Partager l'article ! psychologie~>Un psy : -« je dis toujours à mes patients : « vas-y, déconne » et quand ils s'arrêtent je déconne moi aussi pour les relancer. ...
parle, parle, ne t'arrête pas surtout...je suis un fervent adepte de la parole
Il ya un lien entre inconscient et parole érotique. Les liens entre érotisme et inconscient sont particulièrement visibles. L'art de la baise est hyperréaliste par nature, c'est d'abord l'art érotique qui revient au réel il n'y a rien de plus tangible qu'une bite et un cul ; or revenir au réel pur, c'est revenir à ce qu'on dit pendant la baise, revenir au langage.
La psychanalyse est omniprésente dans le surréalisme et l'érotisme est intrinsèque au surréalisme ; ci-dessus cette toile de Max Ernst s'intitule : Oedipe Roi...
se laisser aller, c'est comme ça qu'il faut faire quand la sexualité est bloquée, qu'on ne bande pas ni ne dédire pas être baisé : Quel est le rapport entre langage et conscience ? Pour Freud, l'une des principales différences qui séparent les contenus conscients et préconscients des contenus inconscients, c'est que nous pouvons les formuler dans le langage. Freud utilisait le langage pour séparer le domaine de l'inconscient du domaine du préconscient. Un contenu psychique préconscient n'est pas actuellement conscient, mais il peut le devenir à tout moment ; et il peut le devenir, car nous pouvons le dire, l'exprimer. Pour Freud, pouvoir penser quelque chose, c'est pouvoir le formuler ; comme l'indique la langue française, penser, c'est "se dire" quelque chose, exemple je me dis "je veux sucer ou être enculé".
On est bloqué par l'inavouable : on ne peut pas penser une idée sans savoir la dire: même dans notre pensée intérieure, nous avons besoin du langage pour donner corps à nos idées. Et pour Freud, un contenu inconscient est un contenu psychique dont la verbalisation est "bloquée" : les mots manquent, ils sont censurés.
"pute, salope, trou à jus ..." ces mots en même temps orduriers et tendres qui nous viennent...
On voit déjà, à la lumière de cette idée de Freud, en quoi le langage peut jouer le rôle de censure. Si on ne peut penser que ce que l'on peut dire, alors il faut admettre que ce qui ne peut pas être formulé dans le langage ne peut pas non plus être pensé consciemment, c'eest ainsi que l'on ne tolère pas les mots grossiers chez les enfants.
le langage dicte ses lois à la pensée, mais pas à nos désirs profonds... Ce n'est pas parce que je m'interdis de dire à un mec que je kiffe "baise-moi" que je n'ai pas envie qu'il me baise !
Pour le psy, faire émerger notre réalité intérieure, c'est tenter de la libérer de cette "censure" opérée, à travers le langage, par la pensée consciente. "Oser dire je veux te baiser ou baise-moi , c'est une victoire énorme !" L'idée est simple : il faut essayer d'exprimer les contenus de notre psychisme en acceptant de transgresser les lois de la pensée consciente, de la morale bienpensante les lois du langage. exprimer librement notre esprit, c'est libérer l'expression du joug de la grammaire étriquée de notre conscience.
Parler, parler, parler...dans la grammaire du cul
"Complètement lâché : " Lui, quand il s'est désapé, je lui ai dit en voyant sa queue royale «et tu vas me mettre tout ça dans le cul ? » Lui, flatté me dit : «uhuh » Je ne savais pas que j’étais encore très loin du sommet du vrai plaisir, cela faisait bien une dizaine de minutes que je me faisais doigter le cul par 3 doigts et que je suçais en même temps une belle bite lorsque que je sentis les doigts sortir de mon cul,
ça m'a déclenché j’ai alors crié : « NON, j’en veux encore ».
J’ai senti un gland se poser et pousser contre ma rondelle. J’ai alors crié : « OUIIIIIIII défoncez-moi ». Et surtout parlez-moi ! Une voix dit « Je vais y aller avec douceur, pour te dépuceler, petite salope ». J’ai répondu : « Merci, mais surtout continuez, je veux être une salope ». « Tu la sens rentrer maintenant, salope ? » «Oui, comme elle est dure et grosse, elle me défonce, merci !» dis-je dans un souffle. « ouaihhh, une vraie opération chirurgicale : tu le sens mon bistouri qui te découpe ? tu veux toujours que je te parle ?» «ouiiiihhh, dis moi ce que tu vois parce que moi je vois rien, je peux que sentir ta "viande" dans mon cul » « » « Tiens, regarde-toi, regarde-nous plutôt : j'ai mis la cam et l'ordi en route tu as ton cul défoncé sous ton nez» Emerveillé, subjugé par l'intensité de sa baise lente et forte je ne trouvais plus de mots sinon des «ahhh » «mmmhhh »plus ou moins hachés ou continus, plus ou moins forts aussi. Je viens de me mettre à penser : « qu'aurait dit Freud de ces "ah", "mm", et même "oh" ??? »
Une fois qu'il a été entré dans mon cul, je gardais l’autre sexe dans ma bouche, mais ne suçais plus car la douleur était forte t ne pouvais plus parler. Ô bonheur, sans le voir, rien qu'à le sentir me ramoner doucement il me semblait ?? voir??sa bite en gros plan caresser mon boyau. Ce fut plus fort que moi qui étais sous lui, la poitrine comprimée sur l'oreiller, partageant sa respiration, sa bouche haletait doucement à mon oreille, je lui dis : «Tu te rends compte, ta chair contre ma chair, dans ma chair je veux dire, on est unis par ça, on pourrait fondre ensemble...chiche ! oh, ça te paraîtra con mais "je t'aime"» Et lui qui ne trouvait pas de mots me faisait des «hum hum» gentils dans mon oreille mouillée de sa salive. Arrivé bien au fond, il ne bougea plus pendant quelques secondes, et lorsqu’il commença un très lent va et vient, la douleur fit place progressivement au plaisir en même temps , alors je me remis à sucer l’autre queue et je gémissais quand je ne pouvais plus parler.... "¤
pour muettes qu'elles soient, ces images "parlent" d'elles-mêmes :
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