BRAVO LES AMIS
69 VISITEURS HIER ! MERCI BISES !
BRAVO LES AMIS
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Douce conversation à mi-voix entre deux footballeurs
-Prends-la -Hou, ça fait mal !...c'est si bon...
Halètements réalistes, hélas peu de gros plans.
Des positions ...sportives mais aussi classiques
Au final pas peur de mouiller les maillots !
Tags : jocks, lockers, lads, fuck,
Rêve ou réalité, cette VIDEO ne doit pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES
CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org
Les homosexue(les) sous la pression d'un monde hostile ont fini par gagner leurs libertés. De même les palestiniens doivent lutter pour conquérir cette chère liberté. .
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Jean Genet : "Un captif amoureux"
Jean Genet prend position pour lesPalestiniens, rencontrant entre autres Yasser Arafat et Leïla Shahid. En septembre 1982, il est le premier Européen à pénétrer dans Chatila, après les massacres perpétrés par les milices chrétiennes). Il en tire un texte politique majeur Quatre heures à Chatila10.
Après deux séjours de plusieurs mois en Palestine, il se lance dans la rédaction d'un journal intitulé Un captif amoureux, qui sera publié quelques mois après sa mort. Prenant la défense des Palestiniens, il demeure néanmoins lucide sur les intérêts croisés de l'Occident, mais aussi de l'URSS ou des pays arabes quant au maintien d'une guerre symbole dans cette région du monde
slimane khalil al- dahabshe, à Arrabe. Ce chef de gang, qui s'est fait tatouer un scorpion sur le bras, « parce qu'il tue en un coup », rêve d'avoir suffisamment d'argent pour sortir de ses problèmes et épouser celle qu'il aime. « Chaque bonne journée est suivie par dix jours de chaos.»
Jean Genet est né à Paris le 19 décembre 1910. Son père est inconnu et sa mère l'abandonne à la naissance. Jean Genet est donc confié à une famille du Morvan, une région qui, au début du XXe siècle, est connue pour accueillir de nombreux enfants envoyés par l'Assistance publique.
Grâce à sa famille adoptive, Jean Genet est aimé et choyé, et il étudie à l'école communale. Ces années d'enfance sont plutôt heureuse pour Genet. Il est bon élève (il obtiendra la meilleure note de sa commune au certificat d'études) et devient enfant de chœur. Cependant, sa timidité le rend parfois taciturne.
Jean Genet connaît son premier émoi envers le petit Lou Culafroy et d'autres hommes, plus âgés cette fois. Son premier vol est commis à 10 ans. Pour Genet, c'est un acte fondateur qui le conduit à revendiquer son asocialité.
A 13 ans, il fugue et est séparé de sa famille d'adoption pour suivre des cours de typographie. Après une nouvelle fugue, il est enfermé dans une colonie pénitentiaire de Mettray : il y découvre un univers brutal et viril, avec une hiérarchie prononcée et une nouvelle expression de ses attirances homosexuelles.
A 18 ans, Genet rejoint la Légion étrangère. Il voyage en Afrique du Nord, au Proche Orient, et est marqué par la vision de la masculinité qu'il y découvre. De retour en France, il vit de menus larcins, ce qui lui vaut quelques séjours en maison d'arrêt. Il commence alors à écrire ses premières poésies et ébauches romanesques. Genet est un homme perfectionniste, qui n'est jamais satisfait par ce qu'il écrit. Il compose, remanie, réécrit, rejette des parties de ses textes...
Ses premiers romans sont censurés à leur parution, car on les classe pornographiques ou choquants. Ils sont donc diffusés clandestinement. C'est le cas de Journal du voleur, ou de Miracle de la rose (en 1946).
Notre-Dame-des-Fleurs, pour sa part, évoque la nuit homosexuelle parisienne dans le Paris d'avant la guerre. En 1947, Pompes funèbres développe l'image d'Hitler... en version homoérotique, soulignant ainsi les liens entre la violence nazie et les pulsions sexuelles.
En 1947 sont jouées Les Bonnes. L'ouvrage ne sera publié qu'en 1954
A cette époque déjà, Jean Genet est donc scandaleux ; mais sa provocation n'est pas gratuite. Elle cherche à faire réagir le lecteur, par exemple en le faisant prendre conscience de l'attraction pour le mal, ce qu'il fait juste après la guerre.
Cocteau comme Sartre voit en lui un moraliste ; Mauriac le décrit comme « excrémentiel ». Les deux premiers l'encensent et pensent que Genet est un génie. D'ailleurs, Cocteau va le sauver de la prison à perpétuité, et Sartre écrit Saint Genet, comédien et martyr.
L'ouvrage déprime Jean Genet et l'interrompt dans son écriture, tant, dit-il, « sa mécanique cérébrale y était décortiquée ».
A cette époque, Jean Genet est donc très connu. Il évolue dans les cercles littéraires de Paris, où il croise Matisse, Sartre, Simone de Beauvoir...
En 1956 paraît Le Balcon.
Il devient dramaturge et voit ses pièces adaptées par de grands metteurs en scène, tels que Roger Blin (Les Nègres en 1958, Les Paravents). Les pièces de Genet sont violentes, comme pouvaient l'être ses romans. Par exemple, il dénonce avec virulence les colonies françaises, alors que la France s'englue dans la guerre d'Algérie.
Jean Genet est toujours plus engagé. Il commence un journal, Le Captif amoureux, qui est publié en 1986.
Abdallah Bentaga, son compagnon, se suicide. Cela achève de déstabiliser Jean Genet, qui est déjà totalement perdu dans un quotidien de toxicomane.
Dans ses derniers temps, l'écrivain vit dans des chambres d'hôtel miteuses, et possède simplement une valise avec ses lettres et des manuscrits...
Atteint d'un cancer de la gorge, Genet fait une chute le 15 avril 1986, et décède dans la chambre d'un hôtel parisien, seul.
Il est inhumé au Maroc, dans le cimetière de Larache.
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Peut-être avez-vous cliqué sur la vidéo qui accompagnait la cérémonie d'investiture d'Obama ?
Peut-être aimeriez-vous en avoir le texte sous les yeux ?
"I have a dream" we keep dreaming,
Inaugural poet Richard Blanco read his poem "One Today" at the swearing-in ceremony for President Obama. Here is the full text of the poem as written.
"One Today"
One sun rose on us today, kindled over our shores,
peeking over the Smokies, greeting the faces
of the Great Lakes, spreading a simple truth
across the Great Plains, then charging across the Rockies.
One light, waking up rooftops, under each one, a story
told by our silent gestures moving behind windows.
My face, your face, millions of faces in morning's mirrors,
each one yawning to life, crescendoing into our day:
pencil-yellow school buses, the rhythm of traffic lights,
fruit stands: apples, limes, and oranges arrayed like rainbows
begging our praise. Silver trucks heavy with oil or paper—
bricks or milk, teeming over highways alongside us,
on our way to clean tables, read ledgers, or save lives—
to teach geometry, or ring-up groceries as my mother did
for twenty years, so I could write this poem.
All of us as vital as the one light we move through,
the same light on blackboards with lessons for the day:
equations to solve, history to question, or atoms imagined,
the "I have a dream" "We keep dreaming"
or the impossible vocabulary of sorrow that won't explain
the empty desks of twenty children marked absent
today, and forever. Many prayers, but one light
breathing color into stained glass windows,
life into the faces of bronze statues, warmth
onto the steps of our museums and park benches
as mothers watch children slide into the day.
One ground. Our ground, rooting us to every stalk
of corn, every head of wheat sown by sweat
and hands, hands gleaning coal or planting windmills
in deserts and hilltops that keep us warm, hands
digging trenches, routing pipes and cables, hands
as worn as my father's cutting sugarcane
so my brother and I could have books and shoes.
The dust of farms and deserts, cities and plains
mingled by one wind—our breath. Breathe. Hear it
through the day's gorgeous din of honking cabs,
buses launching down avenues, the symphony
of footsteps, guitars, and screeching subways,
the unexpected song bird on your clothes line.
Hear: squeaky playground swings, trains whistling,
or whispers across café tables, Hear: the doors we open
for each other all day, saying: hello, shalom,
buon giorno, howdy, namaste, or buenos días
in the language my mother taught me—in every language
spoken into one wind carrying our lives
without prejudice, as these words break from my lips.
One sky: since the Appalachians and Sierras claimed
their majesty, and the Mississippi and Colorado worked
their way to the sea. Thank the work of our hands:
weaving steel into bridges, finishing one more report
for the boss on time, stitching another wound
or uniform, the first brush stroke on a portrait,
or the last floor on the Freedom Tower
jutting into a sky that yields to our resilience.
One sky, toward which we sometimes lift our eyes
tired from work: some days guessing at the weather
of our lives, some days giving thanks for a love
that loves you back, sometimes praising a mother
who knew how to give, or forgiving a father
who couldn't give what you wanted.
We head home: through the gloss of rain or weight
of snow, or the plum blush of dusk, but always—home,
always under one sky, our sky. And always one moon
like a silent drum tapping on every rooftop
and every window, of one country—all of us—
facing the stars
hope—a new constellation
waiting for us to map it,
waiting for us to name it—together.
Peut-être (???) nous les homosexuel(le)s sommes nous les plus et mieux avancés pour l'égalité et l'abolition de toutes les discriminations ? Je voudrais répondre oui.
Naître au Monde aujourd'hui serait-il plus aisé et heureux qu'il y a seulement dix ans ?
A cet instant plus pasteur des homosexuel(le)s que Président...
Regardez son discours (la mention à 14:25):
Regardez Beyoncé chanter l'hymne national:
Une personnalité ouvertement gay a pris la parole pour la première fois lors d'une telle cérémonie. Regardez le poète gay Richard Blanco lire un poème de sa composition, One Today:
Photo: capture d'écran.
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