Partager l'article ! ILS DISENT TOUS SVP NE ME FAITES PAS MAL: en fait Kyle Moss a plus de 18 ans ici sur Waybig ...
en fait Kyle Moss a plus de 18 ans ici sur Waybig
L'INCESTE entre majeurs consentants ne devrait pas poser de vrai pb au plan juridique. Les nouvelles lois tendent à affirmer qu'il ne peut pas y avoir consentement de la part de tout mineur. Pourtant, quand c'est entre mineurs, s'il n'y a pas violence, on voit mal pourquoi. Quand je l'ai fait, heureusement je n'avais pas besoin de demander la permission ! les adultes n'y ont vu que du feu ! : non plus quoique pour ma part, je n'aie pas bien vécu les moments de rencontres avec mes cousins devenus plus tard majeurs et mariés. On 'oublie', certes, Brel préfère dire « on s'habitue, c'est tout » pour ce genre de chose car personne n'oublie rien de rien ! Mais c'est gênant et je déconseille les rapports entre cousins tout en me disant que céder au sexe et à l'amour c'est un honneur, c'est naturel. Bien sûr on pense à ces relations entre frères charentais dénoncées comme viols devant la justice. Rien de bon à attendre d'un procès. Le texte ci-dessous nous lance sur la problématique plus générale adulte+jeune. La seule situation à laquelle je sois favorable est que ce soit le jeune qui soit demandeur. |
C'est Kyler Moss, acteur porno, 26 ans
une apparent juvénilité cultivée que ce soit le jeune qui soit demandeur
Le mauvais rêve de Duncan
- « Elle te plaît ma bosse ? Je suis sûr que t'es encore puceau, moi à ton âge, il y a longtemps que je me servais de ma queue. Je t'observe depuis quelques temps et je pense que toi, t'es pas fait pour ça, c'est ton cul qui va servir le plus et je serai le premier à en profiter. » d
Dun se retrouva sur le lit, Keih monta sur lui, lui enleva ses fringues, l'embrassa sur tout le corps. Dun ne disait rien car, finalement, c'est ça qu'il voulait, il avait raison.
Toujours sous l'emprise de la boisson, il a longuement léché son trou, l'a doigté, lui a un peu claqué les fesses, les lui a écartées pour mieux l'ouvrir. Dun gémissait. Il ne fallait pas qu'on l'entende. Keith s'est déplacé pour venir se placer devant son visage et lui a dit que ça, ça allait lui faire fermer sa gueule de petit pédé : il a baissé son boxer, sa grosse bite en est sortie droite comme un I, elle semblait dure comme de la pierre, il la lui a carrée entre les lèvres, dans la bouche et lui a enfoncée bien au fond de la gorge. Dun étouffait, il avait des renvois mais il ne cédait pas, il lui disait :
- « Encaisse salope ! Salive, détends-toi et tu vas aimer me sucer. Bientôt, tu pourras plus t'en passer, c'est toi qui vas me la réclamer. » Comment savait-il ça ?
Il lui a baisé la gueule pendant une bonne dizaine de minutes, Dun commençait à bien apprécier ! En même temps, Keith s'était bien occupé de son trou, il mouillait et il adorait quand il bougeait ses doigts enfoncés à fond, ça lui procurait des sensations inédites, fortes et incroyables. Plus tard il sut qu'il caressait sa prostate. Il bandait à mort, il le vit et dit :
- « C'est bien ce que je pensais, t'es en train de te faire démolir la bouche et la rondelle et tu bandes. Toi t'es de la graine de salope, faut juste que je te forme un peu et tu vas en faire kiffer plus d'un. Dans quelques temps, t'auras une vraie petite chatte.»
