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YASMINE GRASSER Ce fichier a été publié le Lundi 28 janvier 2013 à 11:46 

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Yasmine Grasser, psychanalyste, membre de l'Ecole de la Cause Freudienne  ECF

"Depuis Freud, on sait un peu mieux que la notion même de sexualité est une aberration. Sauf à invoquer le nom de Dieu, jamais personne ne pourra la justifier. Alors de tous temps, les sociétés ont cherché à fixer le partage entre le licite et l’illicite, à encadrer les pratiques sexuelles en les inscrivant à la fois dans un cadre moral, religieux, légal. Aujourd’hui, ce cadre tendant à devenir scientifique du fait que la reproduction se disjoint de la conjugalité, le désarroi agite toutes les sociétés, aucune ne peut rester indifférente. De ce côté-ci de la Méditerranée, le « Mariage pour tous » place au cœur de ces enjeux sociaux l’homosexualité, puisqu’elle fait émerger la notion de couple de même sexe au cœur du mariage. Comment ce bouleversement se répercute-t-il d’un côté et l’autre côté de la Méditerranée, dans les communautés musulmanes ?

Deux remarques d’abord : Premièrement, la jouissance sexuelle pour un musulman est un don de Dieu, qui n’a aucun lien avec le péché originel ou l’impureté corporelle, et doit trouver son épanouissement dans le cadre du mariage d’un homme et d’une femme. Deuxièmement, l’activité sexuelle relève du registre de la sphère privée, elle ne doit pas être énoncée publiquement car l’homme ne doit de compte qu’à Dieu.

Il en résulte que les pratiques homosexuelles chez les jeunes hommes ont toujours été considérées comme transitoires, elles permettent de contourner l’interdit des relations sexuelles avec la femme avant le mariage. Lorsque le choix homosexuel est plus définitif, ces pratiques ne peuvent en aucun cas être corrélées à une identité de genre ni s’inscrire dans la sphère publique. Le Coran ne dit rien à ce propos selon les théologiens. En général, la société ferme les yeux sur un acte que la justice des hommes par le Code pénal criminalise, sanctionne dans la plupart des pays musulmans et parfois punit de mort.

Aujourd’hui, dans « l’après » des révolutions arabes qui ont largement libéralisé l’usage d’Internet, une communauté discrète de musulmans homosexuels a émergé et s’internationalise, fait rompre l’isolement mortel qui enferme.

La controverse est lancée dans la communauté musulmane par ceux qui ont osé s’arracher à la clandestinité. Plusieurs « quotidiens d’actualité » sur Internet relayent largement ces informations. Ainsi, en 2010, les deux seuls imams ouvertement gays, venus d’Amérique du Nord à Paris pour participer à une conférence internationale sur l’homosexualité, ont déclaré : « être homo et musulman est possible ». À la suite, au cours de l’année 2012, un imam a célébré un mariage gay dans la région parisienne – mariage qui s’est voulu œcuménique en réunissant des croyants des trois religions monothéistes, et avant-gardiste. Toujours en 2012, une femme imam s’est déplacée de la mosquée de Los Angeles à Paris et a marié deux femmes.

Le débat a été relevé par le recteur de la mosquée de Bordeaux, Tarek Oubrou, théologien musulman en France. Dans une interview de mai 2010, elle aussi largement diffusée, il disait : « le fait de considérer un homosexuel musulman comme un apostat est une hérésie… Il concluait : « je ne veux pas que les homosexuels de confession musulmane désespèrent de leur religion… Je ne veux pas que ma religion soit stigmatisée, cataloguée parmi les religions homophobes dans le sens où elle fait la chasse aux homosexuels ». Tarek Oubrou vient d’être élevé au grade de chevalier de la légion d’honneur.

Au Maroc en 2007, l’écrivain Abdellah Taïa révélant son homosexualité, a fait la couverture du magazine francophone Telquel : « homosexuel envers et contre tout ». Il écrit dans une lettre à sa mère : « Il y a une nécessité dans ce pays de ne plus vivre l’hypocrisie qui mine le Maroc… L’histoire des sociétés passe par des minorités qui forcent les sociétés à aller de l’avant. C’est ce que j’essaye de dire dans ma lettre. Le combat est plus large que la défense des homosexuels… »

En Algérie, une fatwa récente promue par le Ministère des affaires religieuses, issue de la jurisprudence sunnite et reconnue licite par une fatwa de l’Organisation de la Conférence islamique de 2006, autorise en Algérie le zwadj misyare ou « mariage du voyageur » (à ne pas confondre avec el moutâa, mariage de jouissance des années du terrorisme). Ce mariage, ignoré par bon nombre d’algériens, dissocie la relation conjugale de l’idée de famille et de procréation, rendant licites les relations entre hommes et femmes.

Au Liban, la directrice de publication d’une grande revue libanaise ayant pour objectif de donner la parole aux citoyens afin qu’ils parlent de leur sexualité, de leurs impasses et de leurs contradictions, reçoit régulièrement des menaces de mort. Il n’est guère probable que puisse y être posée la question du mariage des homosexuels.

Conclure alors avec un vœu : il se pourrait que toutes ces sociétés musulmanes en profonde mutation s’éveillent un beau matin de leurs rhétoriques traditionnelles, et alors… il se pourrait qu’un autre Robert Badinter, cet immense ami de la vie, musulman, obtienne la dépénalisation de l’homosexualité en terre musulmane…

 

Yasmine Grasser avec la collaboration de Fouzia Liget et Mohamed Baraké."

  Des atrocités contre les homosexuels en Irak. 

 

 

 Arabes et homosexuels. 

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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 08:19

 

L'union homosexuelle, 150 ans d'histoire

LE MONDE | 31.01.2013 à 16h37 • Mis à jour le 31.01.2013 à 17h07Par Régis Schlagdenhauffen


L'homosexualité serait provoquée par une interaction entre des facteurs génétiques et hormonaux dans l'embryon.
 

