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Samedi 8 juin 6 08 /06 /Juin 06:05

à retrouver dans  ADEPTES LAVEMENTS (14)

 

 

L’injection n’est pas une invention humaine !

Le point de départ de « grandes idées humaines » réside souvent dans l’observation éclairée du monde vivant, ou directement des animaux qui nous entourent. On raconte que le principe « d’aider à l’évacuation des matières fécales » (= lutter contre la constipation) serait venue à PLINE l’Ancien, naturaliste romain, (23-79 apr. J.C.) en observant des ibis (= oiseau sacré de Thot, dieu de la sagesse en Egypte). Ces oiseaux sont naturellement constipés. Ils doivent s’administrer des lavements à l’eau de mer … pour faciliter l’expulsion de leurs selles. Leur long bec courbe servant de canule. Pendant des millénaires avant J.C. et jusqu’au 15ème après J.C., on s’adonna sans vergogne aux lavements intestinaux, vaginaux et d’oreille. On s’aida d’une vessie puis d’une poche en cuir pour servir de réservoir. Un tuyau de roseau ou de sureau faisant fonction de canule rudimentaire. En pressant ou entortillant le réservoir, on expulsait le liquide contenu.

 

 CLYSTERE
Ce mot provient du latin « clyster», emprunté au grec ancien « klustêr » qui signifie littéralement « lavement, seringue ».

Initialement, le terme « clystère » désigne les substances médicamenteuses que l'on appliquait sur les plaies saignantes, principalement des substances astringentes et siccatives (d'après Littré in Pifteau, Chirurgie de Guillaume de Salicet ).

« Une sorte de lavement dans les bas-fondements de l'homme », c’est ainsi que le défini l'Académie Française, lors de son premier dictionnaire en 1694.

Puis sous le règne de Louis XIV, l'abbé de Saint-Cyran,théologien et connu pour son austérité morale, mis le mot « clystère » au rang des mots « déshonnêtes ».


Avec l’évolution de la langue française, le mot « clystère » fut défini ainsi : « Lavement, espèce de remède dont l'usage le plus ordinaire est de rendre le ventre libre. Clystère laxatif. Clystère rafraîchissant. Il a pris un clystère. On luy a donné un clystère. Il a rendu son clystère. Ce clystère a bien fait » selon le Dictionnaire de l’Académie Française de 1798.

Ainsi, il est clair qu’au XVIIIème siècle, le mot « clystère » devient à la fois le lavement, le remède administré et l’objet qui sert à l’administrer.

 

Dans le langage actuel, le mot « clystère » désigne uniquement la fameuse seringue métallique, généralement en étain.

Une chose est sûre, le mot « clystère » fait sourire car il désigne une activité peu glorieuse. Aujourd'hui vous pouvez acquérir une seringue à huile inox au rayon "entretien automobile" dans les grandes surfaces. Le sourire irrepressible du vendeur,   alors que je lui demandais si cet article manquait pour longtemps, m'en a dit long sur le genre de consommateur de l'objet !  

  Seringue à huile 500 mmNorauto

 

 

 

L’une des premières représentations du clystère en France, dans sa version primitive (probablement un roseau creux relié à une outre en panse ou vessie animales) date du XIVème siècle. Cependant, cette pratique serait bien plus ancienne car les Mayas pratiquaient déjà le lavement.

 

Le lavement chez les Mayas.

Les nombreuses scènes de lavement qui ornent certaines poteries mayas semblent indiquer que des lavements-intoxication étaient pratiqués lors de rituels chez les Mayas. Certaines scènes de vomissements suggèrent que des boissons alcooliques pouvaient être administrées sous forme de lavements. On a expérimentalement démontré depuis l’induction ou l’exacerbation de l’ébriété après administration d’alcool par voie rectale. D’autres scènes suggèrent que le tabac, le lys d’eau (hallucinogène ?) et d’autres plantes à fleurs pouvaient entrer dans la composition des lavements.

Rappel : dans la rubrique ADEPTES LAVEMENTS vous retrouverez "Lavement zarbi"  sur l'usage des lavements alcoolisés .

Le lavement fut très en faveur tout au long du Moyen-Age.

