Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 11:24

Dav nous a transmis ce récit "confession" 

espérons que vous y prendrez autant de plaisir que nous 

n'hésitez pas, si vous sentez que vous correspondez à ce qu'il cherche, 

et souhaitez en prendre plein le cul, 

à nous faire connaître votre profil, nous transmettrons à Dav.

 

 

Moi c'est David. Appelez-moi Dav si ça vous plaît. L'un de mes meilleurs souvenirs de pieu restera celui de Julien. C'est un gars des milieux chics. Quand je vais chez lui, je vois bien que tout nous sépare, à commencer par le fric, le boulot, le logement. Pour ma part, je me contente du "juste assez" et j'attache du prix à ma liberté. Surtout sexuelle. Je suis homme à me foutre du fric qu'enjgrange Julien et je vais pas vous décrire sa piaule, sa bagnole... Quoique je sais bien que, dans ma tronche, baiser de bons petits bobos comme lui ça me fait jouir au-delà de ce que mes sens me permettraient. Il y a de la lutte des classes dans ce genre de relation que je recherche tout le temps et j'aime lever ce genre de trentenaire friqué qui, le lendemain de la baise, va diriger un service important dans une entrerprise ou un commerce et jouer les "dictateurs" du personnel. Mais moi c'est pas mon problème : si les subalternes de Julien avaient su, ils se seraient foutus de sa gueule !  les mecs comme Julien c'est de la chair fraîche pour l'ogre. Et l'ogre c'est moi, lol !

Il n'y a jamais eu de préambule ni d'alcool pour se mettre en train. Avec lui, quand on commençait à baiser on savait que ça durerait des heures et que nous ne nous séparerions pas avant de nous être complètement vidé les couilles, tous les deux. C'était hot, c'était hard entre nous ; de la bonne défonce virile avec des tendances s-m qui flirtaient, parfois, avec des pratiques un peu crad. Uro, odeurs de queue, slip foutreux et pisseux… Julien voulait du vrai mâle, des rapports musclés, du vice d'homme et une bonne prise en main pour faire de lui une bonne salope à tout faire. Je crois y avoir réussi… Et ce salaud avait l'art de me faire bander encore, quelques minutes après m'avoir fait juter. Il aimait la bite, c'était sûr ! Je me souviens encore de sa voix gémissante chaque fois que je lui fourrais ma belle tige dans le fion et lui qui me suppliait : " Oui, encore ! Eclate-moi le cul, Dav ! ". Et moi, je lui promettais de transformer sa rondelle en garage à bites capable de recevoir les plus gros calibres. Je le travaillais avec des gods énormes. Je ne suis pas branché fist mais par contre, je m'amusais à l'enculer avec des concombres, des bananes ou des aubergines. 


Quand j'ai rencontré Julien, il était pratiquement puceau. Quelques pipes, deux ou trois coups de pine entre les fesses, rien de plus. Il avait juste 30 ans, j'en avais 41. Nous nous sommes croisés sur un réseau téléphonique. Il recherchait un mec mur et expérimenté, 100% actif et bien monté. J'avais une bite épaisse de 19 sur 6 à lui proposer, ainsi qu'un corps velu, 1 mètre 80 pour 83 kilos et de belles burnes poilues à purger. Lui, il s'était décrit comme châtain, imberbe, petit sexe fin mais très beau cul. Le temps de régler quelques derniers détails et je lui refilais mon adresse. J'étais à poil chez moi et je n'ai même pas passé de slip quand j'ai entendu sonner. Je suis allé ouvrir avec la queue à moitié raide entre mes cuisses. Là, j'ai découvert un drôle de petit minet, mignon mais rouge jusqu'aux oreilles, terriblement anxieux et intimidé. Il fuyait mon regard et sur le coup, j'ai pensé qu'avec ce mec coincé, ma soirée allait être gâchée. Mais bon ! Il était là… J'avoue que lorsque je l'ai vu à poil, avec ses jolies petites fesses rondes et sa trique, raide comme un piquet, je me suis fait une autre opinion de lui. Encore plus quand il m'a dit : 

- Je n'ai pas beaucoup d'expérience mais j'aimerais que tu m'apprennes. 

Finalement, avec ses airs de pucelle effarouchée, il s'est mis à drôlement m'exciter. Il voulait apprendre, j'allais tout lui montrer… Ce fut d'abord de bien s'occuper d'une tige en la branlant et en la suçant. Ca me faisait bander à mort de guider ses doigts et sa bouche sur ma bite, de lui dire comment palucher mes couilles et mon zob tout en pompant mon gland. Installé sur mon canapé, les cuisses très écartées et lui, à genoux devant moi, je lui apprenais tout de l'art d'un bon pompage. J'ordonnais et il obéissait en cherchant à s'appliquer de son mieux. Au bout d'un moment, je lui ai dit qu'une bonne salope devait savoir aussi bouffer un cul. Je me suis placé à genoux sur le canapé, le corps en appui sur le dossier et je lui ai écarté mes fesses en les empoignant : 

- Suce ! Lèche ! Encule-moi avec ta langue ! 

