et me fait quelque chose dans la chatte. Cela me met vraiment en chaleur.

 

Je retire sa chemise et admire son corps musclé et poilu. J’ouvre sa braguette. Il bande déjà très fort. Je soupèse ses couilles, je les caresse et je prends sa queue dans ma bouche. Mon amant est circoncis et j’adore voir, branler, lécher et sucer une bite circoncise.
J’adore le goût et le parfum de son sexe, cela m’enivre. Je prends sa queue dans ma main, je suce le gland, je le lèche…Ensuite, je lèche ses couilles, j’en prend l’une et après l’autre dans ma bouche, je renifle son entrejambes, je lui fais une rapide feuille de rose, et je reviens a sucer et avaler sa bite…Je continue ainsi pendant une bonne demi-heure, prenant soin de l’exciter au maximum, mais sans le faire jouir…car je garde cela pour plus tard.

 

Il est temps de me déshabiller. Pierre retire mon jean. Je n’ai plus que mon string. Je lui montre mon corps, je sais qu’il aime cela.
Je me promène devant lui en mettant mes jambes en valeur.
Il m’appelle vers lui et me retire doucement le string.

 

Nous sommes maintenant debout, a poil, l’un devant l’autre. Nous nous frottons les queues, et nous nous roulons des pelles. Il me prend dans ses bras, une de ses mains me tripote les seins, l’autre s’insinue entre mes fesses et cherche mon trou. Voila qui me rend fou.

 

Nous nos mettons sur le lit, en 69 et goulûment nous nous suçons les bites. J’ai la sienne, très grosse, dans ma gorge pendant qu’il s’occupe de la mienne. Quelques divines minutes, après quoi, mon amant revient s’occuper de ma chatte. Il bouffe un peu ma chatte. Il a envie de me pénétrer. Je suis prêt a me faire prendre.

 

Je me mets en levrette et avec mes mains j’écarte bien mes fesses et lui montre ma petite chatte étroite de garçon. Pierre commence a me caresser la raie du cul et a me palper le trou. Il rajoute un peu de gel et son doigt s’insinue dans mon cul. Il fait tourner son doigt, pour assouplir mon trou. J’adore cela et je me tortille le derrière. Il met un autre doigt dedans et puis un troisième. Mon trou est maintenant suffisamment élargi pour se faire pénétrer. Je veux sentir sa bite en train de me défoncer le trou.

 

Mon amant se met derrière moi, astique bien sa verge et commence a l’enfoncer. Une petite résistance, un frisson et mon trou s’ouvre pour accueillir sa queue. Je la sens dure et chaude, en train de rentrer doucement …encore quelque secondes et je peux le prendre en entier.

 

Comme je suis en levrette, je regarde entre mes jambes. Derrière mes couilles, je peux voir et sentir les siennes, lourdes et puissantes.
De temps en temps elles effleurent les miennes, merveilleuse sensation.
Pierre commence un mouvement régulier de va et vient dans ma chatte. Je me pâme. Rien de mieux que de sentir un beau male en train de me baiser, de sentir sa queue dure et grosse dans ma chatte. Je me cambre le derrière, de façon a le prendre plus profondément dans ma chatte. Je mets mes mains derrière ses cuisses et le tire vers moi car je veux toute sa bite dans ma chatte, et ses couilles contre les miennes.

 

Un quart d’heure plus tard, nous changeons de position.

 

Je me mets sur le dos , je mets un oreiller sous mon derrière et j’écarte mes jambes.
Mon amant les soulève, les met sur ses épaules…
Ma chatte est déjà bien ouverte, béante même et sa queue me pénètre sans difficulté, a fond. Sa bite est magnifique dans mon cul..
J’adore cette position, car je vois le visage de mon amant et sa passion, et il peut m’embrasser sur la bouche…En plus je me sens vraiment femelle en chaleur, les jambes en l’air, en train de se faire prendre par son male. Je peux aussi me branler comme j’ai envie

 

Mon amant est très fort, il me pistonne sans cesse, il me baise a fond, il me remplit la chatte avec son sexe dur, énorme….c’est au point que j’ai l’impression que je vais jouir sans même toucher a ma bite.

 

Je voudrais qu’on jouisse simultanément. Je sais faire jouir mon amant en serrant bien sa bite avec mon cul.
Je me branlerai en même temps …je veux jouir en même temps que lui….

