Jeudi 15 août
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classé INVENTAIRE DES POSSIBLES (18) images + récit genre roman photos
svp ne me demandez-pas si ce récit est réel : je vous répondrai : "ni oui ni non"
les images d'illustration "collent"mais ne m'appartiennent pas et viennent du net
"Elle s'en va
Elle s'en va de moi
Devant mes yeux éclate leur plaisir
On voit quand l'amour va mourir
Elle s'en va
Elle s'en va de moi
Mais elle ne sait peut-être pas encore
Que tout finit avec l'aurore"
"l'intéressant n'est pas d'être cocu et de souffrir
l'intéressant est d'être cocu et de s'en foutre". Sardou.
Je suis fautif
dans le sens
que je m'étais tu sur mes quelques expériences homo que je pensais non addictives...
Cette vidéo musicale ci-desssous vous mettra dans ma tête et dans mon coeur dans ces moments :
Mariés depuis 3 mois, ma nouvelle épouse (20 ans) et moi (25) encadrions des groupes d'ados en voyage culturel
Commencée dans le bonheur, cette croisière en ferry fut funeste et fatale à la sincérité de notre union.
(fake) le départ
et les agréments de la vie à bord. Le navire étant un lieu clos, cela limitait notre
travail de surveillance. Des semi-vacances quoi !
A bord avec les divers adultes responsables :
il y avait "Domi" le coordinateur ci-dessous. Il tâchait d'imposer son autorité et son
ascendant sur l'ensemble jeunes et adultes. Normal, non ?
Pardonnez-moi de focaliser sur lui,
et certains détails qui me paraissent aujourd'hui les prémices d'un naufrage.
Le mec était beau, hyper actif, souriant et baratineur à tout propos...son travail de relations publiques en somme. Je focalise encore sur les poils
de son avant bras qui ont tout déclenché et je peux dire que je m'en suis aperçu au premier instant.
J'étais assis face à elle et eux assis côte à côte. Il s'arrangeait pour que leurs bras se frôlent. Elle aurait dû éloigner le sien,
n'est-ce pas ? et lui imprimait de savantes rotations à son poignet pour la chatouiller de ses poils. Je ne pouvais protester. Ensuite il y a eu des "réunions" pour résoudre certains
problèmes particuliers du groupe d'ados de ma femme...Il avait installé son bureau dans sa cabine...facile !
j'étais beau, mais cela ne suffit pas face à un mâle entreprenant de cette envergure.
Elle (Mado) voulait que je trouve tout normal...Il m'a inscrit au tableau d'astreinte alors qu'il avait mis les autres (dont Mado) en
repos...En moins de deux je compris qu'il la baisait et donc que j'étais cocu.
La honte, la misère sentimentale m'envahirent
il y avait peu de chose que je puisse dire quand le mal était fait. Et, si moi j'avais caché mes
petites aventures homo avant mariage, elle faisait comme si de rien n'était, se frottait à moi pour avoir un supplément de caresses et de bite.
je jouais le jeu tout en souffrant... Elle justifiait toutes ses absences
et les "Réunions" avec tout un story telling sur les ados de son groupe semi délinquants . Réunions ? mon oeil !
j'attendais les moments de solltude (enfin !) pour réfléchir et pleurer
et imaginer ce qui se passait entre eux, dans son lit ! Si j'avais pu je me serais vengé. Mais là je ne me sentais pas la force. Déjà, dans ma tête je cherchais à qui me confier. Personne.
Je ne me voyais dire ça qu'à un autre homme ! Je pense que vous entrevoyez une suite lointaine à cette croisière : Mektoub, c'était écrit !
Elle qui, avec moi, s'était dérobée à toute fellation, vu son caractère dominateur à lui, j'étais sûr qu'il la forçait, qu'il la faisait
chanter pour tout obtenir d'elle et la soumettre, l'HUMILIER.
