Partager l'article ! "ton souvenir en moi luit comme un ostensoir" Charles Baudelaire: Massage glissant "- excuse... - ....3 &nb ...
J'ai recroisé le chemin de Samuel il y a peu. Nous étions très proches à la fac. Et ça nous semblait tout naturel de poursuivre là où nous en étions restés. Nous prenons beaucoup de plaisir à passer des moments ensemble, de temps à autre.
Cet après-midi il me prévient qu'il n'a pas la grande forme. Des douleurs au dos après un déménagement acrobatique. Je lui propose de se voir quand même. Je vais le détendre avec un massage, c'est le minimum.
Il commence à se déshabiller dans le salon, il pense que je vais m'occuper de son dos sur le canapé.
- pourquoi pas le canapé ? Pourquoi tu fais cette tête-là ?
Je rigole. " je ne travaille pas à la sauvette sur un coin de canap' ! Va t'installer dans ma chambre, j'arrive"
Il ne fait pas de manières et il est obéissant ! Il monte les escaliers, son tee-shirt à la main. Son dos s'est musclé ces derniers temps. Sans
doute grâce à la salle qu'il fréquente depuis quelques temps. Il gravit les marches de sa démarche décontractée. Il a beaucoup d'allure avec ses cheveux mi-longs. Les atouts de la quarantaine qui
s'épanouit !
Je lui ai dit de se déshabiller et de s'allonger sur mon lit. Je passe à la salle de bain chercher mon huile. J'ai toujours un flacon d'une bonne
huile de massage, pour les détentes occasionnelles et les douleurs passagères. Il est baissé, en train d'enlever ses chaussettes, lorsque je reviens. Je le détaille un peu mieux. Il a changé en
quelques années. Ses cuisses sont plus musclées, ses épaules aussi. Et il y a tous ces poils qui couvrent sa poitrine jusqu'à son bas-ventre...
Il me regarde avec une interrogation dans le regard, et quelque chose d'un peu maladroit dans son attitude. Comme s'il était un peu intimidé. Pas
son genre pourtant. Je fais l'effort de décrocher mon regard de ses pectoraux aux tétons larges et bruns.
- tu n'as qu'à t'allonger là, dans la longueur. Laisse ta tête dépasser au bord, ça t'évitera d''avoir mal au cou.
- ah ok ! Je n'ai pas à faire à un débutant on dirait ! Je suis entre de bonnes mains, c'est cool.
Je me sens décontenancé. Je laisse mes mains jouer avec la bouteille d''huile, par réflexe. Je ne sais plus quel genre de massage je voulais lui
faire... Il se retourne, pose un genou sur le lit et va pour s'allonger. Son boxer bleu se tend sur ses fesses. Il a bien pris un peu de bide, mais toutes ces petites rondeurs sont à mes yeux
plutôt charmantes. Et de dos il n'y a rien à dire.
La bouche sèche, je laisse glisser mon regard vers ses reins, épouser la forme de son cul que je devine ferme, et descendre vers ses cuisses.
Quelques poils blonds plus longs remontent le long de sa jambe et s'insinuent dans son boxer, qui baille légèrement. Ça ne dure qu'un instant. Mais un éclair de chaleur m'envahit, remontant de
mon ventre jusqu'à ma tête. Il se tourne vers moi. Je dois avoir l'air hébété.
- ça ne va pas ?
Affichant un sourire de la gamme " détendu-cool " je réponds sans le regarder en face :
- si, je me demande seulement si cette huile est la plus adaptée, mais en même temps, je n'ai plus que celle-là ! "
Je hausse les épaules pour me donner une contenance, " on va s'en débrouiller. "
Samuel affiche un large sourire confiant. Il est allongé sur le ventre, appuyé sur un bras. J'évite ses cuisses du regard. Elles sont solides,
écartées dans le déhanchement qu'il opère pour me regarder.
- t'inquiète, j'ai toujours davantage cru aux bienfaits du masseur que de son matériel ! " Et sur ce, il s'aplatit en poussant un soupir. Sa nuque
massive retombe. Elle se prolonge par des épaules plutôt carrées et un dos musclé qui s'amincit vers la taille. La lumière réduite qui entre par la fenêtre dore ses mollets ronds. Ils les a moins
poilus que ses cuisses, mais plus doux.
