Partager l'article ! une meuf à l'égal d'un gay passif bien cho se prend une queue dans l'anus avec un cavalier qui joue de son clito comme d'une mandoline/ -tu es telle ...
Rachid me baise, mais je veux Karim....il n’y a que les queues larges qui me donnent du plaisir. Comment est celle de Karim ?
une meuf à l'égal d'un gay passif bien cho se prend une queue dans l'anus avec un cavalier qui joue de son clito commed'une mandoline 4h30 - tu es tellement belle craquante, tu me plais beaucoup Célia.- Doucement, Rachid, on ne va pas se marier.
4h30 du matin, mon cavalier de la nuit rencontré en boite me raccompagnait chez moi. Je l’invitai a prendre un dernier verre, j’entendais la télé et
je me suis dis que Karim l’avait laissé allumée. Apres ce verre, j’étais chaude, j’avais une seule envie c’était de me faire baiser sauvagement, je ne voulais ni tendresse ni caresse, juste
Baiser.
-Désolé mais c’est quoi déjà ton prénom ?
-Tu l’as déjà oublié ?
-Pour te dire la vérité, je suis un peu pompette…
-Moi c’est Rachid, ma belle Célia.
-Toi par contre tu n’as pas oublié le mien
-Comment l’oublier, tu es tellement belle craquante, tu me plais beaucoup Célia.
- Doucement, Rachid, on ne va pas se marier. Dis-je en m’approchant de lui.
Il me caressa les cheveux, et vint m’embrasser, enfin…je n’en pouvais plus d’attendre, il me serra fort, et nos langues ne voulaient plus se
lâcher.
-Viens on monte dans ma chambre, j’ai envie de toi
- Moi, aussi, t’es trop bonne. !!!
Bon son langage commençait à changer mais ça m’excitait, je voulais me sentir soumise.
A peine la porte fermée il me dit :
-T’es toute seule ou pas ?.
-Non il y a mon cousin mais il dort et puis on s’en fout, je suis chez moi.
Il m’arracha presque ma robe, tellement il était comme moi excité, on s’embrassait comme des fous, je lui arrachai aussi sa chemise, nous étions
presque nue face à face.
D’un coup, il me releva et m’allongea sur le lit.
-T’es à moi maintenant
-Bouffes moi la chatte, vite
-Je ne vais pas faire que ça ma beauté, je vais te faire monter au plafond.
Il entreprit un léchage en profondeur de tous mes orifices.
Il remontait pour prendre mes seins à pleines mains, il les pelotait, les massait, les léchait, les suçait, une de ces mains se glissa dans mon
entrejambe, il découvrit mon intimité toute humide.
-Humm, continue, c’est bon
-Elle est trop bonne ta chatte Célia, donnes moi ta mouille, encore.
Je gémis non je criais plutôt, je prenais un pied incroyable, mais surtout je voulais que Karim m’entende.
Il écarta mes petites lèvres avec ses doigts et me cracha sur la chatte en la massant jusqu’à atteindre mon clito, je sentais sa bouche me dévorer,
j’en voulais encore
-T’aimes ? T’es trop bonne, montres moi ton petit cul
-Allonges toi Rachid
-Oué un bon 69, je kife ! .
Je me suis carrément mis accroupi sur sa bouche, je frottais ma chatte et sentais son nez me renifler mon petit anus serré, il entreprit de me
baiser avec sa langue
-Oh oui, continue ne t’arrêtes, encore Rachid oui vas’ y ouiiiiiiii encore
Il n’avait pas tort, il me faisait monter au plafond.
- Suce - moi ma queue Célia.
Je ne tardais pas à me retrouver face à cette queue large et longue, je crois que là je vais prendre un pied de malade.
Tout en me léchant me doigtant, je sortais ma langue pour lécher ses boules, qui étaient assez grosses et surement pleines. Il me prit par la tête,
et d’un coup il m’enfonça sa queue presque au fond de ma gorge, j’ai failli étouffer. Mais me plaindre, non j’avais juste une envie depuis des semaines, me faire baiser comme une
salope.