 

 

Sur France Culture, le 12 janvier, à propos du "mariage pour tous", face à la sociologue Irène Théry, Alain Finkielkraut a voulu faire parler les morts. Peut-onimaginer, a-t-il dit en substance, Walt Whitman, Verlaine ou Rimbaud, sacrifiant au mariage, cette institution bourgeoise ? Leur homosexualité était à la fois refus de l'hétéronormativité, rejet des conventions et des académismes. Instituer le couple homosexuel dans le code civil, lui donner une reconnaissance juridique et sociale, serait se moquer d'eux, les ridiculiser post mortem, pratiquer un crime contre l'art en tarissant une source majeure de l'inspiration poétique et littéraire. Loin de faireparler les morts, il faut au contraire faire parler l'histoire, pour replacer la question du "mariage pour tous" dans une généalogie qui lui restitue son ancienneté. C'est, en effet, dans le dernier tiers du XIXe siècle que des juristes ont nommé, pensé et théorisé le mariage des couples de même sexe.

C'est au juriste allemand Karl Heinrich Ulrichs (1825-1895) que l'on doit la première mention publique de l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe. Cela eut lieu lors du 6e congrès des juristes allemands, le 29 août 1867. Selon lui, le mariage n'était qu'un versant parmi une somme de revendications plus vastes dont on retrouve le détail par le menu dans son ouvrage L'Enigme de l'amour entre hommes. En somme, il s'agissait d'assurer la reconnaissance des "uranistes" - les hommes qui aiment les hommes avant l'invention du terme homosexuel en 1869 -, de lutter contre leur discrimination et d'instituer l'égalité des droits. Conspué à la suite d'un discours trop en avance sur son temps, banni de la société des juristes, il fut voué à l'exil.

A sa suite, Eugène Wilhelm (1866-1951), juriste connu pour ses écrits avant-gardistes concernant les questions sexuelles (le droit à l'avortement et le droit pour les hermaphrodites de choisir leur sexe), formula une réflexion plus globale sur la question. Il nous est possible de retrouver la genèse de sa pensée dans laPsychopathia sexualis (Pocket, 1999), ouvrage de référence au milieu des débats qui ont participé à la mise en ordre du monde par une série de clivages entre le normal et le pathologique, l'hétérosexuel et l'homosexuel. Dans l'édition française de 1895, nous pouvons y lire cet aveu prémonitoire de Wilhelm : "S'il existait un mariage entre hommes, je crois que je ne reculerais pas devant une vie commune qui me paraîtrait impossible avec une femme (...). Je suis convaincu et certain que le préjugé disparaîtra et que, un jour, on reconnaîtra, à juste raison, le droit aux homosexuels de pratiquer sans entraves leur amour." Ce propos, à première vue naïf, est désajusté par rapport aux normes en vigueur à la fin du XIXesiècle. Premièrement, il met en son centre l'idée d'amour, à un moment où le mariage civil était affaire de transmission patrimoniale. Deuxièmement, parce qu'il ne fonde pas l'interdit sur une quelconque "nature" ou sur la religion, mais sur des préjugés.

Troisièmement, parce qu'Eugène Wilhelm reconfigure la question homosexuelle. Il s'interroge, à la manière des sociologues interactionnistes de la seconde moitié du XXe siècle, sur les effets de la stigmatisation des homosexuels considérés en tant que membres de la collectivité. Plus encore, et c'est sans doute à cet endroit qu'il est un précurseur, Wilhelm envisage la question à travers le prisme du lien social : l'engagement mutuel entre deux personnes et la reconnaissance de cet engagement par la société et par l'Etat.

L'idée du "mariage pour tous" peut donc se prévaloir d'une histoire que ses détracteurs s'emploient à gommer pour l'ériger en idée neuve. Elle trouve ses fondements dans la pensée de juristes bourgeois du XIXe siècle, plutôt conservateurs mais en avance sur leur temps.

Sociologue, chercheur à l'Institut

de recherche interdisciplinaire

sur les enjeux sociaux (IRIS), EHESS

Régis Schlagdenhauffen

 

 

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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 06:39


 

mais qu'est-ce qu'il a imaginé encore ?

 

  Gang bang de vestiaires ? 

Le récit :

avec une équipe de Hand (suite) 

Résumé : après l'initiation par le prof de Gym, c'est avec deux complices que le cul insatiable de Damien trouve à se satisfaire. Mais nous disons bien insatiable ! 