Je n'ai pas assez de mes yeux pour le toucher.,
- je te masse tout le dos ? Ça ne te fera pas de mal de toute manière.
- je vote pour, grommelle-t-il, la bouche enfouie dans la couette.
Je retire mon tee-shirt pour être plus à l'aise de mes mouvements, je pense que ça va être du boulot.
En un rien de temps je suis en nage. Quelques gouttes de transpiration tombent de mon front sur son dos. Il respire moins fort depuis quelques instants. Endormi sans doute. Ses muscles sont tendus et je fatigue à m'acharner sur ses épaules musclées et contractées. Je répands encore plus d'huile sur ses omoplates et la fait pénétrer par des mouvements larges. Peu à peu il se détend. Sa tête roule de gauche et de droite selon mes mouvements. Je fais glisser mes mains vers le milieu du dos. Je travaille ses flancs. Il semble complètement abandonné. Je pose mes paluches huileuses sur ses reins, où sa douleur est localisée. C'est une zone que je trouve très érotique, chez un homme. Blottie au bas du dos, souvent offerte aux regards, se dévoilant sous une ceinture de jeans, pas intime mais presque. Mon sexe réagit à mes pensées qui s'égarent. Je respire un grand coup en passant le dos de ma main grasse sur le devant de mon boxer.
Toujours à genoux au-dessus de lui, j'enjambe sa cuisse droite pour faciliter ma position, et limiter la fatigue de mon propre dos.
Mes mains huilées remontent sur ses flancs et glissent de haut en bas sur sa colonne. L'huile me facilite la tâche. J'ai l'impression de le caresser
à travers un voile, comme s'il était presque nu, offert. J'insiste sur ses reins par des mouvements concentriques plus appuyés. Je suis penché au-dessus de lui. Ses bras sont relevés, dégageant
ses aisselles. Ses poils sont là très fournis, plus foncés, et humides de sueur.
Je ne sais pas s'il dort vraiment mais là, je m'en fous. Je fais remonter une main le long de ses côtes et caresse au passage le dessous de son
bras. J'insiste un peu, comme pour le détendre. Je me fais plaisir. Il a un sursaut. Chatouilleux ? J'appuie plus fermement pour faire disparaitre cette gêne passagère. Je suis bien excité.
Penché au-dessus de son dos, j'absorbe les effluves musquées de son corps qui se mêlent à celles de l'huile. Je me penche un peu plus, ramène ma main droite à mes narines. Mon sexe gonfle.
J'écarte les cuisses par réflexe. La bosse de mon short touche son boxer. Puis à nouveau, au fil de mes mouvements. Je n'insiste pas, mais j'ai une gaule phénoménale.
Le problème c'est que je ne porte rien en dessous. C'est une espèce de short de jogging. Léger, mais pas discret pour les
érections.
Je fais redescendre mes mains et réchauffe ses reins par des mouvements amples qui descendent sue les côtés. Je me penche, mes mains s'insinuent
presque à lui toucher l'aine. Il gémit doucement. Un grognement qui monte de sa gorge, ou de plus bas...
- oui c'est là... Ouah c'est bon, tu peux appuyer fort, ça ne me fait pas mal quand je suis allongé. Mais bordel qu'est-ce que c'est
bon."
Je ne reconnais pas Samuel, enfin pas celui que je croyais connaitre. Ouvert d'esprit, certainement. Ouvert à tout ? Peut-être
pas...
Au diable les hésitations. Il m'a chauffé, je n'arrive pas à me contenir. J'ai les couilles brûlantes, la queue qui me lance tellement elle est
tendue. Je la prendrai bien à pleine main pour me soulager, là tout de suite. Un frisson d'excitation me remonte le long de la colonne, pulse dans ma tête.
- Je vais foutre de l'huile sur ton boxer si je continue comme ça, tu peux baisser un peu la ceinture ?