-Suce-moi encore, oui ta bouche est aussi bonne que ta chatte, tu l’aimes ma queue Célia.
Je ne répondis juste en le suçant jusqu’au bout, sa queue était énorme et elle me faisait mouiller comme jamais.
Je bavais sur sa queue, ça coulait sur ses couilles, je la suçais tellement et que ses coups assez rapides et profonds me faisaient mal à la
mâchoire mais que c’était bon.
-Arrêtes ma cochonne, sinon je vais jouir, t’es une sacrée suceuse.
-J’adore ta queue Rachid.
-Viens par là, j’ai envie de te faire jouir en te dévorant ta petite chatte, humm en plus elle est super étroite, je vais te déchirer je crois
bien.
Il me mit à quatre pattes, j’avais les fesses complètement cambrées au maximum, il entreprit un broutage de minou qui me faisait crier de plus en
plus fort et bizarrement, je me laissais emporter à imaginer que Karim, mon cousin, soit à sa place.
-Encore, oui, plus fort Rachid.
Il commençait à m’enfoncer un doigt puis deux et un va et vient intense tout en léchant mon clito, il y allait de plus en plus
rapidement.
-Humm oui, tu vas me faire jouir mon salaud, continue encore.
-Tu mouilles comme une vraie cochonne, vas’ y jouis Célia, crie je veux t’entendre crier.
En me disant cela, je lui inondai presque son visage, ses doigts étaient humides
-Tiens lèches ta liqueur ma cochonne.
Je ne me faisais pas prier, je lui suçais les doigts et le suppliais de me prendre
-Baises moi, je veux sentir ta queue.
-Tu vas bien la sentir, je vais te dilater le vagin.
Ces mots m’excitaient de plus en plus, je ne voulais pas de sentiment, de tendresse, je lui criais comme un ordre de me baiser.
-Reste dans cette position j’aime voir ton cul comme ça. Il prit un préservatif et commençait à caresser sa queue le long de ma chatte, il la
tapoter sur mon clito, glissa sa queue jusqu’à mon anus.
-Je vais te baiser le cul aussi
-Ca non Rachid, baises moi la chatte, elle est tellement serrée que tu ne tiendras pas pour me baiser
le cul.
D’un coup, une douleur me fit crier plus fort encore que cette jouissance précédente. C’est vrai que sa queue était large et de toute façon, il n’y
a que les queues larges qui me donnent du plaisir.
-Doucement Rachid !!!
-Tu voulais que je te baise comme une cochonne, tu l’as au fond de toi ma queue.
-Humm oui, prends moi les seins, travaille-les moi en même temps
Il obéissait j’étais sa soumise mais aussi un peu dominatrice, j’aimais aussi le diriger.
Ses mains sur mes seins ne restaient pas longtemps, il me donna des petites claques sur les fesses, me prit par les hanches et accéléra ses
mouvements, sa queue je l’avoue était un régal pour ma chatte.
-Plus fort Rachid, j’en veux encore
-Je peux plus Célia je vais jouir
-Déjà ? j’en veux encore……..
Avant même que j’eu fini ma phrase que je sentais sa queue se détacher de moi, il me prit la tete.
-Ouvre ta bouche, je veux que tu avales mon sperme.
Sans réagir, j’ouvris la bouche, tirai la langue et reçu son sperme. Je ne voulais pas en rater une goutte, je pris son gland pour l’enfermer dans
ma bouche, je serrais les lèvres, incroyable, ça n’arrêtait pas de couler, et bien un bon coup celui là bien j’aurais aimé continuer.
J’avalais en le regardant d’un air vicieux, il était comme fier de m’avoir comblé, j’ouvris la bouche comme preuve de mon désir de
sperme.