Avec douleur mais aussi avec vice
j'imaginais ma jeune épouse possédée dans son corps, ses lèvresgrandes et petites, son vagin, son col de l'utérus arrosé de son sperme à lui...Est-ce que je n'aurais pas voulu être là quan il la
possédait ? Et ses cris de jouissance que je me croyais réservés...Ce qui me paraissait
étrange c'est qu'elle m'en redemande. Je crois que ça faisait partie de l'écran de fumée qu'elle répandait autour de vce qu'il faut bien appeler adultère. Ilinfortune était encore plus jeune que
moi et il devait lui en donner...ainsi qu'en exiger. Comme je l'ai dit ça ne pouvait fonctionner que comme ça : menaces de faire connaître mon "infortune" et donc se plier à tous les caprices de
ce jeune mâle.
Un truc qui m'a paru fort et révélateur c'est que j'avais lhabitude quand je la prenais de mettre un petit doigt dans son anus, tandis que
j'allais et venais avec ma queue. Elle prenait alors mon poignet et me faisait retirer mon doigt que je reportais sur son clito. Par ailleurs je faisais glisser mon gland très souvent
de la raie de sa vulve à son anus en essayant malignement de la sodomiser. Là encore elle m'arrêtait et le plus loin que je sois allé dans cette tentative a été de planter mon dard dans sa
corolle à 13 plis. Mais en fait ma queue n'avait pas la force de percer un cul vierge, elle pliait il aurait fallu un peu de coopération pour la prendre ainsi. Après quelques temps de Mado avec
Domi, un soir que je la prenais avec une certaine rage je pointai mon gland sur sa rosette. Surprise. Elle gémit et je rentrai à fond. Pour mon plus grand plaisir je dois dire. De quoi me
plaindrais-je ? rire amer, mais il n'empêche. Je me régalai de doigter comme un fou son clitoris, ce qui la fit hurler de plaisir. J'avais souci de réveiller nos voisins de cabine, mais
qu'importait !
Sauf les risques qu'elle ne préfère son amant à moi-même, son époux, je pouvais constater ce que je considère comme un progrès. Par contre elle
avait dû accepter de force la sodo que moi je lui proposais gentiment. J'imagine la tête qu'elle a dû faire au moment où elle "y passait".
J'ai donc utilisé quelquefois le sperme de mon " rival" comme lube sans le
voir. C'était agréable. Notre jeunesse à tous aidait à beaucoup de choses. Choqué ? Bon . Pendant ce voyage j'évoluai pas mal dans ma tête. Le fait de partager Mado devenait de plus en
plus acceptable. Si les deux amants allaient loin dans leurs audaces, moi j'en devenais plus hardi et exigeais la sodo presque chaque fois. Au début je concevais que laisser visiter son corps par
le sexe de Dominique constituait par rapport à moi, son époux, une souillure et une insulte irréparables. Mais son attitude à elle sauva notre couple. Elle entendait sauver les apparences avec
moi : appétit sexuel inchangé, élans et caresses, mots doux...Moi je n'avais qu'à jouer l'ignorance, la naïveté.
Plusieurs fois quand nous avons fait l'amour en fin d'après-midi alors que,
juste avant, elle avait été avec Domi et moi de service, j'ai eu la certitude qu'elle n'avait fait aucune ablution. C'était du culot de s'offrir à moi sans se nettoyer. Mais j'y allais
allègrement, songeant à nos deux doses de sperme se mêlant en elle, que ce soit au fond de son vagin ou de son rectum. Il m'a fallu longtemps pour me décider à reprendre la suce. Mais j'y suis
arrivé.
Je me posais plus de questions sur moi-même que sur elle ou lui. Pourquoi j'aimais ça ?
Je crois que son attitude à lui m'a aidé dans mon acceptation. Il s'est toujours montré aimable, voire affectueux. Je me disais : " il sait te
mettre la vaseline pour mieux t'enculer". Il a vite vu quand il me flanquait de service que je ne demandais qu'à aider. Jamais ça n'est allé plus loin. L'autre étape aurait été de
faire l'amour à trois. Qu'est-ce qu'il aurait fallu dire ou faire pour que ça arrive ? Le voyage s'est terminé. Elle n'a montré aucun regret. Dans les apparences notre couple était sauvé.
Je suis sûr qu'elle était aussi "chamboulée" que moi.
Huit mois plus tard David "notre" fils était là.
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un tête à tête qu'on n'avait jamais eu...
je me demande si c'est "à suivre " ?
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