Ma petite pute docile s'est révélée être un élève doué et motivé, un apprenti docile et très désireux de se perfectionner. En fait, j'ai compris qu'il aimait qu'on lui parle en le baisant, qu'on le dirige, qu'on lui donne des ordres. Je ne m'en suis pas privé, l'obligeant à bien me fouiller le cul jusqu'à ce que, excité par sa soumission, je décide de le troncher. Il y a une position que j'affectionne, c'est de placer mes partenaires à cheval sur les accoudoirs de mon fauteuil club. Le cul est bien cambré, bien offert, la raie s'ouvre d'elle-même et l'œillet est juste à la bonne hauteur pour que ma bite puisse le défoncer. Je lui ai d'abord léché le cul avant de le travailler avec mes doigts. En même temps, j'obligeais Julien à répéter des phrases après moi. Je voulais l'entendre dire qu'il avait le feu au cul, qu'il voulait se faire niquer comme une chienne, que son trou avait besoin d'une bonne queue… J'ai préféré le lubrifier avec une crème avant de l'empaler. Une fois sa rosette bien graissée, je l'ai emmanché et je l'ai enculé à fond, le tenant par les hanches et la tête penchée pour regarder son cul grand ouvert avaler mon dard. Julien se tordait de plaisir et gémissait à chaque coup de reins. Son trou a fini par bien se dilater et j'ai pu le pistonner plus violemment. Je n'arrêtais pas de l'insulter, de lui lancer des choses comme : 

- T'aimerais, hein salope, avoir une autre bite dans la bouche pendant que je te bourre le cul ! 

Je l'ai prévenu quand j'ai senti que je n'allais plus tarder à cracher mon jus. -" tu peux y aller Dav, remplis-moi de ton jus". En même temps, Julien a empoigné sa petite queue et au moment où je déchargeais, il jouissait avec moi. A chaque spasme de son orgasme, les muscles de son trou se contractaient sur ma queue. Quand je me suis retiré, l'orifice était rouge et encore bien détendu. J'adore mater le fion élargi d'un mec que je viens de sauter. Très souvent, cela me donne encore envie de le baiser. Mais avant de le faire, j'ai exigé que Julien lèche son sperme qui avait giclé sur mon fauteuil. Je l'ai vu sortir sa langue et nettoyer consciencieusement les traînées de foutre blanc et épais. Puis, je lui ai glissé ma tige entre les lèvres…


Deux soirs plus tard, je revoyais Julien. Cette fois, il était beaucoup moins intimidé quand je lui ai ouvert ma porte. C'est lui qui m'a dit : 

- Si tu veux, tu peux te montrer encore plus vicieux avec moi que l'autre jour. 

C'est à partir de là qu'à commencer son " dressage ". La première idée qui m'est venue a été de lui raser le trou du cul. Il s'est laissé faire, en levrette sur mon lit en me tenant ses fesses bien ouvertes. Je me suis amusé à passer le blaireau dans sa raie et à bien l'enduire de savon à barbe avant de raser ses poils, en plus, je luis ai enfoncé le bâton de savon à barbe dans le fion. Au bout d'un moment : -"putain, ce savon ça brûle, ça me fait drôle..."  Pas étonnant, c'est l'effet du menthol. Durant toute l'opération, la queue de Julien est restée plaquée sur son ventre tellement il bandait. A présent, j'avais bien cerné mon jeune minet et je savais ce qu'il attendait de moi aussi, je n'ai pas hésité à l'attacher sur mon lit et à le fesser avant de le baiser.


Nous nous sommes encore revus. Julien ne disait rien de ses envies, moi seul devait lui imposer les miennes. J'ai commencé à l'enculer avec tout ce qui me tombait sur la main : godes, légumes, objets divers. Il ne restait plus une heure ou deux chez moi mais il y passait la nuit entière. De temps en temps, nous allions aussi chez lui. Il m'arrivait, par exemple, de lui passer un coup de fil et lui ordonner de m'attendre, déjà à poil et à quatre pattes sur le lit, prêt à se faire tirer comme une pute ! J'arrivais et je trouvais Julien dans la position que je lui avais imposée. Cela a duré un peu plus de trois mois. Trois mois que je n'oublierai jamais, mais on cherchait du nouveau chacun de notre côté et notre histoire s'est arrêtée. 

Je serais pas étonné qu'il m'appelle un de ces soirs pour partager un partenaire, qu'il soit actif ou passif. Nom de nom, si ça se présente ce sera une belle fiesta ! 

Pour ma chasse au bobo ça marche toujours moyen. Ce serait plutôt une partie de pêche et il faut que le poisson s'accroche. Je rejette à l'eau les goujons et les ablettes qui ne font pas la maille. Difficile d'afficher ma vraie recherche dans mes annonces dans les sites de rencontre. 