 

Je commence a sentir que ses mouvements deviennent plus rapides et plus profonds…je serre et desserre mon cul dans le même rythme…et quelques secondes plus tard je sens le contractions de sa bite dans ma chatte…je sens son foutre chaud en train de m’inonder, je me sens comme une femme qu’on est en train d’enfanter, c’est formidable…

 

Je me branle très vite et quelques secondes plus tard je jouis copieusement , mon sperme se répand sur mon ventre et sur mes seins. Pierre se retire de mon cul et lèche mon sperme sur ma poitrine. On s’embrasse sur la bouche et je sens dans la sienne le gout de mon foutre. En même temps, son foutre a lui dégouline lentement de ma chatte, je le sens sur ma cuisse, c’est comme un souvenir de la jouissance que nous venons de partager.

 

Nous sommes repus de baise , nous échangeons de tendres bisous et nous nous endormons un moment dans les bras l’un de l’autre. (il part chaque fois sans me réveiller, et un peu plus tard il m'appelle. Je mesure ma chance d'être apprécié de Pierre ! C'est si différent avec mes autres amants juste pressés de se vider les couilles )

 

Al Br

 

 

 . les escorts ont leur place chez les bisex.  

Bisex assumés et fiers de l'être les escorts ont leur place chez les bisex.

Ce n'estpas du Jack Kerouac, mais...

 

   "Regarde, j’ai encore la trique !

En effet, il bandait comme un âne et avait essayé de se mettre sur le ventre pour ne pas que ça se voie. Je lui ai immédiatement dit :

 

- Sur cette plage c’est pas un problème, bien au contraire !

Son manche était dressé vers le ciel. Il le branlait machinalement et m’a lancé :

- A propos, ma bite est plus longue que celle d’Alex.

- Oui, j’avais remarqué.

- 22 au repos, 25 en érection . Photos à l’appui !

Il a sorti son portable et là ce fut le carnaval des photos de lui en train de s’amuser avec son (gros) joujou :

image

 

image

Des gens commençaient à le regarder de loin. On s’est branlé un long moment avant de gicler de bonnes doses de semence sur le sable chaud et aussi un peu sur nous même en ce qui concerne Luc.

image

Quand nous sommes rentrés, Christophe et Alex nous attendaient et le dîner était déjà prêt. J’ai cru déceler un sourire de satisfaction sur le visage de Christophe en nous voyant arriver mais personne ne fit le moindre commentaire.

Le soir venu nous avons décidé de ne pas sortir et de squatter le chalet de Christophe (qui était le seul à avoir une télé et un lecteur DVD) pendant qu’il allait vaquer à ses occupation. Après le film, Alex est allé se coucher. Il suffit d’un bref examen des affaires de Christophe pour trouver quelques DVD pornos coincés entre deux chemises et c’est donc couchés sur le canapé, la queue dans la main qu’il nous a retrouvés quand il est rentré vers minuit et demie. Il était accompagné d’un homme et d’une femme et ils avaient manifestement pas mal bu tous les trois. Un peu trop bu au reste ! Au bout d’un petit quart d’heure de conversation pendant lesquels nous avons pu apprendre qu’il s’agissait d’un couple marié, lui cadre supérieur de 40 ans, elle mère au foyer de 35 ans, Christophe ne se sentit pas bien et se dirigea vers le jardin, sans doute pour y vomir. Nous sommes donc restés seuls avec les deux inconnus qui sortaient d’une boîte extérieure au village et étaient donc habillés alors que nous étions nus et décomplexés devant eux. Le film de cul tournait encore sur la télé derrière nous et nous étions tous les deux en semi-érection.

Ils étaient très lubriques et regardaient nos parties génitales avec insistance, Luc l’avait remarqué et lança à la femme, l’air provocateur :

- Tu veux gouter ?

Il s’assit bien tranquillement sur le canapé, lui présentant sa queue pour qu’elle vienne la sucer. Pendant qu’elle se penchait sur son gourdin, je profitais de la position pour lui mettre une main aux fesses qu’elle ne refusa pas. Je relevai sa jupe courte et caressai ses lèvres par derrière à travers son string. Le mari avait dégainé sa queue et se l’astiquait en regardant la scène.