Pendant quelque temps je me partageai entre Max, Marc et Patrick, je me sentais devenir chaque jour de plus en plus pute.
Plus j'avais de la bite plus j'en voulais, c'était devenu comme une drogue et j'arrivai à la conclusion qu'il me fallait encore plus d'hommes.
Un jour, alors que nous venions de finir une baise mémorable je dis à Patrick et Marc "Ne prenez pas mal ce que je vais vous dire mais bien que vous me baisez superbement vos deux queues ne me suffisent plus.
- Que veux-tu dire ?
- C'est simple Marc, j'ai toujours envie de baiser et je me disais que peut-être vous auriez d'autres copains intéressés.
- Salope tu veux des bites en plus.
- Oui.
- Mais tu es un véritable trou à pines.
- Non pas un trou un gouffre".
Mes deux amants restèrent silencieux un instant et Marc me dit "Tu veux vraiment de la bite en plus ?
- Oui.
- Je crois que j'ai une idée. Que fais-tu samedi ?
- Je n'ai rien de prévu.
- Bien j'ai des copains qui jouent dans l'équipe de hand de l'ORT. Tu sais le lycée juif ?
- Oui je connais.
- Je vais leur en parler et, s’ils sont d'accord, on pourrait leur rendre visite après leur match dans le vestiaire.
- Tu crois.
- On va voir et là tu auras 8 queues pour ta bouche et ton cul, peut-être qu'après ça tu crieras grâce.
- Peut-être mais qu'est-ce que j'aimerais avoir autant de zobs à sucer et à prendre dans le cul.
- Je vais aller les voir tout de suite comme ça tu auras une réponse aujourd'hui.
- Super.
- Allez Patrick viens on y va".
Mes deux hommes partirent me laissant rêver de cette peut-être partouze.
Deux heures après Patrick et Marc revinrent, Marc me dit "ça y est, j'ai vu les copains, ils attendent ton cul samedi vers
17 heures.
- Génial.
- Tu es contente ?
- Oh oui.
- Bien dans ce cas prouve-le, déshabille-toi et déshabille- nous et donne nous à baiser.
- Avec joie".
Autant dire que cette nuit là ce fut vraiment la fête à mon cul, mes deux amants se surpassèrent et quand enfin ils m’abandonnèrent épuisés et les couilles complètement vides, j'étais rempli de semence de la tête aux pieds, j'avais le trou du cul complètement éclaté, un peu douloureux mais j'étais comblé.
J'attendis le samedi avec impatience, il ne se passait pas une heure sans que je pense à ce qui allait se passer et j'avais hâte d'y être.
Quand enfin le jour arriva, je partis avec Marc et Patrick au stade où l'équipe de l'ORT jouait.
J'avoue que je ne me suis absolument pas intéressé au match.
Quand ce fut fini je suivis mes deux amants jusqu’aux vestiaires.
Quand nous rentrâmes dans la pièce, il régnait une atmosphère chaude, humide et odorante de corps en sueur.
Tous les joueurs étaient nus prêts à prendre leurs douches, un silence se fit et Marc dit "Salut les gars, je vous présente
Damien, je vous préviens c'est une vraie salope".
L'un d’eux s'avança vers moi et répondit "Si c'est une vraie salope comment se fait-il qu'elle ne soit pas déjà à poil ?
- Je ne pouvais pas venir déshabillé au stade.
- Je plaisante, je m'appelle David et voici Moshé, Itzhak,
Eoud, Maurice, Ariel, Elie et Shimon.
- Bonjour.
- Tu ne crois pas que huit mecs c'est un peu trop ?
- Je ne crois pas, je suis très gourmande, mon cul aime les bites et ma bouche adore sucer.
- Si tu le dis.
- Et puis si c'est trop tant pis pour moi, je suis ici de mon plein gré et à ma demande donc à moi d'être à la hauteur.
- D'accord et maintenant montre nous ton cul.
- Avec joie".
Patrick et marc s'en allèrent alors que je commençais à me dévêtir.
L'ambiance d'après match qui régnait dans ce vestiaire fit naître en moi un fort désir, je fis glisser mon string lentement le long de mes cuisses fuselées et me retournai vers les mâles qui me regardaient.
Mon strip-tease avait fait son effet, les huit sexes étaient dressés et chacun des mecs en rut qui étaient présents se caressaient doucement.
Je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri devant ce spectacle, tous avaient des membres circoncis de taille largement au-dessus de la moyenne mais les deux plus impressionnant étaient ceux de David et Eoud, celui d'Eoud était très gros en diamètre dépassait les 20 de long tandis que celui de David était aussi gros mais dépassait les 25 centimètre et était terminé par un gland très volumineux.
David devant mon air gourmand me dit "Alors est-ce que c'est à ton goût ?
- Oh oui, c'est magnifique.
- Content que ça te plaise.
- Comment fait-on ?
- Tu vas te mettre à quatre pattes au milieu de la pièce comme ça on aura ton cul est ta bouche prêts à servir.
D'accord ?
- ça me va.
- Bon on va aller se laver et on arrive".
Je ne sais pas ce qui me prit mais je voulais ces hommes là comme ça, je voulais sentir leurs odeurs fades de sueur et je dis "Non je vous veux comme ça, ce que je vous demande c'est d'aller vous laver le sexe si vous voulez me mettre la bite dans la bouche après m'avoir enculé.
- O.K ça c'est normal".
On me donna quelques serviettes que je plaçai au sol puis je pris la pose demandée, une fois à quatre pattes, j'écartai les cuisses et me cambrai pour faire ressortir mon fessier.
J'entendis Moshé dire "Regardez les gars comme cette pute tend son cul, je suis sur qu'on va baiser comme des fous aujourd'hui".
Un homme s'agenouilla devant moi et m'enfonça son sexe dans la bouche, le pénis avait une déplaisante odeur de transpiration qui augmenta mon envie et je me mis à le pomper vigoureusement.
Je sentis un gland turgescent glisser dans ma raie moite et venir se positionner contre l'entrée de mon canal.
Bien qu'étant consentant et extrêmement excité, j'eus un mouvement d'affolement quand je me rendis compte de la dimension de ce qui allait me rentrer dans le cul.
Eoud car c'était lui me dit "Ne te sauve pas petite pute je vais percer ton cul".
Me maintenant solidement aux hanches mon amant commença à peser sur mon ouverture, quand le bout durci écarta mes chairs, une atroce brûlure se propagea en moi et bien qu'ayant la bouche pleine du sexe de Moshé je poussai un hurlement étouffé.
Ne tenant pas compte de ma douleur Eoud continua à s'enfoncer en moi, j'essayais de ruer mais chacun d mes mouvements faisaient en sorte de faire entrer le membre érigé.
Quand je sentis contre mes fesses en feu les poils follets du pubis d'Eoud je sus qu'il était en moi complètement.
J'avais les larmes aux yeux tellement j'avais mal et mon mec me dit "Tu vois ma salope toute ma bite est entrée dans ton petit trou, tu vas voir je vais bien te limer et après c'est toi qui en redemandera, tu vas voir ce que c'est qu'une vraie bite jamais ton cul ne va être aussi bien baisé qu'avec une queue comme la mienne".
