Partager l'article ! GENRE : "En aucun cas préoccupé Par les yeux ou les seins des filles, Dans mes nuits j'étais la poupée..." Il joue la fille mais est-ce bien ce qu ...
Gay et garçon, avez-vous, auriez-vous, voulu être une fille ? et un actif qui cherche une fille ne préfère-t-il pas l'original à la copie ?
En aucun cas préoccupé Par les yeux ou les seins des filles, Dans mes nuits j'étais la poupée...
story : Robert est plus âgé que Louis
— Oui, je me sens comme une jeune fille dans tes bras, tu ne trouves pas que je ressemble à une fille ?
— Si, tu es à la fois fille et garçon, ça me plaît beaucoup, dit-il en rougissant.
— Moi aussi, ça me plaît…
Je l’attirai contre moi et le pressai contre moi, continuant à onduler de plaisir.
— Mmm… comme je t’aime, je veux être la fille quand nous ferons l’amour, je veux te sentir en moi, mon amour…
— Oui, je te prendrai comme une fille, mon ange, tu es adorable…
— Et tu m’aimes vraiment ?
— Oui, je t’aime…
— Je t’aime, Robby, mon amour…
— Je t’aime, Loulou, mon ange chéri…
J’étais de plus en plus excité. J’avais peur de jouir trop tôt si je continuais à me frotter contre lui. Je m’écartai en lui faisant mon plus beau sourire, pour qu’il comprenne qu’il était temps de passer à l’action. Je défis la ceinture de son peignoir et l’ouvris pour découvrir l’objet de mon désir, son magnifique membre dressé. Je me glissai à ses côtés pour approcher ma bouche et me mis à le lécher à petits coups de langue. Robert poussa un long soupir et se mit à son tour à onduler.
Je n’aurais jamais pensé prendre du plaisir à faire ça. Le sexe des autres hommes m’avait toujours inspiré une certaine indifférence, voire un peu de répulsion. Mais en prenant soin de celui de Robert, je pensais à lui, à mon amour naissant, au bonheur entrevu. Et je me sentais de plus en plus féminin. La femme en moi se réveillait et je m’imaginais être une jolie fille donnant du plaisir à son homme. Cette idée nouvelle me stimulait et me rendait gourmand de son sexe.
— Tu as aimé, mon amour ? lui demandai-je en caressant son membre encore luisant de ma salive.
— Oui, beaucoup…
— Je suce bien ?
— Oui, tu suces très bien, mon chéri…
— Tu aimes être sucé par ta jolie copine ?
— Oui, ma chérie, je t’adore…
— Tu caressais mes cheveux pendant que je te suçais…
— Oui, j’aime beaucoup tes cheveux…
— Tu aimes mes cheveux…
— Je les adore, tes longs cheveux blonds…
— Tu voudrais qu’ils soient encore plus longs ?
— Oui, mon amour…
— Alors je vais les laisser pousser, je veux te plaire encore plus…
— Tu me plais déjà énormément… Je vais m’occuper de toi, maintenant…
— Tu vas me sucer ?
— Oui, et je vais aussi préparer ton petit trou d’amour…
— Mon petit trou d’amour ! Mmm… j’aime comme tu parles comme ça…
— Je vais prendre bien soin de ton petit trou d’amour… ajouta-t-il malicieusement.
Je m’étendis sur le dos, au milieu du lit, bien offert à mon amant.
— À toi, maintenant, fais-moi ce que tu veux, donne-moi tout le plaisir possible…
— Tu peux compter sur moi, mon Loulou d’amour…
— Je compte sur toi, mon Robby d’amour. Tu peux m’appeler Louise, puisque je suis ta copine…
— Oui, ma Louise, tu es si jolie, ma chérie, ma douce copine…
Ces mots doux m’avaient comblé et mon sexe se dressait fièrement, offert à sa bouche gourmande. Il en prit soin en expert, me donnant beaucoup de plaisir, évitant de me faire jouir trop vite, et préparant mon cul avec du lubrifiant. Le contact froid du fluide me surprit d’abord, mais bientôt, mon « trou d’amour » fut brûlant de désir et largement ouvert, prêt à recueillir l’offrande promise.
Il me prit avec douceur, par-devant, en me caressant et m’embrassant sans cesse. Les premières douleurs disparurent vite, laissant place à un plaisir inconnu, qui m’embrasa complètement. Tout en sentant la jouissance venir, je le regardais avec ravissement, le voyant prendre un plaisir qui transfigurait son beau visage. Je ne mis pas longtemps à jouir, et mes spasmes de plaisir provoquèrent son orgasme, merveilleux moment qui se termina par une nouvelle série de doux baisers.
— Chéri ?
— Oui, mon Robby adoré…
— Alors tu as aimé ? Tu n’as pas eu mal ? me demanda-t-il avec une pointe d’inquiétude.
— Un petit peu au début, mais ce n’était rien, et puis ensuite… oh, je n’ai pas de mots pour décrire tant de plaisir…
— Moi aussi, ma Louise chérie, c’était si intense, j’ai adoré…
— Merci mon amour, je suis contente, je t’aime tellement…
— Moi aussi, je t’aime, tu es merveilleuse…
— Oui, je suis merveilleuse, je suis ta jolie petite femme, maintenant…
— Oui, ma chérie, mon amour de petite femme…
— Tu m’as bien remplie de ton jus d’amour, mon beau mari…
— Oui, et je le ferai encore, toute ma semence sera pour toi, pour ton adorable petit cul…
— Oui, j’en veux encore, tu me feras un bébé ?
— N’importe quoi ! s’exclama-t-il en riant. Que tu es bête, mon amour ! Mais je t’adore encore plus quand tu parles comme ça…
LE VRAI PLAISIR D'UN GAY PASSIF : c'est pas celui d'une fille
Pendant tout ce temps, il était resté étendu sur moi. Je commençais à avoir du mal à respirer. Je me dégageai pour me mettre sur le côté. Nous nous enlaçâmes pour échanger un long baiser, avant de sombrer dans le profond sommeil des amoureux.
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb176/reve17659.html
J'essaierai de choisir mes mots
Mais comment peindre un sentiment
Ce que je sais n'est pas nouveau
Je me connais depuis longtemps
En aucun cas préoccupé
Par les yeux ou les seins des filles
Dans mes nuits j'étais la poupée
Qu'on habille et qu'on déshabille
Est-ce une maladie ordinaire
Un garçon qui aime un garçon
Derrière les murs de ce collège
Ceux qui font tourner les manèges
Se sont-ils posé la question
Y a-t-il un Dieu qui nous protège
Une différence un privilège
Qu'est-ce qu'ils vont dire à la maison
Un garçon qui aime un garçon
Est-ce une maladie ordinaire
Un garçon qui aime un garçon
Depuis deux jours je n'en dors pas
Est-ce qu'ils m'accepteront encore
Apprendre que leur enfant se croit
Etre un étranger dans son corps
C'n'est pas comme avouer un mensonge
D'ailleurs je n'ai pas honte de moi
C'est crever l'abcès qui me ronge
Et finir en paix avec moi
Est-ce une maladie ordinaire
Un garçon qui aime un garçon
Derrière les murs de ce collège
Ceux qui font tourner les manèges
Se sont-ils posé la question
Y a-t-il un Dieu qui nous protège
Une différence un privilège
Qu'est-ce qu'ils vont dire à la maison
Un garçon qui aime un garçon
Y a-t-il un Dieu qui nous protège
Une préférence un privilège
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