A cette époque, ce sont les médecins et plus souvent les chirurgiens barbiers qui ont le monopole de l’usage du clystère.

D’ailleurs pour eux, le clystère était indispensable dans le traitement des traumatismes.

Le clystère est généralement injecté avec un appareil constitué d'une bourse en cuir ou une vessie pleine du remède à injecter, fixée sur une canule en bois ou en métal repercée de petits trous à son sommet.

 

 

Invention de la seringue C’est au XVIème siècle que l’italien Marco Gatenaria invente une seringue destinée à administrer les lavements. Elle fut d’abord en bois puis en métal.

 

En 1668, le médecin hollandais Regnier De GRAAF, auteur de « De Clysteribus », imagine un tube flexible permettant l’auto administration du lavement. Le patient peut désormais s’administrer seul son clystère. C’est le principe du « clystère soi-même ».

 

Le clystère est démocratisé à un tel point, que le traitement par lavement fût très fréquemment administré et même indiqué pour de nombreux maux, du lavement purgatif au lavement vermifuge.

Très en vogue partout en France aux XVIIème et XIXème siècles, il se trouve un nécessaire à lavement dans de très nombreuses demeures. Il contenait une seringue à lavement avec son tuyau droit (dit « matriculaire ») et courbe (dit « auriculaire ») ainsi qu’une seringue à clystère avec son petit chapeau et les bougies.

Alfred FRANKLIN, dans « le Médecin charitable » recommande de posséder « deux seringues avec leur étui ; l’une pour servir à la maison avec deux canons d’ivoire (= canules), l’un pour donner clystère aux grandes personnes et l’autre pour les petites. On y ajoute un pot d’estain à mettre clystère, pour le garder et faire chauffer lorsque l’on le voudra donner. La seconde seringue se présente avec deux canons de buys, pour prester charitablement aux pauvres quand ils en auront affaire ».

 

C’est au XIXème siècle que se produira l’ultime évolution du clystère, lorsqu’on passera du système de piston, nécessitant une poussée manuelle, à celui de la pression, par l’élévation d’un bock.

 

Depuis, l’usage du clystère a disparu et d’une certaine manière, ce n’est pas une grosse perte.

Durant de très nombreuses années, le clystère fut représenté et mis en scène, permettant ainsi de railler quiconque sans vergogne car la position du patient était pour le moins indélicate !

 

XIXe siècle De manière plus technique, un clystère du XIXème siècle se compose d’une poignée, soit en bois tourné, en étain ou alors il s’agit d’un anneau métallique. Cette prise se prolonge par une tige métallique qui est elle-même munie d’un tampon. Ce tampon crée la pression en poussant le remède hors du corps cylindrique du clystère.

Le tampon peut être constitué de deux demies coques de cuir présentées à l’opposée, comme un diabolo, d’une virole en étain, libre, recouvrant une âme de bois, de deux plaques métalliques cylindriques de part et d’autre d’une compression de couches de carton ou de fibres naturelles, … souvent amovibles.

Ces trois éléments forment le piston du clystère.

Sur la tige métallique, il y a une virole libre qui se visse sur le corps cylindrique et permet d’assembler corps et système de poussée ensemble.

 

Au bout du corps, il y a une canule, elle aussi munie d’un pas de vis, qui peut avoir différentes formes : droit dit « matriculaire » et courbe dit « auriculaire » ou encore celle d’une seringue, donc fine, droite, longue et pointue, avec un petit orifice de sortie au sommet.

L’embout des canules est terminé par une petite poire ajourée, pour permettre au liquide de sortir.

En terme de matière, il existait des canules en bois, en métal, en corne, … sur la circonférence desquels étaient percés plusieurs trous.

 

Il existe de petits clystères, qui ressemblent à de petites seringues.

Ils sont à la fois considérés comme des clystères d’adulte, mais de petite capacité, mais aussi comme des clystères pédiatriques.

Enfin, il existe aussi des clystères vétérinaires. La capacité de l’outil (jusqu’à deux litres) et la taille de la canule peuvent vous renseigner sur le type de patient à soigner. Un clystère vétérinaire est donc plus large et/ou plus long qu’un clystère classique.