-T’es une bombe Célia, j’ai jamais autant joui qu’avec toi.
Je prends ça comme un compliment, bien que je l’ai déjà entendu.
-Hum c’était bon…
- Attends que je recharge, ça ne sera pas long : Je vais te baiser le cul aussi Il n'a pas obtenu mon consentement
Jeme retourne et me colle à lui, dans un baiser passionné. Ses mains malaxent mes nichons, en testent de nouveau la douceur et la
fermeté.
Nous reculons vers mon petit lit. Mes mollets butent sur le matelas, je m'assieds, il reste debout devant moi.
Sa queue a déjà repris son érection .
Il la tient à une main, cambré vers l'avant, j'approche mon visage en souriant secrètement.
Il me caresse la visage avec son gland violacé, énorme sur mon nez, sur mes yeux, sur mon front.
Il frissonne de plaisir.
Sa queue passe sur ma joue droite, sur mes lèvres.
Je sors un petit bout de langue, je le goûte, sa bite sent le frais, le savon, le propre, je m'aperçois que je préfère quand il a transpiré,
quand elle a un goût plus prononcé, comme la première fois que je l'ai sucé, cette pipe volée au théâtre, à la hâte. Je chuchote:
- Ne la lave pas avant de venir ici, la prochaine fois.
Il hoche la tête.
Fait courir son sexe sur mes lèvres, je le couvre de baisers. Il insiste, plante sa queue sous mon nez, toute droite, érigée, gonflée. J'ouvre les
lèvres, ma langue sort complètement, il s'enfonce entre mes dents, je le laisse entrer, profondément, il descend sur ma langue, lentement, suivant son chemin dans ma trachée, mes mains
agrippent ses fesses, le forcent à continuer à m'étouffer, je ne respire plus, je suis envahie par son sexe, emplie, remplie.
Je me détends, ouvre ma gorge, son gland passe ma luette, je sens ses couilles buter sur mes lèvres, ses poils pubiens chatouiller mon nez. Il
souffle de plaisir, je compte jusqu'à dix, lentement, je le garde ainsi, planté dans ma bouche jusqu'à la garde. Il se retire, sans hâte, remonte le tunnel profond gorgé de salive épaisse. Je
hoquète un peu. Croque son gland au passage. Il aime.
Je ne le laisse pas sortir totalement, et, touchant la douce texture de ses petites fesses fermes, je lui administre le même traitement, je le suce
patiemment, entièrement, toute tournée vers son plaisir à lui.
Sa queue réagit, cela m'amuse, je souris, coquine, quand je la sens battre sur ma langue et qu'il glisse les mains sur ma tête pour m'arrêter dans
mon mouvement lascif de remontée des profondeurs de ma gorge, quand je la sens gonfler au fur et à mesure des passages répétés entre mes lèvres, entre mes dents, quand je la sens durcir tout à
coup dans ma trachée et que je suis obligée de la libérer pour ne pas étouffer.
J'entends du bruit en bas, dans la maison. Karim ? à la fois redouté et espéré ?
Je le sors rapidement de ma bouche, en alerte.
- Chut !
Il se tend, à l'écoute.
De longues secondes passent.
Je tiens sa queue, tendue, dans ma main. Je chuchote.
- Fausse alerte...
Je ris discrètement.
Je le branle entre mes petits doigts vernis de rouge. Il murmure:
- Entre tes seins.
Mes petits mamelons pointent vers le ciel, je m'agenouille sur mon lit une place aux draps violets, et saisis son sexe au creux
de mes seins, en les pressant avec mes mains. Le mouvement de va-et-vient est maladroit, je ne sais pas si je m'y prends bien. Je baisse la tête, sa bite est assez longue pour que je la lèche
pendant que je le masturbe, il semble apprécier l'attention, la caresse. Au bout de quelques minutes, il me pousse gentiment en arrière, je m'allonge, il passe au-dessus de moi et, bras tendus
sur le lit, comme s'il faisait des pompes, il m'enfonce sa queue dans la bouche, en donnant des coups de reins lents.
