Partager l'article ! récit africain : hé hé monsieur l'ambassadeur...: Fichue chaleur africaine ...érotisme torride... Je ne tiens plus debou ...
Fichue chaleur africaine ...érotisme torride...
Je ne tiens plus debout, je décide de m'endormir sur mon lit puisque celui-ci est double. C'est presque le cas de le dire, à la guerre comme à la guerre. Si son corps occupe la partie droite de son lit, il n'en va pas de même pour ses jambes largement écartées. Je lui prends le pied gauche et tout doucement le ramène sur le côté. Ce mouvement ne le réveille pas, mais le fait se retourner. Il montre alors son sexe qui pend sur sa cuisse. Il n'est pas circoncis, mais son gland est naturellement décalotté. Je m'allonge sur le lit après avoir ôté mon pantalon, je n'aurais pas supporté de dormir avec. Mon slip est tellement fin qu'il est presque transparent, le coton est si lâche que mon sexe ressort de tous les côtés bien que j'essaye de le cantonner au milieu. Je bande tellement que je ne peux cacher mon état. Si j'avais eu quelques forces physiques je serais allé me branler dans la salle de bains, mais je n'en ai pas le courage..
Je m'allonge et ferme les yeux pour m'endormir, mais une douce odeur envahi mes narines, elle est très agréable. Mon esprit lent prend un instant pour en déterminer la provenance. C'est une odeur de fauve, de sexe. Je pense que ça vient de mon sexe qui bande encore mollement. Je me redresse pour vérifier. Je le sens puis me penche sur celui du jeune garçon. C'est le sien, il transpire et les pales situées au dessus de son sexe répartissent sur le lit sa mâle odeur. Je jette encore un coup d'oeil sur ce dernier avant de m'écrouler vaincu par la fatigue.
Le soir même, c'est le reporter qui me réveille en me secouant.
— J'ai soif, tu n'as pas une bière?
— Non, je hurle ce mot, aucune phrase ne m'aurait réveillé si brutalement que celle-là. Ce jeune garçon est véritablement un inconscient.
— Excuse moi, j'avais oublié, je débarque quasiment de Paris, tu sais.
Il est encore allongé près de moi, nu. ses larges épaules penchées au-dessus de moi, il me regarde.
— Maintenant qu'on est camarade de chambrée, tu peux te foutre carrément à poil, me dit-il. T'auras moins chaud et t'auras moins l'air con qu'avec ce slip ridicule.
Je suis un peu vexé, mais puisque mon slip est ridicule, je le retire. pour se moquer gentiment de moi, il siffle d'admiration en me regardant à poil. J'en suis gêné et mon sexe se gonfle, et ça, ça le fait rire.
— T'as quel âge, me demande t-il?
— Trente quatre.
— Où là ! jeune pour être ambassadeur, même au Cameroun .
— Tu t'appelles comment?
— Marc
— Enchanté. Moi, Philippe.
— Philippe, tu as de la glace? Est-ce que je peux en mettre dans un Thermos et en rapporter?
Je m'éclipse quelques instants dans la cuisine pour lui chercher des glaçons. A ce moment là les soldats arrivent. le temps de me rhabiller, je sors pour aller discuter avec eux. Ils resteront à l'extérieur autour de l'enceinte. Je rentre suivi de quelques soldats. Chacun d'eux porte une caisse de bière dans les bras. Je ne peux leur refuser de garder leur bière fraîche bien que cette situation me gêne. Arrivés dans le salon, ils sont tous aussi étonnés que moi de croiser Marc nu. Cette situation m'embarrasse encore plus. Très naturellement ce dernier déclare:
— Ah de la bière fraîche, quelle bonne idée.
— Cette bière n'est pas pour nous, je ne fais que la leur garder, c'est compris?
Marc me fait un signe d'approbation, mais il en pique une dès que les soldats sont repartis.
— Ca ne vaut pas une bonne Carlsberg, mais ça se boit.
J'ai envie de le massacrer et prie le seigneur que personne ne se mette à compter ces fichues bouteilles.
— Alors ces glaçons, tu les as? Apporte-les dans la chambre.
Dois-je m'étonner de sa familiarité ?
Marc s'est de nouveau allongé sur le lit, toujours nu. Il me demande de lui passer un glaçon sur le dos pour le rafraîchir. Je me suis calmé et exécute sa demande. J'en passe un sur sa peau. Son dos est large et mon glaçon fond rapidement. je dois rapidement en prendre un autre du thermos. Amusé, je joue avec son corps, je laisse le glaçon fondre tout seul sur sa peau et observe ses réactions. J'en passe un autre sous ses aisselles, il ne réagit pas; nouvelle tentative dans son cou pour le faire protester mas sans aucun succès. Belle "entrée en matière" ! Visiblement, il prend plaisir à ce jeu. Il ne dit toujours rien lorsque l'un d'entre eux placé sur la chute de ses reins fond en inondant son entre-fesse. Au contraire il écarte les cuisses de plus belle. Une première goutte coule lentement jusqu'à son anus et s'arrête là. Une seconde la rejoint aussitôt en suivant le lit tracé par la première. Ces deux gouttes d'eau commencent à former un mini lac sur son anus. Une troisième le fait presque déborder. Une quatrième précipite le tout sur ses testicules d'où les gouttes éclatent sur l'intérieur de ses cuisses.