- Mm ? Il tourne la tête sur le côté. Le bout de sa langue vient mouiller ses lèvres. " j'aurais dû l'enlever tout à l'heure directement ". Et d'un
mouvement de reins il décolle son ventre du lit, se met presque à quatre pattes. Son cul plus clair se rapproche de moi. Il fait glisser son boxer bleu le long de ses cuisses. J'aperçois
furtivement ses couilles bien rondes qui ballottent furtivement entre ses jambes. Son membre parait épais, le gland du moins. Son dernier vêtement atterrit par terre. J'ai super chaud. Je passe
ma main dans mon sous-vêtement qui devient trop étroit, et coince sous ma ceinture ma gaule encombrante. Samuel s'est rallongé. Il n'a pas vu mon geste. Ses jambes sont maintenant davantage
écartées, dévoilant la raie poilue de son cul. Mes yeux la fixent, puis glissent vers ses couilles chaudes et lourdes. Il relève son bassin un instant pour remettre sa bite en place. Son geste
est viril, assuré. Ses fesses se sont contractées un instant sous mes yeux. Je suis en train de mouiller.
J'oublie un peu le massage thérapeutique promis. Je caresse son cul de ma main encore huileuse. Je ne sais pas trop ce qu'il va en penser. Ses reins ondulent imperceptiblement. Sa main droite descend le long de sa cuisse et remonte sur la mienne. Je loupe une respiration.
- merde, j'ai mis trop d'huile.
Elle forme une flaque dans le creux de ses reins, une mare presque. Je referme hâtivement le flacon.
- ne bouge pas, ça va aller.
Il sort de sa torpeur et grommelle un "hum, quoi ?" en tournant à demi la tête.
- bouge pas !
Trop tard. L'huile glisse vers le haut de ses fesses, s'insinuer dans sa raie plus sombre. Une fraction de seconde d'hésitation. J'y glisse un doigt
pour ralentir la coulure. Puis un deuxième que je colle au premier en les remontant vers son dos. Il écarte les cuisses. Réflexe ?
Je vois le liquide gras continuer à glisser vers ses bourses. Son anus, lisse, est brillant, d'huile ou d'autre chose ?
Je lève les yeux vers sa tête. Il s'abandonne. Son dos est relaxé. Je repasse un doigt le long de sa raie légèrement poilue. J'étale carrément
l'huile. Je me fais plaisir.
Ses cuisses sont largement écartées, ça n'a pas l'air de lui déplaire non plus. Je mate ses couilles gonflées écrasées sous son corps. Elles
roulent au rythme de mes mouvements, au rythme de son bassin. Tangage lent, intense. Son cul puissant monte vers moi par vagues. Je salive. Je ne sais pas de ma bouche ou de mon gland lequel est
le plus mouillé. J'insinue en le vrillant mon index dans son cul, qui le happe.
Samuel grogne. Il soulève son bassin. Ses cuisses se crispent. Je vois son cou se tendre et et ses épaules rouler. Le plaisir semble le traverser de
part en part. Il déplie son bras droit et lance sa main à l'aveuglette vers moi. Elle remonte le long de ma cuisse et m'électrise. Ses doigts larges et chauds saisissent ma queue hyper bandée.
Ils me caressent avec une certaine rudesse très jouissive. Il sort ma trique. Pris par surprise, je gémis lorsqu'il se met à me pincer le frein. Je suis à deux doigts de juter. Je me ressaisis,
et j'enfonce deux doigts bien profond, qui atteignent sa prostate. Il se cambre en feulant. Il en profite pour me serrer lentement le mandrin à peine main, c'est presque douloureux.
Je ferme les yeux quelques instants, j'ai perdu tout contrôle l'espace d'une respiration. Je ressors ma main doucement de son cul et lui masse le
trou.
Je rouvre les yeux. Son regard lubrique est fixé sur moi. Il s'est tourné sur le côté. Je baisse les yeux vers sa pine, tendue en un arc bouillant
de testostérone vers son nombril.
Turgescente et épaisse. Son gland cramoisi est presque décalotté. Luisant de mouille.
Il me branle le gourdin tout doucement avec sa grosse paluche. Elle est gorgée de sang et vibre dans sa main chaude.
Je me rapproche insensiblement de son cul, au rythme des mouvements de son bras. Sa raie est moite, offerte, ses grosses bornes ballotent entre ses cuisses. J'ai envie de l'enculer. Je ne pense plus qu'à ça.
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