Me mettant une grande claque sur la croupe, Eoud commença à aller et venir en moi m'arrachant à chaque passage des cris de douleur.
Moshé bloqua ma tête entre ses mains et se mit à me piner la bouche en larges coups de reins.
Peu à peu mon anneau se détendit et la souffrance diminua faisant place à une douce langueur, c'est à cet instant que plaquant mon visage contre son pubis Moshé éjacula en râlant, ses jets de sperme crémeux giclèrent contre ma gorge et je les avalai avec délice.
Mon amant me libéra et dit "Cette pute suce vraiment bien et elle avale, allez les gars foutez-lui votre zob dans la bouche".
Un autre sexe se présenta, j'ouvris la bouche et l'engloutis.
Pendant ce temps Eoud me possédait toujours avec une régularité de métronome, mon œillet avait complètement cédé et la colossale hampe coulissait entre mes reins sans gène aucune.
Sous les coups de boutoirs répétés de mon mec je me sentis partir, une formidable vague de plaisir me submergea et je me mis à rouler des hanches en cadence.
Eoud rigola et dit aux autres "Regardez cette pouffiasse, vous voyez comment elle tourne son cul, elle ne chiale plus maintenant, elle prend son pied cette salope, elle aime les grosses bites de. Ne t'inquiète pas ma poulette je vais bien niquer ton petit cul".
Posant ses mains sur mon dos mon homme se mit à me pilonner l'arrière train plus vigoureusement, chaque fois que le pénis turgescent s'enfonçait au plus profond de mes entrailles, je ressentais comme une décharge électrique et je sombrais un peu plus.
J'avais l'anus complètement dilaté et je planais sous les assauts que je subissais.
Celui que je suçais explosa et je me délectais de sa semence onctueuse, il se retira et un autre membre força mes lèvres et se mit à aller et venir à une vitesse folle.
A ce moment Eoud s'enfonça au fond de mon cul et jouit, son flot de liqueur fusant contre mes parois surchauffées me provoqua un spasme violent, je tendis mon fessier bouillant vers le sexe qui se vidait en moi.
Mon amant se retira et aussitôt une verge raide investit mon tunnel éclaté et se mit à me besogner à toute vitesse.
Le désir toujours présent en moi après la baise avec Eoud redoubla, je me cambrai au maximum tout en écartant les cuisses pour m'offrir totalement, Shimon car c'était lui dit "Tu avais raison Eoud, c'est une vraie pute, regardez comme elle tend son cul vers ma bite, je vais tellement la baiser cette putain que jamais elle ne va oublier ma grosse bite.
Tiens chienne prend ça dans ton cul de salope, ah tu aimes la bite eh bien tu vas en avoir plein ton trou du cul de pute, tiens prend ça putain".
A ce moment là je sentis le membre que j'avais dans la bouche tressauter, il me sembla que le gland doublait de volume et l'homme que je pompais déchargea en râlant, j'avalai ces jets de foutre crémeux avec délice et l'homme se retira.
Un phallus érigé buta contre mon visage, j'ouvris tout grand la bouche et engloutis la pine raide, j'entourai ma langue autour de la colonne de chair et tout en la tétant je la mordillai.
Pendant ce temps là Shimon continuait à me baiser avec une violence inouïe, ses coups de boutoir avaient achevé de me faire basculer dans le plaisir.
Bien que je sois bâillonné pas le pénis de Elie, je poussai des gémissements de bonheur chaque fois que la hampe turgescente plongeait au fond de mon rectum en fusion.
Soudain plaquant son pubis contre mon derrière Shimon explosa en râlant, ses giclées de jute m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme fulgurant, je me cambrai tendant mon postérieur vers le Priape qui se déversait au tréfonds de mes entrailles. 
A ce moment là, collant mon visage contre son ventre, Elie jouit en feulant, son liquide séminal éclaboussa ma gorge et je l'avalai avec régal.
Les deux hommes se retirèrent et une queue dressée se présenta à moi, je léchai le gland tuméfié puis je l'enfournai et commençai à pomper le membre sur toute sa longueur.
Je ne sais pas si c'était le fait d'avoir regardé ses camarades me baiser et moi les sucer mais Maurice ne put se retenir et du foutre envahit ma bouche.
L'homme se retira, je fis tourner l'offrande sur ma langue et l'avalai avec un plaisir évident.
Je restai à quatre pattes attendant la suite, il faut dire que malgré la quantité de jute que j'avais dans le cul et qui s'écoulait le long de mes cuisses poisseuses je n'avais pas encore joui comme j'en avais l'habitude.
Les hommes qui s'étaient succédé sur moi n'avaient fait que se vider les couilles sans penser à me donner du plaisir ce qui fait que j'étais en feu.
C'est alors que j'entendis la voix de David qui disait "Bien maintenant que vous vous êtes bien amusés avec le cul et la bouche de notre petite pute et que vous vous êtes un peu dégorgés les couilles, vous allez regarder comment on baise une salope comme ça".
David s'approcha de moi, il me prit par la taille, me souleva et me dit "Bon à nous deux, là tu as eu un hors d'œuvre, tu vas voir ce qu'un vrai homme en plus va faire avec ton petit cul, on va d'abord aller laver ce fion qui dégouline de jute et ensuite on va passer aux choses sérieuses".
Me tenant David m'amena aux douches, il prit un savon et me déposa au sol à quatre pattes, il ouvrit l'eau et m'aspergea l'arrière-train ainsi que les cuisses.
Il me savonna puis après m'avoir rincé il me sécha avec une serviette.
Nous retournâmes dans le vestiaire côte à côte, pendant tout ce temps là David avait à peine un peu débandé.
Il demanda à deux des autres d'amener un grand fauteuil de plastique et de mettre des serviettes dessus.
Pendant ces préparatifs David me caressa les fesses, quand les autres eurent fini, mon homme me prit par les cheveux et écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon mec m'abandonna j'avais le souffle court et le rouge aux joues.
D'une petite claque sur les miches David me poussa vers le fauteuil et me dit "Assois-toi dessus".
Je m'exécutai, je m'assis au bord du fauteuil, m'adossai, pris mes cuisses dans mes mains les relevai et tendis mon postérieur.
David sourit et dit à la cantonade "Regardez comment ma femelle est impatiente que je lui troue le cul, vous voyez comment elle écarte les jambes et comment elle tend son cul pour que je la cloue au fauteuil".
Je fis se contracter et se relâcher mon œillet plissé et David dit de nouveau "Regardez l'offrande son trou du cul palpite de désir".
