Partager l'article ! TEMOIN :"J’aime la baise. Il n’y a que la baise qui me fasse supporter ma vie de con.": Faut qu'on parle ! je ...
Faut qu'on parle !
je dédie ce récit à ceux qui vivent ou rêvent une vie de fonctionnaire "pépère" sans connaître ni approcher la diversité, l'aventure, qui nous fait trouver notre vie moins fade.
Je persiste à dire (avec des chercheurs du " Musée de l'Homme") que l'homme, contrairement aux autres mammifères n'a jamais, depuis le fin fond de son histoire, cessé d'inventer sa sexualité.
Comme le dit ce jeune de 26 ans, sans le sexe, la vie serait d'un mortel ennui.
Je bosse pour un grossiste en papeterie. Je fais des livraisons de rames de papier. C’est lourd et chiant. Sauf que comme tous les chauffeurs livreurs je trouve des occasions pour me faire sauter la rondelle ou foutre ma teub dans des trous bien profonds. N’importe quel trou. Je suis une salope de vingt-six ans et je me contrefous de ce qu’on peut penser de moi. J’aime la baise, et il n’y a que cette putain de baise qui me fasse supporter ma vie de con. Je suis un mec viril, avec une belle gueule carrée, le nez un peu de traviole, cassé dans une bagarre. Quand j’aurai de la thune, je me le ferai redresser. Enfin, pas sûr. Il y a des meufs qui aiment. Des mecs aussi. Je vous ai dit, je suis une salope. J’ai une belle paire de couilles entre les jambes, et la barre qui va avec. Côté pectoraux, c’est pas mal non plus, et les bras hyper-musclés; ça. c’est le boulot. Je bosse avec mon corps, jusqu’avec ma bite. Incroyable tous les coups que je peux me faire dans une semaine! C'est un pote qui m'a passé l'adresse de votre blog. Il y a des histoires qui paraissent complètement inventées tellement elles sont trop. Mais des fois, la réalité, ça dépasse la fiction! Je vous en envoie la preuve.
Je devais livrer des grandes rames de papier spécial à un type, designer ou dessinateur en je ne sais plus quoi. Il bossait chez lui, aux environs de Béziers à 150 bornes de ma base. Ça ne me disait pas trop, cette livraison, parce que qu’il faut passer par une route assez accidentée. Bon, je me la suis gardée pour la fin de l’après-midi. Grâce au GPS je suis arrivé devant une super-baraque, au bout d’un chemin isolé. Tout était ouvert, la grille du portail, tout. Il n’y avait pas de clébards. J’ai pas trouvé de sonnette non plus. Comme il y avait une grande baie vitrée sur un côté, j’ai pensé qu’on allait vite me voir venir. Là, je dois dire que c’est moi qui ai vu venir... La totale! Derrière la baie vitrée il y avait un mec qui avait une drôle de position. Je me suis approché, mais instinctivement, de manière à ce qu’on ne me voie pas. Putain, je ne suis pas prêt d’oublier le spectacle! Un mec à quatre pattes sur un tapis, en train de s’enfoncer un énorme gode noir dans le cul, tout en matant une télé, écran géant, sur lequel on voyait trois mecs en train de se goder le cul, de se tirer sur les nibards, de se foutre des tonnes de giclures dans la gueule. Il y avait de quoi se goder! Mais je n’ai pas regardé la vidéo longtemps, parce que ce mâle en train de se défoncer la rondelle, je n’avais jamais rien vu de plus bandant et de plus hard, comme ça, en direct. Il ne m’avait ni vu, ni entendu. Il parlait tout seul, et j'entendais qu’il gueulait à travers la vitre. Il gueulait: “Je vais me défoncer le trou de balle, je vais me fister le cul avec cette salope!" Un sacré cinéma! J’avais le gourdin et les mains moites à mater comme ça. Mais moi, il faut que je participe. Pas question de regarder des mecs se taper des godes monstrueux dans le derche sans avoir envie d’y foutre le mien en plus.
Et puis, s’il avait un gode qui le défonçait, il n'avait pas de bite dans la gueule et ça manquait au spectacle...