Marc à ce moment soulève son bassin et passe rapidement la main sur son sexe. Ce dernier gonflé à bloc, le gêne, il le déplace. Le mien aussi bande comme celui d'un taureau. allongé sur le côté je ne le cache même pas.. Marc le visage enfoui dans son oreiller ne le voit pas.
Je décide de lui enfoncer dans l'anus un glaçon à peine fondu, sa forme me fait penser à un suppositoire. Celui-ci glisse avec facilité et mes doigts appliquent une caresse furtive sur cette douce partie de son anatomie. Marc hurle mais ses cris restent étouffés par l'oreiller. il ne relève pas la tête et se contente d'éjecter le glaçon et de serrer les fesses. Ces dernières se rouvrent toutefois presque aussitôt. Il me semble qu'elles s'offrent. C'est le moment de tout oser ! je repasse délicatement un doigt glacé sur son anus, celui-ci s'entrouvre légèrement. J'enfile à nouveau un glaçon, Marc ne réagit cette fois pas.
Je n'en peux plus, je monte sur Marc qui ne réagit pas. Je le pénètre, il hurle. Mon gland s'enfonce tendrement dans ce havre de fraîcheur. Enserré dans ce trou je sens mon sexe plus gros qu'il ne l'a jamais été. Le bout de mon gland enfonce à chaque va et vient le reste du glaçon encore plus profondément. Celui-ci disparaît vite, j'en remets un gros à la place. Marc rit et geint doucement, moi je fais un effort de volonté pour me retenir. Je ne sais pas quelles sont les sensations qui habitent mon corps. Il y a la fournaise de la pièce, la fraîcheur relative de son dos que je continue à caresser d'un glaçon et sur lequel mon ventre se rafraîchit. Il y a aussi sa muqueuse serrée autour de mon sexe et le froid de la glace que mon gland repousse à chaque instant.
N'en pouvant plus, je mords son épaule. Sa peau est douce est élastique, elle s'enfonce dans ses muscles sous la pression de mes dents. D'un coup de canine je raye sa peau qui devient rouge et je m'attaque à son cou que je mordille de ma bouche ouverte. Jamais pulsion ne m'a étreint comme ça. Mes mouvements se font de plus en plus rapides et brutaux. Marc déjà raidi hurle à chacune de mes poussées. Je ne veux pas l'abîmer, mais je ne peux plus me contenir. L'odeur de son corps me rend fou.
J'explose en de nombreuses vagues de sperme. A la fois exténué et apaisé. Un océan de bien-être m'envahit. J'aimerais rester là des heures. Je glisse mon énorme sexe en dehors de son anus qui n'a même plus la force de se refermer. La vue de mon gland sortant de ce trou béant me ferait bander de nouveau.
Je décolle lentement le visage de Marc collé par la sueur à l'oreiller. La transpiration lui marque le visage, ses yeux restent fermés collés. Il ne bouge plus, totalement abandonné à la chaleur à laquelle je dois ce moment d'abandon qu'il a eu. Je pose lentement mes lèvres sur ses paupières et les lèche consciencieusement, mais Marc préfère garder les yeux fermés. Ma langue glisse alors doucement entre ses dents. Les faibles mouvements de sa bouche contre la mienne m'indiquent tout le plaisir qu'il a de moi.
La chaleur continue, Marc et moi sommes consignés à l'intérieur de l'ambassade. Nous n'avons pas grand chose à faire. Il n'y a qu'un seul lit à occuper. Marc, impudique reste toute la journée nu. Son sexe pend, je le regarde.
L'Afrique est un enfer, elle rend fou. Il n'y a ni amour, ni romantisme possible en Afrique. Elle est une maîtresse, jalouse beauté qui n'accepte aucune rivale, ni aucun rival. Elle ne nous donne ni la force, ni le courage d'aimer, mais elle exacerbe nos sens. Ici, l'homme est un animal en rut qui assouvit ses besoins primaires et l'acte sexuel est purement instinctif.
Le métier de Marc lui colle au corps. Il a l'air d'un baroudeur toujours en escale. De son corps large se dégage une très grande présence que son esprit frondeur vérifie.
Depuis que je l'ai rencontré une révolution s'est opérée en moi.
Maintenant comment pourrais-je me passer de lui et vivre à nouveau seul? Il doit rester le plus longtemps possible auprès de moi, pour moi. Mon corps s'est attaché au sien. Pourtant comment l'aimer d'amour alors que je le connais depuis si peu de temps.