S'avançant vers moi mon homme me dit "Et si tu me mettais un petit coup de langue pour commencer.
- Avec plaisir".
Mon amant vint entre mes cuisses ouvertes et me présenta son phallus démesuré, lâchant mes cuisses je commençai à caresser les bourses duveteuses gorgées de sève.
Aussitôt le membre se dressa un peu plus et grossit encore, tout en continuant à câliner les testicules j'entrepris de masturber lentement le splendide pénis.
Après quelques instants de ce traitement le membre avait atteint ses colossales dimensions et une goutte de sperme translucide perlait au méat du formidable gland tuméfié.
Du bout de la langue je recueillis la liqueur et l'avalai puis j'ouvris tout grand la bouche, engloutit l'objet de ma dévotion et entamai une lente fellation.
David se cambra et dit "Bien ma salope, c'est bien tu suces parfaitement, continue pompe comme ça tu vas me faire bander encore plus fort, après je te défoncerai encore mieux".
Pendant quelques minutes je continuai mes attouchement lingués puis mon amant se retira et me demanda "Tu veux que je te baise ?
- Oh oui je suis en feu.
- AH AH AH !!, bien tu vas voir après t'avoir bien tringlé ma lance va éteindre ton feu.
- Je l'espère mais surtout baise moi longtemps.
- Bien sur ma cochonne, tu vas voir ce que c'est qu'un mâle en rut, je vais t'exploser le cul.
- C'est tout ce que je demande, je meurs d'envie de sentir ta magnifique bite en moi.
- Tu vas l'avoir ma pute.
- Mets la moi tout de suite.
- Tes désirs sont des ordres ma petite salope, allez écarte bien tes cuisses et offre moi ton trou du cul".
Je repris mes cuisses dans mes mains et les relevai tout en les écartant, David s'approcha et glissa son bout durci dans le sillon de mes fesses et la promena tout le long de ma raie.
Ce contact m'affola et je ne pus m'empêcher de frémir, mon mec s'en aperçut et me dit "Tu aimes ça ?
- Oh oui, c'est bon, ça m'excite".
Pendant quelques temps mon homme continua ces effleurements, j'avais fermé les yeux et savourais le désir qui montait en moi.
Mon amant arrêta les prémisses et positionnant son volumineux gland à l'entrée de mon puits d'amour dit "ça y est elle est prête pour les choses sérieuses. Tu sais ma poule je vais te baiser et te faire jouir comme jamais tu n'as joui, tu vas prendre un pied terrible, détends toi ma salope ma grosse bite va t'ouvrir le cul".
Prenant son sexe d'une main et de l'autre éloignant mes deux lobes charnus David commença à me pénétrer.
Bien qu'étant bien ouvert par les étreintes précédentes je ne pus m'empêcher de pousser un cri de douleur quand la phénoménale tête du Priape écarta mes chairs.
Mon homme s'arrêta et me dit "ça te fait mal, tu vois ce que c'est une vraie bite. Tu veux que j'arrête ?
- Non c'est vrai que j'ai mal mais continue, il faut que je m'habitue à ton calibre.
- Bien ma salope mais n'importe comment je n'aurais pas arrêté, j'ai trop envie de te transpercer le cul.
- Et moi de jouir sous tes coups de pine.
- Alors nous sommes d'accord, serre les dents jusqu'à ce que ton cul soit suffisamment élargi".
Ressortant un peu son gland pour calmer mon mal mon mec appliqua de nouveau son bout durci contre l'entrée de mon tunnel affamé et poussa lentement mais fermement.
Millimètre pas millimètre le fabuleux gland s'introduit ente mes fesses, je me mordais les lèvres pour ne pas crier tant j'avais mal.
Quand la tête fut entièrement en moi de grosses larmes coulaient sur mon visage, mon amant me dit "Pleure ma salope, ça fait du bien, vas-y chiale mais mon gland est dans ton cul maintenant".
David fit sortir et entrer son bout durci pour m'assouplir la pastille puis jugeant que j'étais assez dilaté il m'enfila jusqu'à la garde.
Jamais je ne m'étais senti aussi rempli, j'avais l'impression que mes fesses allaient se détacher et mon sphincter me brûlait.
Mon amant me regarda triomphant et me dit "Alors ma pute, tu as mes 28 centimètres dans ton petit cul tout chaud, tu sais je sens bien ton trou du cul qui serre bien mon zob.
J'aime regarder l'air peureux et soumis d'une salope quand elle a toute ma queue dans son cul. Tu vas voir je vais bien te baiser, je vais te faire gueuler de plaisir ma pute, je vais te casser le fion salope, même si au début ça te fait mal après ton trou sera tellement grand qu'un camion pourra entrer dedans.
- Vas-y défonce-moi, j'ai mal mais je sais qu'après tu vas me faire du bien.
- D'accord morue je vais bien te limer".
Mettant mes jambes sur ses épaules et posant ses mains sur ma taille, mon homme commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque passage des cris de souffrance qui le fit sourire.
Peu à peu mon anus se détendit et le mal diminua faisant place à une douce langueur qui m'envahit de plus en plus à chaque fois que le membre raide plongeait au fond de mon canal en fusion.
Au bout de quelques instants mon anneau céda complètement et le gigantesque phallus put coulisser en moi sans gène aucune me procurant un profond bien être.
Je fermai les yeux et la tête rejetée en arrière je m'abandonnai totalement au raz de marée que je sentais naître au creux de mes reins.
David me possédait avec une régularité de métronome de toute la longueur de son fabuleux pénis.
Chaque fois qu'il s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles bouillonnantes je sentais les testicules poilus caresser mon fessier brûlant.
Mon cops n'était plus qu'un énorme brasier et je savais que seule la bite qui me forait les reins pouvait l'éteindre.
Mon homme me baisait en de lents mais non moins viril coups de reins et je me sentais partir un peu plus à chaque poussée.
Une boule de feu avait pris naissance dans mon bas-ventre et remontait vers mon visage pour éclater en mille étoiles.
Sentir l'extraordinaire hampe aller et venir dans mon rectum tuméfié me procurait un plaisir intense et je me mis à rouler des hanches en cadence venant à la rencontre de la merveilleuse verge qui m'ouvrait un peu plus l'anus chaque fois qu'elle se fichait entièrement en moi.
Dans l'univers ouateux où je me trouvais j'entendis la voix de David dire "Quelle salope, regardez comment elle balance du cul et comment elle en veut, quel cul génial, cette salope baise comme une déesse, c'est une vraie pute. Tiens morue prends ça dans ton cul".
Sous les coups de boutoir répétés je me sentis perdre totalement pied, je me mis à râler tout en serrant et relâchant mon sphincter sur la colonne de chair érigée qui me bourrait.
