Pas de raison d'arrêter vos fantasmes !
L'AMOUR N4A PAS DE FRONTIERES...JE CHERCHAIS DE LA TENDRESSE
la trouvons nous dans un bordel gay marocain ?
Pas de raison d'arrêter vos fantasmes !
L'AMOUR N4A PAS DE FRONTIERES...JE CHERCHAIS DE LA TENDRESSE
la trouvons nous dans un bordel gay marocain ?
Boby, c'est son pseudo, blogue son amour pour Chérubin, son ami marocain de 24 ans, à Fes au Maroc.
Rien à voir avec le tourisme sexuel.
Comment s'efface le préjugé de l'âge ? Boby se pose bien le problème de l'amour d'un plus jeune envers un "aîné" et ses réflexions sont bouleversantes. Et c'est beau. Un élan de sympathie étonnée m'a poussé à mettre quelques extraits dans ce blog-ci. Merci à Boby de ce témoignage poignant d'un retraité bisexuel.
Ce blog est fait http://cavaillongay-lesitelocal.erog.fr/ pour accueillir vos témoignages, vos idées sur nos amours
claudemodou@gmail.com les fait paraître sur votre proposition
Boby Ah ? Je m'exprime donc mal ! Je connais au contraire un vrai bonheur quotidien, tranquille. Mais je ne suis pas dupe : j'approche les 70 ans, nous venons de fêter ses 24... Il aime les "nounours", et beaucoup lui tournent autour... Je me refuse à envisager les choses en laid : genre il pousse le fauteuil roulant d'un pépé sénile... J'arrêterai avant, je l'espère !
POURQUOI LUI ?
"Quel est ce fétichisme qui m'obsède ainsi, envers ces jeunes cous de mâles ?
Non, non, pas de fétichisme : un baiser dans ces contrées sensibles est un instant de vérité : plaisir ou répulsion en réponse disent la sincérité du don de soi...
Et le cou de A. ne m'a pas trompé. Dès la première minute, dès la première seconde d'abandon, dès les premiers gémissements incontrôlés
Et pourtant, il y a quelques années, je ne supportais pas les gérontophiles. Ils s’intéressaient à ma personne sur des critères que, moi, j’abhorre. Mon ami de coeur en a payé le prix fort. Ce garçon dont j’aime l’esprit vif et percutant, que je trouve plus qu’agréable physiquement, avec qui j’aime passer des heures à discuter et faire des plans sur la comète, n’a jamais pu concrétiser : il aime en moi ce que je déteste le plus. Je bloque. Comment Chérubin a-t-il pu me faire passer outre ces réticences ? Je n’ai même pas eu la possibilité de réfléchir. Notre première rencontre n’était qu’un plan Q… Il s’est imposé. Je n’ai rien maîtrisé. Ou bien avec l’âge je deviens lâche. Avec en plus un peu de pragmatisme : si je continue à exiger le beurre, l’argent du beurre, et le sourire du crémier, je risque fort de rester le bec dans l’eau…
Ouais, bon… Reste que ces critères physiques… Musculature ferme, et surtout pas bodybuildée, frémissante sous la douceur de la peau, ventre plat lisse, nerveux, attaches fines, hanches étroites et puissantes, regard sombre et sensuel, sourire carnassier, etc. …"
le cou de Chérubin. Et pas touch' c'est à notre sympathique ami Boby
"J’ai le souffle coupé par sa beauté. Son corps, totalement imberbe, ne semble avoir aucun défaut. Ses jambes musclées ont des attaches fines, chevilles, genoux, haut des cuisses sont merveilleusement dessinés. Son fessier, ferme et menu semble avoir été fait pour être recouvert de mes mains. Son ventre, ses abdos, sa poitrine appellent les baisers et les caresses. Son cou puissant et pourtant gracieux supporte un visage d’ange aux traits déjà bien affirmés. Mais surtout, mais le pire, c’est qu’il ne semble pas savoir qu’il est beau comme un dieu."
Ouais, bon… Pourquoi je suis ici, au Maghreb ? C’est quoi, ma quête ?
Et si, depuis plus de trente ans, je courrais en vain après Medhi ? La quête du Graal…"
NOS DIFFERENCES
Il est merveilleux avec les enfants. Ce sera un bon père. Il a une puissance virile qui lui permettra de satisfaire l’épouse la plus exigeante, qu’il ait ou non des escapades par ailleurs. Alors ? C’est mon égoïsme actuel qui va inévitablement le faire souffrir. Je le connais. Il dira : « C’est ça ma vie. Si je suis très heureux un jour, c’est que le lendemain je vais souffrir dix fois plus ! » Et il aura une crise de désespoir. Je prépare pourtant le terrain ! Il n’est pas un jour ensemble où je ne souligne notre gigantesque différence d’âge. Il rit. « Tu n’es pas un vieux ! Ce n’est pas ça un vieux ! »
Chérubin se révolte parfois. « Vous, les français, vous avez une tête très, très compliquée… Et vous dites que c’est nous qui avons l’esprit tordu. Ou la tête comme le caillou, comme tu dis, toi… »
Nous avions toute la matinée pour nous deux, et nous en avons profité. Je ne me lasse pas.
Et puis, la réalité m’a violemment giflé. En pleine gueule. Les larmes ont envahi mes yeux. Il m’a serré encore plus fort dans ses bras.
Je t’aime…
- Mais tu ne te rends donc pas compte ? Là, aujourd’hui j’ai pilepoil le triple de ton âge !
- Jnanfou !
- Mais tu es beau comme un jeune Dieu, et je suis gros et laid !
- Jnanfou ! Non, c’est pas ! Toi pas gros ! Ça pas gros (mes bras), ça pas gros (mes pectoraux), ça pas gros (mes jambes), juste ça très gros (mon ventre)… Ça, très très gros ! Mais toi, très beau, très très beau !
- Arrête ! N’en rajoute pas ! Toi, tu es beau, oui. J’aime tout, tout, ton buste, ta peau, tes fesses, ta …
- Jnanfou ! Nous deux, beaux ! Je t’aime !
Il m’a fait taire par un baiser passionné, limite violent, et je me suis blotti en larmes dans ses bras. Je devais réagir très vite, je n’allais pas gâcher la fête !..."
Au mariage d'un cousin de Chérubin
Le matin, je trouve parfois sur Skype des billets doux…
« Malgré les kilomètres et les années, il y a des personnes qu'on n’oubliera jamais. »
« J'ai pas peur d'aimer j'ai juste peur d'être blessé. »
« La chute n'est pas un échec, l'échec c'est de rester là où on est tombé. »
« Un cœur n'est pas à vendre... Il n'est pas à louer… Il est à donner à celui qui saura l'aimer… »
Il sait que ses citations, toujours pertinentes, me troublent beaucoup. Lorsque, trop fatigué, je l’abandonne à sa nuit « Ramadanesque », il doit jouer à rechercher et traduire ce genre de sentences sur internet. Je les retrouve lorsque le lendemain je réactive l’outil. Je souris et efface mes larmes d’un revers de main. Orgueilleux de constater qu’il pense à moi, même lorsque je dors. Egocentrique, toujours.
Pourtant, je l’aime.
Continuellement, en filigrane, je sens, je vois mon Chérubin qui a quitté l’école à dix ans. Sa finesse d’observation, la subtilité de ses analyses, les proverbes et les dictons toujours cités avec une pertinence qui m’assoie. Farouchement moderne, et naturellement attaché aux traditions.
Je dois le dire, tout simplement : je suis dépassé. Je souffre de n’avoir pas la distance, la hauteur, la générosité qui me seraient nécessaires pour appréhender cette richesse.
Tout simplement : bien souvent je me sens con.
Je rectifie : je ne « me sens » pas. Je sais que je suis con. Ou pour le moins limité. Inutile."
Où SUIS-JE ?
J’ai pris en pleine tronche un amour invraisemblable. Un plan Q qui m’échappe. Un éphèbe de vingt-deux ans qui décide que « nous » devons être « un ». J’avais beau compter et recompter, pas de doute c’était bien du simple au triple ! Vingt-deux contre (ou avec) soixante six. Ans. Pas centimètres !
Il ne s’est pas agit de l’aimer. Ça, ce fut dès la première seconde. Il s’est agit d’accepter cet amour. Je suis tordu et torturé : Je ne suis pas gêné de promener mes vieilles mains sur le corps sculptural d’un jeune Dieu qui s’abandonne, si j’imagine qu’il me fait là un cadeau en s’offrant.
En revanche, je n’arrivais pas à admettre qu’il puisse me désirer et m’aimer. Aimer cette vieille chair flasque a un nom : gérontophilie. Ce qui veut dire aimer ce que j’abhorre ! Finalement, c’est vrai, je me suis laissé aimer. Parce que je suis lâche. Il a fallu du temps, beaucoup de temps, pour que je parvienne à accepter que nous nous aimions. Je dis bien « nous nous »… Moi, j’étais accro depuis la première minute.
Dix-huit mois maintenant que je suis sur un petit nuage. Qui l’eut cru ? Certainement pas moi ! Je n’avais pas prévu de survivre aussi longtemps. Partant, je ne l’avais pas budgété. Encore moins prévu de partager cette vie entre la France et le Maroc. Depuis un an, je jongle. Avec plus ou moins de bonheur. Je tire sur la ficelle. D’économies en coups de passe-passe, de fermetures d’emprunt prétextes à des réouvertures plus ambitieuses, j’ai réussi à tenir. A aider à vivre mon amoureux qui ne demande rien, et à vivre moi, pour continuer à le voir, à le savourer, à m’enivrer de sa présence…
mon Chérubin, et sa façon bien personnelle de repousser une décision qui le gêne en disant :
- « « Mais chéri ! On verrrraaa… On na l’temps… On verra… »
j’ai aperçu sa voiture qui rentrait dans le parking de la Gare Maritime. Je l’ai vu arriver, en nage (il fait très chaud ici), non rasé, titubant de fatigue. Il n’avait pas mangé depuis le matin, et fait la route d’une traite en plein cagnard… Au milieu du hall je l’ai serré dans mes bras à l’étouffer. Non… IL m’a serré dans ses bras, moi je pleurais, incapable de parler.
Après s’être rafraîchi et un minimum nourri, il a voulu repartir aussitôt. Je lui ai proposé de dormir dans un hôtel de Tanger et de ne partir que le lendemain, mais il voulait que nous nous retrouvions au plus vite dans l’intimité. Six heures pour le retour, c’était trop ! Les baisers volés à 120 km/h sur l’autoroute ne me semblaient pas particulièrement prudents. Après un dernier « Non, chéri, pas en conduisant ! », il a brutalement bifurqué vers un petit parking désert où j’ai enfin pu, sereinement, purger son trop-plein d’envies, pour mon plus grand plaisir…
Arrivés vers deux heures du matin, il était épuisé bien que j’aie pris le volant une bonne partie du trajet. Nous nous sommes effondrés sur le lit jusqu’en fin de la matinée du lendemain…
Extraits reblogués de "les petites histoires de boby"
http://www.homoavecepouse.com/
Merci Boby de ce témoignage que tu publies sur le net
Respect svp ...je dis ça pour tous nos lecteurs ! Merci
Patrick et Marc profitent de l'invitation de Damien dans l'appartement dont il dispose momentanément
Insatiables ! suite 3 : on tente la double pénétration !
La semaine d'après je retrouvai les deux
hommes et nous passâmes encore une super après-midi de baise où je jouis merveilleusement.
Ce jour là j'avais je ne devais pas rentrer chez moi et je dis donc aux deux
compères "Aujourd'hui si vous voulez, vous pouvez rester plus tard.
- C'est à dire ?
- Je reste ici cette nuit alors si vous le voulez bien vous pouvez rester
aussi et s' il vous reste quelques forces on pourra encore baiser.
- Mais ce n’est pas vrai, on vient de t'en mettre plein le cul et tu en
demandes encore.
- je vous avais dit que j'étais très gourmande.
- Gourmande ! tu es une vraie pute oui.
- C'est vrai je suis une vraie pute, une vraie salope une chienne même, mais
n'empêche que j'ai encore envie de bite.
- Moi je veux bien rester, je ne sais pas si je serais capable de faire
quelque chose mais je veux bien essayer et toi Patrick.
- Pourquoi pas.
- Super, alors voilà ce qu'on va faire, on va commander des pizzas et après
avoir mangé on verra.
- O.K.
- Bon j'ai une idée, il y quelque chose que j'aimerais essayer avec vous
deux.
- C'est quoi ?
- J'aimerais essayer de me faire baiser par vous deux en même
temps.
- Comment cela ?
- C'est simple, l'un de vous s'allonge sur le dos, je m'assieds sur lui, je
m'empale sur sa bite et je bascule vers lui, pendant le deuxième s'agenouille derrière moi et me met sa pine dans le cul.
- Tu veux dire que tu veux essayer d'avoir les deux bites dans le cul en même
temps.
- Oui, je ne sais pas si mon cul va pouvoir se dilater autant mais je veux
essayer.
- C'est fou.
- Enfin si ça ne vous dégoûte pas que vos deux bites se frottent l'une et
l'autre.
- Non du moment que c'est dans ton cul. Hein Patrick ?
- Pas du tout je ne te branlerais pas mais mettre ma queue dans un cul alors
que tu y es déjà je m'en fous et ça peut être amusant.
- Bon comme je l'ai dit c'est un essai si ce n'est pas possible il ne faudra
pas insister, si je dis d'arrêter il faudra le faire.
- Bien sûr on ne veut pas te déchirer.
- D'accord mais d'abord il faudra me baiser pour me graisser et m'ouvrir le
cul et après on fera ça.
- D'accord.
- Une dernière chose, il vaut mieux que ce soit Patrick qui rentre le dernier.
Tu as le zob moins gros que Marc, il rentrera peut-être plus facilement.
- D'accord.
- Bon alors commandons les pizzas et prenons l'apéritif en attendant qu'elles
arrivent".
Nous allâmes nous laver puis après avoir passé commande, nous restâmes nus
pour boire l'apéritif.
Après nous être restaurés et avoir fait et rangé la vaisselle, je dis à mes
deux amants "Maintenant passons aux choses sérieuses, enfin si vous vous sentez d'attaque.
- Avoir mangé m'a fait du bien.
- Moi aussi". dit Marc.
Tout en portant une main sur chacune des bites je dis "je vais vous sucer un
peu pour vous faire bander et ensuite on y va".
Avant de m'agenouiller devant mes deux hommes je mis un doigt sur mon anus et
constatai que s'il était un peu refermé, il était encore tout mou.
Après avoir pratiqué une lente fellation sur mes deux amants ce qui eut pour
effet de les faire bander, je dis à Marc "Allonge-toi".
Mon homme s'exécuta, je m'assis à califourchon sur lui, je pris son sexe
dressé dans une main et le guidai en moi, quand je descendis sur la verge je fermai les yeux pour savourer le plaisir de sentir le phallus entrer dans mon canal bouillant en disant "Ah que c'est
bon de sentir une grosse bite au fond de moi".
Comme d'habitude avec Marc j'avais la sensation d'être entièrement
rempli.
Patrick me dit "mais tu avais dit qu'il fallait d'abord qu'on te baise avant
d'essayer ça.
- C'est vrai mais comme mon cul est encore un peu ouvert et tout mou je pense
que ça va pouvoir se faire comme ça.
- Tu ne doutes vraiment de rien.
- Quand il s'agit de baise non, je vais monter et descendre un peu sur la pine
de Marc pour assouplir ma pastille comme ça tu pourras essayer de me mettre.
- D'accord".
Au bout de quelques allées et venues, mon tunnel s'ouvrit de nouveau
pleinement, je me penchai vers Marc et en profitai pour lui lécher le visage puis je dis à Patrick qui nous regardait tout en se masturbant lentement "Crache moi dans la raie et essaye de
m'enfiler, fais doucement et écoute ce que je te dis.
- D'accord ma petite poulette".
Patrick s'agenouilla derrière moi, je me relevai afin de ne plus être
totalement empalé sur la verge de Marc.
Je sentis de la salive couler le long de ma raie et le doigt de Patrick me
badigeonner le haut du canal, il dit "Je ne sais pas si je vais pouvoir entrer.
- Essaye on verra bien, mais je t'en supplie va doucement.
- Bien sur ma chérie, je ne veux pas casser un si bel objet de
plaisir".
Je sentis le gland de Patrick de poser à la naissance du sillon de mes fesses
et descendre tout le long de ma raie et s'arrêter contre le pénis déjà fiché en moi.
Je tendis ma croupe et dis "vas-y essaye de me prendre".
Mon homme commença à peser sur mon ouverture ce qui me provoqua une douleur
épouvantable, je poussai une plainte en disant à Patrick "Arête.
- Tu abandonnes ?
- Non mais arrête un moment que je me remette".
Mon mec suspendit sa poussée et quand je sentis le mal disparaître je lui dis
"recommence doucement"
Il fallut plusieurs minutes et beaucoup de pénibles tentatives pour qu'enfin
mon anneau s'ouvre un peu plus, Patrick s'en aperçut et me dit 'Je crois que ton cul s'ouvre un peu.
- Oui mais fais tout doucement.
- Bien sur ma poulette, mais avant ça Marc baise la un peu pour lui faire
oublier qu'elle a mal".
Marc me donna quelques coups de boutoir qui firent monter un peu de désir en
moi, il s'arrêta et dit "vas-y Patrick mets
-lui".
Mon amant positionna son sexe contre ma corolle dévastée et commença à peser
dessus, quand le bout durci déflora mes chairs enflammées je ressentis une brûlure aiguë qui me fit crier et dire à Patrick "Aiee !! Arrête.
- Tu veux que je me retire ?
- Non reste en place mais ne pousse plus, laisse mon trou
s'habituer".
Mon homme resta immobile et peu à peu la souffrance disparut, me tournant je
dis à Patrick "Pousse tout doucement".
Peu à peu millimètre par millimètre mon mec enfonça son phallus érigé en moi,
quand je sentis les poils follets de son pubis contre mon fessier bouillonnant je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais les larmes aux yeux et j'avais l'impression que mon trou du cul allait
se fendre tant il était écartelé.
Patrick dit "Voilà tu as nos deux bites dans le cul, je n'aurais pas cru ça
possible et toi Marc ?
- Moi non plus je n'aurais jamais pensé que ce cul était capable de se dilater
autant.
- Je vous en supplie ne bougez pas encore, mon trou de balle est tellement
tendu que je crois qu'il va se déchirer.
- veux-tu que l'un de nous se retire.
- Non je crois qu'après quelques instants mon sphincter va se
détendre.
- Comme tu veux".
Malgré la douleur que j'éprouvais, le fait de sentir en moi les deux membres
érigés palpiter faisait naître au creux de mes reins une douce chaleur.
Peu à peu le mal diminua et une tendre langueur commença à prendre possession
de mon corps, je sentis mon anus céder et je dis à mes deux amants "Commencez à bouger mais très doucement".
Marc, de manière mesurée, commença à remuer. Les mouvements de son sexe
turgescent me faisaient crier de douleur, chaque fois j'avais l'impression que mon tunnel se coupait et mon amant me dit "Tu as mal, tu veux que j'arrête et qu'on sorte ?
- Non je veux aller jusqu'au bout.