J’ai écarté son string pour la doigter. Elle était très moite. Ma queue trouva le chemin de sa chatte sans difficulté et la bourre a commencé. Elle émettait des cris étouffés par la queue de Luc dont elle n’arrivait qu’à gober le gland, pas plus.

J’aime la sodomie mais une bonne chatte de temps en temps me ravit tout autant, surtout quand elle est bien serrée… et quelle chatte n’est pas serrée autour d’une queue comme la mienne? A chaque fois que je tapais le fond de son vagin elle poussait un cris de jouissance mêlée de douleur et de satisfaction.

Luc eut aussi envie de faire joujou avec elle. Quittant ma queue elle se posta sur lui pour s’empaler sur son monstre. Elle y allait lentement en soufflant profondément, la main posée sur la vulve et le clito qu’elle stimulait sans s’arrêter. Avant même d’avoir enfoncé tout le membre dans son orifice elle eut un premier orgasme et se releva, laissant couler de son vagin une dose de mouille très chaude sur le pubis de Luc. Les jambes tremblantes, elle reprenait ses esprits. J’en profitai, pour me poster derrière elle et lui enfoncer mon gland dans le cul. La maintenant bien par la taille, je l’ai fait accepter toute ma bite dans son anus dans un cri.merlinseroticmuses: http://merlinseroticmuses.tumblr.com/ En avant tous et toutes, je pousse … Littéralement fondu en elle, je la pénétrais tout en guidant sa chatte vers la bite à Luc.

Elle se malaxait à nouveau la vulve. Posté derrière elle et sans me retirer je la fis descendre jusqu’à s’accroupir sur le gros manche de mon cousin.

On était maintenant tous les deux accroupis, ma queue de son cul et le gland de Luc qui se frayait un chemin dans son autre trou. Je la pénétrait avec vigueur, elle se touchait et il pressait petit à petit sa trique entre les lèvres de son sexe.

Je sentais les allées et venues de la bite de Luc sur ma prpre bite à travers ses organes. Putain de pied ! Elle jouit à nouveau très rapidement, mais maintenue par nous deux elle n’eut plus d’autre choix que d’accepter les bites sur lesquelles elle était maintenant assise. Elle gémissait profondément puis se métait à crier à chaque fois qu’un nouvel orgasme venait. Toute sa vulve ruisselait de mouillure. J’étais maintenant couché, la tête sur un accoudoir du canapé, Luc avait sa tête sur l’accoudoir opposé. Fort excitant : nous avions les jambes écartées et nos couilles se touchaient, claquaient les unes contre les autres pendant qu’elle sautillait rapidement sur nos manches. Ce traitement dura une bonne demi-heure, nos queues restaient gonflées et bien raides. Malgré tout le plaisir que nous fournissaient ses trous bien serrés, nous n’avions pas joui.

C’est à ce moment là que Christophe est rentré, sa mine blanche s’éclaira en nous voyant nous amuser avec ses invités. Il se désapa, ne gardant qu’un t-shirt, sa queue pointait vers le ciel. Il attira l’homme qui était venu avec cette femme, son mari, dans la chambre avec lui et, avant de fermer la porte, nous lança :

- Regardez dans le tiroir sous la télé !

Nous étions maintenant seuls avec elle. Ecartant bien ses fesses, j’ai fait sortir ma queue de son trou pour aller fouiller dans le tiroir. Des tas de sex toys, lubrifiants et autres godes y étaient soigneusement rangés. Sans perdre plus de temps, j’ai sélectionné le long gode vibro violet à deux têtes qui trônait au milieu. Il était souple au milieu et presque aussi large que ma bite. Je l’ai enduit de lubrifiant et suis retourné à ma place.

De là, je l’ai lentement enfoncé dans le petit trou de Luc! puis aussi dans le mien pour moitié . Luc a gémi de douleur. Notre partenaire le maintenant, il ne pouvait plus bouger. Je le poussais, centimètre par centimètre dans son trou encore vierge et, arrivé au milieu, je l’ai allumé. Il poussa un cri de plaisir rauque, grave, un cri que je n’aurais jamais pensé entendre sortir de la bouche de ce petit blondinet. Ses grosses burnes reposaient maintenant sur le gode et vibraient aintensément vec lui. Ce plaisir lui a délié la langue. Alors que la femme s’était arrêtée de sautiller, il lui lança d’un ton autoritaire en lui claquant les fesses :

- Allez, t’as assez joui, maintenant c’est à mon tour !