Mon mec me dit "Bien ma salope continue comme ça, trais-moi la bite, c'est bien ma poule tu me donnes du plaisir. Je vous assure les gars que cette pute c'est de l'or si vous saviez comment elle me presse la bite c'est génial, quelle salope, elle est née pour être une baiseuse".
Les vas et viens de David étaient maintenant plus violent, chaque fois que son énorme phallus s'enfonçait en moi tout mon corps remuait et je poussais des petits cris.
J'avais le trou de balles complètement éclaté, tout mon être était en feu et le moindre contact sur ma peau me faisait frémir.
La bouche grande ouverte je râlai maintenant sans discontinuer savourant le bonheur qui montait en moi par vagues successives.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de bite que je recevais.
Sous les assauts répétés que je subissais je sombrai entièrement dans un monde où seul le plaisir existait, je ne vivais plus que pour et par le superbe Priape qui me ramonait le prose.
David me besognait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, seul comptait pour moi la magnifique pine qui m'ouvrait un peu plus le tunnel à chaque poussée.
Ce que je ressentais était divin, tout mon corps était secoué par des spasmes de félicité, cet homme m'enculait comme jamais on ne m'avait enculé et je me tordais comme un damné sous les puissants coups de reins de mon mec.
Dans la pièce en dehors de mes hurlements on entendait les bruits de succion que faisait mon sphincter chaque fois qu'il avalait l'énorme queue.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Un orgasme fulgurant me balaya, mes jambes battirent l'air, mon corps se tendit comme un arc et un hurlement strident pulsa de ma gorge puis je sombrai dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, je n'étais plus sur le fauteuil mais allongé à plat ventre sur le sol, David était toujours fiché entre mes fesses et me sodomisait doucement de toute la longueur de son sexe démesuré.
Voyant que j'étais de nouveau conscient il arrêta de me baiser et me dit "Alors poulette tu as pris ton pied.
- Oh oui tu m'as fait jouir comme jamais.
- Je t'avais bien dit que j'allais bien te tringler.
- J'ai tellement pris de plaisir que j'ai cru devenir folle.
- AH AH AH !! Regarde même toi tu parles comme si tu étais une gonzesse.
- Mais qu'est ce que je suis, je suis bien sous toi avec ta bite plantée au fond de mon cul, je ne suis qu'une pute.
- J'aime t'entendre dire ça ma salope.
- Mais toi tu...
- Non je ne t'ai pas encore tiré, je vais encore bien te bourrer avant de lâcher la purée.
- Chouette.
- Salope tu es vraiment un trou à bite.
- C'est vrai mais que tu aimes baiser.
- ça c'est vrai que j'aime te baiser ma pute, tu cul est fantastique.
- Merci.
- De rien car c'est vrai, en plus tu baises vraiment comme une déesse et tu sais j'adore quand tu me trais la bite avec ton petit trou.
- C'est vrai ?
- Oh oui c'est divin.
- Comme ça ?
- Ahh salope oui comme ça.
- Je te le ferai encore.
- je l'espère ma poule, bon dis-moi comment veux-tu que je te baise ?
- Je ne sais pas et les autres ?
- Pour l'instant ils regardent, ils apprennent.
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Parce que ils t'ont baisé comme des cons, ils n'ont pensé qu'à se vider les couilles alors qu'une salope comme toi ça se baise à fond comme je le fais en ce moment.
- C'est vrai.
- Voilà donc ils regardent et quand je te tirerai tout à l'heure alors ils auront de nouveau le droit de te monter dessus, mais tu ne m’as pas répondu.
- Ecoute si tu le veux bien et comme pour l'instant je ne suis qu'à toi, j'aimerais que tu me baises de face.
- D'accord".
Sans que nos corps ne se désunissent David me fit mettre à quatre pattes, il passa ses mains sous moi et me souleva du sol puis il me fit tendre les jambes le long de mon corps et enfin me fit pivoter sur sa virilité et me reposa à terre sur le dos.
Je lui souris et ouvris les cuisses, mon amant se coucha sur moi tout en assurant sa prise en moi en se ré enfonçant jusqu'à la garde.
Je nouai mes jambes dans le dos de mon amant, il me sourit et me dit "Tu es vraiment une salope.
- Pourquoi ?
- A peine suis-je sur toi que tu m'enfermes dans l'étau de tes cuisses.
- Tu n'aimes pas.
- Oh si mais ça prouve que tu es la reine des salopes.
- Eh oui.
- Mais ne t'inquiète ça ne me déplaît pas au contraire.
- Ah bon".
Sentir le monstrueux phallus palpiter en moi me procurait un fort désir et je dis à mon homme "Je suis en feu, bouge, baise-moi fort, fais-moi du bien, fais-moi jouir, lime bien ta salope, fais-la crier.
- AH AH AH !! Incroyable je n'ai jamais vu ça, morue tu es franchement une morue.
- Tu as raison mais au lieu de parler si tu me niquais avec ta magnifique queue, si tu me cassais bien le cul, ce serait mieux.
- D'accord salope, je vais te défoncer le fion.
- C'est tout ce que je te demande, sentir ta pine palpiter au fond de mon cul me rend folle de désir.
- C'est vrai tu la sens ?
- Oh oui mais j'aimerais qu'elle bouge.
- Prépare-toi à encaisser une enculade dont tu te souviendras toute ta vie de salope.
- Vas-y explose-moi le derche.
- Je vais d'abord t'amener où je veux".
Prenant appui sur ses coudes, David se pencha sur moi et commença à me pincer la pointe des tétons, aussitôt ceux-ci se dressèrent et durcirent.
Cet attouchement me fit monter encore d'un cran dans le désir et je laissai échapper un gémissement.
Pendant quelques instants mon amant pratique sur moi ses légères caresses, sentir en même temps les mains de mon homme taquiner ma poitrine et son pénis palpiter au tréfonds de moi me procurait un bonheur intense.
Arrêtant ses effleurements mon mec baissa son visage vers moi et entreprit de me lécher et de me mordiller les seins.
Cette douce caresse me mit en émoi et je poussai un lourd gémissement de plaisir.
Longtemps David me suçota les tétons tout en me caressant les cuisses, j'étais en ébullition et de la sueur perlait sur tout mon corps, mon bas-ventre bouillonnait et je sentais autour de mon anneau une exquise sensation inconnue et je dis à David "Tu me rends folle.
- Je le sais.
- J'ai l'impression de mouiller du cul.
- Mais ma salope tu mouilles du cul.
- C'est impossible.
- Mais non, regarde comment tu es en nage, ce qui fait que avec la chaleur que tu dégages c'est comme si tu mouillais du cul.
- Mais...
- Tu sais ma pute, moi aussi c'est la première fois que je vois un pédé jouir comme toi, tu jouis comme une gonzesse, c'est dingue.
- Tu aimes ?
- Oh oui salope car plus tu vas être chaude plus tu vas bien baiser et plus tu vas me donner du plaisir, ce n’est pas un cul que tu as mais une chatte.
- Merci.