 

Le système du clystère « soi-même » est simple. Le clystère est fixé verticalement à un conduit en métal. La canule est indépendante du système, elle s’insère dans un logement prévu à cet effet et elle s’appelle une « pirouette ». Un clystère « soi-même » est complet lorsqu’il est pourvu de sa pirouette de remplacement.

 

Comme indiqué dans l’extrait ci-dessous, les clystères étaient conservés dans une boite ou un étui en bois, présenté avec des canules de rechange.

« Le clystère « soi-même » est disposé dans une boite, la boite à clystère, doublée intérieurement de métal et formant réceptacle, portée ou non par des pieds, permettant de s’asseoir comme sur un bidet »

Extrait issu de « Objets civils domestiques », Catherine Arminjon et Nicole Blondel, p.348

 

Ingrédients des lavements Pour ceux qui se demandent quel type de produit était injecté, voici la composition d’un remède type proposé par Guillaume de Salicet, à la fin du XIIIème siècle :

Ingrédients : bette, mauves, matricaires, mercuriale, violettes, 1 manipule de chaque. Miel, sel, sucre, 5 onces de chaque. Huile commune ou de violette, 3 onces. Casse en bâtons, 1 once.

Mode de préparation du remède : faire une décoction aqueuse des mauves, violettes, matricaires, bettes, mercuriale. Puis ajouter les autres ingrédients. Passer à colature (comprenez : filtrer). Mode d'emploi : administrer tiède.

 

Collection : En terme de prix, l’achat d’un clystère est très peu coûteux : d’abord parce qu’il y en a beaucoup, en plus cet objet se vend mal car les gens qui en connaissent l’usage sont implicitement freinés dans l’acte d’achat. Comptez donc entre 5.00 et 30.00 € pour un clystère simple ou pédiatrique et jusqu’à 130.00/150.00 € pour un clystère « soi-même », le tout en parfait état.

D'autre part, vous pourrez identifier la provenance d'un clystère si il porte une marque comme le poinçon du fabricant qui parfois indique clairement le lieu de production de l'objet.

N'oubliez pas qu'il existe de nombreux faux étains, portant de faux poinçons.

 

Pour ce qui est de l’appellation « seringue à clystère », c’est le nom le plus ancien du clystère.

Il n’a guère plus cours aujourd’hui, mais il s’emploie toujours pour les petits clystères dont la forme approche celle d’une seringue.

 

Pour les amoureux des mots, dommage, cette fois-ci la langue française est tordue car le terme « clystérophilie » désigne aujourd'hui une pratique liée à la scatophilie et non pas les collectionneurs de clystères !


Constipé ou adepte de la sodomie ou clystérophile  ? Et le mot de la fin, pour les récalcitrants aux lavements : « Six pruneaux valent un clystère » !

 

*Collection Privée de M & Mme Rocchini - Dumas.

Ce couple de collectionneurs me signale que les clystères à canules auriculaires servaient aussi à baptiser in-utéro l'enfant à venir, lorsque l'accouchement se présentait mal et que la vie du nouveau né était en jeu.

Les clystères à baptiser ont été utilisés principalement en France et c'était l'un de nos célèbres obstétriciens. C'est le docteur François Mauriceau (1637 -1709) qui en a proposé l'utilisation.

 

Voici un lien vers leur site, qui est en italien, mais se traduit aisément via un traducteur en ligne.

http://www.amber-ambre-inclusions.info/nuova%20curiosit%C3%A0.htm#Siringa_Battesimale_-_Siringa_di_Mauriceau


 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 01:23

ce courrier en réponse à un message perso de viceboy sera lisible dans la catégorie ADEPTES LAVEMENTS ENEMA clystero