Et il continua à entrecouper cette baise de remarques de plus en plus crues : “Tu l’aimes cette bite” “Serre ta petite chatte!”

J’ai profité de l’inattention de cette salope pour lui remettre ma queue dans le cul, elle a gémi, soufflé et crié : “pas en entier !” mais cette fois ci je ne voulais plus y aller en douceur et l’ai faite asseoir complètement dessus. J’avais l’autre moitié du gode dans le cul, le plaisir était total. Je le sentais vibrer contre ma prostate.

A coup de fessées nous l’avons fait accélérer et je n’ai pas tardé à entendre Luc dire qu’il aller cracher. Moi aussi j’allais gicler. Nos bites étaient dures comme la pierre, je sentais la sienne à travers la paroi anale de la femme infidèle.

Nos couilles se sont crispées, toujours en contact, à la base de nos bites qui se sont entrechoquées à travers elle à chaque giclées de sperme. Elle criait à présent, elle criait très fort :

  

- Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! C’est bon ! Hannnn Hannn Hannn

Attendant la fin de notre double orgasme, elle s’est retirée à nouveau, toute dégoulinante de sperme, se frottant frénétiquement le clito en nous arrosant de mouillure. Elle avait les jambes tremblantes, elle s’écroula par terre dans un cri et resta là, recroquevillée, la main sur la chatte, reprenant ses esprits et son souffle.

Nos bites avaient ramolli et traînaient lourdement sur le canapé.

Nous avons entendu Christophe se finir dans le cul de l’homme cocu dans la pièce d’à côté. Il est réapparu à la porte de la chambre. L’homme et sa femme sont allés prendre une douche, Christophe s’est assis avec nous sur le canapé qui était maculé de taches de sperme et de cyprine et on a fumé une clope.

 

 

   

 

Par NONCOUPABLE - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 06:08

  il bouscule "le pot de fleurs " comme on dit ...le genre, c'est quoi au juste ? on employait le pronom il à son égard, maintenant je lis avec surprise (et plaisir) "elle". quel chemin parcouru ! Douloureux ?

    Désespéré par la violence du monde, le doux New-Yorkais, inclassable chanteur d'Antony and the Johnsons, revient en 2005 avec l’habité et troublant "Swanlights".  

Une plainte intense, fragile, presque irréelle mais profondément humaine. On a découvert Antony Hegarty, chanteur hors norme au genre indéfini, à la sortie de son album I am a bird now, en 2005. Une voix à part au service d'envoûtantes litanies qui nous accompagne depuis, au détour de somptueuses apparitions aux côtés de Lou Reed, Björk, Marianne Faithfull... Né en Angleterre en 1971, Antony suit ses parents très jeune aux Etats-Unis. A 19 ans, il trouve en New York un vrai chez-lui. Là, en disciple du danseur Kazuo Ohno, maître du butô (« danse des ténèbres », performance artistique, subversive et poétique, née au Japon en réaction au traumatisme de la guerre), il s'est produit pendant dix ans dans les milieux underground, attendant sans trop y croire le jour où le monde aurait envie de l'entendre.    

Vous avez publié quatre albums à ce jour. Que représentent-ils pour vous ?
Mon travail et mon évolution jusqu'à l'âge de 40 ans. Pouvoir transmettre sa philosophie de l'art et de la vie : entrer en contact et en communion avec les esprits, les animaux, la nature, jouer sur la transformation, tant physique que spirituelle... Voilà ce qui irrigue mon travail de chanteur, de compositeur, d'illustrateur :

les enseignements d'un danseur. Kazuo Ohno

 Kazuo Ohno trône au-dessus de mon lit depuis que j'ai découvert sa photo, à l'âge de 16 ans. Cet homme est devenu mon guide, celui qui m'a permis de me connaître, de trouver ma voie.    

Au fond, vous dansez avec votre voix...
Ses fils m'ont dit qu'ils trouvaient une forte résonance butô dans ma façon de chanter. Je pense qu'il y a beaucoup de points communs entre des émotions et expressions qui ont émergé au Japon après la guerre et la bombe et, par exemple, l'œuvre d'un Jack Smith, le pionnier de la performance artistique et du cinéma underground gay new-yorkais. Avec la plupart des mouvements underground aussi d'ailleurs. Tous ces artistes marginaux d'origines diverses qui semblent puiser aux mêmes sources : l'expressionnisme allemand ainsi que la quête d'une forme d'androgynie magique. Le milieu des clubs, des cabarets et de la contre-culture gay des années 1960 jusqu'à la fin des années 1990 m'a aussi marqué. Sans oublier, bien sûr, la pop musique britannique et américaine.

“Quand je prétends ne pas me sentir de ce
monde, je me dissocie juste d'un monde qui
me révulse. Je ne désire pas appartenir à un monde
‘virulent’. Même si je sais bien que j'en fais partie”

D'un côté, vous affirmez que vous n'appartenez pas à ce monde, de l'autre, vous semblez y avoir trouvé votre place : vous êtes aujourd'hui un chanteur reconnu...
J'ai eu une chance incroyable. Etre reconnu par un public mais aussi par des artistes que j'ai toujours admirés. Je n'arrive toujours pas à croire que Lou Reed, Laurie Anderson, Boy George, Marc Almond, Björk m'apprécient. Cette reconnaissance a complètement bouleversé mon existence, m'a permis de croire en moi. Quand je prétends ne pas me sentir de ce monde, je me dissocie juste d'un monde qui me révulse. Je ne désire pas appartenir à un monde « virulent ». Même si je sais bien que j'en fais partie. Ce conflit interne est permanent dans mon esprit. J'ai emprunté bien des chemins de traverse avant d'arriver à la lumière, à la reconnaissance. J'ai longtemps erré dans les marges, en songeant que j'y resterais probablement à jamais. C'est dire si ça a été un choc d'être accepté. Parce que je n'ai fait aucun compromis pour y arriver.

Vous avez souvent exprimé le sentiment d'être né trop tard, d'avoir loupé le coche...
Plus maintenant. Je le ressentais très fort en arrivant à New York, à 19 ans, en 1990. Cette ville, dont la culture underground avait été si effervescente dans les années 1960, était devenue si désolée vingt-cinq ans après. C'était une période sombre, presque de deuil. Mais je crois qu'on éprouve tous un peu ce sentiment d'arriver sur terre trop tard, jusqu'à ce que la génération suivante vous fasse sentir que vous avez de la chance d'être né avant elle !

Je pense quand même que les années 1990 furent une décennie très dure pour entrer dans l'âge adulte. Je l'ai senti chez la plupart de mes contemporains. L'époque était précaire, l'espoir n'était pas de mise, il y avait peu de joie. On s'est accrochés, sans raison réelle d'y croire. Et puis l'horizon, petit à petit, s'est dégagé. Pour moi, des portes se sont ouvertes... Grâce, notamment, à la génération suivante. Des artistes comme Devendra Banhart ou les soeurs CocoRosie ont beaucoup fait pour donner un contexte à mon travail, lui trouver une place. Et puis il y a eu des grands aînés, comme Lou Reed, qui m'a fait chanter sur ses albums et emmené avec lui en tournée. J'ai bénéficié d'un grand élan de solidarité communautaire : tous ces artistes avaient décidé de me faire sortir de l'ombre. Et ils ont réussi. C'est beau et émouvant. Par leur volonté, je suis reconnu aujourd'hui. En Europe, en particulier, où l'on me prend au sérieux. Aux Etats-Unis, c'est une autre histoire. Ils ne savent toujours pas sur quel pied danser avec moi... Les questions que je soulève à propos de l'identité, du genre, de la place de chacun dans la société ont beaucoup plus de résonances en Europe. Que cela plaise ou non, l'idée d'une identité floue, transgenre, y est plus admise, il me semble. Aux Etats-Unis, on est encore dans le déni.

