marre de baiser là à la sauvette....
Bien harponné par son prof-baiseur, notre ami va revenir aux réalités
Pendant les quatre semaines qui suivirent j'attendais avec impatience le jour de gym.
Bien que chacune de nos étreintes soient pour moi une extase complète je
commençais à trouver ces intermèdes trop courts, il m'en fallait plus.
Ce jour là alors que Max sortait de sous la douche après une séance qui
m'avait laissé comblé, j'étais encore allongé, cuisses écartées, sur le coussin, je dis à mon amant "Max il faut qu'on parle.
- Qu'y a t il mon amour ?
- Je veux plus.
- Que veux-tu dire ?
- Je ne peux plus me contenter d'une baise comme ça une fois par
semaine.
- Mais...
- Ne t'affole pas, je ne te demande pas de quitter ta femme, seulement je
voudrais qu'on passe plus de temps ensemble, j'en ai un peu marre de baiser ici sur ses coussins, j’aimerais tellement baiser dans un bon lit et il n'y a pas que ça, même si c'est super on tire
un coup, tu te laves et tu t'en vas, moi ce que je veux c'est baiser plus de temps avec toi, je ne veux pas simplement te faire une pipe et me prendre un coup dans le cul puis au revoir, ce que
je veux c'est passer une nuit d'amour avec toi ou tout au moins une journée ou même une après midi entière avec toi. Tu vois je ne suis pas aussi exigeant que ça.
- Je comprends mais tu sais que ce n'est pas simple.
- Ne me dis pas que tu n'as pas un après-midi de libre.
- Je n'ai pas d'après-midi de libre et même si j'en avais un toi tu as tes
cours.
- Tu as raison sauf que le mercredi je n'ai pas classe et que toi tu ne donnes
pas de cours, je sais que ta femme travaille dans une entreprise donc elle est au boulot le mercredi et en plus tu m'as dit que ce jour là elle a aussi ses réunions d'association qui font qu'elle
rentre que vers 20 h.
- Oui mais...
- Ah j'ai compris tu ne veux pas amener ta salope de pédé chez
toi.
- C'est vrai même si je n'aime pas le terme que tu viens
d'employer.
- Excuse-moi.
- Ce n'est pas grave.
- D'ailleurs je ne te demanderai jamais de venir chez toi, je ne me vois pas
baiser avec toi dans le lit conjugal, ce que je voulais dire, c'est qu'il y a toujours des moyens.
- Lesquels.
- N'aie crainte, je ne te demande pas de louer quelque chose pour qu'on puisse
baiser ni même qu'on aille à l'hôtel.
- Ca je ne le pourrais pas.
- Je m'en doute, mais moi je pense avoir un moyen.
- C'est vrai ?
- Oui au moins pendant quelques mois, il y a un ami de mes parents qui a un
appartement en ville, il est absent pour le moment, il est à l'étranger jusqu'à cet été, ça nous laisse au moins 7 mois jusqu' à la fin de l'année scolaire.
- C'est vrai que c'est une possibilité.
- Maintenant il faut savoir si toi tu es disponible sachant que je veux aussi
qu'on continue à baiser après chaque cours de gym comme aujourd'hui.
- Je vais voir.
- Non il faut que tu me dises oui ou non, tu comprends moi je me consume à
attendre le jour où tu daignes m'enfiler, je n'en peux plus, il me faut plus que ça.
- Ca va j'ai compris, c'est d'accord chaque mercredi à partir de 14h30 on se
retrouvera jusqu'à 19h. Tu es contente ?
- Bien sur que je suis content mais je ne veux pas que ce soit contraint que
tu fasses ça.
- Mais pas du tout, moi aussi je préfère avoir plus longtemps ton petit cul
que maintenant.
- Bien alors nous sommes d'accord, allez rentre chez
toi.
- Au revoir ma petite chatte.
- Au revoir mon mâle".
Max partit et moi plein de satisfaction je pris la direction des
douches.
Les cinq jours suivants me parurent très longs et enfin le mercredi arriva,
toute la matinée je fus incapable de me concentrer sur mes cours, je ne pensai qu'à l'après-midi.
Enfin arriva midi et je quittai le lycée en courant et moins d'un quart
d'heure j'arrivai dans l'appartement, je me déshabillai et pris une longue douche, puis après avoir mangé un sandwich j'attendis la venue de Max.