Bonsoir <viceboy> ,
comment vas-tu depuis notre dernière rencontre clystérophile,
Tu me demandes de te faire un lavement ce WE. C'est volontiers, tu m'as si bien montré l'exemple. Je veux t'emmener au même point extrême que tu m'as fait vivre. Et c'est par amour.   
LAVEMENT 035 A DEUX EN ACTION 1   LAVEMENT 044 A DEUX EN ACTION
J'ai aimé me livrer entièrement à tes soins et je ne demande qu'à être de nouveau à toi : tu es si aimant et caressant, mais aussi autoritaire et exigeant quand il le faut ! J'ai apprécié la petite fessée qui détend avant de prendre le gros biberon par ma rosette. Tu m'as massé si doucement et érotiquement à cet endroit de mon corps que je n'avais qu'un désir : être pénétré et envahi par la douceur et la tiédeur du liquide que tu avais préparé à mon intention.
 Désir mêlé d'angoisse car si j'avais confiance en toi, j'avais aussi la crainte 
de ne pas pouvoir clamper moi-même le tube et arrêter la coulée du fait que 
j'avais accepté que tu me lies les mains cette fois. Cet embout de lavement gonflable interdit le retrait sans le consentement de l'opérateur. Un peu comme quelqu'un qui supplie, je n'arrêtais pas de te donner des baisers partout où je pouvais t'atteindre, tes douces mains parfumées notamment. Je te respirais aussi. 
Quand tu m'as pénétré, c'était comme quand on me baise, mon anus, mon rectum avaient des réactions semblables à ces moments. Dire qu'il y a des hommes, mais aussi des femmes qui ignorent ces plaisirs...
Tu as fait exprès je pense de laisser passer un certain temps avant de délencher.
Tes mains libérées  grâce à l'appareil gonflable, me caressaient partout et me chauffaient tout en  me donnant des frissons de plaisir et d'attente angoissée. 
Tu t'es arrangé pour que l'arrivée du liquide un peu chaud me fasse émettre un gémissement prolongé. Tes mains, tes lèvres se promenaient partout, tu as commencé à me rouler des pelles et je te répondais, heureux de faire l'amour, mais je souffrais de 
ne pas pouvoir te prendre dans mes bras à cause des menottes. Mon ventre se remplissait, tu le massais avec tout ton savoir-faire. La potion atteignait des endroits inimaginables avant, 
et là je la ressentais comme fraîche et apaisante. Qu'est-ce que tu avais mis dedans ? 
Jusque-là, le plaisir d'être "enculé" par toi me mettait aux anges. J'avais envie de rester là, lové dans tes bras en position de cuillère, voire de m'endormir. Est-ce que tu l'as senti en 
marquant cette longue pose? C'est incroyable ce que tu sais faire ! 
A la reprise, que je redoutais un peu, la tension de mon ventre fut sensible. Je te questionnai : 
combien contient le réservoir ? -" t'occupe, laisse-toi aller" 
- "toi, combien t'arrives à prendre ?  -"je sais pas, qu'est-ce que ça peut te faire ?" 
-"si je te demande d'arrêter, tu m'écouteras ?" -"oui....." 
Mais là je ne te crois plus, seul mon amour me soutient. Je transpire. Aussi l'effet de ce qu'il y a dans le lavement ?  Tu essuies ma sueur sur mon front, autour de mes lèvres, mon cou et ma nuque. Un parfait infirmier. 
J'ai trouvé : c'est là notre rapport, un peu quand la piqûre va faire mal, on calme le patient , on est à son écoute.
Ca y est. Là c'est trop. Je vais exploser. Je te le dis. Tu souris calmement et ton regard plonge en moi. 
Je sens que ce regard va jusque dans mes tripes. C'est vraiment comme dans l'amour : tu contrôles notre  plaisir. Je sens quand tu clampes* et quand tu remets en route. Je ne le sens plus  dans la coulée par mon rectum  mais par la tension qui augmente dans mon abdomen. J'ai plaisir à sentir que c'est toi qui 
commandes parce que je t'aime. 
Tu libères mes mains, enfin je peux te caresser, mieux te faire sentir que je t'appartiens. Mais tu m'avertis 
quand je porte la main sur la sorte de gode qui sert de canule. -"ne touche pas ! tu ne peux pas le retirer, il n'y a que moi qui sache dégonfler. Il y a une valve anti-retour, je détache et je t'accompagne à la cuvette du wc et tu lâches tout".
Même malade et à l'hôpital, je ne me souviens pas d'une assistance aussi intime. 
Je finis par être tellement concentré sur mon intestin que je te quitte pour une bizarre extase, faite de trop de tension et d'une bizarre jouissance dans mes couilles et ma queue. Je touche. Ma verge coule. C'est fou, non ? 
Je sens que tu m'entoures encore plus. Tu te masturbes, allongé près de moi. Tu as joui et tu étends ton sperme 
sur mes fesses. Je veux que tu arrêtes le lavement, mais tu es doux. Tu coupes et fais reprendre alternativement 
avec à peine quelques secondes d'écart. Je m'agite, je te dis "arrête maintenant svp". -"il faut que tu le gardes encore un moment" Je ne peux que le garder (hélas) mais je suis mal. Je sens une montée nerveuse....
Dans un léger vertige où tu me soutiens vers les toilettes j'ai l'impression d'un vol alourdi...Tu m'assois littéralement 
sur le siège, une main sur le dispositif. Tu es à genoux, ton épaule cale mon corps un peu affaibli et alangui.
Tu commandes le dégonflement de cette canule sophistiquée. Preuve d'amour, tu la retires et je lâche tout involontairement sur ta main restée sous mes fesses. -"vas-y, je crains pas".  
Plus que jamais je t'appartiens.
Je t'aime.
Personne jamais n'a partagé des choses comme ça.   
  -"combien j'ai pris?" 
-" pas mal tu sais, mais la mesure c'est ton plaisir, c'est tout !"
Soudain tu me suces et ça me fait arrêter mes questions ! hummmmh 
Comment savoir avec toi. Et moi, combien je vais te mettre ? 
Je crois que je lirai sur ton visage le moment d'arrêter.
Des bisous mon infirmier chéri 
on n'a pas fini d'avoir du plaisir  tous les deux 
claudio
*Clamper : Pose d'un clamp (sorte de pince) permettant d'interrompre temporairement la circulation dans un tube médical.
J'ai visité des sites : 
Pour utiliser seul ou à deux , tu as vu cette nouveauté "éjac" ? 
Pas mal ce plug-éjac
 