Il a ressorti sa queue de sa bouche, l'a fait mettre à quatre pattes, s'est positionné derrière lui, lui a écarté les fesses avec ses mains, a craché sur sa rondelle puis a posé son gros gland sur son trou et a dit :
- « Allez mon petit Dun, c'est le moment, dis adieu au monde des puceaux ! »
Et là, d'un coup, il lui a enfoncé toute sa bite dans le cul. Dun a hurlé comme jamais, il l'a supplié d'arrêter mais il riait et le bourrinait, il avait l'impression qu'un poignard entrait en lui et l'ouvrait en deux. Il morfla comme ça pendant de longues minutes puis, petit à petit, la douleur s' estompa, il sentait la queue naviguer dans ses intérieurs, et finalement ce n'était pas sans plaisir. Keith l'a senti :
- « Voilà, c'est bien, tu commences à aimer ça. Crois-moi, c'est que le début, t'as pas fini de prendre du plaisir avec ce que je vais te mettre. Bientôt, tu seras complètement accro à ma bite. »
Il l'a couché sur le côté, s'est allongé derrière lui et l'a pénétré à nouveau, il lui'a levé une jambe, lui a embrassé la joue et l'oreille et l'a baisé à grands coup de reins. Dun bandait et se branlait, il adorait sentir sa bite coulisser en lui.
Il a basculé sur le dos et l'a entraîné avec lui, il était donc allongé sur lui, il dit :
- « Vas-y mon joli, amuse-toi avec ton tout nouveau joujou pour adulte. Fais-moi voir comme tu es une belle salope qui sait donner du plaisir à ton homme. En même temps, regarde-toi dans la glace en train de te faire dépuceler et démonter. »
Dun s'est relevé et j'a commencé à monter et descendre sur sa queue. Il se me voyait dans le miroir . Dun se sentit tout d'abord vulgaire, iI a détourné les yeux et les sensations de plaisir sont réapparues, et là il se sentait comme un prince il recommençait à gémir, Keith l'encourageait :
- « Ouais, t'es bonne, tu me fais du bien, continue, tu peux même accélérer si tu veux. »
Dun accéléra et accentua les mouvements, maintenant, le conduit ouvert, il ressortait quasiment etse renfonçait jusqu'à ce que ses fesses tapent sur le ventre de Keith, c'était trop bon. Dun se regarda à nouveau dans la glace, il adora l'image qu'il je voyait : une salope qui prenait son pied et qui bandait en s'empalant sur un gros chibre !
Keith le saisit par les hanches pour qu'il se retire, il l'a allongé sur le dos, lui a écarté les jambes, les a relevées et a dit : je vais te pénétrer comme une femelle. Ses hanches contre les siennes, son torse puissant au-dessus du sien, ses mains se sont posées sur sa tête et sa bouche s'est posée sur la sienne, sa langue est entrée et s'est enroulée autour de celle de Dun, sa salive coulait à flots en lui et son souffle puissant, sortant de son nez, caressait sa joue à chaque fois qu'il s'enfonçait en lui. Sa bite allait et venait, il a accéléré le rythme, s'est bloqué au fond et l'a rempli de son jus abondant et bouillant. Sentant les pulsations de sa queue sur ses parois, le cul de Dun se mit à l'unisson. Il jouit sur son ventre en même temps sans même se toucher. Cet orgasme scella un pacte à la fois matériel et immatériel entre Eux. Continuant à l'embrasser il n'est pas ressorti tout de suite comme pour en profiter un peu plus.
Il s'est allongé à côté de Dun il était essoufflé, il s'est épongé le front et a éclaté de rire :
- « Putain, j'en reviens pas, j'ai dépucelé et fécondé mon beau-fils ! T'en penses quoi ?»
- « C'était super bon. J'ai le cul éclaté mais j'ai adoré ! »
- « J'espère car, à partir d'aujourd'hui, t'es mon passif attitré. Maintenant, faut que je dorme.»
