Partager l'article ! COMPRENDRE POURQUOI ET COMMENT IL FAIT LA PUTE...ça va loin ...: ...
D'habitude on fait tout pour s'ignorer, mais ne sais ce qui m'a pris, et je l'ai suivi, je voulais lui parler, savoir, mais je ne voulais pas lui faire peur. Je l'ai suivi de loin, il a contourné plusieurs pâtés
de maisons, repassant deux fois aux mêmes endroits. C'était sûr il m'avait vu le suivre. |
[ ...Ce type avait compris instantanément ce qui m'attirait et ça n'a pas traîné. De longs et puissants jets de sperme s'abattirent dans mon fondement. Il hurlait son plaisir. Je n'aurais pas imaginé qu'il devienne aussi bruyant et grossier. Il a pris son pied. Il resta en moi, puis se retira alors qu'il bandait encore, se présenta devant moi et m'enfonça sa bite dans la bouche, tout ça avec un air de domination...Que je comprenais, que j'admettais... à côté, celui que j'avais suivi ne chômait pas...et je matais, l'air de rien]
Les semaines passèrent et plus rien, ni travail, ni rencontre, mes masturbations reprirent. Alors que je ne m'y
attendais pas du tout, je suis tombé nez à nez avec lui, Jean-Philippe, en pleine rue.
− Bonjour Marc.
− Bonjour Jean-Philippe.
− Tu te promènes ?
− Oui et non, je cherche du boulot.
− Si c'est que ça, il faut patienter.
Qu'entendait-il par « que ça ». Je ne savais que penser. Lui si taciturne et muet il me parlait, c'était pour le moins bizarre.
− J'aimerais te parler, mais pas dans la rue !
− Où ?
− Tu peux venir ce soir chez moi ?
− Chez toi ?
− Oui chez moi, je serai, normalement seul entre 20 et 21 h, si je sais que tu viens j'attendrais à l'entrée, surtout ne sonne pas. Si tu ne me vois pas à 20h05, c'est qu'il y a du monde, on
verra alors plus tard.
− D'accord, pour moi c'est possible.
Je n'en revenais pas, il m'a parlé et de plus il veut que j'aille chez lui, alors que pendant 19 ans je n'y suis jamais allé. Cette affaire me sembla louche. A coup sûr l'histoire du parc l'obligeait à me voir. Je devais être prudent, il me plaisait, mais ça ne fait pas tout. De plus c'était notre voisin, et je ne tenais pas à avoir de problème. Pour l'instant, en dehors de mon frère, les parents ne savaient pas que j'étais Gay. Une première approche, récemment, me fit user de prudence. Je pensais bien leur dire, mais je voulais avoir mon indépendance financière, donc avoir un appart, ce qui dans l'immédiat n'était envisageable qu'au prix de multiples compromis et frustrations.
Le soir venu, je suis allé à 20h devant son entrée, il m'attendait en jogging.
− Entre, je suis seul pendant une heure. Allons dans ma chambre.
Je l'ai suivi, contrairement a ce que je pensais, nous n'avons pas pénétré dans la maison par l'entrée principale, nous avons fait le tour de la bâtisse, il y avait un escalier en colimaçon, il
ouvrit la porte donnant accès à une petite pièce.
− Enlève tes chaussures s'il te plait.
Il fit de même et ouvrit la porte donnant sur sa chambre. Elle n'avait rien a voir avec la mienne, deux fois plus grande, un grand lit en bois ancien, des meubles de style de la moquette et des
tapis partout. Il me fit asseoir sur un fauteuil, m'offrit une boisson et prit place en face de moi.
− Tu te doutes pourquoi je t'ai demandé de venir ?
Je fis l'innocent.
− Non.
− L'autre soir, tu m'as vu sortir du parc de … ?
− Oui. Il jouait le déni de notre relation.
− Tu sais ce qui s'y passe ?
− Je jouais le jeu..."J'ai entendu des choses, mais je ne sais si c'est vrai."
