Partager l'article ! SOIR DE DEBAUCHE Trois noirs, deux blancs, des chiens, un cheval...- "Je savais que je ne pourrais plus me faire baiser pendant 15 jours, mais quel pi ...
un récit qui a dix ans d'âge mais n'a pas pris une ride lol !
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cul_nu_et_ras%C3%A9
Hier soir, j’étais en chasse du coté de Bâle, dans un parc connu quand on m’interpelle et je reconnais un ami de longue date que j’avais perdu de vue. Après les banalités d’usage, il me demande ce que je fais ce soir. N’ayant pas de but précis, il me propose devenir avec chez des amis qui organisent une soirée hard. Se souvenant que je n’avais pas beaucoup de tabous, il me rassura en me disant que j’allais passer une bonne soirée et que cela l’arrangeait bien de m’avoir car il était tenu d’amener un copain pour participer.
Nous voilà partis dans la campagne une maison genre ferme un peu retirée des grands axes.
L’accueil fut chaleureux. Le maître de maison, un grand gaillard, me mit la main au cul pour me tâter et il demanda à mon ami:
— Bonne pute?
— Oui, lui répondit Alain, elle accepte tout.
— Intéressant! Nous verrons.
Nous nous installons dans une chambre et il m’explique ce que j’aurai à faire. D’abord, il me déshabile. Une fois à poil, il en profite pour me sucer la queue qui est prête à éclater puis je prends la sienne en bouche et le pompe jusqu'à ce qu’il jouisse. La porte s’ouvre à ce moment et le maître de maison voyant le tableau, sort son pieu et m’encule à sec et à fond. Sa grosse queue me fait du bien, il aime prendre les putes à sec avant qu’elle soient excitées; après le cul est tellement dilaté qu’il n’arrive plus à resserrer (et on ne sent plus rien).
Après cet intermède, il me passe un collier autour du cou et m’enfile un gros gode dans le cul. Celui-ci se termine par une sorte de queue de cheval et nous voilà partis dans le salon. Très vite, je remarque que je ne suis pas le seul habillé ainsi.
La soirée commence. Trois magnifiques noirs entrent dans le salon, nus et la matraque en l’air. Quand je dis matraque, 22 à 25 cm et 7 ou 8 de large: des monstres. Je me dis que cela va être ma fête. Nos maîtres nous alignent en face d’eux et il retire le gode que nous avons dans le cul. Les noirs nous passent en revue. Il y a un qui s’arrête vers mon maître et il lui demande de m’écarter le cul. Alain s’exécute et me tenant les fesses bien écartées. Le noir me prend les hanches et m’encule à grands coups. Heureusement que mon cul était déjà ouvert par le gode car il m’aurait fendu en deux. Alain en profite pour m’enfiler sa queue dans la bouche. Tout le monde regarde le noir me défoncer. Puis vint son copain qui le remplaça et l’un après l’autre, tous aussi gros, ils m’ont défoncé. Le fion est naturellement rempli de sperme, ma bouche était aussi remplie, je ne pouvais pas tout avaler leur semence.
Puis vint le verdict: qu’elle était la meilleur pute? Je fus sélectionné avec deux autres. On nous emmena sur les sofas et installés à quatre pattes, ils amenèrent deux chiens qui se mirent à nous sucer le cul. C’était très bon mais les chiens, excités, ont commencé à monter sur nous. Les noirs faisaient office de guides; ils ont pris la queue des chiens pour les guider dans nos culs et là mes amis, nous avons servi de chiennes à ces braves animaux. Quand ils eurent terminé, il fallait nous départager pour savoir qu’elles étaient les 2 plus chiennes. Là encore je fus choisis.
Les viols ont commencé. Tout le monde nous a passé dessus, mon cul n’était plus qu’un vaste trou béant. Ils se mettaient à deux pour m’enculer et moi je jouissais comme une grande salope que j’étais. De temps en temps, on faisait boire une mixture et on en redemandait.
Puis vint le maître qui devait nous départager. Nous, à quatre pattes devant lui, le cul très ouvert, il amena une pommade et il nous enduisit le cul puis il se fit pommader les deux mains et il commença à nous doigter l’oignon. Il entra la main dans nos culs respectifs et c’est chez moi qu’il rentra le plus loin. Je suis déclaré vainqueur à ma grande joie et celle de mon copain. Il vint me le dire et naturellement j’avais gagné un super cadeau. Me tenant par le collier, le maître de crans m’emmena à l’étable où se trouvait un magnifique cheval. Il me dit:
— Voilà ton cadeau. Fais le jouir.
Je dus m’exécuter. La queue du cheval était très longue et énorme. Je le branle un peu, il réagit. Le maître me dit de le sucer; j’ouvre très grand la bouche et j’arrive tout juste à lui aspirer le gland. La réponse ne se fait attendre: une giclée de sperme m’envahit la bouche, j’en ai partout. Pendant que les noirs m’installent sous l’animal, il y en a un qui en profite pour m’enculer et il m’enduit d’une bonne couche de pommade. J’ai compris que le cheval qui avait repris de la vigueur allait me défoncer. Bien installé à hauteur de son énorme gourdin, le noir présenta la queue du cheval au bord de mon cul en retenant une peu l’animal. Celui-ci poussait régulièrement et sa matraque rentrait inexorablement. Le mitre mesura la longueur de queue que j’avais dans le cul: 25 cm.
— Elle peut en prendre plus!
Là je commençais à paniquer. Je bus encore du breuvage et le cheval continua la pénétration. 31 cm! Le noir régla le cheval et laisse l’animal très excité me bourrer le cul. C’était bon, je n’imaginais cela possible! Le maître annonce que la récompense allait arriver. En effet, le cheval se mit à décharger une incroyable quantité de sperme dans mon cul, j’ai cru que j’allais le recracher par la bouche. Mon ventre était plein à craquer. La bête se retira, ce fut un geyser de sperme qui sortit de mon cul. Puis, tout le monde partit. Je restais avec les deux noirs de service. Ils m’ont détaché, lavé au jet le cul à l’intérieur.
Et pour finir, je dus encore me baisser sur la grosse bite du noir et son copain en profita pour venir derrière m’enfiler la sienne. J’avais le cul tellement ouvert qu’ils sont rentrés comme dans du beurre et mon cul fut rempli encore une fois de sperme. Après s’être fait nettoyer la bite dans ma bouche, je demandais de l’eau pour me laver le cul. Ils ont trouvés mieux. Comme ils avaient très envie de pisser, ils m’ont pissé dans le cul et dans la bouche en riant.
Mon copain me ramena chez moi. J’étais en deux mais j’avais joui au moins 10 ou 12 fois. Je savais que je ne pourrais plus me faire baiser pendant 15 jours, mais quel pied ! ¤
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires