accusés ? la gauche comme la droite bourgeoises et cathos et tous les culs serrés qui s'accordent toutes les permissions sans problème pour leur compte mais les interdisent aux autres. Modèles : ceux qui sont contre la prostitution sont les premiers à aller aux putes en catimini...
d'après Jean-Baptiste Duval Le HuffPost en 2016
Je t'en supplie, allez, baise-moi encore une fois avant que les furies de la bienpensance catho ne nous envoient la police et dose-moi bien et sans capote ! merci
trop mignon le Huffpost !
INTERNET - A partir du 23 mars 2016, la plateforme d'édition de blogs de Google, Blogger a interdit les contenus sexuels explicites, voire la simple nudité. Le site, propriété de Google, en a informé ses utilisateurs le 24 février 2016 par e-mail.
Le nouveau règlement prévoit des exceptions. Blogger indique désormais que la nudité sera autorisée pour les contenus présentant un contexte artistique, éducatif, documentaire ou scientifique .
Sauf que : cette précaution renvoie aux controverses dont facebook a été l'objet après la censure anti culturelle de la photo représentant le tableau de Gustave Courbet l'Origine du monde,
ce magnifique tableau de Gustave Cour
Bannis aussi les nichons:ou encore de femmes en train d'allaiter!!!.Relire à cet égard le Tartuffe de Molière, "Cachez ce sein...."
En 2013, Blogger a déjà interdit la pub sur les blogs les plus osés
Résultat, les détenteurs de blogs olé-olé avaient jusqu'au 23 mars 2016 pour retirer tous ces contenus de leurs pages. Sans cela, ils ne seront pas supprimés, mais passeront en mode privé. Et ne seront donc plus accessibles au grand public.
D'après le site 9 to5Google, la dernière fois que Blogger a changé son règlement remonte à 2013 et il était déjà question de pornographie. Il s'agissait alors d'interdire aux blogs sexuellement explicites de monétiser leur audience grâce à la publicité ce qu'aurait dû faire erog alors qu'il mérite, lui, l'interdiction pour ses abus publicitaires qui empiètent sur les espaces de lecture
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Google n'est pas le premier à mettre l'interdit sur les contenus pornos. En mars 2014,Vine, l'application mobile de Twitter avait banni les vidéos explicites.
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CAVAILLONGAY :
Allez, encore, je ne m'en lasse pas de ta bite !
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