Partager l'article ! FORMATION RECIT EN EPISODES SUR CYRILLO Je m’appelle Marc, je ne suis pas très grand (1m72) mais assez musclé...: j'avais des dispositions av ...
j'avais des dispositions avant de faire cette "formation" mais je dois dire que s'il existe un diplôme je le mérite bien !
extraits explicites:
formation 1
Je viens juste d’avoir 18 ans et avec mes potes de formation, nous effectuons, en car, un voyage organisé en autobus.
Je suis assis sur la banquette du fond, contre la vitre.
Le directeur, Monsieur Jean est venu s’asseoir à côté de moi et à son côté, l’animateur en informatique, Monsieur Daniel, suivis par d’autres jeunes.
Pour faire de la place à un dernier arrivant, nous avons du nous serrer.
Je m’appelle Marc, je ne suis pas très grand (1m72) mais assez musclé.
Il fait beau et nous avons un peu chaud. Monsieur Jean, qui a ôté sa veste depuis un moment, a remonté les manches de sa chemise et a fini par déboutonner le
formation 2
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Arrivé au centre d’hébergement, nous sommes accueilli par la chef de centre, Monsieur Aimé, un grand black tout en muscle dans son tee-shirt
moulant, pantacourt et tongs. Je lui donnerai 35 ans.
Certes Monsieur Jean est bel homme et il est vrai que j’ai un faible pour les hommes, surtout les murs, mais jusqu’à présent je n’ai jamais eu de
relations homosexuelles
Monsieur Aimé qui était dans le couloir, en débardeur de couleur rose, faisant ressortir sa musculature impressionnante et une toison courte et frisée, noire comme ses cheveux coupés très courts, presque rasés
formation 3
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Un gars vient vers moi avec une liasse de papier à la main. « Je m’appelle Paul ! ».
« Moi Marc ! ».
« Oui je sais ! ».
Paul est plus petit que moi, un visage juvénile, petit blond comme un angelot, tout en rondeur, avec un regard très doux et un peu désemparé.
formation 4
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il dit : « putain j’ai encore envie, je ferai bien appel au petit Paul ! ».
Je suis abasourdi. Quoi Paul y passe aussi ?
à son tour, Paul me glisse un mot disant que oui avec un smillai avec une larme.
Monsieur Jean m’essuie le visage, mais m’interdit de nettoyer mon polo et m’accompagne en salle de formation.
Quand j’arrive tout le monde rit de ma situation mais Monsieur Richard ramène le calme très vite.
Monsieur Aimé vient me rechercher. En chemin, il me demande si j’ai déjà été enculé. Je le regarde estomaqué et il me dit : « tu n’as pas à te
sentir gêné tu sais, moi je l’ai déjà été et j’ai déjà, aussi, enculé. Alors ! ».
Je lui réponds : avec mon doigt ! ». Il a l’air satisfait.
formation 5
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Le Docteur lève les yeux au ciel et rassure Monsieur Aimé puis me demande d’enlever le bas. Il inspecte les zébrures de mes fesses en poussant un «
oups » de surprise. « Il a été fort !
De si jolies fesses ! ».
formation 6
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Le Docteur me désinfecte, puis me passe longuement une pommade qui me soulage, tout en pelotant les fesses et en les écartant de temps en temps.
Puis il me demande de m’allonger. Il me dit qu’il va devoir m’attacher et me faire une petite injection pour me calmer et me détendre.
Je proteste ! « Mais pourquoi m’attachez vous ? Vous allez encore m’endormir ? ».
Le Docteur répond : « Non Marc, détend toi, je t’assure c’est pour ton bien ! ».
Monsieur Aimé vient près de moi et me serre la main. Une fois attaché, poignet et cheville, le Docteur le fait la piqure. Effectivement je ne
m’endors pas, mais je me sens reposé
Le Docteur me désinfecte, puis me passe longuement une pommade qui me soulage, tout en pelotant les fesses et en les écartant de temps en temps.