- Non tu n'as pas à me remercier.
- Si parce que c'est ce que tu me fais qui me donne un tel plaisir.
- Je le sais.
- Mais tu sais ce que j'aimerais c'est que maintenant tu me baises fort.
- Je vais te baiser fort, je vais te démolir complètement le cul.
- C'est ce que je veux.
- Tu sais ma salope après l'enculade que je vais te mettre jamais tu ne pourras oublier ma bite.
- Casse-moi le cul chéri.
- Oui ma choute".
Prenant appui sur les avants bras David commença à aller et venir lentement en moi.
Les mouvements du puissant phallus au fond de mes entrailles m'amenèrent tout de suite au septième ciel, je posai mes mains sur les épaules musclées de mon amant, fermai les yeux et rejetai la tête en arrière savourant la volupté qui s'emparait de moi.
Sous les coups de boutoir redoublés de mon homme je perdis totalement pied et je me mis à râler langoureusement.
David me possédait de toute la longueur de son sexe démesuré, il le sortit presque entièrement de moi pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Jamais je n'avais ressenti autant de plaisir, le monstrueux membre me fendait un peu plus l'anus à chaque fois qu'il se fichait au cœur de mon rectum en chaleur.
J'avais le sphincter complètement éclaté et je me cambrai encore plus pour accentuer l'angle de pénétration.
Ce que j'éprouvai était si grand que je serrais mon amant dans l'étau de mes cuisses et de mes bras, David avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait en de larges et virils coups de reins.
Tout en moi bouillonnait, je n'étais plus qu'un immense brasier ne vivant plus que pour et par le fabuleux pénis qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus la pastille à chaque poussée.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts que je subissais.
Mon homme avait glissé ses bras sous mon dos et m'avait attrapé aux épaules et me besognait plus vivement, j'avais l'impression que si il continuait de la sorte il allait me déchirer complètement le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment à me baiser comme ça.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement dévasté, seul comptait pour moi la magnifique hampe turgescente qui me bourrait.
La bouche grande ouverte je criais maintenant ma joie à chaque enculade.
Celui qui me chevauchait me baisait maintenant à une vitesse folle, chaque fois qu'il plantait sa superbe bite au fond de mon derrière j'avançais sur le sol.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec me pilonnait l'arrière train, je sentais monter en moi un bonheur immense, dans mon bas-ventre une intense boule de feu avait pris naissance et remontait vers ma figure pour exploser en mille couleurs.
J'étais tellement excité que je me tordais sous mon homme comme une damnée tout en tendant ma croupe vers le colossal phallus qui me creusait les reins.
J'avais complètement perdu le sens des réalités, je n'étais plus que jouissance et chaque fois que la pine raide plongeait au fond de mes entrailles affamées je me sentais défaillir.
David me sodomisait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, et je me mis à rouler des hanches en cadence.
Je hurlai maintenant sans discontinuer, le gigantesque membre érigé me faisait basculer complètement dans le plaisir, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer criant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Soudain s'enfonçant au plus profond de mon canal en fusion David éjacula en feulant, un formidable flot de sperme crémeux m'inonda le fondement me provoquant un orgasme dévastateur.
Mon corps se cambra sous mon amant et je tendis mon cul vers la splendide queue qui se vidait en moi, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai mes ongles dans la chair musclée de mon homme, d ma gorge pulsa un hurlement strident et je retombai lourdement sur le sol flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis le pénis flaccide de mon mec sortir de mon antre et son corps se lever et je restai bras en croix, cuisses écartées et les yeux clos savourant les dernières contractions de bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je revins à la réalité David me dit en souriant "ça y est de retour ?
- Oui, mais tu sais jamais on ne m'a baisé comme tu m'as baisé.
- Merci.
- J'ai joui comme une folle.
- Je le sais j'ai les marques de tes ongles sur mes épaules.
- excuse-moi.
- Non c'est bien la preuve que tu as pris ton pied.
- ça tu peux le dire, tu m'as vraiment détruit le cul mais qu'est ce que ça a été bon, tu es vraiment le roi des baiseurs.
- Je t'avais bien dit que tu allais avoir ton compte.
- On peut dire que tu me l'as donné.
- Je le sais.
- Merci.
- Ce n'est rien car n'oublie pas que toi aussi tu m'as donné beaucoup de plaisir, tu baises comme une déesse.
- Merci.
- Bon maintenant si tu le veux bien les autres ont aussi envie de se vider les couilles, mais si tu es fatigué...
- Non je suis ici pour ça, que celui qui veut baiser vienne, mon cul est là. Comment voulez-vous que je me mette ?
- Reste comme ça, écarte les cuisses et laisse faire, ils vont passer chacun leur tour.
- D'accord".
Pendant longtemps les autres joueurs de l'équipe se succédèrent dans mon cul, je jouis encore mais aucun ne me donna le plaisir que David m'avait donné.
Quand enfin les hommes m'abandonnèrent, j'avais le cul complètement dilaté et douloureux, j'étais rempli de semence de la tête aux pieds mais j'étais comblé.
Je pris une douche, j'avais du mal à marcher et je devais rester les jambes écartées, je me rhabillais et au moment de partir je vis que David était toujours là.
Il me regarda et me demanda "Tu veux boire un verre ?
- Volontiers.
- Je t'invite à la maison.
- D'accord".
Nous allâmes chez lui et après nous avoir servi à boire David me dit "Tu sais j'aimerais te revoir.
- Que veux-tu dire ?
- J'aimerais bien passer une nuit avec toi.
- Tu ne sais pas aujourd'hui, j'ai le cul en compote.
- je sais bien mais...
- Moi je veux bien, comment veux-tu que je refuse de passer une nuit avec un mec qui me baise aussi bien et tu sais si le lendemain je dis avoir le cul aussi cassé qu'aujourd'hui je préfère que ce soit avec toi car ça voudra dire que j'aurais joui toute la nuit.
- Alors c'est d'accord.
- Bien sur mon chéri.
- Alors quand ?
- Ca t'irait jeudi soir ?
- Super.
- Alors d'accord.
Nous nous levâmes, David me prit dans ses bras et m'embrassa avec fougue puis je rentrai chez moi où je passais une partie de la soirée sur le bidet pour soigner mon trou de balles.