Quand la sonnette tinta je sursautais, j'allais voir à l'œilleton, Max était
devant la porte, j'ouvris, mon amant était à peine entré dans le hall que je me collai à lui tout en cherchant ses lèvres.
Me prenant dans ses bras musclés il posa sa bouche sur la mienne, nos dents
s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon homme s'écarta de moi j'avais le rouge aux joues, il me dit "C'est
vrai que ta bouche est bonne, mais montre-moi comme elle est douce quand elle me suce la queue".
Je fus surpris du ton employé par mon mec et je lui répondis "Tu ne m'as
jamais parlé comme ça.
- Non mais nous n'avons jamais eu le temps, au gymnase on a juste le temps de
baiser.
- Oui mais là bas tu es doux.
- Pourquoi tu n'aimes pas que je te parle comme ça ?
- Non je suis surpris c'est tout.
- Eh bien tu vas voir attends-toi à être surprise ma petite salope, alors
cette pipe ça vient ?
- Bien sur mon amour".
Je m'approchai de Max et voulus lui enlever sa chemisette, il arrêta mon geste
et me dit "Je t'ai demandé de me sucer pas autre chose, je sais que j'ai une longue bite mais je t'assure qu'il te suffit d'ouvrir ma braguette".
Amusé par la tournure que prenait les événements je m'agenouillais devant mon
amant et ouvrait sa fermeture éclair, ce jour là mon homme n'avait pas mis de slip et son sexe à demi flaccide sortit du pantalon.
Contrairement à d'habitude le membre n'était pas net, il y avait des traces de
sperme séché et une odeur significative, j'eus un mouvement de recul dont mon mec s'aperçut, il me dit "Tu vois comme j'ai deux femmes, je veux qu'elles partagent tout, j'ai baisé ma femme à midi
et je ne me suis pas lavé, comme ça tu vas connaître l'odeur et le goût de sa moule.
- Mais tu ne t'es pas demandé si ça me plaisait.
- Ecoute, je pense que puisque vous aimez toutes les deux ma queue, autant que
vous vous connaissiez par odeur interposée.
- Ce qui veut dire qu'après m'avoir enculé, tu vas lui donner ta bite à
sucer.
- Non pas du tout, tu ne t'es jamais demandé pourquoi je te
baise.
- Euh...
- Tout simplement parce que Nadine ne suce pas, elle trouve ça déshonorant et
elle ne veut pas non plus se faire sodomiser car elle trouve ça écœurant.
- Eh bien.
- Comme toi tu ne me suffirais pas car tu n'as pas de chatte à vous deux je
suis paré, j'ai ton cul et ta bouche et sa chatte, c'est parfait. L'idéal serait de vous réunir toutes les deux dans le même lit mais enfin. Maintenant pour répondre à ta question je peux très
bien ne pas me laver la bite après que je t'ai enculé ou bien que tu m'ais fait une pipe et la baiser le soir même.
- Mais...
- Dis-moi ôte moi d'un doute tu ne pensais quand même pas que je
t'aimais.
-...
- Non c'est seulement sexuel c'est tout, si Nadine suçait et me donnait son
trou du cul jamais je ne t'aurais regardé.
- Au moins cette explication a le mérite de mettre les choses au
clair.
- Oui alors tu me suces oui ou non".
Surmontant ma répulsion et aussi parce que j'avais très envie de sucer cette
pine, je me mis à caresser la hampe.
Aussitôt le phallus commença à grossir et se redressa, tout en caressant les
bourses duveteuses gorgées de sève je portai un coup de langue sur le gland tuméfié.
Une odeur acide m'agressa et levant les yeux vers mon amant je lui dis "Elle
pue de la chatte ta gonzesse.
- Mais non c'est l'odeur normale des moules.
- Eh bien ce n’est pas terrible.
- Parce que tu crois que ma bite sent bon une fois qu'elle est entrée dans ton
cul.
- Non...
- Et crois-moi je mets ma langue dans une moule ouverte mais je ne la mettrais
pas dans ton trou du cul ouvert. Et maintenant fais ton boulot, suce".
Malgré le sourire affiché le ton de Max était péremptoire et pour appuyer sa
demande il me frappa le visage avec son membre dur.