Puis il me demande de m’allonger. Il me dit qu’il va devoir m’attacher et me faire une petite injection pour me calmer et me détendre.
formation 7
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je sens, le gland de Monsieur Jean frotter mon anneau. Il me tient par les hanches et appui à présent et je sens mes lèvres anales s’écarter. Mon
anus s’ouvre progressivement.
Je prends peur, je panique. Nouvelle inspiration du flacon. Je transpire, j’ai envie de hurler mais le Docteur me met quelque chose dans la
bouche.
« Détend toi et pousse ! » me dit Monsieur Aimé.
Je me concentre. Je sens la progression et tout à coup une douleur fulgurante comme si on m’arrachait mes chairs, me ferait hurler si je n’étais pas
bâillonné.
« Le gland est passé ! » commente Monsieur Jean.
Le Médecin demande s’il ne faudrait pas remettre de la graisse. Monsieur dit qu’il ne le veut pas.
Après une pause, la progression reprend.
Je suis au bord de l’évanouissement.
« Une pause Monsieur, s’il vous plait ! » demande le Médecin.
« Pas question ! » répond Monsieur Jean.
J’ai l’impression que le temps s’est arrêté. Puis plus rien, ne se passe, j’ai le cul dilaté, d’ailleurs ai-je encore un cul ? Puis cet objet qui
envahit mon boyau, se retire et replonge de nouveau, doucement et monte en moi, une sensation de volupté. Les allers et retours continuent, mais sans brutalité et tout à coup je me dis que j’aime
ça.
Arrive enfin le rugissement caractéristique de Monsieur Jean. Il se vide en moi. Ne bouge plus un moment puis dit : « Messieurs ca va être à vous !
Youssouf et Mustafa, en position ! ».
formation 8
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Une fois, j’ai demandé à Monsieur Aimé si ma formation était terminée, si je pourrai bientôt sortir, regagner ma famille et chercher du travail
?
Monsieur Aimé me répond qu’il n’y a jamais eu de formation, tout cela n’était qu’une illusion et qu’il ne fallait pas me cacher que jamais je ne
sortirai d’ici, du moins tant je plairai à Monsieur Jean.
Je n’ai rien répondu, car il faut bien dire que je m’y attends depuis que je suis dans cet appartement. Tout cela a été trop loin.
Et puis je dois bien reconnaître que je m’attache à Monsieur Jean et à sa queue autre du commun, plus encore à Monsieur Aimé qui est toujours très
tendre avec moi mais, également à Youssouf si dévoué.
De plus, je suis bien nourri, vêtu, et blanchi au frais de Monsieur Jean et par ailleurs, je ne dois pas chercher du sexe, car j’en ai plusieurs
fois par jour et même parfois en pleine nuit. Je me suis habitué à ma cage de chasteté et à mon Plug anal.
Je reconnais que mon statut de soumis ne me dérange pas. Ce doit être ma nature.
formation 9
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Youssouf séduit et enlevé au Maroc se confie
Très vite Monsieur Jean l’a dominé, éduqué et lui, seul, loin de son pays s’est soumis.
Comme moi, il se dit que pour le moment il est bien soigné et tant que cela dure, mais qu’il sait qu’un jour il sera vendu.
« Vendu ? » « Un jour ? » lui dis-je.
Oui me répond-il, ici de toutes les lopes, soumis, ou souffres douleurs, etc…, personne n’a plus de 30 ans, sauf Monsieur Aimé qui en a 40 mais ne
les fait pas.
Et ajoute que, d’ailleurs je crains que ce ne soit ce qui est arrivé au petit Paul.
Monsieur Jean l’a emmené et nous verrons bien s’il revient avec lui.