- C'est toi qui décide.
Le supplice ne dura pas longtemps car les frottements des deux priapes
comprimés en moi firent jouir très vite mes deux mecs, dans un feulement commun les deux hommes éjaculèrent m'inondant le rectum de semence crémeuse.
Les deux phallus une fois vidés rétrécirent et sortirent de
moi.
Cette expérience, à part le fait de savoir que mon cul était capable
d'accepter deux membres de taille plus que respectable, ne me laissa aucun plaisir.
J'avais eu trop mal pour prendre le moindre bonheur et je leur dis "Qu'est ce
que j'ai eu mal au cul, heureusement que c'est fini.
- Tu ne te rends pas compte de ce que tu as voulu qu'on te
mette.
- Si Marc je m'en rends compte mais je ne le ferai plus.
- Tu as raison et même pour nous ça n'a pas été super.
- Je vous crois, la seule chose qu'on peut retirer de ça, c'est que je suis
capable de prendre des bites plus grosses que les vôtres.
- Oui c'est sur que tu peux te faire enculer par un noir si tu veux car même
très bien monté, jamais un mec n'aura une pine deux fois plus grosse que les nôtres.
- C'est vrai Patrick, et maintenant que faisons-nous ?
- Que veux-tu dire ?
- Eh bien tout simplement que cette petite séance m'a mis en appétit et que
j'ai envie de vivre une vraie baise, sans compter que vous n'aurez aucune peine à me baiser tellement mon fion est ouvert.
- Ca tu peux le dire salope, bon puisque tu veux de la bite, mets toi à quatre
pattes et tends ton cul qu'on te défonce un peu".
Durant une bonne partie de la soirée les deux hommes se succédèrent dans mon
cul, comme il avait tiré pas mal de coups ils furent très long à jouir ce qui me fit avoir plusieurs orgasmes.
Quand ils m’abandonnèrent j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds,
j'avais l'anus complètement éclaté mais j'étais comblé.
Après m'être lavé, je sombrai dans un sommeil profond.
à suivre (->4).
recommandé !
Deux jeunes expérimentés et BCBG qui, entre eux oublient le temps qui passe
et pour nous 20mn de plaisir des yeux...et des sens. Bonne visite. Merci.
Rêve ou réalité, cette VIDEO ne doit pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ
DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org
Ce récit fictif est diffusé dans le cadre prolongé du WE des vampires sur ce blog.
Résumé : Caleb, un jeune de 20 ans, arrive chez lui en se cachant mais il est rejoint par Lucien le vampire dans des conditions mystérieuses. Les deux personnages se connaissent et se désirent, mais l'homosexualité d'homme à vampire devrait poser des problèmes..
------chapitre 2----------------------
-" Ainsi se disait Lucien, "il a voulu me fuir, mais il est très content que je l'aie retrouvé. Je n'allais pas abandonner alors qu'enfin je vais peut-être trouver le compagnon que j'attends depuis des années".
Comment s'expliquer l'élan de Caleb vers celui que tout autre eût redouté mais que lui et lui seulement avait appris à connaître ? Il était sûr que si Lucien acceptait de lui faire le "Don", il allait vers une destination inconnue difficile à imaginer à l'avance. De toutes façons, il avait été si mal accueilli par la vie dès son enfance, il avait eu tant de déceptions, qu'il n'envisageait que le suicide...ou bien alors maintenant le compagnonnage avec son ami vampire...
Etait-ce pour marquer symboliquement un non-retour ? Sans regret, Lucien a déchiré et séparé le caleçon du corps du garçon. Les yeux obscurcis par le désir, il regardait se manifester l'érection palpitante, exubérante et fière de Caleb. Lucien avait souligné, qu' en tant qu'immortel, il était vieux et que Caleb avait tous les avantages provisoires de sa jeunesse. Devant ces agapes sexuelles en perspective, il salivait.