Prenant le phallus à la base j'ouvris tout grand la bouche et engloutis
l'objet de ma dévotion.
Je commençai à monter et descendre lentement dessus tout en enroulant ma
langue autour de la hampe turgescente et en la mordillant.
Au bout de quelques instants de ce traitement l'odeur de femelle disparut, mon
homme s'était cambré pour offrir totalement son pénis à ma voracité et il me dit tout en posant sa main sur ma tête "Ah là je te retrouve, tu fais bien ce que tu dois faire c'est à dire me pomper
le dard. Vas-y ma salope pompe avale ma grosse bite, tète mon sucre d'orge, oui ma pute c'est bon continue, suce putain".
Excité par ses paroles je me mis à pomper plus vigoureusement le Priape
distendu, mon mec poussait de petits grognements chaque fois que j'embouchai totalement le sexe gonflé.
Au bout de quelques minutes, Max bloqua ma tête et se mit à aller et venir
entre mes lèvres me baisant la bouche, voir le phallus entrer et sortir de ma bouche augmenta mon désir et je le caressai de ma langue tout en aspirant le gland.
Ce traitement ne fut pas long à faire des effets, je sentis la pine tressauter
puis il me sembla que le bout durci doublait de volume.
A cet instant mon homme plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en
râlant, un flot de sperme crémeux gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice tout en cajolant de la langue le membre qui continuait à couler dans ma bouche.
Quand mon amant me libéra je m'écartai de lui et levant la tête je lui souris,
il me dit "Ah ça va mieux je me sens plus léger, tu es vraiment la reine des pipeuses, je ne crois pas qu'un jour quelqu'un m'a sucé comme toi, tu as vraiment une vraie bouche à pipe. Rien que de
penser à comment tu suces ça me fait bander, tu vas voir ce que tu vas prendre dans le cul tout de suite, je me sens comme un taureau en rut.
- Je suis content que ça te plaise que je te suce.
- Oui ça me plaît ma salope et maintenant en plus tu as partagé ma bite avec
Nadine, tu as sa mouille dans la bouche.
- Je ne peux pas dire que c'est ce qui me plaît le
plus.
- Peut-être mais il va falloir t'y faire si tu veux continuer à profiter de ma
grosse queue.
- je ferais avec.
- Bien, allez grimpe sur le lit et mets toi à quatre pattes que je m'occupe de
ton petit cul tout chaud.
- Avec joie.
- Tu vas voir, je suis dans un tel état que je vais t'éclater la
rondelle.
- C'est tout ce que je veux.
- Allez en position".
Je montai sur le lit, me mis à quatre pattes tout en me cambrant et en
écartant les cuisses.
Max s'approcha de moi, il me pelota les fesses et dit "Bien ma petite pute, tu
es une vraie femelle, on voit que tu aimes la bite, tu tends ton cul comme une véritable salope que tu es, ah je vais bien t'enfiler tu vas voir".
Sans prévenir mon amant m'enfonça son majeur dans l'anus, cette violente
intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon homme, il me dit "Qu'est ce que ça veut dire, tu gueules pour un simple doigt, comment vas-tu faire quand ça va être ma
bite ?
- Tu sais très bien que je peux prendre ta bite dans mon cul mais tu ne m'as
jamais habitué à faire comme ça.
- C'est à dire ?
- Chaque fois qu'on a couché ensemble, tu as toujours pris des précautions
pour m'ouvrir avant.
- C'est vrai mais aujourd'hui je n'ai pas envie de faire comme ça, aujourd'hui
je veux t'enculer sans prendre aucune précaution, je veux te baiser 'hard'.
- Mais je vais avoir mal.
- Je m'en fous, ce qui compte c'est que moi je prenne du plaisir à te bourrer
et même si tu as mal au début ensuite je sais que tu vas jouir salope".
Pendant notre discussion mon mec n'avait pas arrêté de faire coulisser son
doigt en moi et cet attouchement commençait à m'exciter.
Max s'en aperçut et dit "Tu es vraiment une pute, rien qu'à voir la manière
dont tu tournes ton fion sur mon doigt je me dis qu'une salope comme toi est unique".
Mon amant s'installa à genoux derrière moi et dit "Tu sais ma salope que tu as
un cul de rêve, quelle paire de miches, elles sont bien fermes juste comme j'aime et quand je regarde ce petit trou palpiter ça me donne une gaule pas possible et je pense au moment où je vais le
défoncer".
Mon mec empauma mes fesses et les sépara, je l'entendis se racler la gorge et
il cracha, son mollard s'aplatit contre mon œillet, mon homme pressa mes lobes charnus l'un contre l'autre puis me dit "Voilà maintenant tu as le trou du cul graissé, je vais pouvoir te
mettre".
Max fouetta mon postérieur de son sexe dur puis il le glissa dans ma raie,
c'était la première fois qu'il ne faisait aucun prémices et j'avoue que vu la taille de son phallus une crainte m'envahit.
Mon amant positionna son gland turgescent contre l'entrée de ma grotte, j'eus
un mouvement de panique et tentait de me soustraire, mon homme posant ses mains sur mes hanches me dit "Ce n'est pas la peine d'essayer de m'échapper, je veux ton cul et je vais le
prendre".
Immobilisé sous sa poigne de fer je ne pouvais que tortiller du cul, ce qui
avait pour effet de faire monter le désir en moi sentant le pénis caresser mon antre.
Mon mec assurant sa prise commença à peser sur ma corolle, quand la tête du
membre écarta mes chairs, une douleur effroyable me vrilla le corps.
Un hurlement strident s'échappa de ma gorge, j'avais l'impression qu'on
m'ouvrait en deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans les entrailles.
Sans se soucier le moins du monde de moi Max continua à me pénétrer et quand
je sentis les poils follets de son pubis contre mes miches je sus qu'il était entièrement en moi.
J'avais tellement mal au cul que je pleurais à chaudes larmes, alors me
mettant une claque retentissante sur la croupe mon amant me dit "Si tu crois que tu vas m'attendrir parce que tu chiales comme une madeleine tu te trompes, tu voulais ma bite dans ton cul eh bien
elle est dans ton cul c'est tout, je sais que tu as mal mais tu vas voir tout à l'heure tu vas roucouler de bonheur une fois que je t'aurais bien astiqué. D'ailleurs il va falloir que tu
comprennes quelque chose, depuis quelque temps tu veux m'imposer ta loi et ça ne me plaît pas, alors le maître c'est moi tu comprends ça, toi tu es ma pute je te baise je te donne ma bite à sucer
et tu le fais mais toi tu ne m'imposes rien. Aujourd'hui j'ai fait ce que tu as voulu je suis venu passer une après-midi avec toi mais il faut que tu te mettes dans la tête que je vais la passer
comme moi je le veux et ce que je veux c'est t'enfiler comme ça pour que tu saches que c'est moi qui commande salope et pas toi. Bon maintenant arrête de chialer et prends ton pied, bouge bien
ton cul comme tu sais le faire pour que moi aussi je prenne mon pied, allez putain maintenant on baise".
Me prenant à la taille mon homme commença à aller et venir lentement en moi me
faisant hurler de souffrance à chaque mouvement.
Peu à peu mon anus s'assouplit et le Priape pu coulisser plus librement
effaçant le mal pour faire place à une douce langueur.
Au bout de quelques instant mon anneau céda complètement et la fabuleuse hampe
érigée pu aller et venir en moi sans gène aucune m'arrachant au passage de petits cris de bonheur.
Au bout de quelques minutes de ce traitement je râlai de plaisir chaque fois
que le sexe s'enfonçait jusqu'à la garde et je me mis à rouler des hanches en cadence, mon mec me dit "Alors ma pute tu vois que tu aimes ça, ce n'était pas la peine de chialer, regarde toi
comment tu roules du cul chaque fois que je te bourre, ton cul aime ma grosse bite, hein ma salope ça te plaît de te faire casser le cul. Tiens prends ça ma pute, prends ma grosse queue au fond
de ton trou à merde".
Ayant posé ses mains sur mon dos Max me besognait de toute la longueur de son
fantastique membre, chaque fois que le pénis érigé se plantait au tréfonds de mes entrailles je poussai un râle de bonheur.
Je ne sais pendant combien de temps mon amant me posséda de la sorte, ses
mouvements lents mais non moins virils qui m'éclataient un peu plus la pastille à chaque poussée me faisait monter de plus en plus dans le désir.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum en feu,
mes fesses étaient bouillantes et un plaisir intense prenait petit à petit possession de mon être enfiévré.
Sous les coups de boutoir redoublés que mon homme m'assénait je me sentais
sombrer un peu plus chaque fois dans le bien-être, j'avais l'anus complètement éclaté et je bramais sans arrêt.
Posant ses mains sur mes épaules Max se mit à me baiser avec violence, son
ventre musclé claquait contre mes miches brûlantes à me faire mal.
Chaque fois que mon mec plantait sa pine tuméfiée au fond de mon cul en fusion
je poussai des cris de volupté tendant ma croupe au maximum pour m'offrir encore plus.
Mon amant me besognait avec des 'HANS' de bûcherons, j'avais atteint la
plénitude rectale, pour moi seul comptait le Priape raide qui me forait les reins.
J'avais l'anneau entièrement dilaté et dans la pièce en dehors de mes
gémissements on entendait le bruit de succion que faisait mon trou de balle chaque fois qu'il avalait le Priape gorgé de sang.
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me possédait mais c'était si bon
que je ne voulais pas qu'il arrête, je ne vivais plus que pour et par le membre qui me défonçait m'ouvrant un peu plus la pastille à chaque assaut.
Max me pilonnait l'arrière-train en de violent coups de reins m'amenant au
septième ciel, j'étais tellement excité que je tremblait au moindre contact avec ma peau.
J'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l'extraordinaire
fade qui montait en moi, des boules de feu naissaient dans mon bas ventre pour venir exploser en mille couleurs sur mon visage.
Je n'étais plus que jouissance, de ma gorge ne sortait plus qu'un "Aaaaaahhh"
continu et je m'abandonnai totalement à celui qui m'enculait si bien.
A chaque fois que la hampe turgescente se fichait entre mes fesses je tendais
mon cul pour accentuer la pénétration, tout mon corps reposait maintenant sur les avants bras afin d'avoir le fion tendu le plus possible.
Max me baisait avec ardeur tout en me giflant les fesses et en me disant
"Alors salope, tu vois que tu prends ton pied, sens ma queue comme elle t'encule, ah tu aimes ça te faire défoncer morue, tiens prends ma grosses queue dans ton cul, je vais complètement te le
démolir ton fouinedé tu vas voir, je vais t'aléser comme jamais tu ne l'as été pute".
Les assauts de mon amant étaient tellement violents qu'à chaque poussée
j'avançai sur le lit, s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
J'avais perdu le sens des réalités, cette bite qui m'enfilait me rendait fou
et je mordais les draps pour ne pas hurler comme un dément tant le plaisir que je ressentais était grand.
Nos corps étaient couverts de sueur et Max semblait infatigable, il me baisait
toujours avec la même fougue, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à clamer toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.
Soudain un spasme vertigineux m'emporta, je hurlai à plein poumons, je tendis
ma croupe vers celui qui m'enfilait puis je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, j'étais allongé à plein sur le lit cuisses écartées et
Max me sodomisait toujours, ses mouvements étaient lents comme pour ne pas jouir.
Voyant que j'étais de nouveau éveillé mon amant me dit "Bienvenue au pays des
vivants, allez remets toi à quatre pattes ma petite salope et on recommence".
Encore abasourdi par le plaisir que je venais de prendre j'obéis, sans que nos
corps ne se disjoignent je pris la position demandé.
Aussitôt mon homme recommença à me posséder avec une violence inouïe de toute
la longueur de son fantastique sexe.
Le désir un instant retombé après ce que je venais de vivre se mit aussitôt à
renaître en moi et je recommençai à rouler des hanches en cadence, mon mec me dit "Ah salope, à peine revenu des vapes que déjà tu tournes ton cul sur ma bite, quelle putain tu es, une affamée de
la bite, ah tu en veux et bien tu vas en avoir salope, roulure".
Ces paroles m'aiguillonnèrent et la volupté s'empara de mon être
embrasé.
Les poussées que je recevais me faisaient avancer sur la couche, jamais Max ne
m'avait baisé de la sorte, c'était bestial mais ce que je ressentais était immense, je jouissais de tous les pores de la peau.
Chaque fois que le pal s'enfonçait au plus profond de mes entrailles dévastées
je sentais le plaisir monter d'un cran, j'avais le cul complètement éclaté et la pine roide de mon homme entrait dedans comme dans du beurre.
Sous les rudes assauts répétés je tombai la tête sur la couche et le cul en
l'air, mon mec me prit par les cuisses et continua à me posséder brutalité.
Je me dis que s'il continuait de la sorte il allait me déchirer mais ce que je
ressentais était tellement fort que je voulais que jamais il ne s'arrête et je commençai à pousser de lourds râles de félicité.
Sans que nos corps ne se disjoignent mon homme me fit tourner sur son membre
démesuré et me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia jusqu'à ce qu'elles touchent mon visage.
Dans cette position j'avais l'anus complètement ressorti et Max se remit à me
besogner de toute la longueur de sa bite turgescente.
Chaque fois que son pubis tapait contre mes fesses enflammées je poussai de
petits cris qui firent dire à mon mec "Ah salope tu aimes ça la baise, tiens prends donc ça dans ton cul pute, je vais te casser complètement le derche morue".
Tout à mon plaisir j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je
savourai l'intense volupté qui montait en moi avec fureur et je me mis à venir à la rencontre du phallus qui me forait pour accentuer la pénétration.
Max me pilonnait l'arrière train avec une frénésie incommensurable, chaque
fois que son pénis raide se plantait au plus profond de mon cul en ébullition je hurlais de bonheur.
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait, jamais je n'avais
ressenti un tel plaisir au cours d'une enculade, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum.
J'étais tel un pantin désarticulé sous mon amant, j'avais saisi mes jambes de
mes mains et les écartai le plus possible tout en me cambrant pour m'offrir au maximum à celui qui me montait.
Mon homme me dit "Quelle putain tu es, regarde moi ça comment tu m'ouvres ton
fion, vas-y écarte-toi bien que je démolisse ce trou du cul, ah salope, salope, cul à bite".
J'avais atteint la plénitude rectale, seul comptait pour moi cette fabuleuse
pine qui m'ouvrait un peu plus la corolle chaque fois qu'elle se fichait au tréfonds de mes entrailles.
J'avais perdu tout sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par cette
queue qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait le bruit de succion
que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait le superbe priape.
Je me tordais comme un damné sous les terribles coups de boutoir que je
recevais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.
A cet instant s'enfonçant en moi jusqu'à la garde, Max explosa en feulant, un
abondant flot de semence crémeux m'inonda le fondement me provoquant un spasme foudroyant.
Un orgasme dévastateur me balaya, mon corps s'arqua sous mon homme, je tendis
ma croupe vers le sexe qui coulait en moi pour augmenter la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats sombrant dans l'univers
cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon mec se lever et je restai yeux clos, cuisses écartées savourant
les dernières contractions de l'extase autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, Max était assis en face de moi et me regardait, son
pénis à demi flaccide reposait sur sa cuisses, il était maculé de sécrétions intimes, il me dit "Ca y est enfin parmi nous.
- Oui.
- Eh bien ma salope, on peut dire que tu aimes la bite, plus je te bourrais
plus tu en voulais.
- C'est comme ça, j'aime me faire baiser.
- Je m'en suis rendu compte.
- Tu sais que tu m'as bien fait jouir.
- Oui et ce n'est pas fini.
- Je l'espère mais tu sais que tu m'as fait mal.
- Et alors ça ne t'a pas empêché de prendre ton pied.
- Non c'est vrai mais tu ne m'avais jamais traité comme
ça.
- C'est vrai mais aujourd'hui j'ai envie de te traiter comme une grosse pute
que tu es et comme je viens de te le dire ça ne t'a pas empêché de prendre un bon fade. Tu ne crois pas que je n'ai pas vu comment tu écartais tes cuisses et comment tu tendais ton fion vers ma
bite.
- Tu as raison mais je ne comprends pourquoi tu es méchant avec
moi.
- Parce que tu es ma pute c'est tout et que j'ai envie de te traiter comme une
pute, maintenant si ça ne te plaît pas je peux partir.
- Noon.
- Quoi ?
- Reste je ferais ce que tu voudras, tu as raison je suis une pute, une salope
mais je t'en prie reste.
- Voilà qui est mieux.
- Fais-moi l'amour.
- D'abord tu vas me laver la bite.
- D'accord viens allons dans la salle de bains.
- AH AH AH ! ! Comment ça la salle de bains, tu vas me laver la bite avec ce
qui te sert de langue.
- Mais...
- Tu as bien dit que tu ferais tout ce que je voudrais
?
- Oui mais...
- Il n'y a pas de mais, je veux que tu me lave la bite avec la langue et tu
vas le faire morue.
- Oui je vais le faire.
- Tu vois quand tu obéis c'est mieux".
Je me rendais bien compte que mon mec m'humiliait et qu'en acceptant de faire
ce qu'il voulait je m'avilissais, que je me comportais comme une véritable putain mais j'aimais tellement cette bite que j'aurais fait n'importe quoi.
Maîtrisant mon écœurement je me levai du lit et vins m'agenouiller devant Max,
celui-ci me dit "C'est bien ma salope, allez rends tout propre mon gros sucre d'orge".
L'odeur que dégageait la hampe de mon amant était pestilentielle et je ne pus
réprimer un haut le cœur mais rassemblant tout mon courage je pris le sexe dans ma main et commençai à le caresser doucement.
La verge réagit aussitôt et se redressa, bloquant ma respiration j'ouvris la
bouche et descendis sur le pénis sale.
Après quelques mouvements de mes lèvres la virilité de mon mec était de
nouveau propre et avait retrouvé sa taille maximale.
Mon homme me repoussa et me dit "Bien ma petite salope, tu as bien fait ton
travail.
- Mais.
- Non je ne veux pas que tu me suces, ce que je veux c'est ton trou du
cul.
- D'accord mais est-ce que je peux aller me laver la
bouche.
- AH AH AH ! ! Pourquoi veux-tu te laver la bouche ?
- Parce qu'elle pue.
- Mais elle pue ton cul c'est tout.
- Oui mais...
- Allez assez discuté mets toi à quatre pattes le cul en position que je te
tringle.
-…
- Je me fous que ta bouche pue, je n'ai pas l'intention de te rouler une
pelle, allez en position".
D'une bourrade Max me projeta sur le lit, je tombai à plat ventre, mon amant
me saisit sous le ventre et me souleva, il replia mes jambes sous moi de telle sorte que je me retrouvais à genoux le visage dans les draps et le cul tendu.
Mon mec écarta mes jambes et dit "Voilà ma petite morue, là tu es comme je le
veux, le cul offert prêt à recevoir ma grosse banane".
Mon homme se hissa sur le matelas, il s'agenouilla derrière moi et se mit à me
fesser de sa pine raide.
Au bout de quelques instants ce fut sa main qui remplaça sa verge, la claque
fut forte et je poussai un petit cri de douleur qui fit rire mon mec qui me dit "Allons salope, une petite fessée n'a jamais fait de mal à personne, tu vas voir après tu jouiras encore plus sous
mes coups de bite".
Pendant plusieurs minutes une pluie de coups tomba sur mes fesses et quand mon
tourmenteur arrêta je pleurais à chaudes larmes et j'avais l'impression qu'on m'avait brûlé le fessier.
Max me dit "Allez arrête de chialer salope, tu as eu ta raclée, ça t'apprendra
à ne pas m'obéir au doigt et à l'œil, mais c'est marrant si tu voyais ton cul il est tout rouge, on dirait une tomate bien mure".
Mon amant promena son phallus le long de ma raie puis d'un brutal coup de
reins me pénétra jusqu'à la garde, bien que je sois bien ouvert par nos étreintes précédentes je ne pus m'empêcher de pousser un cri de douleur qui fit rire mon homme qui me dit "Tu as mal à ton
petit cul ma pute, ne t'inquiète
pas après tu vas jouir salope".
Posant ses mains sur mes hanches mon mec se mit à me besogner avec une
violence inouïe m'arrachant à chaque passage des couinements.
Au bout de quelques instants de ce traitement la douleur fit place à une douce
langueur et je recommençai à pousser de profonds soupir de félicité.
Max me mit une claque sur la fesse droite et me dit "Alors tu vois salope que
tu aimes te faire mettre HARD, ton cul accepte tout tu es vraiment la reine des morues. Tiens ma pute prend ça dans ton cul".