La douleur est très présente dans votre chant, mais comme une source où vous puisez pour atteindre à la beauté. Vous paraissez refuser le rôle de victime...
J'ai énormément travaillé autour du thème de la victimisation. Mais je n'ai jamais voulu être perçu comme une victime. Ce sont deux choses très différentes. Faire porter le poids de mes souffrances à d'autres ne m'intéresse pas. Les véritables victimes ne manquent pas à travers le monde, des personnes impuissantes, abusées, sous l'emprise d'autrui. Ce n'est pas mon cas. Mais ces insupportables jeux de pouvoir entre individus, ces systèmes de domination me préoccupent. Comment ne pas souhaiter les voir disparaître ?

Vos convictions et votre perception du monde vous ont-elles été transmises par vos parents ou sont-elles nées d'une réaction ?
Ni l'un ni l'autre. Chaque génération a ses propres combats qui résultent d'autres, menés par la génération qui l'a précédée. Ma mère a pu se construire sur l'acquis de sa propre mère, et ainsi de suite. Ma grand-mère s'est battue pour que ses enfants puissent recevoir une éducation décente. Je ne serais sûrement pas le même si, comme mon père, je débarquais d'un bateau d'Irlande en quête d'un travail dans les rues de Londres. J'ai grandi dans un relatif confort matériel, dans la banlieue de San Francisco, avec mes propres soucis et problèmes à résoudre : mon physique, mon identité, ma place dans la société. Mais je n'avais pas à lutter pour ma survie quotidienne comme ont dû le faire mes grands-parents...

Vous avez vécu dix ans en Angleterre puis un an à Amsterdam avant que votre famille n'émigre aux Etats-Unis. Qu'est-ce qui l'a poussée à partir ?
Le travail, tout simplement. On déménageait déjà tout le temps en Angleterre, et puis mon père a trouvé un emploi aux Etats-Unis. C'est dire l'évolution en trois générations. Je me souviens encore avoir rendu visite à mes grands-parents, du côté de mon père, alors que j'avais 7 ans. Ils vivaient sur la côte ouest de l'Irlande, dans un environnement rural, très démuni. Chez eux, il n'y avait ni eau courante ni électricité. C'était dans les années 1970, et pourtant ça semblait d'un autre âge.

La culture irlandaise vous a-t-elle imprégné ?
C'est curieux, je n'ai jamais vécu en Irlande ni vraiment baigné dans cette culture. Mais mon rapport à la musique, ma façon de m'exprimer, de mettre toutes mes émotions dans mon chant, a quelque chose d'assez irlandais.

“En me plantant, tout petit, dans le jardin,
avec des pinceaux et des peintures,
ma mère a ouvert la brèche. Quand elle a
réalisé ce qui se passait, c'était trop tard.”

Et du côté de votre mère ?
Elle est de Liverpool. C'est elle qui m'a le plus encouragé à devenir ce que je suis... mais malgré elle ! Elle avait une fibre artistique - elle faisait des photos -, mais elle venait d'une culture prolétaire où l'art se limitait à un passe-temps. Ça ne pouvait être une occupation sérieuse, un moyen de gagner sa vie. Mais en me plantant, tout petit, dans le jardin, avec des pinceaux et des peintures, elle a ouvert la brèche. Elle m'a aussi autorisé à me laisser pousser les cheveux très longs. Quand elle a réalisé ce qui se passait, c'était trop tard, personne ne pouvait m'arrêter !

Vous vous êtes senti différent très tôt ?
C'était une évidence. Pas seulement sur le plan physique. Culturel aussi. C'était même un sentiment agréable, de ne pas être comme les autres. Je sais qu'il y a beaucoup d'enfants qui souffrent de ne pas faire partie du groupe, mais moi, ça ne me dérangeait pas. J'étais bien dans mon univers merveilleux rempli de couleurs, de formes, de musique, de rêves... Je dessinais tout le temps. Et puis je me souviens, lorsque j'étais encore en Angleterre, avoir vu Kate Bush chanter à la télévision. J'étais profondément ému et stimulé par cette vision paradisiaque. Derrière elle, il y a eu ces stars flamboyantes à l'apparence et à la sexualité troubles, comme Marc Almond, de Soft Cell et, bien sûr, Boy George, auxquels je m'identifiais forcément. Tout paraissait alors possible. Ils étaient beaux, maquillés, ambigus. Après le côté morne et uniforme du punk, ils apportaient un sentiment de liberté : chacun avait le droit de se définir et de se réinventer tel qu'il le désirait. L'impact de Boy George a été phénoménal. Avoir un tel succès, en 1981, avec son apparence, en chantant Do you really want to hurt me ?, projetant autant de force que de vulnérabilité !

