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Presse américaine : Depuis 4 ans dans un "ranch-bordel" près de Las Vegas... l'aventure
d'un ancien marine
(News) La vie d'un prostitué Aug 30th, 10, 01:46 AM
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#1
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The life of a male prostitute
Il lui a suffi de 2 ans de travail 8-12/14-18 dans un bureau à Shanghai, Daniel pour en avoir marre. Il a
voulu choisir une vie plus "excitante". Il a téléchargé sa photo sur un site spécialisé de rencontres.
Son premier client qui, avoue-t-il n'était pas très glamour, l'a payé 1,000 yuan (S$199), en 2006 c'était une somme assez
coquette... Arrivé à HongKong, Daniel a cherché à exercer son commerce.
Daniel passe actuellement les 3/4 de l'année à Hong Kong, Singapour et en Malaisie. Il gagne environ 30,000 yuan (S$5,000) par
mois.
Daniel déclare : "Un homme a plusieurs raisons de se tourner vers la
prostitution , mais, pour autant que je sache, personne ne le fait contre son gré ou seulement pour des raisons de difficultés financières personnelles"
Daniel, qui a maintenant 33 ans, a décidé d'explorer le monde gay en 2000 sans jamais penser qu'il allait faire de la
prostitution masculine son métier durable.
Moyennement bâti, mais très séduisant, le jeune homme à la peau bronzée de la province de Anhui a demandé à n'être identifié que par son
prénom et a refusé de diffuser des photos mais s'est présenté par un texte simple et "naïf", celui que l'on recherche comme sincère. et moderne.
Daniel ne veut pas qu'on croie qu'il a été dirigé vers l'homosexualité dans son jeune âge, alors qu'au contraire, il en ignorait tout,
mais l'a découverte tout seul en 1998 par une connexion internet. Il a pu découvrir son orientation sexuelle. Il a surfé sur le net à l'affût de photos gaies. bien sûr il a chatté sur des
sites de messagerie instantanée et a eu des contacts avec des clients potentiels.
Maintenant il est heureux de gagner sa vie honorablement et peut faire des breaks d'une semaine Il
considère qu'il n'a pas besoin de visa de travail. Il est accueili dans les chambres d'hôtel des clients ou les reçoit dans sa propre chambre. Aussi les risques sont-ils
grands.Daniel a été accusé de contrevenir aux conditions de son visa touristique. Il a fait appel et a continué à pratiquer la prostitution à Hong-Kong tandis
que sa procédure d'appel était en cours et a été interdit de séjour à Hong-Kong pendant deux ans
"Je n'ai pas de problème moral avec l'amour pour de l'argent, tant que c'est sain. C'est là l'essentiel.
Cependant, je craignais, étant travailleur du sexe , que ma famille soit affectée," dit Daniel avec franchise. Sa famille est relativement aisée. Ses parents sont professeurs et vivent
confortablement dans sa ville natale. "Mes parents ne savent rien de mon travail, ou ma vie sexuelle mais ils ont soupçonné que j'étais homosexuel."
Contrairement à ce que pensent les gens, le "MSWS" (prostitué), que l'on étiquette d'habitude comme "money boys",
"garçons d'argent", sert principalement des hommes plutôt que des femmes. "Plus de 90 pour cent de mes clients sont des hommes," dit Daniel. "Bousculant les tabous sociaux, des "clients
féminins" peuvent juste avoir besoin de quelqu'un pour parler, pas nécessairement du sexe." En de rares occasions, les femmes lui viennent pour des trios avec leur petit ami.Mais la morale
chinoise et la pression sociale interdisent aux femmes d'avoir recours aux prostitués surtout au risque d'être enceintes.
Cependant de plus en plus de couples mariés épicent leurs soirées au lit en invitant un prostitué...ça aide aussi certains maris déficients à
contenter leurs femmes dit Daniel avec un petit sourire.
Je prends mes rendez-vous sur internet et je me réserve des créneaux de liberté : je suis indépendant dit Daniel. Je suis très heureux du temps
libre que m'accorde ce métier. En plus je connais les gens dans leur intimité et dans beaucoup de leurs habitudes et leurs moeurs et cela malgré les différences sociales...
...Les bordels pour hommes sont rares. Les escorts masculins prennent leuts rendez-vous soit sur leur propre site, soit celui d'une agence
(certaines ont un catalogue imprimé !) soit par des annonces de massage. Mais le métier de masseur ne s'improvise pas : il faut apprendre. .
Il y a environ 2000 prostitués sur Hong Kong.. La crise amplifie la fréquentation. On est des thérapeutes prétend Daniel.
Daniel n'exclut pas la possibilité de se marier un jour, avec une fille. "Je peux accepter une fille comme membre de la famille, mais si vous
parlez du sexe, je préfère toujours avec un homme."
là j'ai arrêté la traduction.. claudio..
At present, MSWs usually seek their customers in three ways. First, there are individual online encounters; second, online agents and third, saunas
and massage establishments. "Not every money boy is a masseuse, but they ought to learn this skill if they look for more opportunities," said Wai. "A small number of them set up one-man
brothels."
Midnight Blue, set up in 2005, aims to promote safe sex among gays and provide legal support for MSWs. At times, staff at Midnight Blue launch
outreaching visits to night clubs and saunas to advocate a safer environment for MSWs. Their motto is, "Whoring to a Better Future, Paying for a More Sensuous Life". The organization has
published a book, Sex Without Boundaries, about the ups and downs of eight young people working as MSWs.
It is estimated that there are around 2,000 MSWs in the city. Some of them are locals and the others come from the mainland and South East Asian
countries. Yiu believes the import of these MSWs is helping develop the sex industry. "When the pie gets bigger, people get to know where to look for suitable people when they feel like it and
the sex workers, either males or females, will have a bigger market," he said.
According to a Chinese adage, ma si luo di xing, meaning you need to walk if your horse dies. Gloomy economy had spawned prostitution. Daniel
witnessed a boom of MSWs in Singapore during the economic downturn. The candidates were previously drivers or chefs or other occupations.
Daniel considers himself fortunate that he seldom comes across problem customers. He says most customers come to him to be soothed. "I think that
being a sex worker might be like being a therapist. Many gay people are introvert, they have no one to talk to and they cannot come out of the closet. Only by talking to us can they reveal their
true selves," Daniel explained.
It is understandable that MSWs are commonly gays, or preferably so, for the sake of their jobs. Straight men may find it gross or need to tackle a
great psychological barrier in making love to men.
Ever since he took to prostitution, Daniel was prepared to sacrifice his childhood friends. "We have nothing in common. They talk about families and
kids, all this has nothing to do with me," he said.
Daniel understands the limitations of prostitution - age. "I will retire from this business, but I know people who work well past 40. That said, the
older we get, the less we will work, and eventually we will have to retire," he admitted. He expects he saves up enough money to establish his own business within a year.
Looking back, he regrets nothing for choosing this path. "If I had my life ahead of me, I would still choose to do the same thing," he said.
"Prostitution is a harmless vocation. We don't destroy but complement."
Daniel doesn't rule out the possibility of getting married one day, with a girl. "I can accept a girl as my family member but if you talk about sex,
I still prefer a man."
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