− C'est un lieu de rendez-vous.
− Pas possible ? Il y a des filles ?
− Peut être mais surtout des garçons.
− Tu es allé voir un garçon ?
− Oui, j'ai eu une relation avec lui, une seule fois.(lol !)
− Pourquoi m'en parles-tu ?
− Je voudrais m'assurer que tu n'en parles à personne.
− Je ne vois pas pourquoi j'en parlerais, c'est ta vie.
− Depuis que je sais que tu sais, je ne sais plus quoi faire. Le soir où on s'est vus c'était une prise de contact. J'avais envie, il a été honnête, mais j'avais honte de moi.
− Parce que, tu as eu une relation avec ce jeune, ou parce que tu aimes les garçons ? Moi je suis attiré par les garçons, mais dans mon milieu, ce n'est pas très bien admis. Quant au jeune
il m'a sodomisé, mais je ne demande qu'à oublier. Peut être qu'il a aimé, je ne sais pas. Tu sais tout.
− Je te remercie de ta franchise, aussi je me dois d'être franc avec toi, je savais . Nous n'avons jamais eu de relation de voisinage, même, tu t'es toujours montré hautain, même dédaigneux
envers moi. Il y a longtemps que j'en avais pris mon parti. Quand je t'ai vu sortir du parc, j'ai voulu savoir. J'y suis allé plusieurs soir à attendre, quand je t'ai vu je t'ai suivi, j'ai vu ce
que tu y faisais. Mais ça ne change rien au fait que c'est ta vie. Je peux t'assurer de ma discrétion.
− Tu as tout vu ?
− Oui, je t'ai vu et entendu et, entre nous, je suis d'accord pour dire qu'il n'y a rien eu,que ça c'est passé comme tu as dit. Tu as été franc sans chercher à biaiser et aussi je suis
honnête avec toi.
− Pourquoi m'as tu surveillé ?
− Simple curiosité, pas dans un esprit de méchanceté, ce n'est pas mon genre. Après t'avoir vu, je me suis dit que même les plus riches ont des soucis.
− Tu pourrais essayer de me faire chanter, me dénoncer aux parents !
− Tu ne me connais pas, ça se voit, l'argent, j'en ai peu, mais je le gagne honnêtement. De plus, il faudrait prouver que ça a eu lieu, encore que ça je pourrais. Mais je te le redis ce n'est pas
mon genre. Alors comme ça tu aimes les garçons ?
− Oui, que les garçons hélas, mais je n'ai eu qu'une relation et tu la connais. Je peux te faire confiance ?
− Oui, je vais te montrer quelque chose et tu comprendras mieux pourquoi tu peux avoir confiance. Comme moi j'attends, ta confiance après ce que tu vas voir.
Je me suis levé, j'ai baissé mon short et mon slip. J'étais debout devant lui le sexe à l'air, mais surtout rasé intégralement.
Il écarquilla les yeux. Je me suis rhabillé.
− Tu te prostitue ?
− Non pas du tout, mais je suis homo et j'assume, mes relations sexuelles ne sont que consenties et n'ont lieu qu'avec des personnes avec qui au moins il y a un certain feeling, voire amitié.
D'autres critères entre en ligne de compte.
− Pourquoi tu me le dis ?
− Tu es honnête, donc je peux te faire confiance, et tu peux te rassurer, je suis comme toi. Ne crois pas que ce me sois facile, mes rencontres sont, hélas, rares. Je ne conçois que des
relations acceptées par les deux parties. La pratique dépend des désirs de l'un et de l'autre. Il est hors de question que je paye pour une relation, ce n'est pas une question
d'argent
− C'est vrai, ça a été un fiasco, bien sur j'ai joui, mais en me masturbant aussi. Tu aurais pu dire que tu
es rasé sans te montrer nu !
− M'aurais tu cru ?
− En effet, j'aurais douté. Bien évidemment, tu peux être sûr de ma discrétion! Je peux te poser une question ?