Le lendemain, Dun crut, qu'ayant dessaoulé, soit il ne souviendrait de rien, soit il se sentirait mal. A son réveil, il se comporta comme d'habitude, il a discuté de tout et de rien et a même plaisanté, bref, il s'est comporté comme d'habitude, Dun crut qu'il avait tout oublié, il commençait à se dire que, finalement, c'était peut-être mieux ainsi. Il a attendu que la mère soit partie et dès qu'ils sont remontés, il a sauté sur Dun, l'a foutu à poil en l'embrassant partout et l'a baisé trois fois en une après-midi. La première fois dans son lit, il l'a allongé sur le ventre et, pour que son cul soit cambré, il a mis un oreiller sous lui, il l'a baisé et a voulu qu'ils En jouissent tous les deux sur l' oreiller pour que je respire une odeur de jus cette nuit. Une deuxième fois, il l'a pris dans le canapé où il lui a fait avaler son jus bouche ouverte et langue tendue puis une troisième fois contre la baie vitrée qui donne sur l'allée, au risque (délicieux) d'être découverts.
C'est comme ça que les choses ont commencé entre eux. Il l'a baisé quasiment tous les jours pendant les deux ans qui ont suivi. Il avait raison, Dun est vite devenu accro à sa bite, c'est souvent lui qui la lui réclamait. Il a appris à lui donner beaucoup de plaisir en bougeant sous ses coups de reins et en se rasant les poils du cul et des couilles pour qu'il ait une sensation de douceur quand il le touchait.
Comme nous passions beaucoup de temps ensemble, la mère se félicitait de la bonne influence que Keith avait sur son fils. Keith, souriait et répondait :
- « Oh, ça va ! il n'a pas à se plaindre de moi, je le remercie amplement pour tous les efforts qu'il fait pour me faire plaisir. »
NOTES :
LAISSONS LES ADOS ET LES JEUNES ADULTES LIBRES DE LEURS CHOIX ! Le texte ci-dessus nous a lancés sur la problématique adulte(s)+jeune. Il y a plusieurs années j'ai vu de mes yeux vu, un très jeune garçon à vélo rejoindre les gars en pleine action dans les buissons de la drague. Il en avait le désir. Les adultes qui le recevaient entre eux et se faisaient sucer et le sodomisaient prenaient leurs risques AVEC LES POURSUITES JUDICIAIRES , non ? Mais je ne crois pas qu'il y en ait eues. L'inverse, chez un adulte est inacceptable : ce n'est pas parce que vous désirez quelqu'un que ça vous donne des droits sur lui. Et pourtant nos récits sur le net reflètent souvent cette attitude et on s'arrange pour obtenir une heureuse fin de l'histoire : le garçon pris de force est séduit et devient un gay heureux. Peut-être y a-t-il de cela dans bcp de 'conversions' hétéro->gay, j'y inclus ma propre histoire qui commence par une domination entre ados, mais je suis loin d'admettre la violence comme moyen de persuasion si j'ose dire. Moi, Jo avait institué ce scénario d'une courte lutte à chaque rencontre et le vaincu se faisait prendre. Ne me dites pas : « Tu aimais, non ? Alors ferme-la ! » Désolé, si un adulte satisfait unilatéralement son désir sur un mineur c'est NON NON NON ET NON ! |
commentaires :
"ON FAIT SEMBLANT D'OUBLIER NOS BAISES DE JEUNESSE
Bien sûr on pense à ces relations entre frères charentais assez décalés en âge, dénoncées comme viols devant la justice. Rien de bon à attendre d'un procès.
Pour ma part, bien plus tard, j'avoue que je n'ai pas toujours bien vécu les moments de retrouvailles avec mes cousins coquins maintenant majeurs et mariés. On 'oublie', certes, (Brel préfère dire « on s'habitue, c'est tout » ) pour ce genre de choses car personne n'oublie rien de rien ! Mais c'est gênant et je déconseillerais les rapports entre cousins tout en me disant que céder au sexe et à l'amour, c'est naturel et c'est un honneur plutôt qu'une honte.
Oui on fait seulement semblant et ça reste pour moi les meilleurs souvenirs d'enfance et de jeunesse.
Ne serais-je pas un nouveau Peter Pan refusant de grandir ? "
Encore une allure trompeuse...il est très jeune
sa bite est grosse
et vous pensez qu'il va se faire défoncer par cet adulte ci-dessous
Ah ?????
Hein, qui c'est le petit passif à son papa ? hein ?
Je suis jeune il est vrai, mais aux [bites] bien nées [ l'avaleur ] n'attend pas le nombre des années !
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