Je demande à Youssouf s’il connaît Paul et il me dit qu’il a parfois participé à son dressage. Ses rondeurs excitaient Monsieur Jean et ses pleurs
et ses supplications ne faisaient que le rendre plus dur. Aujourd’hui Paul est brisé mentalement et prêt à tout accepter. C’est pourquoi, il intéresse moins Monsieur Jean, et que Youssouf pense
que ce dernier va s’en débarrasser.
Je lui demande s’il pense que moi aussi je serai vendu un jour et Youssouf me répond : « sans aucun doute ! ».
Il ajoute ensuite : « ne lui en dite rien, il serait fou furieux ! ».
« Rassure toi Youssouf, jamais je n’oserai poser une question à Monsieur Jean ! ».
Je dors profondément. Dans la nuit, je me réveille subitement. Quelqu’un se glisse dans mon lit. Je suis prêt à en sortir quand une voix me chuchote
: « c’est moi Aimé ! ». Je sens son corps chaud et doux se frotter à moi. Il me passe un bras autour du cou et de l’autre main il me caresse doucement. Sa bouche chaude et humide s’approche de la
mienne que j’entrouvre. Sa langue douce et soyeuse envahit ma bouche.
Sa queue bandée se presse contre ma cuisse.
Un long, baiser très langoureux, s’ensuit.
Il me lèche le lobe de l’oreille, tout en caressant mon crâne nu.
« Je t’aime, Marc, depuis le premier instant où je t’ai vu ! ». Je lui réponds : « Moi aussi je t’aime Aimé, mon Aimé », et je sanglote tant notre
situation est désespérée.
« Je te promets, que je te sortirai de là un jour ou l’autre et, nous ferons notre vie ensemble !
Mnsieur Jean s’arrête tout en laissant sa queue dans mon fondement.
« Je vais la laisser dégonfler dedans ! » dit-il.
Puis il se retire doucement et remet aussi sec mon plug en place.
« Ainsi ton petit déjeuner déjà digéré, restera en place jusqu’à ce soir ! » dit Monsieur Jean.
En partant il me dit : « je vais aller voir les vidéos. J’espère que tu as été bien sage en mon absence, mon petit Marc, sinon, tu vas morfler !
».
formation 10
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Son sexe est plus brun que le reste de son corps. Une verge longue et assez grosse repose sur un beau paquet de couilles. Quand il est dur son gland
est plus foncé que sa tige. Il est blanc mais doit aoir un père noir.
« Voilà mon cher Alexandre, puisque vous avez beaucoup travaillé ces derniers temps et pour services rendus, je vous laisse baiser le petit Marc !
». Il demande à Youssouf, qui s’exécute de mettre le docteur en condition. « Moi je vais rester à regarder ! » ajoute t il !
Tous deux restent en position. Je sens la queue de Monsieur Jean se dégonfler quand tout à coup un liquide amer se déverse dans ma bouche. Il pisse.
J’essai de recracher cette queue, mais Monsieur Jean m’ordonne d’avaler tout en me pinçant le nez. J’y suis obligé.
On me fait regagner ma chambre. Je suis cassé mentalement. Jusqu’où ira-t-il dans sa perversité ?
Découverts !
Dans la soirée Monsieur Jean appelle Monsieur Aimé à son bureau.
Monsieur Jean a l’air très fâché. Il est devant un écran. Avec une voix sifflante, il demande à Monsieur Aimé : « Aimé vous êtes certain que durant
mon absence, Marc a passé ses nuits seul ? ».
Monsieur Aimé répond que Youssouf dormait dans la pièce voisine. Monsieur Jean lui répond que Youssouf n’a pas la possibilité de disposer de
sa queue. « Regardez ! » dit-il.
Monsieur Jean fait défiler des extraits des vidéos, qu’il a retenu et sur les lesquels, malgré l’obscurité on semble distinguer un volume assez
important couché sur le lit. On y entend des murmures. « Explications Aimé, c’est vous qui en aviez la garde ! » questionne Monsieur Jean.
