Jeudi 11 mai 4 11 /05 /Mai 08:10

  2017 récit gay je me suis réveillé ce matin avec cette envie de bite dans mon cul dilaté comme si je venais de me faire baiser. Je suis allé à mon ordi et j'ai retrouvé ces récits publiés sur mon blog il y a trois ans...depuis j'ai moi aussi passé la ligne...-lol- et la vie est belle ENJOY CES BELLES HISTOIRES

 

Naturellement il n'y aura aucune illustration, merci de votre compréhension.              

      Aujourd'hui, Ivan,  Nico et Noë sont devenus adultes. Votre initiation, à chacun,

 a pu être bien différente, quel que soit votre âge à ce moment-là, et quel que soit votre rôle, actif ou passif ou les deux . Puisqu'il était sûr, d'après lui, dès 12 ou 13 ans,  d'être homo... Etant donnée sa détermination, l'initiation de Nico, sans avoir été programmée, stricto sensu, semble de nature à dissiper  tout doute  et donc permettre le choix. Si tant est qu'on choisisse vraiment "son destin".    

Bien sûr le présent blog reçoit avec un immense plaisir commentaires, témoignages, critiques . Merci !  

Ben vous l'entendrez pas (c'est plié ! ça n'a pas tenu 3ans ! ) 

 

go-> 1. audio  IVAN  nous parle d'avant sa première expérience  

Les masculinités homosexuelles sont multiples. Chacun a sa propre expérience. Une série d'histoires sur le miroir que l'on a de nous mêmes.

go-> 2. récit  Ma première sodo

par nico7659 qui nous parle d'avant, pendant et après sa 1ère   

   

Texte complet

J'avais 15 ans pour ma première sodo, comme passif.

Je m'appelle Nicolas, j'habite la banlieue de Paris avec mes parents. Je ne suis ni mince, ni très musclé, 1 m 76. J'ai une belle queue dont je suis fier, 15 cm avec des poils blonds autour mais pas très épaisse.

A l'époque cela faisait pas mal de temps que je me branlais en regardant des vidéos porno gay sur mon ordi, de préférence des vidéos avec des jeunes mecs qui s'enculent. Je m'imaginais naturellement à la place de celui qui se fait enculer, avec envie, et je me touchais souvent le trou en même temps. J'avais découvert qu'un peu de beurre introduit dans mon petit trou faisait merveille, ça me permettait d'y mettre un et même deux doigts et me procurait beaucoup de plaisir. Il fallait juste que je fasse gaffe de ne pas me faire voir en allant chercher une noix de beurre dans le frigo (mes parents auraient trouvé ça bizarre que je mange du beurre mais heureusement ils n'auraient pas soupçonné la vraie raison), et que je fasse gaffe aussi de ne pas en mettre partout. Une fois ou deux j'avais fait des traces de beurre au fond de mon slip après une séance de branle, j'espérais que ma mère ne l'avait pas vu, pourtant je prenais garde de m'essuyer avec le vieux t-shirt que j'utilisais pour juter dedans, caché au fond de mon placard.

Les vacances d'été étaient là, et j'allais me trouver tout seul pendant 3 jours à la maison. En réfléchissant à ce que je pourrais faire d'intéressant pour profiter de cette liberté fantastique, je pensai au sexe, et soudain une idée : je pourrais réaliser mon rêve de me faire sodomiser. J'étais conscient que c'était difficile de trouver un partenaire de jeu juste pour ça, et je ne voyais pas comment m'y prendre, mais l'idée était tellement excitante que j'en bandais dès que j'y pensais à partir de ce jour. J'ai cherché une bonne partie de la soirée et de la nuit, comment trouver un mec pour faire ça. Je ne connaissais personne avec qui il soit envisageable une seconde de proposer "salut, tu voudrais m'enculer ?". Je me suis donc mis à la recherche d'un site de rencontre gay, et là problème : tous les sites sont prévus pour les mecs de 18 ans minimum. Je pouvais mentir sur mon âge mais quand même quatre ans de différence ça faisait beaucoup, je ne pouvais absolument pas passer pour un mec de 18 ans. Heureusement j'ai finalement trouvé un site pour ados gay (zagay). J'ai commencé à me créer un compte, il y avait plein de questions à répondre sur ma vie, mon œuvre, et tout ça, mais je ne savais pas quoi dire, et j'ai finalement écrit dans mon profil "salut, Nico, pour faire des rencontres". Ca laissait la possibilité de deviner que je pensais à des rencontres sexe, sans passer directement pour un obsédé. J'ai mis une photo de moi en caleçon et t-shirt blanc dans ma salle de bain, qui allait de sous mes yeux à mes pieds, comme ça on me voyait sans être sûr de me reconnaitre.

J'ai eu super vite plein de messages ! En gros il y avait trois genres de messages : ceux qui me disaient juste salut, ceux qui avaient mon âge et qui voulaient devenir mon ami/amoureux, et ceux qui étaient nettement plus âgés que moi et qui voulaient discuter. J'ai été étonné de cette troisième catégorie car je croyais le site réservé aux ados. J'ai commencé pas mal de conversations par messages sur le site, et je gardais à l'esprit un objectif : baiser en vrai dans deux semaines.

La plupart des conversations ne m'ont pas permis de dire que je voulais juste du cul, ils étaient trop romantiques alors j'essayais de ne pas trop répondre. C'est les mecs plus âgés qui m'ont permis de dire ce que je voulais. Un mec en particulier avait l'air super sympa, Marc 32 ans, il me mettait bien à l'aise car ses messages étaient sur le ton de la plaisanterie, il parlait de lui, et ne me demandait pas trop de trucs sur moi. Il a peu à peu amené la conversation sur mon sujet favori, le sexe.

– Lui : et sinon, coté sexe, ça va ?

– Moi : bah oui enfin j'ai pas trop d'expérience quoi

– Normal à ton âge. t'as déjà fait des trucs avec un mec ?

– Justement pas encore mais j'y pense

– T'y penses comment, t'as envie de faire l'amour avec un mec, t'as un copain ?

– Disons que pour ça je vais trouver un mec juste pour une première expérience

– Ah ok, je comprends. Si tu veux je suis là

– Merci mais je pensais plus à un mec de mon âge

– Normal pas de pb. Tu veux faire quoi avec lui plus précisément ?

– Bah baiser quoi

– Ok mais bon, des bisous, sucer... ?

– En fait c la sodo qui m'intéresse pour tout te dire

– Ah bien, tu te vois plutôt comme actif ou comme passif ?

– Passif

Sur ce, notre échange s'est arrêté là car ma mère voulait que je me couche. Je commençais à m'inquiéter car je ne trouvais pas de mec de mon âge pour un simple plan cul et il ne restait que quelques jours pour en trouver un. Petit à petit l'idée qu'un mec plus âgé pourrait m'enculer faisait son chemin. J'étais surtout inquiet par la taille des queues d'hommes, qui dans mon esprit étaient bien plus grosses que la mienne qui n'était qu'une bite d'ado de 15 ans, et j'avais peur que cela rende impossible ou douloureux une pénétration dans mon petit cul vierge. En fait sur la question de la douleur, je me disais que la sodo ne faisait pas mal au contraire que du plaisir, comme j'avais pu le lire sur le net et surtout comme je le voyais dans les vidéos pornos. La suite allait me montrer le contraire...

Marc ne lâchait pas le morceau, il continuait à m'envoyer des messages, et à proposer ses bons et loyaux services comme initiateur dépuceleur.

– Lui : tu sais on n'est pas obligé d'aller au bout, si tu veux on essaie juste un peu et si ça te plait on continue

– Moi : je sais pas, j'ai un peu peur de la taille de ta queue, elle est comment ?

– Elle fait 18cm de long sur 5cm de large, c'est une belle bite mais assez normale

– Wow c gros en fait

– Oui enfin c normal. j'ai déjà enculé des jeunes et je peux t'assurer que ça s'est super bien passé.

– Ah bon ? des jeunes de kel age ? de mon age ?

– Oui, de tous ages en fait

– Ah...

Nous avons continué nos échanges de messages, les choses se précisaient et il était quasiment acquis qu'on allait le faire. Quand est venu le sujet de où on le ferait, je pensais qu'on le ferait chez moi, mais il a été catégorique : chez lui. C'était bien la peine d'avoir la maison pour moi... mais bon pourquoi pas.

Finalement on est arrivé à se fixer rendez-vous, il m'a donné son adresse, je devais venir dans deux jours à 16h. Pendant ces deux jours je n'ai pensé qu'à ça, je me demandais si c'était bien une bonne idée et en même temps j'étais super content, super excité.

Le jour J, j'ai pris une bonne douche pour être bien propre, y compris le rinçage comme Marc m'avait indiqué, en faisant rentrer un peu d'eau dans les fesses avec la douche pour être clean dedans. Je me suis habillé d'un slip blanc propre, short beige, t-shirt blanc.

J'ai été prendre le train de banlieue (il habitait à 15 min) pour aller chez lui. C'était bizarre j'avais l'impression que les gens pouvaient lire sur mon front : salut j'ai 15 ans je suis puceau et je prends le train pour aller me faire sodomiser. Mais je bandais dans mon slip, j'étais mû par mon désir de sexe. C'était comme aller à un rendez-vous chez le médecin, à une heure précise de rendez-vous, sauf que j'allais me faire enculer. Cette situation m'excitait beaucoup, je me voyais à la place des mecs dans mes vidéos favorites en train de me faire limer le cul.

Je suis arrivé devant son immeuble, je me suis dit : c'est maintenant que je renonce ou pas, ensuite ce sera trop tard. Pas question de renoncer au contraire, je sonne à l'interphone, ça s'ouvre, je monte et trouve la porte entre-ouverte sur le palier. Marc était là, à peu près comme sur ses photos : la quarantaine, plutôt mince et musclé, habillé en jogging et débardeur, pieds-nus. J'avais le cœur qui battait, je ne savais pas trop comment ça allait se passer. Heureusement Marc prenait les choses en main, on est allé dans le salon, il a parlé un peu de banalités sur le temps, il m'a proposé à boire un coca et en a pris aussi. Au bout de quelques minutes il a commencé à venir sur le sujet du jour, pour lequel j'étais là : me faire dépuceler du cul. Il a sorti du tiroir de la table basse un gros flacon de gel "swiss navy" et une capote qu'il a posés, histoire de commencer à entrer dans le concret. Il m'a demandé si j'avais pu me rincer le rectum, il était satisfait que je l'aie fait, car j'allais avoir droit à une sodo profonde vu mon jeune âge. Je lui ai demandé ce qu'il entendait par là, il a dit que c'est quand on se fait pénétrer profondément, et que à 14 ans ce serait profond pour moi si j'arrivais à prendre toute sa queue. Ah bon, pour moi c'était toujours comme ça que je l'avais vu et imaginé.

Marc m'a demandé de me mettre debout, devant lui resté assis dans le canapé, et de me déshabiller. J'ai commencé par enlever mes chaussures et chaussettes, puis mon t-shirt. J'ai tout de suite vu que Marc commençait à bander et qu'il n'avait pas de slip sous son pantalon de jogging. J'ai lentement retiré mon short, j'étais en slip et moi aussi je bandais un peu ça faisait une bosse et j'étais bien content d'enlever mon slip pour libérer la bite, ce que je fis : j'étais nu devant marc, et je bandais. Mon gland sortait légèrement de mon prépuce, j'ai tiré sur la peau pour le libérer complètement. Marc s'est levé et m'a touché un peu tout le corps, les épaules, les fesses, il a soupesé mes couilles et pris ma bite dans sa main comme pour tester sa dureté. Ca l'excitait bien, il s'est enfin déshabillé lui aussi et s'est retrouvé nu avec moi dans le salon. Et là quand même j'ai été fasciné par sa queue : très belle et surtout très grosse, bien plus grosse que la mienne, à la fois en longueur et en largeur. Marc a vu mon inquiétude et a commencé à m'expliquer que l'anus est un muscle qui se détend très bien, et qu'il est sûr que je pourrais prendre sa queue. Par contre, il ne m'a pas caché qu'au début ça allait faire mal. C'était la première fois que j'envisageais que ça puisse me faire mal. Je lui demandais mal comment, il m'a dit que l'ouverture de mon anus à un diamètre aussi large me ferait mal au début mais qu'ensuite ça passerait. Que je risquais aussi d'avoir mal quand il serait au fond, si sa bite est trop longue, mais là aussi au bout d'un moment ça ira tout seul. Assez inquiétant tout ça...

Marc m'a conduit dans sa chambre où il y avait un grand lit, je lui obéissais comme à un prof ou un médecin. Il m'a dit qu'il allait d'abord me préparer le trou pour faciliter la pénétration. Il m'a mis à quatre pattes sur le lit, il a écarté un peu mes fesses pour bien voir le trou et l'a trouvé magnifique. Il a posé un paquet de gel dessus, ç'était froid je n'avais jamais utilisé de gel encore, en fait c'est comme du beurre mais nettement plus pratique. Marc m'a massé doucement le trou, exerçant une pression avec son doigt, j'ai commencé à me détendre et son doigt allait naturellement de plus en plus loin. Après 5 minutes il a enfoncé son index en moi, ça glissait tout seul, pas de problème. Il faut dire que depuis plusieurs jours je me doigtais allègrement tous les soirs en prévision du grand jour.

Mais quand Marc a voulu mettre un deuxième doigt, là ça n'était pas pareil. Ca ne rentrait pas. Il a forcé, c'est rentré, mais moi j'avais mal, je lui ai dit, et il a répondu que si je faisais ma chochotte pour deux doigts, qu'est-ce que ce serait quand il introduirait sa queue. J'ai dit ok et effectivement assez vite la douleur est passée et ses deux doigts passaient bien, il les tournait dans tous les sens dans mon anus pour le détendre et je dois dire que j'aimais bien ça, c'était très agréable et excitant. Une goutte de liquide pré-séminal coulait de ma verge en faisant un fil. Il a enfoncé ses doigts le plus profond possible est a paru satisfait.

Marc a dit que j'étais prêt pour me faire pénétrer maintenant. Il m'a dit de me mettre au bord du lit sur le dos pour qu'il voie mon visage quand il me pénètrera. Un oreiller sous les fesses pour être à bonne hauteur, les jambes repliées avec les pieds posés sur le lit, ramenés près de mes fesses, j'étais en position, mon cul offert et la rondelle bien visible. Je ne bandais plus qu'à moitié depuis qu'il m'avait doigté. Lui par contre, debout, enfilait une capote et mettait de gel dessus. Ça lui faisait un gros tube brillant et raide. Il s'est approché et j'ai senti son gland contre ma rondelle.

Marc a commencé à pousser pour rentrer. Je me suis dit que ce n'était pas possible ça ne rentrerait jamais. Il poussait de plus en plus fort et ça commençait à me faire mal. Il m'a dit de pousser comme aux toilettes pour aider, ce que j'ai fait, et effectivement c'est rentré. Et là, j'ai eu vraiment très mal. Une douleur aigue au niveau de l'anus, j'ai crié et j'ai voulu le repousser mais il s'y attendait et il a résisté, ne voulant pas se retirer. Il a dit que c'était normal, que la douleur allait partir très vite et que je devais être courageux. Tu parles, je criais et j'avais des larmes qui coulaient sur les joues de chaque côté de mes yeux. Il est resté comme ça, en moi, un temps qui m'a paru long, et j'ai senti que la douleur se calmait. Mon anus se faisait à cette nouvelle dimension. Marc m'a dit de respirer bien profondément et cela a aidé à me détendre au niveau du trou. Finalement ça allait, et j'étais assez fier. Je ne bandais plus du tout, ma bite était devenue tout petite mais peu importe j'avais une énorme queue dans le cul et j'en étais heureux. Mes larmes séchaient. Pas pour longtemps car ce que je n'avais pas saisi, c'est que Marc n'avait introduit que son gland ! C'est quand il a dit "maintenant je commence à m'enfoncer" que j'ai compris que je n'étais pas au bout de mes peines. Marc a commencé à pousser et lentement sa bite est rentrée en moi de plus en plus profond. J'avais l'impression d'être écartelé et qu'on m'enfonçait un truc énorme, surtout que son diamètre augmentait légèrement en allant vers la base. Mon anus serrait très fort la queue de Marc, qui continuait à rentrer. Je sentais sa bite en moi, se frayer un passage en réalignant mon anatomie intérieure, qui épousait son membre. Une douleur subsistait au niveau de mon anus soumis à rude épreuve mais c'était supportable, et je voulais prendre l'énorme membre "en homme", maintenant il fallait aller au bout. Ça allait jusqu'au moment où j'ai senti qu'il avait atteint un "fond" et que ça butait, ça me faisait mal. Il a dit ok pour l'instant, que j'avais bien pris presque toute la longueur, que c'était vraiment bien. Pour moi aussi c'était bien je savourais cet état de remplissage à l'extrême. Mon cul n'était plus vierge, mais alors plus du tout. Marc a dit que maintenant on allait pouvoir commence à faire comme ce que j'aimais dans les vidéos porno, c'est à dire qu'il allait me baiser en bonne et due forme. Il a commencé à se retirer et à revenir, des va-et-vient plutôt lents mais qui me faisaient beaucoup d'effet vu l'extrême tension de mon anus et de mon rectum autour de son énorme queue. Du liquide est sorti de ma queue, transparent, ce n'était pas une éjaculation, sur le coup je me suis demandé si j'étais en train de pisser, mais c'était du liquide pré-séminal, que la pression de la bite en moi faisait sortir. Il est allé de plus en plus fort, retirant presque sa queue de moi et se renfonçant le plus possible. Ca me faisait mal à chaque fois qu'il rentrait en violant mon sphincter anal et à chaque fois qu'il revenait au fond. Je m'agrippais au drap, je poussais des petits cris, mélange à la fois de plaisir, surprise et douleur. Il m'a enculé comme ça un bon moment. Le diamètre de sa queue ne me posait plus de problème maintenant, mon orifice anal s'étant habitué.

Au bout d'un long moment Marc a dit "bon on fait une pause", il s'est retiré avec un bruit de "pop", moi je restais là allongé sur son lit ne sachant que faire. Marc m'a relevé, m'a demandé si ça allait. J'ai dit oui pour faire bonne figure mais j'ai touché mon trou pour être sûr : au moins il n'y avait pas de sang (j'avais eu tellement mal que je n'en étais pas sûr !), par contre je ne l'avais jamais senti comme ça, tout distendu, et même il restait entre-ouvert !

On est allé au salon, il m'a fait assoir sur une serviette de toilette sur le canapé, on a bu du coca, il me disait que c'était très bien et qu'on allait maintenant pouvoir y aller vraiment. Ah bon ! Donc là on n'y est pas allé vraiment ? Il m'a expliqué que pour l'instant il avait ouvert la voie et que si je voulais savoir ce qu'est une vraie sodomie c'était maintenant.

On est retourné dans la chambre, j'ai compris en me levant la raison de la serviette qui avait une tache de jus de cul, de gel, je ne sais pas trop. Il a remis une capote. Etonnamment je m'étais remis à bander pendant la pause, signe que la perspective d'une deuxième session plus musclée m'excitait. Marc a remis beaucoup de gel sur et dans mon trou, ça rentrait tout seul il aurait pu mettre 3 doigts s'il avait voulu c'est sûr. Il m'a dit de me mettre à quatre pattes, il est monté sur le lit avec ses pieds à coté de mes genoux et il a enfoncé sa queue en moi. J'ai aimé ça, je n'ai eu qu'un peu mal quand son gland a passé mon sphincter anal. Il a tout de suite atteint la profondeur maximum à partir de laquelle ça me fait mal et je pensais qu'il allait s'arrêter comme avant, mais non : il a continué ! Je l'ai supplié d'arrêter, que ça faisait mal, mais j'ai finalement senti ses poils contre mes fesses, il avait rentré ses 18 cm dans mon cul ! J'ai respiré bien profondément et sa bite a trouvé sa place au fond de moi, je n'osais pas imaginer comment. Sa queue devait rentrer jusqu'au niveau de mon nombril ! Alors Marc a commencé ses va-et-vient, et j'ai compris que la fois d'avant c'était juste un avant-gout. Il m'a défoncé le cul, limé la rondelle, enculé bien profond. Comme dans les vidéos pornos les plus crues. J'étais très secoué par les sensations que j'éprouvais, ne sachant trop si c'était du plaisir ou de la douleur. Peu à peu je me suis habitué et j'ai été certain que j'éprouvais du plaisir. Son ventre et ses couilles tapaient contre mes fesses, ça faisait du bruit. Il a remis du gel plusieurs fois, ça coulait un peu hors de mon cul sur mes couilles et sur le lit. Moi je m'agrippais et je me laissais défoncer le cul par ce mec à la bite énorme, je lui offrais totalement mon corps sans retenue et il s'en servait bien, sans retenue aussi.

Après un temps qui m'a semblé très long, Marc a poussé un râle et a joui en moi, enfin dans la capote. Il est resté en moi, au fond, et m'a dit "vas-y branles-toi et jute comme ça". Je ne me suis pas fait prier, heureux de ce répit et heureux d'avoir sa bite en moi, je me suis branlé et j'ai joui en quelques secondes, jamais je n'avais joui aussi vite, par contre le fait d'avoir le cul rempli par son énorme queue qui restait dure m'a fait une éjaculation très peu puissante, mais abondante, sur le lit juste sous moi.

Marc a retiré sa queue, à nouveau le "pop", suivi d'un vent comme un gros pet mais sans bruit car mon trou était complètement ouvert. Il m'a dit de ne pas m'inquiéter, ça allait se refermer bien sûr. Je sentais l'air frais dans mon trou béant, j'avais un peu mal. Je me suis rhabillé pendant qu'il m'expliquait qu'il avait dépucelé pas mal d'ados par ce site, dont certains bien plus jeunes que moi, mais qu'il préférait les garçons de 14 ans minimum car avant leur anatomie anale ne permet pas toujours une sodomie aussi virile que celle que je venais de subir.

Je suis rentré chez moi, à la fois très content que ça soit fait, heureux, crevé. Dans le train du retour je sentais mon anus endolori et j'aimais ça. Je me suis couché tôt, au passage en me déshabillant j'ai vu une tache énorme de jus de cul marron claire au fond de mon slip, j'ai préféré jeter le slip de peur que ma mère voit ça.

Dès le lendemain, alors que mon trou était loin d'être redevenu normal, mes envies de sodomie me reprenaient déjà en regardant une vidéo dans laquelle j'avais exactement été à la place du mec la veille.

 

et celui-ci : (vous l'aviez lu dans mon blog ?)

Salut, moi c'est Noé. J'ai xx ans et je suis en ème. On dit souvent que les ados, ça ne sait pas ce que ça veut. Moi, en tout c'est différent. J'ai xx ans et j'aime le sexe. J'adore ça. Et j'aime le sexe entre garçons. Oui, je suis gay. Et fier de l'être. Ce n'est pas facile au quotidien, surtout quand on a mon âge et qu'on se cherche.

Il y a peu, j'ai commencé à découvrir le sexe avec mon cousin Jérémie. Il a xx-xxans. Un jour où j'étais chez lui et que lui prenait sa douche, je me suis mis à jouer sur son ordinateur. En allant sur internet, je suis tombé sur des sites pornos gays qu'il avait en mémoire. Vraiment très intéressant. Je me délectais des images bien chaudes de mecs en train de se sodomiser. Je ne savais pas à ce moment que mon cousin était tout aussi gay que moi. Quand il est entré dans la chambre, il était vêtu d'un simple peignoir. Il me vit sur son ordi et me dit sur un ton peu rassuré  :

– Tu as pris mon ordi  ?

– Oui, fallait pas  ?

– Non, enfin je veux dire si... mais tu aurais pu demander...

– En tout cas, faudrait que tu protèges ton accès par un mot de passe.

J'ai tourné l'écran vers lui. Je le vis se décomposer. Il bégaya

– Tu... tu... Je... Tu ne diras rien à personne  ?

– Non, mais c'est con que tu ne m'aies rien dit...

– Pourquoi, Tu voulais que je te dise quoi  ?

– Ben que t'étais gay.

– Oui, bien sûr, comme ça, au détour d'une conversation, au fait Noé, je suis pédé  ?

– Bah pourquoi pas...

– Tu me promets que tu ne diras rien à personne  !

– Promis. Et je vais même te le prouver tout de suite.

Je ne sais pas ce que j'avais en tête, mais j'étais chaud. Mon cousin, je l'ai déjà vu plus d'une fois à poil. Je l'admirais secrètement parce qu'il avait un sexe bien mieux formé que le mien.  Je me suis levé et je suis allé l'entourer de mes bras pour lui faire un gros câlin. Il m'entoura de ses bras. Je commençais à défaire la ceinture de son peignoir. Il m'arrêta et me dit  :

– Tu fais quoi  ?

– Ben, faut que je te dise, je suis gay moi aussi, et je fantasme sur toi.

– Mais je suis plus vieux que toi.

– Et alors. T'as pas envie  ?

– Si, mais...

– Alors laisse toi faire.

Je fis tomber les épaules de son peignoir qui tomba par terre. Jérémie se retrouva nu. Je le voyais là, tout bête. Par contre, son sexe le trahissait. Il avait déjà une belle taille et commençait à se redresser. Je me suis mis à genoux et je l'ai pris en main. C'était mon premier sexe d'homme en main. Je commençais doucement à le masturber tout en embrassant le haut de sa cuisse, son aine, ses poils que j'enviais temps. Je le masturbais avec des mouvements de plus en plus amples. Il bandait maintenant complètement. Je finis de le décalotter. Il me dit  :

– Tu me fais mal, je ne suis pas bien lubrifié.

– Et comme ça, demandai-je en mettant ma langue sur son gland.

Je sentis un frisson le parcourir. Il ne s'y attendait pas. Je lui dis  :

– Attends, je me mets à l'aise. Mets toi sur le lit.

Je me suis remis debout. Pendant qu'il s'allongeait, je fermai la porte à clef pour que l'on ne soit pas dérangés par mon oncle ou ma tante. Il était allongé. J'ai enlevé alors doucement en le regardant droit dans les yeux mon tee-shirt. Sans le quitter du regard, je descendis mon pantalon, retirais mes chaussettes, puis mon boxer. J'étais aussi en érection. Je me suis approché de lui, je suis monté sur le lit en m'agenouillant de chaque côté de ses cuisses. J'ai pris son sexe bandé en bouche et j'ai commencé à lécher le bout de son gland et, comme je l'avais appris des vidéos sur le net et de mes masturbations en solitaires, je jouais avec le frein de son sexe avec le bout de ma langue, tout en tenant la base de sa bite dans une de mes mains. Je franchis le cap en enserrant dans ma bouche son gland. Je fis aller ma langue tout autour. J'entendais Jérémie gémir doucement. Il avait passé une main dans mes cheveux mi-long et jouait avec mes cheveux pendant que je continuais mon exploration. Je le regardais de temps en temps, et je pouvais lire sur son visage le plaisir que je lui donnais. Je quittais son gland pour lécher sa hampe avant de revenir sur le haut de sa bite. J'essayais bien d'en engouffrer un peu plus dans ma bouche, mais je n'y arrivais pas. Je le branlais en même temps que je suçotait son gland. Au bout de quelques minutes, il me tira un peu les cheveux et me dit  :

– Attention, je vais juter.

Je voulais voir son sperme gicler. J'étais fasciné par les éjaculations car moi même je commençais juste à juter et je voulais voir une vrai éjaculation d'homme. Je me suis allongé à côté de lui, la tête près de son ventre. Je le masturbais d'une main pendant que je m'agitais la bite avec ma main libre. Je me mis à le masturber de plus en plus vite en insistant sur le gland. Tout d'un coup, je le sentis se crisper et il éjacula, une première puis une seconde giclée sur son ventre avant que les dernières gouttes ne termine dans sa toison pubienne. Sous l'effet de l'excitation, je giclais à mon tour les quelques gouttes que je pouvais. Il attrapa des mouchoirs et s'essuya le ventre.

A cet instant, à travers la porte, ma tante nous dit  :

– Les garçons, on va se coucher, vous ne tarderez pas à éteindre aussi.

– Oui maman, repris Jérémie.

On s'est couché tous les deux nus sous les draps. On s'est endormi tous les deux, mois dans ses bras, en chien de fusil. Je sentais son sexe mou contre mes fesses.



Le lendemain matin, à mon réveil, je sentis une main sur mon sexe me masturber tout en sentant la bite dure de mon cousin dans mon sillon fessier. Il glissait doucement entre mes deux fesses. Il me dit  :

– Merci cousin, pour hier.

– De rien, j'ai beaucoup aimé. Dis, tu voudrais bien me rentrer ta bite dans mon cul  ?

– Je ne sais pas si j'y arriverai. Tu sais, je ne l'ai jamais fait. On me l'a déjà fait, mais moi je ne l'ai pas fait, et je ne sais pas trop si j'aimerais ça.

– Ah, c'est dommage. J'aimerais bien savoir ce que ça fait.

– Tu sais, reprit-il, tu as le temps.

– Peut-être mais j'ai envie. Qui c'est qui te l'a fait  ? Un copain à toi  ?

– Non, un mec que j'ai rencontré sur Internet. C'était l'an dernier.

– Tu crois qu'il me le ferait  ?

– Tu sais, il est un peu spécial, et puis c'est un vieux. Alors je sais pas si un gamin...

– Je ne suis pas un gamin. J'ai des poils, repris-je faussement vexé.

– Bon, je te donnerai son mail si tu veux, mais je te préviens, il est un peu... brutal. Et puis, s'il accepte, il faudra que tu lui laisses le slip que tu porteras le jour où il te le fera.

Tout en parlant, on se branlait l'un l'autre. Cela a duré une bonne demi-heure jusqu'à ce que je jute. Puis se fut son tour.



J'avais le mail du type en question. Jérémie me l'avait donné. Je voulais mettre toutes les chances de mon côté et j'écrivis ce mail  : «  Salut, j'ai été en contact avec plusieurs de vos amants. Ils m'ont affirmé que vous les aviez dépucelé. Je cherche moi aussi à me faire dépuceler. Je suis gay et j'ai vraiment envie. S'il vous plaît je veux vraiment me sentir un homme. Contactez-moi s'il vous plaît.  »

Le soir même j'avais la réponse à mon mail tant attendue. Il me disait  : «  Ouais, pourquoi pas. T'as quel âge  ? Je donne pas dans la nurserie. Et sache que si j'accepte, c'est surtout pour moi. Ton plaisir, je m'en branle  ». Bon, heureusement que je ne lui ai pas dit que j'avais 13 ans. Il allait falloir que je la joue serrée. Je lui répondis par un nouveau message  : «  Je sais. J'ai presque 18 ans. Je suis puceau. Je suis mince, mais pas efféminé. Blond, les cheveux courts et les yeux verts. Voulez vous qu'on se rencontre  ?  »

J'avais eu ce que je voulais. Un rendez-vous. Dans un café, d'accord, mais c'était déjà ça. J'étais peinard pour le week-end, mes parents étant allez voir mes grands-parents. Mes parents me laissaient de plus en plus souvent seul à ma demande. J'ai pris grand soin dans ma tenue. Je pris une longue douche bien chaude. Je me suis lavé avec un savon à l'amande douce. J'ai consciencieusement nettoyé mon sexe, mes fesses, allant jusqu'à enfoncer un doigt plein de savon dans mon anus. J'aimais faire ça de temps en temps, mais là, je voulais sentir bon partout. Je me suis séché, et je suis allé dans ma chambre. Je me regardais dans le miroir. Bon, j'étais un ado de 13 ans, et il fallait que je marque des points. Première chose à enfiler, un caleçon. Je savais qu'il en faisait collection. J'ai essayé un premier, puis un second. Mais même constat. Même s'ils m'allaient bien, ils ne me mettaient pas en valeur. J'ai tapé dans mes vieux boxer taille 10/12 ans. J'en avais un, un free-gun bigarré avec une dominante violette. J'ajustais mon sexe dedans. C'était bien mieux. J'étais bien serré dedans. Puis j'enfilai des chaussettes noires qui allaient bien avec mes chaussures de ville. Là aussi, l'adolescence avait commencé à montrer ses effets. J'avais pris 4 pointures en 2 ans, et je faisais maintenant du 41. Je pris une chemise blanche et l'enfilai. Elle était bien cintrée et proche de la peau. Je finis par un jean noir lui aussi serré à la taille. Je me regardai dans le miroir. Me voir ainsi me mis aussitôt en érection, renforçant encore ma sensualité. Pas besoin de pull ce soir. Mais mis un de côté quand même que j'emporterai au cas où la nuit se rafraichirait. Je repassai dans la salle de bain afin de peaufiner ma coiffure. J'avais les cheveux mi-longs et j'essayai de leur donner un aspect volumineux. Enfin prêt, je sortis de chez moi, avec une petite boule au ventre. Je me suis rendu au café.

Je repérai tout de suite celui qui allait devenir mon initiateur. Ouahh. Mon cousin ne m'avait pas menti. Il était barraqué. Son tee shirt, trop petit pour lui moulait chacun des muscles de son bras et de son torse. Il avait les épaules carrées et un visage carré, sec. Je me suis approché. Il me dit de manière très désagréable  :

– Tu veux quoi  ? T'as pas ton chocolat chaud qui t'attend chez maman  ?

Bon c'était mal barré, mais je persistai. Je lui demandai  :

– Vous êtes bien Nino  ?

Il me répondit, en se levant  :

– Casse-toi petit con, dit-il, je fais pas dans le gamin.

– Je ne suis pas un gamin.

– En tout cas tu n'as pas presque 18 ans.

– Si je suis plus proche de mes 18 ans que de ma naissance.

Il se rassit. Visiblement, je l'avais touché. Il m'invita à m'asseoir. Il me dit  :

– Bon alors, qu'est ce que tu veux p'tit con. T'es complètement barré de sortir le soir à la rencontre d'inconnus.

– Ben vous n'êtes pas inconnu, mon cousin, vous l'avez dépucelé l'an dernier. C'est lui qui m'a parlé de vous.

– Et tes parents  ?

– Non, ça c'est pas vous qui les avez dépucelés.

Il rit. Et toc, un nouveau point de marqué. Heureusement que j'ai de la répartie

– Non, en fait il sont en week-end chez mes grands-parents. Mais moi, les vieux, ça me saoûle.

– C'est pour ça que tu viens me rencontrer, je suis quoi moi, si je ne suis pas un vieux.

– Ouais, mais vous c'est pas pareil.

– Ah, je suis un gentil monsieur à qui tu demandes gentiment de te voler ton innocence  ?

– Vous me la volez pas puisque je vous la donne.

– Bon, admettons que j'accepte, que veux tu de moi  ?

– Que vous me dépuceliez.

– Tu sais ce que ça veut dire  ?

– Ça va, j'ai xx ans, je ne suis pas un lapereau de 10 jours.

– Comment t'appelles-tu  ?

– Noé. Et vous  ?

– Nicolas.

– Qu'as tu déjà fait  ?

– Je me masturbe depuis que j'ai xx ans.  J'ai déjà pratiqué la fellation sur mon cousin deux fois et je n'ai jamais rien fait avec mon anus, à part me mettre un doigt quand je me masturbe.

– Eh bien, ça c'est direct. Donc tu suces, tu gicles et tu te branles. C'est bien tout  ?

– Oui.

– Qu'attends-tu de moi  ?

– Je veux que vous me sodomisiez.

– Pourquoi  ?

– Pour mes hémorroïdes, répondis-je sérieusement. Bon, on fait quoi, continuai-je.

– Tu viens chez moi, mais juste pour continuer la conversation. Je n'ai pas dit que j'allais te baiser ce soir.

– Ok ça me va.

Gagné, J'avais gagné. On allait dans son appartement. Et quel appartement. Il était spacieux, pas de bordel. Intimidé, je quittais mes chaussures. J'avais mal au ventre, le stress certainement, imaginant la suite des événements. Il me proposa  :

– Bière, Whisky, Cognac  ?

– Ca va pas, je bois pas, je suis trop jeune, répondis-je.

Je voulais surtout avoir les idées claires, et puis j'avais envie que la boule que j'avais au ventre disparaisse.

– Tu es trop jeune pour boire mais assez vieux pour avoir envie de baiser  ?

– Ben oui, j'ai des valeurs  ! Je veux bien une tisane si vous avez.

– Bon, c'est toi qui vois, mets toi à l'aise, je te prépare ça.

Il s'éclipsa. Pendant ce temps, je regardais les bibelots classieux qu'il avait dans son appartement. Je me rendis compte que la majorité des objets étaient des représentations de sexe en érection, mais de façon très artistique. Il revint dans le salon, avec ma tisane et un verre à la main. Je lui dis  :

– Bon, par quoi on commence  ?

– Comment ça, par quoi on commence  ?

– Ben oui, je vais pas vous faire un dessin.

– Je t'ai dit que je te faisais monter pour discuter pas pour te baiser.

– C'est ça. Juste pour causer. Bien sûr, dis-je d'un air faussement contrit

– Ok, si c'est ce que tu veux vraiment, mais avant il faut que tu comprennes que je suis pas un tendre. Quand je baise, je baise, je me fous de savoir si la personne que j'encule a mal ou pas.

– Je sais, mon cousin m'a dit.

– Pourquoi tu ne demandes pas à ton cousin  ?

– Tout simplement qu'il est passif et quand on a essayé, il n'a pas pu.

– Ok. Alors d'abord tu vas me faire le plaisir de te foutre à poil. Pour t'enculer ce sera plus facile.

Je m'exécutai. Je déboutonnai ma chemise, l'enlevai et la posai sur une chaise. Je retirai ensuite mon pantalon et mes chaussettes. J'étais en boxer. Je savais qu'au moment où j'allais l'enlever, il ne serait plus question de revenir en arrière. Puis je descendis mon boxer. Il me détaillait. Je sentais son regard sur moi et je commençais à avoir une légère érection. J'allais poser mon boxer quand je me souvins qu'il faisait collection des sous-vêtements des mecs avec qui il couchait. Je lui lançai le boxer et lui dit  :

– Tenez, c'est pour votre collection, c'est mon cousin qui m'a dit. A votre tour, maintenant

Il n'hésita pas un instant et enleva tous ses vêtements. J'étais soufflé par la virilité de cet homme. Mon cousin était une crevette à côté. Mon père ne supportait pas la comparaison non plus. Il était vraiment costaud. Des pectoraux développés, des bras, des cuisses musclées. Des abdominaux très bien dessinés. Il était velu sans excès du torse jusqu'au pubis. Je m'arrêtai sur son sexe. Je ne pus m'empêcher de dire  :

– Ouah il est gros votre pénis.

Il me sourit et me dit

– Tant que je bande pas, tu peux encore faire demi tour. Après il sera trop tard.

Je me suis approché de lui et je lui dis  :

– Non, je reste, mon cousin a survécu ! mais elle mesure combien, je pensais pas que c'était possible d'en avoir une aussi grosse.

– Tu n'es pas mal non plus pour ton âge. Tu n'auras pas une bite aussi grosse que la mienne je pense, mais tu es déjà bien équipé pour un jeunot. Pour ton info, elle mesure 21 cm quand je bande, et vu ta main, tu n'en feras pas le tour.

Maintenant que j'y étais, je n'allais pas faire demi tour. J'avais le souvenir de la bite de mon cousin dans ma main. J'ai approché celle-ci de son sexe. Je la posai dessus et la pris en main. Je lui dis  :

– Ben si, regardez  !

– Arrête de causer et fais moi bander maintenant, tu verras bien.

Je me suis mis à genoux sur la moquette. J'ouvris ma bouche et embrassai son gland. J'ai ouvert un peu les lèvres et je commençais à jouer avec ma langue sur son bout pas encore décalotté. Il sentait fort, mais ce n'était pas désagréable. Ça ne sentait pas l'urine, juste l'odeur musquée d'un homme. Au bout de quelques secondes il bandait complètement. Avec ma main, je tirais sur la peau pour le décalotter complètement. Il avait une bite impressionnante. Il m'attrapa par les cheveux et me força à en prendre plus dans ma bouche. J'avais mal à la mâchoire. Je sentais dans ma bouche et à l'entrée de ma gorge son sexe bandé. Je ne pouvais pas en prendre plus. Je le suçais comme je pouvais. Ça faisais un bruit énorme de succion.

Tout à coup il se retira. Il n'était vraiment pas tendre. Il me tira par les cheveux pendant qu'il s'allongeait sur le canapé. Je compris qu'il voulais que je continuasse à le sucer pendant qu'il me sucerait à mon tour. Il goba toute ma bite dans sa bouche. C'est la première fois qu'on me suçait. Il me goba les couilles aussi. J'essayai d'en faire autant, mais j'étais tellement submergé par les émotions que je faisais probablement n'importe quoi. Je sentis soudainement un de ses doigts mouillés forcer violemment l'entrée de mon anus. Au bout de quelques minutes je sentis un deuxième puis un troisième doigt me dilater mon fion. J'étais aux anges. Je suçai sa bite comme je pouvais, mais je me tortillais sous l'action de sa préparation. Il m'aspergeait le trou du cul d'un gel qui permettait à ses doigts de mieux glisser. Quand ses doigts furent remplacé par sa langue, je fus submergé par une nouvelle vague de plaisir. La branlette que je lui offrais était de plus en plus erratique. Soudain, je sentis son sperme gicler dans le fond de ma gorge. Surpris, je me suis mis à tousser et je reçu le reste de son sperme sur mon visage. Je lui dis  :

– Vous m'auriez prévenu, j'aurais pu tout avaler.

– Ouais, mais bon, t'es mignon avec du sperme sur le visage. Viens par là.

Je m'allongeais sur son ventre et son torse. Il m'enserra de ses puissants bras. Je sentais son sexe bandé contre mon pubis. Je bandais comme un âne mort. Il m'embrassa. C'était tout aussi intense et puissant que le reste de ses caresses. Il continuait à masser ma rondelle et à élargir l'entrée de mon intimité avec ses doigts.

Bandant toujours comme un âne, il me fit mettre à quatre pattes sur le canapé, les cuisses et les jambes très écartés. Je sentais l'air frais sur ma rondelle. Je pense que je devais bien être ouvert. Il me dit  :

– Je te préviens, quand j'aurais commencé, je ne m'arrêterai plus.

– Non, allez-y.

– Alors détend-toi, quand tu sentiras ma bite sur ta rondelle, tu pousseras comme si tu avais envie de chier. Tu peux gueuler, j'ai pas de voisins.

Je sentis une pression sur l'entrée de mon anus. Il poussait doucement pour essayer de rentrer son gland. Putain que c'était gros. Je n'arrivais pas à me détendre. Puis je sentis qu'il me pénétrait. La douleur fut intense. Tellement intense, que j'ouvris grand la bouche et que je hoquetais sans arriver à sortir un son. Je sentais sa bite entrer toujours plus profondément. Puis il s'arrêta. Je le sentais pousser mais il n'arrivait pas à aller plus loin.

Tout à coup, il me donna un violent coup de rein et je sentis sa bite rentrer tout entier dans mes boyaux. Sous la douleur je me suis mis à hurler très fort. La douleur était vraiment intense. Mais petit à petit j'acceptais le corps étranger en moi. Il en profita pour me chuchoter  :

– Ca y est, dis-je, je viens d'aligner ton colon tes sphincters et tes boyaux dans l'alignement de ma bite. Vu la taille, si tu mets une main au niveau de ton nombril, tu sentiras mon gland.

Je mis une main pour vérifier ce qu'il me disait. Je ne sentis rien de particulier. Par contre je pouvais sentir sa bite au plus profond de mes entrailles. Je pleurais de douleur, mais je ne voulais pas arrêter maintenant. Je bandais plus fort que jamais. Au bout de quelques instants, il commença à se retirer, puis il se renfonça. La douleur allait et venait en s'atténuant. Je commençais même à prendre du plaisir. Surtout qu'il s'occupait de ma bite en même temps. Il allait de plus en plus vite avec des va et viens de plus en plus important. Je gémissais maintenant sous ses coups de boutoirs. Il avait une main sur mon épaule alors que l'autre m'astiquait ma bite. A chaque coup j'avais l'impression de recevoir la ruade d'un cheval et il m'arrachait à chaque fois un petit cri aigu. J'ai éjaculé sur son divan. J'ai senti cette fois ci que j'avais spermé bien plus que d'habitude, ce qui me fit sourire inconsciemment. Puis dans un dernier coup de boutoir, je sentis un liquide chaud remplir mon ventre. Il venait d'éjaculer à l'intérieur de mes intestins.

Quelques secondes plus tard, il retira sa bite et ça fit un drôle de bruit quand il sortit de mon anus. Il me dit  :

– Allez, file prendre une douche et casse toi.

Je suis allez dans la salle de bain et pris une longue douche. En sortant, il prit ma place. J'étais exténué mais comblé. J'avais mal au cul, mais ça en valait la peine. J'avais la tête qui tournait. Je ne me suis pas rhabillé de suite. Je me suis allongé sur le canapé qu'il avait nettoyé.



Je me suis réveillé dans son lit. Il était toujours à poil. Visiblement, je m'étais endormi et il m'avait couché avec lui. Il bandait. D'instinct, j'ai commencé à le sucer. Il soupirait. Je pensais qu'il était en train de faire un rêve porno dont j'espérais être la star. Puis je sentis une main dans mes cheveux qui me caressait. Je le regardais pendant que je le suçais. Il me dit  :

– Mhhh Noé, C'est trop bon de se faire sucer au réveil par toi. Mhh continue.

Je continuais ma fellation. Au bout de quelques minutes, il me dit  :

– Attends, on va voir si hier je t'ai bien ouvert. Couche toi sur le côté.

Je m'exécutai. Je sentis une noix de gel frais sur mon anus. Il releva ma cuisse avec sa main. Je sentis sa bite contre mon cul. Il poussa. J'offris beaucoup moins de résistance que la veille, et la progression de sa bite dans mes entrailles fut plus aisée que la veille. Il me lima une dizaine de minutes avant de répandre sa semence dans mon cul. Il resta ainsi un bon bout de temps avant qu'il ne débande et décule. Je sentais son sperme suivre le mouvement et sortir de mon rectum.

Enfin, il me dit  :

– Noé, tu fais quoi ce soir  ? Tu veux découvrir de nouvelles choses  ?

– Oui, répondis-je....


 

_____________________________REMERCIEMENTS __________________________________

 

Ces textes sont mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Vous n'êtes pas autorisé à faire un usage commercial de ce texte, toute modification du texte doit être distribuée sous licence identique.

Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison en France et dans la plupart des pays du monde. 

http://radiotata.tumblr.com/ 

Les Histoires Taboues 

    nico7659@eml.cc :  

  2015   mon email : Ok Claudio -" tu peux le reproduire dans ton blog (en laissant si possible mon email car j’aime bien avoir les retours des lecteurs)." 

 Rien n'empêche les jeunes entre eux d'avoir leur vie, bien évidemment !

Par IVAN +NICO+ NOE - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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