à suivre !

 

 

à bientôt ! 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 2 février 6 02 /02 /Fév 23:31

 

 

 

 

 

VOUS AVEZ FAIT LA FETE CETTE NUIT ? 

COMME CA ? 

 

 

 

 

  

 

 

 

                                    

 

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ismyman: I Want!!

 

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Et avec tout ce chahut tout a fini

par l'intervention de la police ! 

Bon dimanche

claudio

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE
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Samedi 2 février 6 02 /02 /Fév 15:37

 

 

Un vampire séduit ses victimes et leur laisse croire qu'il est un humain comme les autres, en plus beau, plus doux, plus doué, mieux doté aussi. Lol  Il laisse ses victimes exangues et condamnées à une errance nocturne,  devenues victimes à leur tour elles mordent leurs proches pour boire leur sang. Caleb en a-t-il conscience ou bien obéit-il à une pulsion suicidaire ? Bien d'autres questions encore.

 Rappel, Caleb et Lucien le vampire sont au lit dans une scène très chaude...

 Il gémit, se cabra haleta sous la caresse intense  et sa respiration s'arrêta à plusieurs reprises  tandis que son souffle devenait sifflant. Son coeur battait à tout rompre vu l'intimité de la situation.

 Croyez-vous qu'il soit facile de se donner à un vampire en oubliant les conséquences pour sa vie ? Croyez-vous que Lucien, dont les liaisons avaient toujours une fin tragique et qui aimait Caleb, ne fût pas ému à l'extrême en faisant le "Don" qui pourrait paraître fatal aux yeux d'un mortel ?  Eros et thanatos avaient toujours été présents dans sa vie de vampire mais là le véritable amour était survenu. 

Caleb cependant était entré de plain pied dans l'érotisme sombre et ardent comme l'enfer de son partenaire surnaturel. Et là, son cerveau en était paralysé, seuls ses sens parlaient et encore ne commandaient-ils plus. Oui, quand même : il ne pensait pas que sa verge puisse durcir encore et, maintenant on aurait pu planter des clous avec !

Les jambes de Caleb reposaient sur le dos de son comagnon tandis que ce dernier continuait à explorer silencieusement sa petite "entrée".

Sa langue tourbillonnait et taquinait, lubrifiant doucement l'orifice secret de Caleb.  Ce trou était propre et chaud et avait conjointement un goût de musc et de savon où Monsieur le vampire aima plonger ses narines. L'érection de Lucien frôla le couvre-lit en coton et cela provoqua chez lui une contraction du diaphragme. Il le désirait violemment maintenant et voulait couler sa bite profondément dans Caleb et baiser l'homme jusqu'à ce qu'il ne puisse plus marcher droit. 

"Lucien, s'il te plaît" murmura Caleb, quand par pure compassion le vampire caressa du bout des lèvres son membre fuyant copieusement de sa mouille.

Ca ce n'était pas bon, il était sur ​​le point de venir, mais son corps ne le laisserait pas faire. Sensation insupportable de séquestration des sens qui augmentait son désir tandis qu'il sentait bien que ses propres actions physiques ne lui permettaient plus de parvenir à l'orgasme, pas maintenant. La caresse sur son sexe lui plaisait hors de toute mesure, ainsi que l'épanchement de sève qu'elle provoquait tout en n'apportant aucun soulagement à sa tension extrême. Caleb arriva au bord des sanglots ce qui ne se serait jamais produit avec un autre partenaire. Seul Lucien Quatermain pouvait le mettre dans un tel état : le surnaturel se conjuguait aux gestes d'excitation ordinaires pour faire sortir de lui-même le mortel vampirisé au bord d'une éjaculation...interdite !  

 

La langue de Lucien traîna encore une fois à l'entrée de Caleb une fois de plus avant de s'installer à l'intérieur pour y faire des va et vient dont seul un serpent serait capable. L'une des jambes de Caleb était autour de la taille de Lucien et lui permit d'attirer au plus près leurs deux érections. Les deux hommes eurent le souffle coupé au contact. C'était un tel pur bonheur que Caleb prit les deux verges dans une main et lentement les caressa, mêlant leurs deux precums. Le contraste de leur corps n'a pas échappé à Lucien. Caleb était bronzé tannée et n'avait que peu de poils tandis que Lucien était imberbe et de la couleur de l'ivoire. Alors que Caleb n'avait pas de cheveux, Lucien avait un petit sentier ombré menant à sa queue. Comme ils étaient tous les deux différents, mais parfaits pour l'autre. Lucien libéra sa queue de l'emprise de Caleb et plaça son gland directement à l'entrée du jeune homme en frottant de haut en bas, puis en avant et en arrière répandant encore plus de liquide séminal sur l'ouverture plissée. Lucien savait que Caleb était prêt du fait du soin particulier qu'il avait apporté à ouvrir  le garçon. Toute cette longue préparation qu'avait faite Lucien pour en venir à ses fins.

Caleb tenta de faire bouger ses hanches et s'empaler lui-même sur la queue du vampire, mais Lucien maintint la taille du garçon en veillant à ce que tout ce qu'il pouvait faire était de se "chatouiller" sur le membre d'acier. 

"Dis-moi combien tu me veux Caleb" demanda Lucien à son ami avec une convoitise non dissimulée de sa voix profonde. Il tira sa queue le faisant glisser sur le trou de Caleb. Notre homme gémit et poings enfoncés dans la couette il pria : "J'ai besoin de toi Lucien, de toi seul; j'ai besoin de toi en moi" Lucien se rapprocha de Caleb, presque prêt à entrer et obtenir ce qui désormais allait être à lui ; "J'ai besoin de toi pour enlever ce mal, j'ai besoin de savoir que je suis à toi"...

 Traduit de l'anglo-américain par claudio

claudemodou@gmail.com

"dis-moi quetu la veux..."

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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