− Bien sur!
− Pourquoi tu te rases le sexe si tu ne te prostitues pas ?
− Je me rase le sexe et le cul pour deux raisons. Premièrement quand ton partenaire te fait une fellation, qu'il passe sa langue sur ton anus et qu'il te sodomise, il n'y a aucun désagrément avec
les poils qui rentrent dans la bouche. Et deuxièmement, les zones rasées s'avèrent être très érogènes, multipliant de fait les plaisirs.
− Ce soir non, il y aurait un souci à prolonger mais tu accepterais de venir parler une autre fois ?
− Si tu veux. Ici ?
− Oui, je te tiens au courant, merci pour ta franchise.
Trois quarts d'heures plus tard, je repartais, il m'accompagna jusqu'au portail et me serra la main. Quels progrès en si peu de temps. Son comportement avait changé à mon égard, mais est ce que ça perdurerait ? Et, plus simplement, comment nous rencontrer sans éveiller les soupçons ? ...
Le second soir il avait dû avoir une sacrée soirée et plusieurs grosses bites dans son joli cul. Il revint de la salle de bains tout nu avec un tube à la main. L'entrée en matière était claire :
− Tu veux bien me rendre service, habituellement je le fais tout seul, mais, comme tu es gay, on est un peu frères, tu connais, j'aimerais que tu me mettes de cette pommade sur ma rondelle et
bien à l'intérieur de mon anus. C'est un antidouleur et un antiseptique. Ça ne te gène pas ?
− Pas du tout, je me lave les mains avant, questions d'hygiène, tu te mets où ?
− Sur mon lit.
Je suis allé me laver les mains et je l'ai enduit de pommade, son anus était distendu, mais il sembla apprécier ce doigt nouveau. Surtout le produit le soulagea.
− Tu fais pareil sur mon gland S'il te plait !
Je l'ai décalotté, lui ai enduit le gland, et refermé le prépuce. Puis je suis allé me laver les mains..
− J'aurais pu le faire tout seul, mais c'était pour me rassurer et être bien sûr que ce n'était pas une relation sexuelle que tu voulais, voire profiter de moi, alors que je suis tout seul. Je
pense que tu comprends mes craintes.
− Je comprends ta prudence, mais je t'affirme, que je ne veux que des réponses à des questions que je me pose. Que moi qui ai besoin de fric je puisse me prostituer ok, mais toi qui ne manquais
de rien...et physiquement tu es un beau garçon, même un très beau garçon, mais je ne cherche pas du sexe, mais des explications c'est tout. Et je te le redis, si ça te pose problème, je pars dès
que tu me le demandes.
− Et si je te demande de te mettre tout nu ?
− Je peux bien sûr, ça ne me gène nullement, c'est même logique que tu me voies nu, vu que moi je te vois. Mais que si je peux prendre une douche, parce que je ne me suis pas lavé de la journée.
Et je n'aime pas être sale.
− Pas de souci, tu sais ou est la salle de bains, je te donne le nécessaire.
Je suis revenu lavé et nu.
− Je te propose de manger avec moi, t'as pas mangé ?
− Non.
− On couche ensemble, en tout bien tout honneur, et tu me poses tes questions, ça te va comme plan ?
− Ça me va, je n'ai pas d'obligation.
Nous avons bu l'appétitif, puis nous avons dîné ensemble en tête à tête. Une fois tout nettoyé, on s'est couchés.
− Tu es le premier mec à coucher ici. Je n'ai jamais couché avec un garçon. ça peut te paraître bizarre, mais c'est la vérité. Je t'écoute ?
− Tu te prostitues depuis longtemps ?
− Un an.
− Tu le fais pour l'argent ?