Les paroles de mon amant m'excitaient encore plus et je tendais mon prose au
maximum pour accentuer la pénétration.
Mon homme me pilonnait l'arrière en de virils coups de boutoir qui me
faisaient avancer sur le lit chaque fois que le splendide phallus s'enfonçait au plus profond de moi.
J'avais complètement basculé dans l'univers du plaisir, seul pour moi comptait
ce magnifique membre qui me forait les reins m'ouvrant encore plus l'anus à chaque plongée dans mon fondement en feu.
Mon mec avait les mains crispées dans la chair tendre de mes hanches et me
possédait vigoureusement.
Je hurlai maintenant sans discontinuer sous les assauts répétés que je
subissais, j'avais fermé les yeux me laissant emporter par la lame de fond que je sentais naître dans mon bas ventre.
Dans la pièce, en dehors de mes cris, on entendait le bruit de succion que
faisait mon sphincter chaque fois qu'il avalait la bite raide qui me fourrait.
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait mais c'était si bon
que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Afin de m'enculer encore plus fort mon amant avait posé ses mains sur mes
épaules et m'attirait à lui à chaque violent coups de reins qu'il m'assénait J'avais perdu totalement le sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par le sexe qui me limait la rondelle et
je me mis à rouler des hanches en cadence tout en me cambrant le plus possible.
Longtemps mon mec m'enfila de la sorte, son ventre musclé tapait contre mon
fessier porté au rouge tout en ponctuant ses ruades d'un "HAN" de bûcheron.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant mon
bonheur.
C'est à cet instant que plongeant sa pine turgescente au fond de mon cul
dévasté mon homme éjacula en râlant, ses abondants jets de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme foudroyant, mon corps se tendit comme un arc, de ma
gorge pulsa un hurlement strident puis je tombai lourdement à plat ventre sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me montait.
Je sentis Max se lever et je restai allongé cuisses écartées savourant le
merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je refis surface je me mis sur le côté et vis mon amant sortir de la
salle bains, il me sourit et me dit "Alors salope tu es de retour parmi nous ?
- Oui.
- Bien, j'espère que tu as aimé.
- Oh oui j'ai superbement joui.
- Je m'en suis rendu compte, tu tortillais du cul comme une affamée et tu
tendais ton fion tellement que je croyais que tu voulais une pine d'éléphant.
- c'est vrai je crois que j'avais complètement pété les
plombs.
- Ca tu peux le dire ma petite pute, tu vois que ce n'était pas la peine de
chialer quand je t'ai un peu dérouillée car après tu as pris un pied d'enfer.
- C'est vrai.
- Tu sais, tu es faite pour la baise mais pas la baise pépère et je peux te
dire que plus jamais je ne te baiserais pépère, à partir de maintenant ce sera toujours HARD. Ton cul accepte tout, on peut tout lui faire et je vais tout lui faire.
- Mais…
- Il n'y a pas de mais, tu es une salope, que dis-je une sale pute, la seule
chose qui compte pour toi c'est d'en prendre plein ton cul et même si au début tu gueules comme une truie qu'on égorge après tu brailles comme une grosse pute en chaleur, d'ailleurs tu le dis
toi-même quand tu hurles ton fade que tu es une grosse pute à bourrer. A partir de maintenant je vais te traiter comme ce que tu es c'est à dire une pétasse à défoncer.
- Tu es méchant.
- Non, pouffiasse c'est toi qui es comme ça, on ne te fait pas l'amour, on te
baise comme une grosse morue que tu es c'est tout.
- N'importe comment du moment que je jouis.
- Tu vois pute, tu ne penses qu'à te prendre une grosse queue dans ton fion
pour reluire.
- C'est vrai.
- Alors fous-toi à quatre pattes que je t'en remette un bon coup dans ton
derche à bite".
Cet après midi là Max me prit encore deux fois de manière brutale mais me
faisant jouir superbement.
Quand il m'abandonna j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, j'avais le
cul complètement défoncé, j'étais rompu de fatigue mais j'étais comblé.
Longtemps après le départ de mon amant je pensais à ce qu'il avait dit et j'en
vins à la conclusion qu'il avait raison, la seule chose qui comptait pour moi était de me faire baiser, peu importe comment et à la limite par qui du moment que je jouisse.
à suivre
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