J’ai commencé à me palucher la queue, mais j'avais pas besoin de ça pour bander. Trop ce mec, là, en plein après-midi à s’astiquer de cette manière! J’ai fini par bouger mon cul, avant d’avoir le foutre au bout de la bite. J’ai poussé la porte et suis entré dans le salon. Le mec était tellement dans son trip qu’il n’a rien trouvé de mieux que me demander: “Oui, c’est pour quoi?” Comme si c’était normal! Je lui ai dit que je livrais le papier, mais que ça pouvait attendre. Il a fermé les yeux. Quand il les a rouverts, il venait de se payer une bite dans la bouche! J’avais dégoupillé rapide, et je la lui avais fourrée jusqu’à la glotte. Je lui ai dit: "Il te manquait celle-là, hein? Vas-y, suce-moi la queue, avec ton gode qui te dilate le trou de balle, tout en matant la vidéo, c’est la totale! Hein?" Il ne pouvait pas répondre, mais vu comme il me pompait le nœud, ça avait l’air de lui plaire mon arrivée! J’avais trouvé une salope encore pire que moi! J’avais bien envie de lui cracher ma sauce dans la chetron. Il me pompait le gland comme un vorace. Je me suis mis à genoux pour pouvoir me pencher sur son dos. Je voulais voir son gode qui lui rentrait dans le cul. Il se l’était enfoncé presque jusqu’à la garde, et je ne vous dis pas la grosseur! Après ça, si j’y passais ma bite, elle aurait plus de place quand dans une chatte de pute. L’idée, ça m’a fait chaud. J’ai sorti ma teub de la gueule du mec. Je lui ai dit: "Je veux foutre ma bite dans ton trou de balle!" Il m’a répondu: “Vas-y, la place est faite!"
J’ai tiré un grand coup sur le gode pour le déculer. Le mec a poussé un râle. Je ne lui ai pas laissé le temps de souffler. J’avais déjà ma queue dans son trou. C’est entré comme dans du beurre, mais le mec avait encore assez de muscles pour se resserrer autour de ma teub. Il me serrait la bite de plus en plus. J’ai gueulé. J’adore qu’on m’écrase la bite, de la sentir bien raide au fond d’un trou bien serré. Là, je n’aurais pas cru que c’était possible. Je l'ai limé rapidement, j’étais trop excité pour attendre, et j'ai craché ma purée. J’ai déculé, mais je bandais encore.
Cette salope était assez déchaînée. La télé marchait fort. On ne la regardait plus, mais on entendait les voix des mâles en train de se défoncer. Ça nous excitait un max. J’ai vidé mon foutre sur le dos du mec. J’aime ça, mettre mon nez dans mon foutre et le lécher après. Quand j’ai eu fini, j’avais à nouveau la trique. Le mec, lui, s’astiquait le nœud sans attendre. Je le lui ai pris des mains. Je n’avais jamais vu une bite comme ça; pas très grosse mais une putain de longueur, et pas ramollo du tout. J’ai eu le cul qui s’est mis à me démanger méchamment J’ai repris le gode encore plein de lubrifiant, et je lui ai renfoncé dans le cul. Il gueulait comme un dingue. Après, je me suis collé le cul contre son ventre, pour qu’il m’enfile sa tige, c’était comme se faire dépuceler par un bâton, une canne, un truc bien raide et effilé. Il s’est enfoncé tellement loin que j’ai eu l’impression de me faire enculer jusqu’au milieu du ventre.
J’ai décollé aussi sec. Je me suis mis à bramer aussi comme un con, et je me suis branlé la queue pendant que je me faisais défoncer bien profond. J’ai craché mon foutre une nouvelle fois. Le mec prenait son temps. Depuis je ne sais pas combien de temps il se doigtait, se godait, se faisait mettre une bite, il n’avait pas encore craché! Il s’est immobilisé juste un instant en me serrant la queue d'un coup, entre ses mains. J’ai crié. Il a giclé, avant de déculer tout de suite. Il s’est collé à plat-ventre par terre. Il avait encore le gode noir dans le cul. J’ai compris qu’il n’en était pas à sa première giclée de l’après-midi, et qu’il avait envie de remettre le couvert! Moi, j’ai dit stop. J’avais ma dose. J’ai déchargé mes cartons, et je me suis tiré.
Derniers Commentaires