− Oui et, un peu pour le sexe. Il y a des situations ou je prends mon pied, mais je t'accorde que c'est rare. Hélas le fric en est la première raison. Mon père m'a foutu dehors l'an dernier a 17
ans, parce que je suis un sale PD. Tu vois, moi c'est le fric de ma famille qui m'a porté malheur. Je me suis retrouvé seul, je connaissais le parc et ce qui s'y faisait. Au début ça a été
très dur, mais il me fallait vivre. Ici j'ai un toit, un petit loyer, la tranquillité. Donc ça va, je sais il y a des risques de maladie.
− Tout ces mecs ne sont pas propres, pas toujours jeunes, certains ne te payent pas !
− Il n'y en a qu'un qui me paye pas, le grand-père, il vient toute les semaines, mais sa retraite est petite, il me donne du fric trois fois sur quatre et comme il me fait toujours la même chose,
je peux lui faire ce plaisir. Je suis un bon samaritain – Il rigola. Des sales, il y en a, tu as vu ce soir quand je me suis rincé la bouche, le mec il avait une queue dégueulasse, mais quand tu
donnes ton accord pour une prestation, tu as intérêt à la faire, surtout si le mec est baraqué. Tu risques de prendre une sacré rouste et tu seras obligé de lui faire quand même, voire plus et il
ne te paieras pas. Dans ce cas tu essaies de faire le vide dans ta tête et de faire au plus vite. La prochaine fois qu'il viendra je lui dirai non, que j'ai un autre rencard ou je lui laverai la
bite avant.
− Et l'âge de tes clients ?
− Curieusement il y a des jeunes, ce sont souvent des mecs qui ont des copains qui les enculent, mais qui refusent l'inverse, alors ils viennent pour se satisfaire dans mon cul. En général il le
font bien, j'arrive à prendre mon pied dans ces cas-là. Il y a beaucoup d'hommes mariés et des pervers. Ils ont des idées à la con, et je ne veux pas, j'ai eu la chance que ça ne m'arrive
qu'une fois, mais un mec m' a défenduquand j'étais en difficulté.
− Tu pourrais rester plus longtemps et te faire plus de fric ?
− Non trop risqué, il y a les bastonnades anti PD. Quand ça arrive c'est toujours vers 2 – 3 heures du matin, en semaine c'est rare, le risque est plus grand la nuit du vendredi au samedi et du
samedi au dimanche au sortir des boîtes. Ils viennent à plusieurs, te foutre une raclée et il te piquer ton fric.
− Ça t'es arrivé ?
− Une fois, ils sont venus, j'étais le premier qu'ils ont rencontré et donc j'allais recevoir les coups, quand un mec leur a dit de laisser tomber parce que j'étais trop jeune, il y en a des plus
vicelards plus loin. J'ai reconnu, dans mon « défenseur », un client, comme quoi il n'y a pas que de l'égoïsme. Mon voisin de tapin a reçu une sacrée raclée, il lui ont piqué son fric. J'ai eu de
la chance. Je me suis tiré aussitôt. Il ne faut pas compter sur les autres pour te défendre.
− Ce soir j'ai vu une femme !
− Oui elle vient apprendre a faire une fellation, son mec adore, mais elle n'y arrive pas et à mon avis elle n'y arrivera jamais, pour une seule raison, ça la dégoûte et ça c'est quasi
insurmontable. Mais elle vient, la première, elle paye, je bande je jouis, pas de souci pour moi.
− La première fois que je t'ai maté, en fait je suivais ton client, car je le connais et je voudrais en savoir plus.
− Comment veux tu que je m'en rappelle, il a fait quelque-chose de particulier ?
− Oui. Il t'a fait baisser ton short, il t'a demandé si tu t'étais lavé le cul. Tu lui as pris la bite dans ta « gueule », c'est le terme qu'il a utilisé. Tu l'as sucé, puis tu t'es tourné,
écarté tes fesses. Sans ménagements, il t'a enculé et joui dans ton cul. Quand il s'est retiré, il a mis des doigts dans ton cul et tu as dû te masturber. Ensuite, tu lui as nettoyé, la bite et
les doigts. Pour te payer, il t'a balancé des billets en disant que c'était la dernière fois. Tu t'en souviens ?
− Oui, il était bizarre comme mec. Notre âge, je l'ai vu une fois avant.
− Qu'avez vous fait ?
− Aussi bizarre que ça paraisse, rien. Il m'a seulement demandé de baisser mon short, il a tâté mes couilles, je me suis retourné, il a mis un doigt dans mon cul et c'est tout. Il m'a seulement
dit qu'il reviendrait le jour ou tu l'as vu et que je devais avoir le cul propre (Sans sperme), qu'il m'enculerait et voulait connaître le prix. Rien que pour ça il m'a donné des billets et c'est
tout. Quand tu l'as vu, tu sais ce qu'il a fait. C'est vrai que ça le dégoûtait, mais il avait trop envie. Il m'a balancé les billets, mais il a été très généreux. C'est souvent le cas des gens
qui ont très envie et qui trouvent, après coup, que c'est dégoûtant, ils reviennent rarement, mais ils payent plus, beaucoup plus.
− Tu crois que tu le reverras ?
− Non, ce mec, il veut un mec régulier, c'est évident, mais il ne doit pas pouvoir recevoir, ou il n'a pas les moyens d'entretenir un minet à demeure, ce que j'aimerai qu'il m'arrive un jour.
− Tu aimerais être entretenu ?
− Bien sûr, je préfèrerais me taper un seul mec et vivre bien, voire être amoureux, que de devoir me taper 5 a 6 mecs par soir avec les risques en plus. J'ai soif, pas toi ?
On a bu un verre.
− On dort ?
− OK bonne nuit.
Je couchais avec un mec, un beau mec et j'en n'avais pas envie. J'ai passé une partie de la nuit à réfléchir. Il s'est endormi, s'est lové dans le creux de mon ventre, tel un enfant rassuré.
On s'est réveillés vers 10h du matin. Je bandais comme un âne.
− T'es en forme quand tu te réveilles toi !
− Peut être un rêve érotique.
− J'en faisais partie ?
− Les rêves tu sais ….
− Tu aimerais me la donner dans la bouche, pas comme client, comme un ami ?
A cette idée, il se mit a bander lui aussi.
− En ami tu prends la mienne, et toujours en ami je prends la tienne qui est en train de prendre du volume.
Nous nous sommes mis tête bêche et nous nous sommes donnés du plaisir, dans une fellation d'amour. Il avait un
beau sexe, il se l'était lavé auparavant, car j'en ai senti tout de suite la fraîcheur. Il était à l'origine de mon érection, c'est certain. C'est avec un immense plaisir qu'il a pris ma verge et
moi la sienne, nos fellations durèrent longtemps. Nous nous sommes vidés l'un dans l'autre avec délectation. Puis nous nous sommes embrassés longuement. Un baiser d'amis, d'amoureux.
− Merci.
− Merci à toi, ta semence je la garde, celle-ci c'est le fruit du plaisir.
Nous sommes restés ensemble jusqu'en début d'après midi, puis je suis parti. Il me fit savoir, deux mois plus tard, qu'il avait un ami qui pourvoyait à tous ses besoins. J'étais heureux pour lui.
J'en savais plus sur Jean-Philippe, et d'un certain côté, j'étais content que la rencontre à laquelle j'avais participé, n'était qu'une passade. Je ne voulais pas que mon coeur souffre. Mais si passade il y avait, peut être avais-je un espoir. Depuis que je l'avais vu sortant du parc, je ne l'avais plus revu et j'attendais avec curiosité, notre prochaine rencontre. Serait-il plus causant, ou toujours aussi distant et réservé ?
Mais une autre crainte me vint à l'esprit et s'il avait tout bonnement changé d'endroit, dans cette grande ville il y avait plusieurs endroits, plus ou moins discrets et j'avais appris par le môme que l'endroit le plus prisé actuellement était un autre parc en sortie de ville....
Derniers Commentaires