Mais il fallait que le jeune mortel, à son tour, le vît et le regardât afin de confirmer sa détermination. Son corps avait pris une patine mais était resté aussi beau qu'à vingt ans.
Totalement dépourvu de pilosité, il était lisse, blanc et chaud.
Il en avait eu des amoureux passifs attirés par cette beauté surnaturelle et fatale. Il était fait pour séduire, pour piéger.
Si le sexe de Lucien était un attrait pour certains passifs avides de surdimensions, il se gardait quelquefois de le montrer avant la morsure fatale. Il aurait eu une taille normale, sauf sa longueur. Sa couleur, sa dureté aussi. Il avait des reflets de nickel et d'acier.
Lucien aimait Caleb de cet amour qui ne veut pas asservir et encore moins piéger. Il lui devait la vérité crue du fait que leur prochain rapport sexuel ne prenait ni le sens d'une "consommation" de chair (et de sang) , ni celui d'une union dont on peut se dédire.
Lucien donna donc son sexe à voir à Caleb. Le jeune homme; les yeux rivés sur ce phallus, de la forme et de la longueur d'un petit sabre oriental, n'émit aucun son. Il n'était pas inattendu que le jeune mortel restât silencieux et hypnotisé. Presque une minute se passa avant que Caleb n'avance sa main vers la divine verge pour la caresser. Et là il fut surpris par la chaleur dégagée et le contact de folie que ce toucher lui procurait. Respect ou effroi passager ? il retira sa main et, confiant toutefois, la posa sur une cuisse de Lucien.
Dans les coins sombres de l'esprit du vampire se libéraient des images et des souvenirs. Depuis toujours se sentant investi d'une mission maléfique, Lucien avait voulu marquer durement les humains... laisser des contusions et montrer exactement à l'homme avec qui prétendait baiser. Le vampire voulait la douleur, il voulait des cris, qu'il y eût une douleur physique qui dise qui il était et le type d'altérations de la pulpe dont il était capable. Mais en lui c'était le vampire, la fureur d'un intérieur bouillonnant des forces du mal. Il donnait le fer, le feu, les flammes, puis le froid glacial.
Pendant des années il n'avait pu exercer que cette méchanceté, il avait attendu un compagnon digne de lui et pendant des années il n'avait eu que des amateurs qui honoraient sa couche de leur présence...ils prétendaient ne pas croire davantage aux vampires qu'ils ne croyaient aux fantômes. Un défi pour Lucien, naturellement ! Personne n'avait vraiment envie de lui pour lui-même. Ils voulaient seulement être "activés" pour faire des expériences inédites et bourgeoises... Il n'était attiré que par les hommes et, pour une fois, il trouvait un garçon qui l'aimait.
Lucien se pencha en avant et embrassa Caleb comme on dit "hard", mettant dans ce baiser toute l'émotion refoulée qu'il avait ressenti pendant des mois. Il voulait faire maintenant savoir à Caleb exactement combien il le désirait . Et ce désir, cet amour, luttait contre la part sombre de son "âme"porteuse de malheur. Autant, d'habitude, il voulait déchirer la chair et boire le sang brûlant, autant il voulait que ce jeune homme l'accepte et lui et ce qu'il offrait. Lentement Lucien prit soin de les débarrasser tous deux de leurs vêtements qui glissèrent au sol. Il poussa le mortel à plat sur le dos et tout en embrasant le sillon de sa poitrine, il traçait son chemin sur la chair bronzée et lisse. Les poils fins sur la jambe de Caleb chatouillèrent les lèvres du vampire alors qu'il continuait à traîner jusqu'au cul de l'homme. Il prit les globes lisses à pleines mains et déposa un baiser sur chaque joue avant que ses lèvres poursuivent jusqu'à l'anus. Il embrassa le centre interdit, et questionna : -" est-ce que tu te rends compte que le seul anus que j'embrasserai jamais c'est le tien ?" Caleb rougit vivement et avant qu'il ne puisse faire un geste Lucien se mit à le lécher.
------à suivre (si vous voulez bien )---------------
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