A vous de voir si vous pensez satisfaire à mon casting, écrivez un mail et votre description au webmaster de ce site qui transmettra. Ciao ! 

Dav.

 

 

Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 14:44

A ma connaissance et en dépit de mes recherches, ce jeune dont je m'empresse de dire que je ne cherche pas à connaître son orientation sexuelle : ça n'a rien à voir.

En Arabie saoudite, on ne blogue pas avec le Prophète

de Jeune Afrique fev 2012

Hamza Kashgari risque la peine de mort pour apostasie. 

Arabie Saoudite : la peine de mort pour avoir twitté ? Le journaliste saoudien Hamza Kashgari pourrait payer très cher de s’être adressé directement au Prophète sur Twitter. Jugés blasphématoires, ses tweets du 4 février 2012 ont déclenché l’ire de milliers de musulmans, le contraignant à fuir son pays. Arrêté en Malaisie, le jeune homme de 23 ans a été extradé à Riyad où il risque aujourd’hui la peine capitale.

Il s’était enfui pour échapper à la mort. Mais elle semble l’avoir rattrapé. Hamza Kashgari est en passe d’être jugé en Arabie Saoudite pour des propos jugés blasphématoires à l’encontre du prophète Mahomet publiés sur Twitter. Son crime, selon le comité saoudien des fatwas, plus connecté qu’il n’y paraît : l’apostasie. Pour avoir « renier sa foi publiquement », le jeune homme de 23 ans encourt la peine de mort.

"Le peuple saoudien réclame l'exécution de Hamza Kashgari"

Le 4 février, jour anniversaire de la naissance du prophète, Hamza Kashgari, qui travaille pour un quotidien local de Jeddah, publie sur Twitter un message adressé à Mahomet. « Au jour de ton anniversaire, je ne m'inclinerai pas devant toi »,

 

Accusé d'apostasie pour avoir apostrophé le messager de l'islam via Twitter, Hamza Kashgari, un jeune journaliste saoudien encourt la peine capitale.

Le twitt "criminel" : 

 

« Pour ton anniversaire, je dirai que j'ai aimé le rebelle en toi, que tu as toujours été une source d'inspiration pour moi et que je n'aime pas les halos de divinité qui t'entourent. Je ne prierai pas pour toi. Pour ton anniversaire, je ne me tournerai pas vers toi. J'ai aimé certaines choses en toi, mais j'en ai abhorré d'autres, et je n'ai pas compris beaucoup de choses à ton sujet. Pour ton anniversaire, je ne m'inclinerai pas devant toi. Je n'embrasserai pas ta main. À la place, je la serrerai comme le font les êtres égaux et je te sourirai comme tu me souriras. Je te parlerai comme à un ami, rien de plus. »

Le 4 février, date du Mouled (anniversaire de la naissance du Prophète Mohammed), ce sont ces tweets que le Saoudien Hamza Kashgari, 23 ans, journaliste au quotidien Al-Bilad, à Djeddah, a adressés au messager de l'islam. Une crise de foi qui a suscité un véritable tollé sur la Toile. En une journée, il a reçu plus de 30 000 commentaires, la plupart l'accusant de blasphème ou appelant à sa mort. Il a eu beau supprimer ses tweets, présenter des excuses et revenir en arrière dans de longs propos contrits, rien n'y a fait. Un comité de religieux a émis une fatwa contre lui. L'influent cheikh Nasser al-Omar a demandé qu'il soit traîné devant la justice pour apostasie. Selon le journal saoudien en ligne SABQ, le roi lui-même aurait émis un mandat d'arrêt contre lui.

La polémique enfle sur la toile

Dans le collimateur des ultraconservateurs, Hamza Kashgari était en route pour la Nouvelle-Zélande, où il avait l'intention de demander l'asile politique, quand il a été arrêté, le 9 février, lors d'une escale à Kuala Lumpur. Bien qu'il n'existe pas de traité formel d'extradition entre la Malaisie et l'Arabie saoudite, les autorités malaisiennes, soulignant les excellentes relations bilatérales, ont annoncé dans un communiqué du ministère de l'Intérieur que « la Malaisie extrade tous les ressortissants recherchés dans leur pays ».

Sur la Toile, la polémique a enflé et pris d'énormes proportions. D'un côté, les adversaires du journaliste, qui ont notamment lancé un groupe Facebook réclamant son exécution et réunissant déjà plus de 21 000 membres. De l'autre, ses partisans, qui font circuler une pétition appelant à sa libération, déjà signée par 4 000 personnes. Arrivé à Riyad le 12 février, Hamza Kashgari a été placé en détention. Il encourt la peine de mort.A notre connaissance il n'a ni été jugé ni condamné par un tribunal, il est en prison.

Par claudio - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 14:32

 

Que ce soit dans les vestiaires ou en chambre, les sportifs mettent dans le sexe toute la vigueur et la détermination nécessaires.

La totale ici ! mais sages ils se protègent.

 

 

Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 14:21

...mêler homosexualité et pédophilie...voire, en France, y mêler aussi la polygamie ! 

Moscou: des militants homos agressés lors d'un kiss-in contre l'homophobie Une vingtaine de personnes s'étaient aujourd'hui réunis devant la Douma pour protester contre l'examen d'un projet de loi fédérale homophobe. Ils ont aussitôt été passés à tabac.

Alors qu'ils menaient une action de protestation en s'embrassant devant la Douma pour dénoncer le prochain examen d'une loi jugée homophobe, des militants défenseurs des LGBT ont été agressés. Environ vingt personnes s’étaient en effet réunis pour s'embrasser devant la chambre basse du Parlement, dans le centre de Moscou, où ils ont aussitôt été attaqués par une quinzaine d'opposants qui les ont passés à tabac et ont jeté du ketchup et des œufs sur eux.

Les agresseurs n’ont pas hésité à rouer de coups des militants, jusqu'au sang pour certains (photo), et ont également frappé des journalistes qui couvraient l'action. Au moins cinq assaillants auraient été interpellés par la police, a déclaré sur Twitter Elena Kostioutchenko, l'une des organisatrices de l'action. Aucun homosexuel n'a, a contrario, été interpellé selon elle.

«Le jour des baisers»
Les militants tentaient de dénoncer l'examen d'un projet de loi fédérale qui punit les auteurs de tout «acte public» faisant la promotion tant de l'homosexualité que de la pédophilie auprès de mineurs.

Cette loi, qui prévoit des amendes allant jusqu'à 500.000 roubles (12.500 euros), est déjà entrée en vigueur dans plusieurs régions russes, notamment dans la deuxième ville de Russie, Saint-Pétersbourg. Si ce nouveau projet de loi était entériné, la mesure concernerait alors le pays entier.

Examen du texte reporté
«Ce régime illégitime veut rendre la communauté gay invisible. Cela ne marchera pas. Nous nous embrasserons quand nous voulons, où nous voulons, et avec qui nous voulons», ont indiqué sur Facebook les organisateurs de l'action. La Douma devait dès aujourd’hui examiner le projet de loi, mais cela a finalement été reporté, a rapporté l'agence de presse Ria Novosti.

Les militants LGBT sont très mal vus en Russie. L'homosexualité y était considérée comme un crime jusqu'en 1993, et comme une maladie mentale jusqu'en 1999, bien après la chute du régime soviétique en 1991. Depuis 2006, les tentatives de gay pride sont régulièrement interdites par les autorités et dispersées sans ménagement.

Photo: un militant passé à tabac aujourd'hui à Moscou/AFP.


Par claudio - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 10:44

 

hummmmh  de la baise des décices du cul de la bite et de l'amitié sensuelle

 

Pendant les deux mois qui suivirent je retrouvais Max deux fois par semaine, une fois au gymnase et une fois à l'appartement. 
Aussi étrange que cela vous paraisse, au gymnase mon amant était toujours doux et plein de prévenance tandis qu'à l'appartement il était odieux et me prenait toujours avec sauvagerie. 
Chaque séance me laissait chaque fois plus meurtri mais cette expérience me plaisait et j'en redemandais. 
Ce jour là alors que Max venait de partir, j'étais encore allongé sur le coussin cuisses écartées quand j'entendis la porte du gymnase s'ouvrir. 
Croyant que Max avait oublié quelque chose je dis "C'est toi amour ? "
Mais ce n'était pas Max, les personnes qui venaient d'entrer étaient les deux élèves à qui j'avais fait quelques misères au handball. 
Celui qui s'appelait Patrick dit à celui qui s'appelait Marc "Tu vois ce que je vois ? 
- Oui on dirait que le prof s'amuse bien". 
Je voulus me lever en leur disant "Ce n'est pas ce que vous croyez". 
Patrick fut plus prompt que moi, il me maintint sur le coussin tout en glissant un doigt entre mes fesses puis il me dit goguenard "Nous on croit rien on voit simplement que tu as le cul défoncé et plein de jute et ne me dis pas que ça vient de ta bite on voit bien qu'elle est toute sèche. Qu'en penses-tu Marc ? 
- Comme toi Patrick je vois une salope qui vient de se faire mettre une grosse bite dans son cul de pute. 
- Ca alors je n'aurais jamais cru que tu sois une salope de pédé et toi Marc ?
- Moi non plus mais il faut nous rendre à l'évidence, notre grand sportif est aussi un trou à bite. 
- Est ce que tu crois que cette charmante petite demoiselle consentirait à nous soulager les couilles. 
- Je ne sais pas, nous ne sommes peut-être pas assez bien pour elle, elle préfère donner son cul au prof. 
- Vous n'êtes pas marrants, c'est ridicule. 
- Comment ça ridicule ?  salope! ce n'est que la vérité, on a vu le prof sortir d'ici, on est rentré et on te trouve à poil le cul plein de jute, je ne vois pas ce qui est ridicule de dire que tu donnes ton oignon au prof. 
- Et sa bouche aussi, regarde Patrick elle a de la jute sur les lèvres. 
- Tu as raison, je n'avais pas vu, en plus c'est une pompeuse. 
- Quelle salope 
- Tu as raison. 
- Mais tu sais pour répondre à ta question pourquoi lui demander de nous soulager, il n'y a rien à demander, il n'y a qu'à se servir...

RECONCILIATION 
- Arrêtez, ce n'est pas la peine de prendre les choses comme ça, c'est vrai que je baise avec le prof mais je ne suis pas sa propriété, je peux aussi baiser avec d'autres et pour cela ce n'est pas la peine de vouloir employer la force. 
- Tu veux dire que tu acceptes qu'on te baise ? 
- Non ce que je veux dire c'est que si vous voulez j'accepte de baiser avec vous, de vous offrir mon cul et ma bouche, vous savez j'adore la baise alors je ne vois pas pourquoi je vous refuserais ce que j'accorde à Max. 
- Ça alors !!! 
- Alors vous voulez baiser oui ou non. 
-… 
- Vous vous décidez ou je m'en vais. 
- Non attends, qu'en penses-tu Marc ? 
- Je pense qu'on a une excellente occasion de tirer un coup et qu'il ne faut pas la rater. 
- Si vous en êtes capable, vous pourrez tirer plusieurs coups. 
- Salope. 
- Oui je suis une salope et croyez moi vous ne serez pas déçus de moi, je suis une vraie chatte en chaleur quand je baise.
- Super. 
- Bien pendant que vous vous déshabillez je vais aller prendre une douche, je crois que vous souhaitez que je sois propre plutôt que rempli du foutre de Max. (1)
- Oui va te laver". 
J'allai sous la douche et entrepris de rendre à mon corps une propreté toute suédoise. 
Quand je revins dans le gymnase Patrick et Marc étaient nus et se masturbaient, les deux gars avaient des sexes nettement au-dessus de la moyenne, bien plus imposants que celui de Max, celui de Marc était plus gros que celui de Patrick et était circoncis, celui de Patrick était plus long et devait atteindre les vingt centimètres. 
Quand ils me virent Marc me demanda "Qu'en penses-tu ? 
- Vous avez tous les deux de très belles bites, j'ai hâte de m'en servir. 
- AH AH AH ! ! 
- Comment voulez-vous qu'on fasse ? 
- Que veux-tu dire ? 
- Vous ne pouvez pas me baiser tous les deux en même temps et ça m'étonnerait que l'un d'entre vous attende que l'autre ait fini. 
- ça tu as raison. 
- Donc je pense que pendant que l'un de vous me baisera je sucerai l'autre. 
- Génial. 
- La seule chose que je demande c'est que celui qui m'aura baisé aille se laver la queue avant de me la donner à sucer.(1)
- Bien sûr. 
- Bon je vais me mettre à quatre pattes comme ça je pourrais donner mon cul à l'un et ma bouche à l'autre. 
- Oui dépêche toi de te mettre en position, on a très envie".
Je montai sur les coussins et me mis à quatre pattes, cambré et cuisses écartées, me voyant prendre cette pose Patrick dit à son copain "Regarde ça mon pote comment elle se met, regarde comment elle nous offre son cul. 
- Oui je vois, lequel prend son cul en premier ? 
- Je ne sais pas, comme tu veux. 
- Vous vous décidez, je suis déjà en feu. 
- Vas-y le premier Patrick, moi je vais me faire sucer. 
- D'accord". 
Patrick s'agenouilla derrière moi, il promena son phallus érigé dans la raie de mes fesses, ce qui me fit frémir puis positionnant son gland turgescent contre mon anus il me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins. 
Bien que je sois encore ouvert après l'étreinte avec Max je poussai un petit cri de douleur, Patrick me demanda "Je t'ai fait mal ?" 
- Ce n'est rien mais on ne peut pas dire que tu y aies mis beaucoup de douceur. 
- Excuse-moi. 
- Ce n'est pas grave, maintenant lime, fais-moi du bien".
Posant ses mains sur mes hanches mon amant commença à aller et venir en moi, je fermai les yeux me laissant emporter dans le tourbillon du plaisir. 
Je fus rappelé à la réalité quand je sentis quelque chose de dur et doux contre mes lèvres, j'ouvris les yeux et vis la verge de Marc, j'ouvris tout grand la bouche et l'homme enfonça son membre raide entre mes lèvres, enroulant ma langue autour de la colonne de chair chaude et en la mordillant je commençais une lente fellation sur la pine violacée. 
C'était la première fois que je vivais une telle expérience, jamais je n'avais eu une queue dans mon cul et une autre dans ma bouche. 
Sentir ces deux membres bouger en moi m'excitait au plus haut point et tout à mon plaisir je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon postérieur vers le pénis qui me possédait et en comprimant et relâchant mon sphincter. 
J'avais pris Marc par les cuisses et suçais avec avidité son Priape gorgé de sang. 
Patrick me besognait de toute la longueur de sa hampe érigée, son ventre plat claquait contre mon fessier bouillant tandis que Marc ayant posé ses mains sur ma tête rythmait la cadence à laquelle il voulait que je le pompe. 
Dans le brouillard où je me trouvais j'entendis la voix de Marc qui disait "Qu'est-ce qu'elle suce bien, sa bouche est un vrai trésor, jamais une gonzesse ne m'a pipé comme elle, elle me lèche, me mordille, c'est divin, quelle salope !" (2)
- Et tu verras son cul est tout simplement génial, c'est aussi bien qu'une chatte sans compter qu'elle sait baiser, regarde comment elle remue du cul et comment elle tend bien ses fesses pour que je l'enfile et en plus j'ai l'impression qu'elle me trait la pine. Ah on a eu raison de venir. 
- ça tu peux le dire et en plus on voit qu'elle aussi prend son pied, regarde comme elle met de l'amour à me sucer le dard. 
- Tu as raison, on est tombé sur une sacrée salope. 
- Une vraie pute tu veux dire. 
- Oh oui et je ne suis pas loin de lâcher la purée. 
- Moi non plus". 
Tout en arrêtant les mouvements de mon anus je me mis à sucer la verge de Marc plus vigoureusement, au bout de quelques instants de ce traitement, le sexe commença à tressauter, il me sembla que le gland doublait de volume et le mec plaquant mon visage contre son pubis explosa en râlant. 
Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j'avalai avec délice tout en cajolant de la langue la hampe qui continuait à couler dans ma bouche. 
Quand Marc se retira il dit à Patrick qui me sodomisait toujours aussi lentement "Ah la salope, quelle pipe elle m'a faite, j'ai cru que ma bite allait exploser tellement c'était bon". 
Libéré de la présence de Marc je rejetais la tête en arrière et les yeux clos je me laissais aller à une véritable extase. J'avais lâché prise.

SHOOTE PAR MES POTES . 

 
Les coups de boutoir répétés de Patrick me faisaient monter au septième ciel, je me cambrai au maximum pour m'offrir totalement au mâle qui me prenait tout en venant à sa rencontre pour accentuer la pénétration.
J'avais le cul complètement éclaté, chaque fois que le phallus roide s'enfonçait au fond de mon être en feu je montais un peu plus dans l'univers du plaisir. 
Mon mec me pilonnait maintenant l'arrière train avec vigueur, le pénis érigé sortait presque entièrement de mon canal pour replonger entièrement la seconde suivante.  Je ne sais pas si vous faites ça, vous, cher lecteur, mais c'est plus que génial. 
Sous les rudes assauts répétés que je subissais je poussais de lourds râles de félicité. 
Je sombrai peu à peu dans le plaisir psychedélique  ne vivant plus que par le membre qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus l'anus à chaque poussée. 
Tout à mon bonheur j'entendis Marc dire à Patrick "Tu as l'air de bien t'amuser. 
- Oh oui tu verras tout à l'heure, ce cul est fantastique et cette salope est nettement mieux que les petites putes qu'on baise d'habitude, c'est la reine de baiseuses, regarde-la remuer son cul et gueuler et si tu savais comment elle me masse la bite, c'est dingue, c'est une vraie morue".(2) 
Les coups de reins que mon mec m'assénait me firent perdre toute retenue, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum enflammé. 
Tout en moi n'était que volupté, seule comptait pour moi la superbe queue qui me ramonait le prose, je reposai maintenant sur les avants bras, le derrière en l'air totalement offert. 
Je ne savais plus depuis combien de temps Patrick me sodomisait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment et perdant toute retenue je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon tunnel Patrick éjacula en feulant, son flot de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un spasme foudroyant, je tendis mon cul vers celui qui me montait pour accentuer la pénétration et un hurlement strident jaillit de ma gorge puis je m'écroulai à plat ventre sur les coussins entraînant mon amant dans ma chute. 
Je sentis Patrick se retirer lentement et je restai allongé yeux clos et cuisses ouvertes me délectant du merveilleux moment qui venait de se passer. 
Dans la brume où je flottais j'entendis la voix de Patrick qui disait "Bon je vais aller me laver la bite avant de lui donner à sucer, vas-y Marc n'attends pas baise-la. 
- Oh non je ne vais pas attendre car à force de te regarder la mettre je croyais devenir fou, j'ai mal à la bite tellement je bande. 
- Alors vas-y, mets-lui au fond du cul, n'importe comment elle n'attend que ça". 
Marc me retourna sur le dos, il prit mes jambes dans une de ses mains et les releva puis il s'allongea sur moi, de son autre main il guida son phallus gonflé de sève à l'entrée de mon anneau puis, d'un violent coup de reins, m'enfessa jusqu'à la garde.
Le sexe de mon amant plus gros que celui de Patrick entra en moi comme dans du beurre, je me sentais rempli comme jamais je ne l'avais été, j'ouvris les yeux, souris à Marc et lui dis "vas-y fais-moi du bien. 
- T'inquiète pas ma salope tu vas en avoir du bien". 
Posant mes chevilles sur ses épaules et prenant appui sur ses avant-bras Marc commença à aller et venir lentement en moi. 
Je fermai les yeux et me laissai de nouveau emporter vers le plaisir. 
Au bout de quelques instants j'entendis Patrick dire "Ca y est j'ai le zob tout propre. Alors que penses-tu de notre petite femelle ? 
- Son cul est super chaud et accueillant, je sens que je vais longtemps baiser cette salope et qu'elle va me donner un fade du tonnerre. 
- Et tu vas voir le pied aussi qu'elle va prendre". 
Patrick s'allongea en travers de mon corps, son sexe se positionna contre mon visage, j'ouvris mes lèvres et l'embouchai goulûment. 
Le désir un instant retombé après la jouissance que j'avais ressentie avec Patrick reprit entièrement possession de mon corps et je me mis à pomper Patrick vigoureusement tout en le caressant de ma langue et en le mordillant. 
Au bout de quelques instants de ce traitement je sentis le pénis tressauter sur ma langue et le jeune mec jouit en râlant, son flot de liqueur gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice. 
Patrick se retira et je pus donner libre cours au bonheur que je ressentais à sentir le gros membre de Marc coulisser entre mes fesses. 
Sous les coups de boutoir répétés que mon mec m'assénait je me sentis perdre complètement pied, j'avais la pastille complètement dilatée et je sentais une boule de feu prendre naissance dans mon bas ventre et venir exploser en mille lumières vers ma figure. L'extase était de retour.
Tout à ma félicité je me mis à onduler au rythme des assauts de mon amant tout en tendant ma croupe vers lui. 
Marc dit "tu avais raison Patrick, cette salope baise comme une déesse, regarde comme elle se tortille sous moi. 
- Je te l'avais dit, cette poulette est un vrai trésor, c'est la reine des baiseuses". 
J'étais tellement excité que le moindre contact me faisait frémir, Marc avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait en de larges coups de reins qui peu à peu m’amenaient au septième ciel. 
Le gros membre de mon amant frottant contre mes parois embrasées me procurait de délicieuses sensations qui peu à peu me faisaient perdre le sens des réalités. 
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts répétés que je subissais. 
J'avais le cul complètement éclaté et de ma gorge ne sortait plus qu'un sourd et profond râle continu. 
J'avais noué mes jambes dans le dos de mon amant et la tête rejetée en arrière je m'abandonnais totalement à la volupté qui s'emparait de moi. 
Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec me possédait, chaque fois que la bite raide m'enfessait jusqu'à la garde je poussai des couinements de bonheur. 
Le plaisir que je ressentais était tel que je me tordais comme un damné sous mon homme tout en griffant les coussins. 
Marc me pilonnait maintenant l'arrière train à une vitesse folle, je me disais que s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que ne voulais pas qu'il arrête. 
Je ne vivais plus que pour et par le fabuleux Priape qui me ramonait le prose et perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais. 
C'est à cet instant que plantant sa pine au plus profond de mon rectum Marc jouit en râlant, ses abondants jets de sperme crémeux me provoquèrent un orgasme foudroyant, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la hampe que je sentais se vider en moi, mes jambes battirent l'air, je plantai mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge et je retombais lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux du plaisir. 
Marc se leva et je restai allongé, les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée. 
Un corps se coucha sur moi et un pénis raide me pénétra et se mit à aller et venir en moi, j'ouvris les yeux et je vis que c'était Patrick, je lui souris et il me dit "J'ai encore envie de t'en mettre un coup. 
- Ne te gêne pas, je suis là pour ça. 
- Merci ma petite salope". 
Aussitôt le désir un instant retombé reprit possession de moi, je nouai mes jambes dans le dos de mon amant et fermant les yeux je me laissais emporter dans un tourbillon de félicité. 
Au bout de quelques instants, alors que, sous les coups de reins de mon homme, je sombrai dans le bien être, j'entendis la voix Marc dire "Tu as remis ça.
- Oui, vas-y maintenant que tu as la bite propre, donne lui à sucer, je suis sûr qu'elle ne demande pas mieux. 
- Non je crois que j'en ai assez pour aujourd'hui. 
- Eh bien moi je vais encore la défoncer une fois. 
- Vas-y ne te gêne pas, en plus elle a l'air consentante. 
- Oh oui elle m'a même dit qu'elle était là pour ça, vraiment elle est super notre petite femelle. 
- Ça tu peux le dire, je ne me souviens pas d'avoir si bien baisé avec les gonzesses qu'on baise d'habitude. 
- Moi non plus, son cul est génial il est aussi bien qu'une chatte et quand on voit la façon dont elle baise, crois-moi notre salope est vraiment la reine des baiseuses. 
- C'est vrai". 
Pendant cette conversation Patrick avait continué à me sodomiser lentement mais néanmoins en de viriles poussées qui m'avaient amenées au bord du gouffre du plaisir. 
Patrick avait pris appui sur les avants bras et me pilonnait l'arrière train de toute la longueur de son membre turgescent, dans la pièce en dehors de mes longs râles de bonheur on entendait le bruit de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il enfournait le pénis distendu jusqu'à la garde.
Le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses bouillantes à me faire mal. 
Chaque fois que mon homme plantait son Priape au fond de ma grotte en feu il poussait un "HAN" de bûcheron. 
Jamais je n'avais ressenti autant de plaisir, le fait d'être baisé sans arrêt me faisait planer continuellement dans un univers brumeux où seule comptait ma jouissance. 
Un énorme brasier couvait en moi et je savais que seule cette magnifique queue pouvait l'éteindre et je me mis à onduler tout en venant à la rencontre de la verge qui me forait les reins. 
J'avais atteint le point de non-retour et tout à ma joie, je commençais à délirer.
Soudain Patrick, s'enfonçant au plus profond de mon puits d'amour, éjacula en feulant, son flot de liqueur séminale m'inonda le fondement, un spasme fulgurant me traversa, je tendis mon postérieur vers la bite qui se vidait en moi, je poussai un hurlement aigu et je retombai lourdement sur les coussins savourant le merveilleux moment qui venait de se passer. 
Je sentis le corps de Patrick se lever  et j'entendis la voix de Marc qui dit "A force de te regarder la baiser et de la voir prendre son pied, je me suis remis à bander, je crois que je vais encore monter cette poulette.
- Mais bien sur mets lui en un coup, je suis sur que cette pute en veut encore. 
- Je ne vais pas me gêner, mais j'ai envie de la prendre en levrette. 
- Tu veux que je t'aide à la mettre à quatre pattes. 
- Non je vais le faire seul. Merci". 
Marc me mit sur le ventre, il replia mes cuisses sous mon corps de telle sorte à ce que je me retrouve le cul en l'air. Ma queue coula alors sa mouille en un long fil transparent sur les coussins.
De moi-même j'écartai les cuisses et cambrai mes reins, Patrick dit "Regarde Marc tu vois comment notre salope tend son cul, tu vois qu'elle a encore envie de prendre de la bite dans son cul. 
- Tu as raison, pourtant regarde comment son trou est ouvert.  

 
- C'est vrai mais ça n'est pas le problème, elle ce qu'elle aime c'est de se faire limer. 
- Et puis comme elle veut bien et que je bande je ne vais pas me faire prier. 
- Tu as raison, vas-y baise-la". 
Marc promena sa bite érigée dans le sillon de mes fesses puis après m'avoir pointé il me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins qui me fit gémir. 
Quand, au bout de quelques minutes, Marc explosa, je pris un plaisir intense. 
Quand je revins à la réalité, mes deux amants étaient allongés près de moi, leurs sexes flaccides et maculés de sécrétion anales et séminales reposaient sur leurs cuisses, je leur souris et leur dis "Quelle baise, je n'avais jamais joui comme ça, vous m'avez baisé comme des dieux. 
- Tu sais si on t'a si bien baisé c'est tout simplement parce que tu es la reine des baiseuses, tu sais toutes les gonzesses qu'on a baisé Patrick et moi ne nous ont jamais donné ce que tu nous as donné. 
- Ah bon. 
- Je te signale qu'on t'a enculé trois fois chacun plus les quelques pipes que tu nous as faites, jamais une gonzesse n'accepte de se faire planter six fois et en plus de sucer.
- En tous cas moi j'ai aimé, d'accord j'ai le cul en chou-fleur, mais qu'est ce que ça a été bon. 
- Pour nous aussi tu sais. 
- Alors tout est bien. 
- Bon si tu veux on peut aller prendre un verre ensemble.

L'AMITIE MAINTENANT 

- D'accord mais avant, au lavage, car moi je suis tout poisseux de jute. 
- Nous aussi et on a les bites pleines de merde.
- Alors allons-y". 
Nous nous lavâmes puis après nous être rhabillés, nous partîmes boire un verre. 
Au café je dis à Marc et Patrick que j'aimerais bien recommencer cette petite séance avec eux, on se mit d'accord pour que chaque semaine ils viennent après le départ de Max. 
Pendant les deux semaines qui suivirent je me partageai entre Max, Marc et Patrick, ce que je vivais était génial mais déjà dans mon esprit une envie de nouveau germait. 
Les trois hommes ne me suffisaient plus je devenais de plus en plus pute et j'avais envie de me faire baiser par toute une bande de mecs.

Je me dis qu'il faudrait qu'un jour j'en parle à mes nouveaux amants.

à suivre...

 

(1) rempli du foutre de Max...non ? se laver ?  quoique...hein?  qu'en pensent certains lecteurs ? 

(2) salope, pute, morue deviennent, dans leus bouches, de véritables compliments 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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