“J'aurai toujours plus en commun
avec un Irakien transgenre
qu'avec un GI américain.”

Boy George se présentait comme travesti, vous vous revendiquez transgenre (1)...
Je le suis, au plus profond de mon être. On ne le décide pas. On est transgenre par nature. Je me sens connecté à tout autre être comme moi, de quelque origine, culture ou classe sociale qu'il soit. J'aurai toujours plus en commun avec un Irakien transgenre qu'avec un GI américain. Nous partageons le même rapport au reste du monde. Nous sommes une minorité à part puisque nous ne sommes ni un peuple ni une communauté. Nous existons partout sur la planète, en décalage dans notre propre famille. De ma nature, j'ai choisi de tirer de la poésie, d'en faire un matériau créatif pour nourrir ma pensée, mon travail. S'accepter tel qu'on est, c'est reconnaître la supériorité de la loi de la nature sur celle de la société. Je sais que je dispose du privilège énorme de pouvoir l'exprimer. Je me sens en empathie avec le monde animal. A la fois inquiétant et vulnérable.

Ce qui explique l'illustration en couverture de votre album : cette image à la fois tragique et magnifique d'un ours, blessé...
Il s'agit d'un ours, abattu par un honnête chasseur. Je souhaitais lui rendre sa dignité, capter son âme s'élevant de son corps meurtri, rétablir une forme d'équilibre. Quant au titre, les Swanlights, ce sont ces lumières que l'on aperçoit au-dessus des lacs, la nuit. Une présence, une énergie, nourries par tous ces esprits toujours vivaces, s'échappant de corps maltraités, privés de vie.

De Kazuo Ohno à Boy George, de nombreux modèles vous ont aidé à vous exprimer avec sincérité dans votre art. Pensez-vous avoir ce même effet sur d'autres ?
Je ne saurais mesurer mon influence sur d'autres. Je me contente de m'exposer, de m'exprimer le plus sincèrement possible. En espérant faire plus de bien que de mal.

 

      (1)...Boy George En conflit avec son sexe biologique, qui ne se sent pas défini par lui.

A écouter
Swanlights,
d'Antony and the Johnsons. 1 CD et un livre "Beggars Banquet" 
     

Afficher l'image d'origine
Afficher l'image d'origine

Antony Hegarty, première personne trans’ nominée aux Oscars depuis quarante ans

La chanteuse (ex-Antony and the Johnsons) est nominée dans la catégorie Meilleure chanson originale aux côtés du compositeur et activiste J. Ralph. La dernière fois qu'une personne transgenre avait été nominée aux Oscars remonte à 1976.

C’est, en quelque sorte, historique, même si la nouvelle est passée presque inaperçue: les Oscars 2016 ont choisi parmi les nominés de la catégorie Meilleure chanson originale le titre «Manta Ray», extrait du documentaire, Racing Extinction, composée par J. Ralph et chantée par Antony Hegarty, une personne transgenre. 


C’est la deuxième personne trans’ nominée aux Oscars, la première fois remontant aux années 1970, lorsque Angela Morley fut nominée en 1974 pour son travail de compositrice sur le film Le Petit Prince puis en 1976 pour The Slipper and the Rose.

«Sans la biodiversité, je ne suis rien»

             

 

Comme le documentaire, la chanson de  J. Ralph et Antony Hegarty évoque de façon organique les mille facettes de la nature, dont les «rayons» et les «coutures» nourrissent le narrateur. Elle est un plaidoyer, un appel à l’humanité à préserver ces myriades, échos de notre richesse intérieure. Plantes, arbres et fleurs apparaissent comme fragiles, «enfants» qui se meurent en nous et dont nous sommes responsables.

«Without biodiversity
I'm nothing
It's like I never
Existed»

«Sans la biodiversité/ Je ne suis rien/ C’est comme si/ Je n’avais jamais existé», chante Antony (toutes les paroles de la chanson sont reproduites

 

 

Par Anthony Hegarty - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • arabic128
  • CUT 03
  • BeachPattyCakes
  • CIRCUM 03
  • HE LIKES IT 2
  • STRANGE CHURCH HOBBIT WORLD

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés