Partager l'article ! l'ai-je trompé ? il était très souvent incapable de bander, enfin de bander vraiment. Je devais sucer sa bite à moitié molle. Je me sentais humil ...
Marie B…, 39 ans, mère de trois enfants. Je suis responsable dans un grand laboratoire d’analyses chimiques. Je forme des responsables de laboratoires du monde entier aux dernières technologies d’analyses environnementales. Je suis mariée à un homme charmant, Jérôme, qui est responsable technique dans une grande entreprise nationale. Il est souvent absent professionnellement, car il est appelé à travailler à l’étranger. Notre vie s’écoule tranquillement et si la passion des débuts de notre union s’est un peu émoussée, nous sommes heureux et nos relations sont empreintes de complicité et affection mutuelle. Une tendresse énorme nous unit.
J’ai peu pratiqué la fellation avec mon époux. Pendant des années, mon mari rentrait de son travail à n’importe quelle heure, stressé et énervé. Il avait envie de faire l’amour. Il considérait que c’est le rôle d’une femme de satisfaire son homme quand il a envie. Mais il était très souvent incapable de bander, enfin de bander vraiment. Je devais sucer sa bite à moitié molle et froide. Je me sentais humiliée de ne pas être assez désirable pour qu’il bande dur. Un beau jour, j’ai cessé de le faire. Sans nous disputer. Le sujet n'était plus évoqué. Je ne me suis plus proposée. Jérôme ne m’a plus demandé de le sucer.
Cela s'est soldé par une frustration ; de part et d'autre. Moi je fantasmais sur des bites extra dures. Lui devait regretter ses faiblesses et envier la force de certains autres.
Un jour - sans un mot de part ni d'autre - je l'ai surpris à sucer la bite d'un jeune livreur
Nos relations sexuelles se sont espacées lentement pour n’être plus que mensuelles, voire plus rares, comme en ce moment. Je ne suis plus très attirée, ni intéressée par tout ce qui touche de près ou de loin au sexe et au plaisir, pourtant, depuis que Jérôme est en voyage d'affaires, j'ai fait la connaissance d’un jeune homme noir, Ahmed. C’est mon nouveau stagiaire. C’est un colosse. Il mesure presque deux mètres et est très large d’épaules. Il est d’une beauté stupéfiante. Moi qui n'ai jamais été particulièrement attirée par les hommes de couleur, je dois dire que je suis sous le charme. Son visage se fend d’un grand sourire.
Question travail, nous prenons le temps en fin de journée de faire un point. Ces discussions dérivent immanquablement sur sa vie privée. Je fais en sorte de ne pas comprendre les sous-entendus réguliers qui reviennent dans ses propos. Je sens bien qu'il me désire.
personne ne m'a jamais si bien aimée
moins difficile que je croyais
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