Malgré son trouble Monsieur Aimé répond calmement : « Que voulez-vous que je vous dise, on ne distingue rien de bien net. C’est sans doute que Marc
a un sommeil agité et qu’il parle en dormant. Que voulez vous avec ce qu’il vit, il est normal que cela lui travaille et lui fait se poser des questions ! ».
vendu ?
Nous arrivons à un hangar où il y a une camionnette. Mustafa est là avec Monsieur Jean. Il a des menottes à une main.
Monsieur Aimé attache la menotte libre au poignet de Youssouf et nous fait monter dans la camionnette. Nous nous asseyons sur le banc et Monsieur
Aimé me menotte mon poignet au support du banc.
La porte se ferme.
« Vous allez conduire Aimé, nous allons chez Antoine ! »
formation 11
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Monsieur Jean embrasse un mec, qu’il appelle Antoine. Il est de taille moyenne, 45 ans environ, brun, les cheveux bouclés tombant au niveau de ses
épaules, un bouc court et une moustache. Il a un torse un « V », moulé dans un tee-shirt collant, de gros pectoraux, une taille fine, des cuisses puissantes comme ses biceps. Il porte un
jockstrap dont l’avant, ouvert, laisse pendre un sexe appréciable et deux grosses couilles pendantes, en forme de poire.
Monsieur Jean nous dit : « je vous présente mon ami Antoine tatoueur et pierceur ! ».
Nous entrons dans l’atelier de Monsieur Antoine. Monsieur Jean nous demande à tous les trois d’enlever le bas ! Il nous libère les mains.
Monsieur Antoine nous fait passer dans une autre pièce.
Un jeune homme nous accueille et Monsieur Jean demande à Youssouf de s’installer sur la table, les pieds dans les étriers.
« Je veux une épilation intégrale et définitive ! » dit-il en s’adressant à Monsieur Antoine
Vers vingt heures c’est Monsieur Jean qui entre dans ma chambre pour m’enlever le plug. Il demande à Youssouf de m’appliquer un long lavement et lui dit qu’il viendra me chercher vers 22h.
formation 12
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Monsieur Jean prend un gode qu’il avait près de lui et me l’enfile de plus en plus profond. Je sens des vibrations dans mon ventre et le rythme en
change de temps en temps.
C’est tellement excitant que je pompe la pine de Monsieur Jean de plus en plus vite avec frénésie.
N’y tenant plus, Monsieur Jean rugit et se répand dans ma bouche. Je m’applique à avaler au fur et à mesure ce foutre abondant et aigre. Monsieur
Jean ne serait pas content que j’en perde une goutte.
rapidement il me met sa queue encore dure dans le cul.
Il me serre contre lui et de ses gros doigts il me triture les tétons.
A voir il est satisfait, mais il me fait mal, de plus en plus mal ce qui le satisfait encore plus.
Je me tortille, je crie : « s’il vous plait Monsieur, ca fait mal, c’est insupportable ! ».
Il me répond méchamment : « ta gueule pute ! ».
Il a tellement du plaisir à me voir souffrir que sa queue reprend du volume dans mon cul.
Pourtant la pression se relâche.
Mais bien vite il recommence. Je me tortille sous la douleur, je pleure, mais rien n’y fait.
« Quand tu souffres ton anus se contracte sur ma queue et tu me donnes du plaisir sans que je sois obligé de te limer ! ». me dit-il.
« Ne bouge surtout pas ! » dit-il et il s’endort sa queue encore en place.
La douleur et ma mauvaise posture (l’énorme bite de Monsieur Jean dans le cul) m’empêchent, un long moment de m’endormir.
Je ne suis pas combien de temps j’ai dormi, mais je suis réveillé par quelque chose qui s’agite dans mon anus.
Je reviens à la réalité des choses et je me rends compte que c’est Monsieur Jean qui s’agite en moi.
Lorsqu’il s’aperçoit que je suis réveillé, il décule.
ça suit ; 13, 14 ....???? je suis, et vous ?
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