Et ici un embout de lavement gonflable montré dans un harnais, un peu ton système ! 
mais  d'habitude utilisé sans harnais . Une fois inséré, le bec est gonflé à une beaucoup plus grande taille et donc ne peut reculer, permettant au destinataire de détendre ses  muscles en gardant  le lavement,  une solution qu'ils ne pourraient pas normalement conserver(retenir),à moins d' être forcé de prendre un lavement dans le cadre des activités BDSM.
Par claudio - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 00:47

tagged :  failure, getting drunk by anus, alcool, enema, lavement, alcoolisation, video, link

 

Un anus, de la gnôle, et le tour est joué !

L’insertion de corps étrangers dans le rectum intestinum de l’Homo Sapiens n’a rien de neuf. Vous vous rappelez peut-être vos cours d’histoire : les Mayas s’administraient des lavements de tabac et de plantes hallucinogènes à des fins religieuses, et peut-être aussi parce qu’ils se faisaient chier. Ils ont été assez sympas pour laisser derrière eux des gravures et des figurines documentant l’acte. Aujourd’hui, si on s’est débarrassé des aspects spirituels relou qui accompagnaient autrefois l’absorption de différents produits par voie anale, on a conservé l’esprit du truc intact. Ça s’appelle le progrès.

La dernière fois qu’on a ricané autour de la question anale, c’était fin septembre quand Alexandre « Xander » Broughton (oui, ça se prononce certainement « BRO-ton »), membre des Pi Kappa Alpha de l’Université du Tennessee, a été soigné pour une sévère intoxication à l’alcool après qu’il s'est injecté du vin en cubi dans le colon (je crois que la bro-menclature exacte du truc était « Tour de Franzia »). La voie anale permet à l’alcool d’éviter d’être filtré par le foie et les processus métaboliques, du coup l’éthanol coule direct dans le sang. En bref, vous court-circuitez les défenses antipoison de votre corps.

Suite à cet infortuné accident, l'université a suspendu la fraternité, et ç’aurait pu être la fin de l’histoire. Sauf que Xander a involontairement tenu une conférence de presse comique. Entouré de son avocat et de toute la confrérie Pi Kappa, Xander a affirmer tout ignorer de la pratique du « butt chuging » et a promis de coller un procès à tous les médias qui tenteraient de publier son histoire ; il a même fait passer ceci par son avocat : « C’est un homme droit et il trouve repoussante l’idée même de s’injecter de l’alcool dans le derrière. »

Je suis un homme droit aussi. Et je sais, contrairement à Xander, qu’il n’est absolument pas gay de se fourrer des trucs dans les fesses. Boire par l’anus est une idée terrible, c’est sûr, mais bon, les jeunes ont fait tellement de conneries qui ont finalement apporté la joie à des millions de gens. Comme Facebook, par exemple – est-ce que l’absorption d’alcool par le cul est aussi chouette que Facebook ? En fait, non. C’est épouvantable, j’ai essayé l’autre soir. Mais ça vous permet de voir le monde autrement. Et pas seulement parce qu’il faut s’allonger sur le dos, le cul à l’air et tenter de trouver le bon angle avec la pipette d’alcool. Non, c’est plus profond que ça. Plus profond que la douille lubrifiée d’une dizaine de centimètres qui m’a pénétré le sphincter. Le truc, c’et que de nouvelles perspectives fleurissent quand on vient de s’injecter un verre de Franzia et une demi-pinte de vodka dans le cul.

Perspective 1: Doggie style

Pour ce qui en est du vin, je préconise le « Sunset blush ». Ce nom suggère une sorte de tendresse.

J’achète de la vodka et du whisky. En face du magasin d’alcools, la pharmacie propose une offre spéciale : une poire à lavement gratuite pour une achetée. De retour à la maison, je m’applique à verser l’équivalent de deux shots de Sunset Blush dans les récipients. Dans un premier temps, je choisis de procéder en me mettant à quatre pattes.

Derrière la porte fermée de la salle de bains, j’ai un peu de mal à atteindre mon anus. Je me dandine inconfortablement et je me tords à moitié le cou pour voir ce que je fabrique. Plusieurs profondes inspirations facilitent le passage du bec de la poire, et enfin un jet de Sunset Blush irradie mes entrailles. Pas trop mauvais. Ça fait pas mal. Peut-être que ça coule un peu trop.

Mais, mon sphincter se révolte. Pendant que je tente de persuader à la fois physiquement et verbalement mon anus (« Chuuut, ça va aller. Ça va aller. »), je fais le point sur la position dans laquelle je me trouve. C’est tellement putain de dégradant. À cet instant précis, je sens comme un connexion émotionnelle avec toutes mes sœurs féministes qui considèrent la levrette comme une position de soumission avilissante.

Après cette épiphanie, j’essuie le surplus de Franzia, je remonte mon pantalon et me rends dans la cuisine, où mon copain m’attend pour bouffer la pizza.

 

Perspective 2 : La position dite « de l’étrier »

Je m’attendais à me sentir un minimum bourré, mais c’est à peine si j’ai senti la chaleur me monter aux pommettes. Que dalle. Juste mal au cul et une légère brûlure au niveau des pommettes. Je dose une bonne quinzaine de centilitres et je retente, cette fois assis dans la baignoire, la jambe gauche levée reposant sur le porte-serviettes, et la droite au-dessus des chiottes. Vu les difficultés éprouvées la fois précédente, j’enduis la poire d’un max de Vaseline.

Imitant la position de la femme chez le gynéco, je manipule la poire avec la précision et l’efficacité d’un proctologue. J’ai des réminiscences d’une époque révolue, où tout était plus simple :

Avec mon ancien coloc, on buvait tellement qu’on commençait à se lasser de s’intoxiquer toujours de la même manière basique. On est partis à la chasse d’alternatives excitantes. Heureusement, il travaillait dans une boutique qui vendait tous les trucs kitsch de hippies. Il a volé une petite fontaine qui créait de la vapeur et taillée comme une source de montagne qu’on a remplie de tise en espérant parvenir à nous bourrer la gueule avec les vapeurs de whisky qu’on collectait dans une bouteille sans fond de deux litres : le WHAF n’a rien inventé. Ç’a été une déception ; pire, un gâchis de whisky.

Les gros bros de l’université du Tennessee qui se « seraient » enfilé de la tise dans le derrière devaient pas mal s’emmerder, eux aussi. Mais sérieux, qu’est-ce qui nous reste après les jeux de beer-pong, chochoï, caps, je n’ai jamais, pyramide, capitaine Blum, king, biskit ? Quelques tuyaux usés par le beer-pong et ce qu’on pourrait qualifier de « suite logique ». Si, comme je le suppute, Xander se sur-emmerdait, et que la nouveauté du butt-chugging l’excitait tellement qu’il a brisé les rituels de boisson culturellement acceptés avec tant de brio qu’il a été envoyé à l’hosto, eh ben… j’applaudis l’effort.

En revanche, il y a un truc qui me tracasse : l’incohérence homophobe de Xander à la conférence de presse, telle qu’exprimée par son avocat. Un bon paquet d’hétéros apprécient de se faire doigter l’anus, ainsi que les plugs et les godes-ceintures. Tout le monde s’est tellement amusé de l’acte lui-même que la déclaration mal informée et homophobe de Xander a été totalement ignorée – ou peut-être qu’on considère comme absolument normal qu’un bro de 20 ans déteste les gays.

« Est-ce que notre culture est condamnée ? », me suis-je demandé après avoir fini de me remplir le cul de ce qui faisait maintenant un verre entier de Franzia. Les choses tournent mal. D’une, je ne suis pas bourré. De deux, j’ai une crampe à la main. Et, pire que tout, je commence à me faire chier.

Perspective 3 : La passe du Quarterback

 Mon copain débarque au moment où je recharge la poire avec un deuxième shot de vodka. Il ne reste pas longtemps. Il croyait que je plaisantais quand je lui disais que je me butt-chuggais. Durant le temps où il est présent, on explore de meilleures positions potentielles. Pour le premier shot de Vodka, j’ai tenté la position dite de « la passe du Quarterback », quand un type écarte les jambes pour passer la balle au type derrière lui. Ça fuite un peu moins comme ça. Mon anus supporte mieux la vodka que ce que j’aurais cru. À chaque fois que la poire se remplit, j’entends comme un gargouillis. Je me sens bizarre. Note globale : 12/20

Après un rapide brainstorming avec mon cher et tendre, on est parvenus à la conclusion que la meilleure façon de s’intromettre de l’alcool dans la rondelle était de s’allonger complètement et de passer ses jambes au-dessus de sa tête. « Faut que tu relâches complètement les muscles des jambes », m’a répété mon pote avant de mimiquer la pose dans le couloir pour me montrer. C’est la position qu’on observe le plus fréquemment dans les vidéos et sur les photos qu’on peut pécho sur Internet et qui illustrent cette pratique. Même les gars de Jackass l’ont fait comme ça.

Cette fois, deux shots de vodka sinuent dans mes entrailles quasiment sans perte. Malheureusement, ça ne prend pas vraiment. Les autres avaient fait gargouiller mes intestins, me laissant entrevoir la possibilité de lâcher un pet foireux. Là, je dois me retenir de sortir un truc vraiment féroce, une coulée de boue dévastatrice. Je me précipite dans la salle de bains et je manque de justesse de me rater. Ce qui sort est clair et liquide. Et putain qu’est-ce que ça brûle. Je m’essuie bien et tente de me débarrasser du reste en m’encourageant mentalement. Je retourne dans la salle de bains quelques minutes plus tard et me fais deux autres shots. Cette nouvelle position me semble beaucoup plus efficace, même si mon rectum est en feu.

Perspective 4 : Le Lotus brun

Au début, mon copain désapprouvait mon projet – il avait surtout peur de devoir me porter, inconscient, jusqu’aux urgences, et surtout de devoir expliquer les raisons de mon état aux médecins. En plus, il déteste conduire la nuit. Vu que rien ne pouvait me faire changer d’avis, il a décidé de s’attribuer le titre de baby sitter. Je lui ai proposé plutôt « Butt Chugging Babysitter », il a préféré « Chugging Supervisor ».

Après un autre shot dans cette nouvelle position, que je vais appeler le « lotus marron », je n’ai toujours aucune sensation d’intoxication. Voyant que je commence à être frustré, mon pote me suggère de tenter l’option « tampon imbibé ». Il m’assure qu’il m’accompagnera le lendemain pour en acheter avec des applicateurs, et je lui confie que je suis au bout du rouleau. Il suggère que, peut-être, il peut me faire une soufflette dans la cavité, son raisonnement étant : « Hey, de toute façon ton but est d’être défoncé par le cul, non ? »

De retour dans la position du lotus brun, il insiste pour m’administrer lui-même une dose d’alcool. Je n’ai pas le temps de répondre. Vu que j’ai les jambes au-dessus de la tête, il a tout pouvoir sur moi. il s’approche beaucoup trop près, son regard est dur, il tient la poire comme s'il tenait un fusil.

« Chéri, t’as l’air drôlement perturbé quand on te regarde sous cet angle », lui dis-je.

« Je pourrais te dire exactement la même chose, chéri. »

Il ne fait preuve d’aucune sympathie et enfonce l’outil tellement profond que je ne sens même pas quand il m’injecte le liquide.

La dose suivante est aussi la dernière. C’est partiellement parce que j’ai mis quasiment tout l’alcool que j’avais dans mon cul. Aussi parce que j’ai l’impression qu’on me fait une brûlure indienne au rectum. Mais la raison principale est que mon copain veut aller boire des coups avec des potes. Cette petite aventure nous a autant fait chier l’un que l’autre. Sans nous répandre en paroles inutiles, on va dans la salle de bains comme on irait chez Monoprix. Je m’allonge et elle m’administre la fin de la bouteille. Le processus ne dure pas plus d’une minute. On est passés pro.

Perspective 5 : Face contre terre

Je suis dehors, enfin autorisé à ingérer de l’alcool par voie orale. De façon surprenante, quelques-uns des amies de mon copain n’ont jamais entendu parler du butt chugging. À un moment, je m’excuse pour aller aux toilettes où je lâche un étron. Ça sent le propre, comme le saumon de supermarché.

Comme je le disais, j’ai l’impression de m’être administré du sirop plutôt que de la tise. Si vous voulez voir un vrai butt chugging, il y existe un site intéressant. Il y a un post de Viméo qui montre un gars* face contre terre avec une bouteille de bière dans le fessier. Le cul de la bouteille a été retiré et le pote du gars glousse en lui versant un liquide violâtre dans le conteneur. Ce qui est super, c’est de voir ses fesses travailler. Elles bougent et ondulent comme un serpent qui digère une souris. On dirait vraiment une bouche en train d’ingérer de l’alcool.

Avachi dans mon lit cette nuit-là, je peux sentir mon anus frissonner sans arrêt, comme si un sex-toy fantôme s’amusait avec lui. C’est pas aussi bandant que quand la chambre tourne et qu’on a l’impression qu’on va mourir, mais je vais probablement recommencer à boire comme tout le monde. Genre, boire sans arrêt jusqu’à ce que je vomisse. Au moins, j’augmenterai mes chances de ne pas me souvenir de la soirée.

 

*http://vimeo.com/45205236  

* haha a few friends of mine sent me this video of what they do when there drunk. hope u like it :)

 

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Par claudio - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Mardi 26 mars 2 26 /03 /Mars 11:32

Amusons-nous, n'attendons pas demain.

 

 

Ces jeux n'empêchent pas l'emploi des jouets au contraire, et la pénétration dans le lait ne peut être que très agréable.
 
 

 



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18 U.S.C. 2257

 

Tu l'as fait ?  Raconte-le  en commentaire mhuuuummmmh

poste un e-mail à claudemodou@gmail.com 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE
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Mardi 26 mars 2 26 /03 /Mars 11:15

Lavement décomplexé. Ces jeunes s'amusent follement. Pourquoi pas nous....déjà de les regarder faire...

    Envie  ?  Question la couleur du lait s'apparente à quoi ?  Une idée : épaissir le lait avec une bouillie pour bébé ! Vous allez lui faire plaisir à votre cucu ! 

- Claudio, tu es un vicieux. 

- N'écoutez pas et amusez-vous : on ne vit qu'une fois !  

 


Idée
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