Je lui donne ma langue, le laisse me baiser la bouche, le suce, allongée, passive, joyeuse.
- C'est ça, touche-toi, j'aime.
Je souris. Je ne me suis pas aperçue que j'avais une main sur ma chatte et que je me triturais le bourgeon, excitée, et que mon autre main
passait sur mes seins aux pointes dressées .
Je l'accueille plus profond en moi, ouvrant à nouveau ma gorge à son excitation, il ralentit le rythme déjà peu rapide, je ferme les yeux, toute à
cette queue dans ma bouche, et à ces mains qui accentuent leurs caresses. Je me laisse emporter, et c'est presque à regrets que je le sens se retirer, et s'allonger à mes côtés, sur le lit
minuscule, dans un équilibre précaire.
Il m'embrasse les oreilles. Je n'ouvre pas les yeux, mes deux mains sont sur ma chatte, les doigts de l'une sur mon bourgeon, les doigts de l'autre
dans mon vagin. Il chuchote:
- Continue, je te regarde.
Il m'embrasse les tétons, lèche les lobes de mes nichons, je me fais un plaisir solitaire, sous ses yeux voyeurs. Je suis belle, si belle sous son
regard. Je me demande s'il essaye de voir ma chatte sous ma paume ou s'il se contente de me regarder me tendre comme un arc à mesure que mes doigts s'enfoncent plus profondément entre ses
plis.
Son visage glisse sur mon épaule, sa bouche s'arrête sur mes tétons, qu'il mordille au travers du tissu blanc de mon haut, il l'humecte, l'inonde de
salive chaude, je me mords les lèvres. Il passe sur mes deux seins, tour à tour, s'affaire à tracer le contour de mes mamelons, à faire dresser les deux petites pointes drues et sensibles. Sa
main plonge, je m'ouvre comme une fleur, ses doigts se gorgent de l'humidité de mon vagin avant de le pénétrer. Des étoiles explosent dans ma tête, j'écrase mon petit bourgeon, ses doigts
glissent en moi, explorent mon intimité, se perdent en sensations exubérantes, intenses, je me noie de plaisir, l'orgasme m'étreint, j'ai des fourmis dans tout le corps, un engourdissement total,
sauvage, animal.
- Mmmmhhhh Ouiiiiii ouiiiiii !
Ma voix est étranglée mais puissante, j'oublie que je suis dans ma petite chambre et que mes parents ou mon frère peuvent rentrer d'un instant à
l'autre. Il plaque sa bouche sur la mienne, mon râle est étouffé, sa langue est fraîche, mes lèvres ne répondent pas tout à fait à sa caresse, je suis engourdie, détendue, rassasiée.
Il le sent et en profite.
Il se redresse, me retourne comme une crêpe, je n'ai pas la force de bouger, je me perds dans cette torpeur, je devine ce qui va se passer mais je
me laisse posséder, comme dans un rêve intense.
Il me tire délicatement par les jambes, jusqu'à ce que mes genoux soient au sol, sur un coussin. Je suis allongée sur le lit, fesses en l'air, en
équerre, comme une petite chienne prête à se faire saillir par son mâle. J'enfonce ma tête sous la couette, je suis dans le noir, il fait bon, je ne suis que sensations. Il doit avoir une vue
phénoménale sur mon cul, je me sens nue, plus nue que jamais. Il me caresse les fesses, longuement, des deux mains, ses pouces glissent dans ma raie, s'arrêtent sur mon petit trou, plongent dans
mon vagin, remontent, humides, sur le bas de mon dos, entament leur lente descente. Chaque passage voit la pression sur mon anus s'accentuer, je ne sais pas jusqu'où il compte aller, je suis
détendue, confiante, il ne me fera pas mal, je le sais, et puis si c'est ce qui lui plaît... Je souris les lèvres dans la couette, j'ondule le cul pour lui montrer que j'apprécie ses
attentions.
Il colle sa bite le long de ma raie et frotte son gland sur toute sa longueur. Je me tends chaque fois qu'il se retrouve au bord de ma vulve, qui
s'ouvre comme une fleur et se referme dès qu'il remonte flatter ma petite pastille souple.
Est-ce que je le laisserai me sodomiser ?
Je l'ignore.
Mais je veux lui faire plaisir, même si je ne suis pas sûre d'en prendre moi-même.
Je me lance. Je m'oublie, moi, la petite étudiante, la petite fille qu'il connaît. Je ne suis plus qu'une amante. Totale. Effrontée.
Je ris dans la couette.
Je tends les mains en arrière, j'attrape sa bite du bout des doigts et la présente, en fermant les yeux, devant mon petit trou.
Je pousse un peu. Son sexe pénètre mon intimité, lentement
. Je pousse encore. Quelque chose lâche, et je le sens en moi, complètement. Juste son gland, probablement, mais c'est si gros, si plein, si
présent...
Il s'arrête. Sa queue bat en moi, quelques soubresauts qu'il a du mal à contrôler. Il peut bien venir en moi, ça ne me gêne pas. Je pousse encore.
Je le sens se tendre. Je souris, je l'imagine, au-dessus de moi, les mains sur mes fesses, la queue bien droite les écartant nettement, en train de prier pour ne pas venir déjà, ne pas oser
regarder la courbure de ma croupe, ces deux hémisphères transpercés de son dard imposant.
Il souffle, je l'entends à travers la couette. Il a besoin de se détendre. La queue reprend son chemin dans le conduit étroit de ma cheminée intime,
il m'astique, me ramone, avec douceur, ça n'est pas à proprement parler agréable, mais ce n'est pas douloureux et du moment que c'est LUI...
Je me surprends à gémir sous ses coups de boutoir, sous ses coups de reins de plus en plus rapides, de plus en plus appuyés.
- Touche-toi, touche-toi, touche-toi, ça me fait bander.
Il arrache la couette, l'air ambiant est frais, je suis chaude et rouge d'excitation, il s'allonge sur moi, totalement, épouse la forme de mon
corps, je sens ses couilles buter sur le bas de mon cul, je suis remplie par sa bite. Il passe les bras sous moi et m'étreint les seins, fermement, passionnément.
Je glisse ma main sous ma chatte et me pince fortement le clitoris, l'étire, le malmène, le câline. La sensation de
plaisir est immédiate, elle se mêle à celles qui viennent de mes entrailles, du frottement de sa queue sur mon petit trou distendu, des étoiles éclatent dans ma tête, un fourmillement
merveilleux m'emplit le corps. Je gémis, je crie, j'ai oublié que j'étais chez moi, sur mon petit lit, je suis une vierge dépucelée, une jeune fille coincée qui découvre le sexe, le vrai. Il a
pris le relais sur mon clit'
- Aaah Oui oui oui Ahhh mmmh aaahhh !
J'attrape ses couilles sous moi et me les frotte contre le vagin, je les tire, les presse, les caresse. Il se redresse, me prend d'une main sous le
ventre et me pilonne de sa queue en ahanant discrètement. Les coups de reins se multiplient, il accélère leur rythme, m'étreint plus fortement encore et s'arrête soudain, au plus profond de
moi.
- Oh putaiiiiiiiiiiiin....oushhhhhhh.....aaaaaahhhhh....... oiiiiiiii,
Il me masturbe toujours tandis que je sens l'éjaculation féroce qu'il déverse en moi. Des éclairs m'envahissent le ventre, une
sensation de chaleur qui s'accroît sous les battements de sa queue qui se vide en jets brûlants tout au fond de mon cul.
Je suis heureuse, j'ai envie de le serrer dans mes bras, de l'embrasser, mais je suis là, affalée sur mes draps violets, bavant à moitié, soumise,
deux doigts s'activant toujours dans mon vagin, et cette bite, qui n'en finit pas de couler dans mes tréfonds.
Il s'affale sur moi, m'embrasse le cou en me remerciant, je souris, sa queue est toujours en moi, poisseuse, chaude, repue.
Je tourne le visage, il m'embrasse les lèvres, il continue de me titiller le bouton doucement. Il me chuchote à l'oreille:
- On a fait un peu de bruit, non ?
Je souris.
- Oui.
Il m'embrasse encore.
- Je t'ai fait mal ?
Je secoue la tête.
- Mmm mmm.
Il sort de mon cul, lentement. Des gouttes de sperme coulent le long de mes fesses, sur mes jambes.
Je me retourne. J'ai les fesses douloureuses dans la région de mon petit trou.
- Ouch...
Je ris.
- Quoi ?
- J'ai mal au cul.
Il sourit, l'air gêné.
J'écarte les jambes pour qu'il s'y glisse. Tout baigne dans la jute et le sperme.
Une porte claque, en bas. Dans la maison.
- Celia ?
Je sursaute, lui aussi. J'attrape une culotte propre, et l'implore:
- Vite, habille toi. Va dire bonjour, n'importe quoi.
Il remet son pantalon à la hâte, ajuste sa chemise, et sort de la pièce.
Je me rhabille rapidement, chemisier, culotte, jupe, je me recoiffe, et essaye de me calmer.
Je l'entends discuter avec quelqu'un dans la maison, rire.
Je passe mes soquettes et descends à mon tour.
C'est mon frangin, qui est là, devant l'ordi, à discuter avec lui. Ils sont déjà plongés dans les problèmes informatiques de ce vieux PC, comme
toujours quand ils se voient, et ce, depuis que mon frère est ado. Karim est dans le salon...
Je respire.
Des gouttelettes coulent encore de mon petit trou.
Je souris et me mêle à la conversation.
On a eu chaud.
Rapidement les images et les sensations refont surface : rien à regretter !
-On se reverra ?
-Si tu veux prendre une douche, la salle de bain et à droite.
-Mais on se reverra ou pas ?
- Rachid, je n’en sais rien, pour le moment il est 6h30 et je vais aller dormir.
-Attends je me rince, vite fait, je dors avec toi.
-Désolé Rachid, je ne suis pas seule et puis il est préférable que tu rentres.
Il partit très rapidement, je me demande d’ailleurs s’il s’est lavé, en tout cas ce n’était plus mon problème. J’avais eu ce que je
voulais.
Nous sommes dimanche, et ma journée ne commence qu’à 14h, les lendemains de fêtes sont toujours les mêmes, mal de crâne, et là j’avais un peu mal à
la chatte et surtout au retum , il m’a vraiment déchiré ce salaud, mais que c’était bon surtout après quelques mois d’abstinence.
J’entendis le téléphone sonner, comme tous les dimanches, ce devait être mes parents, je laissai Karim répondre et je me suis rendu compte que je ne
l’avais pas croisé depuis ce massage où j'aicompris que son envie de moi avait ses limites.
-Célia, Célia !!!!
-Dis leur que je les rappelle
Je n’avais pas envie de descendre et surtout de le voir.
Je partis me prendre un bain, en laissant couler l’eau, je préparais une petite tenue sexy, j’adorais m’apprêter même pour rester chez
moi.
Une petite descente dans la cuisine.
Je n’avais pas vu mon cousin qui était affalé sur le canapé, je me fis un café sans un mot.
-Bonjour Célia
Je ne répondis pas
-Célia, je t’ai dis bonjour.
-Bonjour
Je lui tournai le dos et repartis pour rejoindre ma chambre...en espérant qu'il me suive et me rejoigne...oui, mais Karim ce
n'est pas le même style que Rachid...il a des idées de décence...
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