Partager l'article ! un beau garçon comme moi, je suis accro à ce mec. Je me suis fâché, mais je ne rêve que de lui car il est le seul qui m'ait fait autant mal et au ...
il me subjuguait : trop tard je l'ai dans la peau...
J'étais étudiant en deuxième année à la fac ; lui était acteur. Un acteur qui galérait de théâtre en théâtre et de metteur en scène en metteur en scène . Nous nous sommes rencontrés lors d'une fête et nous avons baisé quelques fois. Les deux premières fois étaient normales, plutôt bonnes. Sa bite était massive, quand elle était dans mon cul je jouissais "à mort". Mais, bien que "plus qu'intimes", je ne lui avais pas encore dit combien j'aimais qu'il me prenne. Je ne voulais pas me risquer à le flatter n'ayant pas l'intention de faire ma vie avec lui ! C'est qu'il n'en fallait pas beaucoup pour qu'il se sente très fier et content de lui. Je n'étais pris au point de caresser son ego.
Je l'aimais bien quand même. Au bout d'un certain nombre de ces rencontres...euh...heureuses malgré tout, j'ai voulu être gentil avec lui et lui dire combien j'appréciais, en fait, que ce soit gros. Pour un passif de mon âge c'était aussi exceptionnel que j'aime me faire mettre aussi gros. J'étais bien avec lui et je commençais à être amoureux de sa personne si bien faite par ailleurs. On était dans un moment de tendresse. Je fondais de bonheur et peut-être de projets. De façon catastrophique il a voulu être drôle et plaisanter sur sa bite et mon trou. Il m'a alors demandé si je pouvais faire le tour de sa queue avec les doigts et, à ce moment-là, joindre mon pouce et mon index sur sa bite. Ouais ! c'était trop gros ! "Faudrait que tu voies ton cul pendant que je te baise ! tu es un vrai garage à bites ! tu dis jamais non et ton trou reste ouvert et dégorge quand je me retire". Petite humiliation ? ensuite, en riant, il a commencé à frapper légèrement mon visage avec sa bite, avec des effets sonores d'éléphant. Il barrissait ! On a encore baisé quelquefois mais sa façon de me charrier sans arrêt allait trop loin, jusu'à me traiter de nouveau de trou à jus, de garage à bites.
De plus il aimait montrer sa bite en public à qui voulait bien la voir.
Déjà "planté"par son monstre, je craignis d'être supplanté par un autre amateur de grosses queues et d'avoir, chez-moi, à le partager car
il tait sans gêne !
Je gagnai plus de mépris envers lui qu'il n'en avait acquis à mon égard. En fait je ne tardai pas à découvrir d'autres queues tout aussi considérables et on se lassa l'un de l'autre. Et maintenant qu'il n'est plus là, j'en ai de grands regrets par moments...à supposer su'il m'ait contraint à partager nos ébats avec un autre, c'eût été double plaisir à condition de laisser ricocher ses flèches sur un corps que j'ai aujourd'hui, dans ma tête, blindé et bardé contre ses pointes acérées. Resterai-je assez fier pour ne pas ramper à ses(leurs) pieds ?
Pauvre gars, je pense qu'il pensait qu'il était sexuellement irrésistible. Oh, et je ne l'ai plus revu. Je ne pense pas que je serais capable de contenir mon rire. Je l'entends encore barrir !...
Et maintenant qu'il n'est plus là, j'en ai de grands regrets par moments...à supposer qu'il m'ait contraint à partager nos ébats avec un autre, c'eût été
double plaisir à condition de laisser ricocher ses flèches sur un corps que j'ai aujourd'hui, dans ma tête, blindé et bardé contre ses pointes acérées.
Resterai-je assez fier pour ne pas ramper à ses(leurs) pieds ?
-Anonyme
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