— Marc, le Président souhaite que tu lui donnes les films que tu as tournés à l'université. Tu devrais les lui donner, ça ne sert à rien de mettre le pays encore plus à feu et à sang.
— Non mon métier est de rapporter l'information, je compte l'exercer.
— Je ne peux ni te juger, ni t'obliger. Pour l'instant tu restes sous la protection de l'ambassade. Ca peut durer quelques temps.
— J'attendrai, je ne pense pas qu'on s'ennuie tous les deux, me dit-il avec un clin d'oeil.
Cette phrase me blesse. Marc est à moi et non moi à lui. Je lui dénie le droit de profiter de mon plaisir. Moi seul peut tirer jouissance de lui et décider quand je voudrais l'entreprendre.
J'ai honte de moi et de ma réaction. Voilà ce que l'Afrique fait de moi, un être d'égoïsme, de sexe sans amour. Je me sens profondément injuste. Je veux me racheter.
— Tu veux me prendre maintenant?
— Tu sais hier, heureusement que tu ne m'as pas demandé de jouir, j'en aurais été incapable. La chaleur et la fatigue de ma fuite m'avaient complètement anéanti, mais maintenant je vais te baiser mon vieux ! .
— Montre moi ça.
— Tu as refait de la glace?
— C'est ta technique la glace?
— Non mais ici, ça s'impose je crois, dit-il en s'essuyant le front. Si tu veux que mon sexe retrouve quelque vigueur.
Le temps d'aller chercher de la glace au réfrigérateur, je retrouve Marc allongé sur le lit. Son sexe est différent, il n'est plus dormeur. Il se redresse, des veines apparaissent. Elles irriguent un gland à demi-décalotté. Les bras relevé au dessus de sa tête. Marc joue les divas et attend qu'on s'occupe de lui. Je cale le bol rempli de glaçons sur le lit et m'approche de ce sexe entrouvert. Je fais glisser la peau pour en faire apparaître totalement un gland rouge carmin. A ce moment, une odeur que la chaleur ambiante rend enivrante se dégage de ce dernier. Je ferme les yeux, et mes lèvres proches de son sexe arrêtent leur mouvement conquérant pour me laisser m'emplir de ces fragrances capiteuses.
Marc relève les cuisses, il fait apparaître au niveau de mon visage, à la fois son sexe, mais aussi ses testicules et son anus. Je me positionne en face d'eux, il pose ses jambes sur mes épaules et me serre le cou m'obligeant à m'approcher plus près encore de son intimité.
— Nettoie mon anus avec un glaçon, me dit-il, et suce-le.
A tâtons je retrouve le bol et plonge mes doigts dans un bain froid duquel j'extrais un morceau de glace. Sous les caresses, l'anus de Marc palpite, se détend et se contracte au rythme de ses gémissements. Ma langue remplace rapidement la glace et s'enfonce dans le pli entrouvert. Mes va-et-vient l'excitent au plus haut point. Il écarte ses cuisses pour être encore plus offert. Je laisse un morceau de glace commencer de nouvelles découvertes spéléologiques. Celui-ci nettoie les parois et ne laisse à ma langue que la douce sensation des muqueuses protégées.
Ma langue est trop courte et il y a encore beaucoup à explorer. Je me redresse d'un coup et plonge mon sexe dans ce terrain préparé. Marc à les genoux à la hauteur de mes épaules, son cul est en l'air et je le tiens solidement dans mes bras. Mes cuisses cognent fort contre ses fesses, et à chaque instant le choc s'amplifie. Marc ne gémit plus, il crie, je jouis.
Nous sommes en eau, et lorsque je m'effondre sur lui, nos corps glissent l'un sur l'autre. Je l'embrasse fougueusement et saisis son sexe humide de la main. Je le caresse pour qu'il reprenne consistance. Je le sèche avec un pan du drap et frotte partout. Marc veut jouir, il bande, son sexe est incroyablement rouge. Je saisis la base de sa verge et la serre pour faire refluer le sang sur son gland. Celui-ci devient énorme, prêt à craquer. Les bords se séparent de la hampe, chaque trait de sa peau se précise. Je colle mon nez à la naissance du gland, là où naissent les parfums enivrants. Après avoir empli mes poumons de ses senteurs, je reprends un morceau de glace et le passe sur sa verge. Son gland nettoyé brille sous la pure luminosité africaine.
Il reste à Marc de prouver ce qu'il a affirmé car voilà deux fois que je le possède complètement.
La peau est séchée en un instant par la douce brise du ventilateur. Mes lèvres glissent sur elle, je les laisse se promener afin d'en sentir la délicate texture. Sentir le moelleux et la rondeur de son contact. Enfin ma langue passe sous les bords du gland, puis ma bouche le recouvre entièrement. C'est mouillé, ça glisse, ma langue s'agite, tourne, plonge et se redresse à nouveau. Elle essaye de pénétrer son canal urinaire et repart pour un tour circulaire, c'est la fête...
à suivre si vous aimez !
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