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PHOTOSERIES thème 95 mariage gay à l'église
Pour ma part je ne me vois pas marié d'une manière ou d'une autre,
mais l'accession au DROIT est une étape décisive
elle est passée par la matiage.
Femme pasteur
I had the privilege of attending my first legal gay wedding on September 20, 2008 for my friends Dan Joraanstad & Bob Hermann. Since this was a same-sex wedding, I’d been especially curious
about how my friends’ marriage ceremony would play out at the rather traditional Old Presbiterian Church in San Francisco. I was delighted to see that the adorable (female) pastor at the
church wholeheartedly blesses these unions.
Military wedding la fin de "don't ask don't tell" : (1)
Réunion au sujet de l'abrogation de la politique
Don't ask, don't tell, avec
Barack Obama, les chefs d'état-major américains et le secrétaire à la Défense Robert Gates le 29 novembre 2010.
Obama is the second president to speak at the Human Rights Campaign's annual dinner, which Bill Clinton addressed in 1997 during
his second term. It will be the first time Obama has appeared as a guest of a gay organisation.
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Barack Obama s'adresse aux ados gays et affirme que "ça va s'arranger" pour la communauté LGBT (Lesbian, Gay, Bisexual and Transgender)
France
Reportage Europe 1
Le curé qui dit "oui" au mariage gay
Par Alcyone Wemaere avec Julien Pearce
Publié le 28 décembre 2012 à 12h22Mis à jour le 29 décembre 2012 à 09h04
Le prêtre assure avoir, jusqu'à présent, surtout reçu des messages de soutien. © REUTERS
Un prêtre du diocèse de Quimper a écrit une lettre ouverte aux évêques de l'église catholique.
"Je dis oui au mariage pour tous". Laurent Laot, prêtre détaché du diocèse de Quimper, est pour le projet de loi relatif au "mariage gay" et il l'a fait savoir vendredi
dans une interview au Télégramme.
Quelques jours auparavant, le curé "dissident" avait aussi écrit une lettre ouverte aux évêques de l’église
catholique en France où il revendiquait son opposition à la ligne préconisée par le Cardinal André Vingt-Trois sur le mariage pour tous.
"La considération pour l'autre que soi est décisive"
Joint par Europe1, le prêtre s'est expliqué : "j'ai cru sentir qu'il n'y avait aucune considération envers ceux qui pensaient autrement, c'est-à-dire ceux qui étaient favorables à la
légitimation des mariages homosexuels. Or, pour moi, la considération pour l'autre que soi est décisive. La deuxième chose, c'est l'absence de considération pour le législateur : c'est comme
si on s'attendait à ce qu'il s'incline devant la position de l'Eglise", a fait valoir le curé.
Ce "plaidoyer" iconoclaste en faveur du mariage homo a-t-il été bien accueilli ? Le prêtre assure avoir, jusqu'à présent, surtout reçu des messages de soutien.
Laurent Laot n'est pas le seul homme d'Eglise à prendre ses distances avec la
ligne défendue par le pape. Le prêtre Elie Geffray, qui officie lui aussi en Bretagne, avait ainsi déjà affirmé dans plusieurs médias qu'il n'hésiterait pas, en tant que maire d'une
petite commune, à marier des couples homosexuels.
Armées US
(1) RAPPEL : Don't ask, don't tell (« Ne demandez pas, n'en parlez pas ») était une doctrine et une
législation en vigueur de 1993 à 2010 dans les forces armées des États-Unis vis-à-vis des homosexuels. Elle a été abolie par un vote du Sénat américain le 18 décembre 2010 et mise en
application jusqu'au 20 septembre 2011[1].
Cette politique adoptée en 1993 consistait à assouplir l'interdiction faite aux homosexuels de s'engager dans l'armée en intimant à l'armée de ne pas se renseigner sur l'orientation sexuelle des
recrues, avec pour contrepartie la discrétion des intéressés : ne pas demander, ne pas révéler. La loi continuait d'interdire à toute personne qui « démontre une propension ou a l'intention de
s'engager dans des actes homosexuels » de servir dans l'armée américaine, parce que cela « créerait un risque inacceptable contre les hauts standards moraux, l'ordre, la discipline et la cohésion
qui forment l'essence des capacités militaires ». La législation empêchait donc toute personne homosexuelle ou bisexuelle de révéler son orientation sexuelle ou de parler de relations
homosexuelles, y compris du mariage et de l'homoparentalité tant qu'ils servaient les forces américaines. La partie « ne demandez pas » indique que les supérieurs ne devaient pas commencer d'enquête tant qu'il
n'existait aucun comportement prohibé, bien qu'il existe de nombreux cas où des soupçons quant à l'homosexualité d'une personne ont entrainé une enquête. Pendant l'application de cette
législation, au moins 14 000 militaires américains ont dû démissionner de l'armée pour cette raison[2].
Le 15 décembre 2010, la Chambre des représentants a adopté, par 250 voix contre 175, un projet de loi visant à abolir la doctrine Don't ask, don't tell, une politique discriminatoire envers les homosexuels qui étaient engagés dans l'armée américaine. L'Administration Barack Obama était nettement favorable à cette abrogation, comme les sondages dans l'armée. Le 18 décembre, le Sénat vote l'abolition définitive de la loi de Clinton (1993) par 65 voix contre 31. Même des sénateurs républicains (8) ont voté pour cette abolition. « Comme le président le dit depuis
longtemps, mettre fin à la directive Don't ask, don't tell et permettre aux gays et lesbiennes de servir ouvertement dans l'armée renforcera notre
sécurité nationale, tout en confirmant le principe fondamental d'égalité sur lequel notre pays a été fondé », est la déclaration officielle sous forme de communiqué de la Maison-Blanche après le vote du Sénat.
Le 6 juillet 2011, par décision d'une cour d'appel de San Francisco, les normes qui interdisaient encore
formellement aux différents Américains gays et lesbiennes de s'engager dans leurs armées sont immédiatement suspendues (Don't ask, don't tell). Le Pentagone était en train d'écrire les nouvelles
règles mais cette décision prévaut et a obligé le porte-parole de la défense à anticiper ces engagements
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