Mercredi 25 octobre
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la résignation devant l'irréparable fait accompli et l'indifférence désormais à son propre malheur peut passer pour consentement
aux yeux des agresseurs pendant un tel viol
Brandon savait qu'il ne serait jamais de retour au même titre
de "nouveau" et de vierge pour une autre fête fraternelle ! paralysé par l'alcool et maintenu en position par ceux qui auraient dû être ses copains de fac, il pouvait sentir la
bite qui lui déchirait les entrailles avec une intense application à lui casser le cul. A la merci de la verge impérieuse, il ne pouvait pas serrer son trou du cul pour l'empêcher
d'aller et venir, sortir et rentrer à travers lui. Habité par l'idée qu'il survivrait (mais comment ?) il percevait qu'il était en plein naufrage de sa vie.
Maintenant il en était au 5e violeur et ce dernier avait un mandrin
énorme, de 25 cm. Se tournant vers ses complices, l'homme s'étonnait qu'après tant d'enculages que ce trou du cul soit encore serré. L'un des violeurs lui dit : "Avec,le mandrin que tu as tu t'étonnes ? Tout le monde est vierge d'une grosse bite de 25 cm ! c'est un nouveau diamètre ! Il va se sentir bien! ", provoquant le
rire de la plupart des nombreux présents à ce viol collectif. Rien ne manquait à ce crime : ni la cruauté, ni l'inconscience, ni le cynisme. Il manquait un sauveur, un ami courageux.
Il ne vint pas.
Brandon n'avait certainement pas senti que sa bague anale avait commencé à céder et devenir docile aux sollicitations des pénis qui avaient pénétré son
cul
Après le 3e violeur, Brandon avait été mis sur le dos, jambes maintenues repliées et donc il était forcé
de voir l'homme au-dessus de lui, qui le baisait. Les choses s'enchaînaient comme s'il n'y avait aucun autre choix et que la décision en la matière ne dépendait
plus que de la fatalité.
Cette nuit le garçon était devenu le trou à jus officiel de la fraternité, incapable de
parler du fait qu'il était baillonné par des chaussettes sales poussées dans sa bouche. In capable de bouger du ait que de puissants bras l'immobilisaient, ses
agresseurs utilisaient son corps pour la satisfaction de leurs propres besoins.
Brandon
pouvait sentir le sperme commençant à s'égoutter
et baver sur son visage, comme les restes d'une tarte à la
crème.
Pour le reste de la nuit, Brandon a été gardé à l'étage dans l'une des
chambres, chaque fois qu'un homme de la fratrie voulait assouvir un besoin rapide, il lui suffisait de monter à l'étage et enculer les fesses de Brandon ; les étudiants de première année
ivres, vinrent s'ajouter aux violeurs.
Brandon
n'avait aucune idée du nombre de membres de la fraternité qui l'avaient vraiment baisé [ayant perdu
le compte après la 10 e bite ], mais chaque fois que, épuisé, il s'endormait entre
deux baises, il était brutalement réveillé quand une autre bite dure venait donner des coups de bélier dans son cul ou sa
gorge, le forçant à se réveiller.
Le lendemain matin, Brandon s'est retrouvé endormi à l'extérieur sur la pelouse. Quelqu'un l'avait habillé, avait collé un verre de bière à moitié vide dans
sa main, l'ayant jeté sur la pelouse comme la poubelle de la veille, permettant à tous
les policiers ou agents de sécurité de croire qu'il était simplement un fêtard
ivre parmi tant d'autres. Brandon s'est réveillé avec la pire des gueules de bois, titubant vers son dortoir où il passerait le reste de la journée au lit à récupérer et à vomir ...!
noyé, perdu dans cet océan de sperme vénéneux ET DE VIOLENCE...
commentaire : " et ce n'est pas à la ac de médecine de Caen ! " (KARAB HEIN )
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