suite de la partie 5a... et la baise n'est pas
finie...rappel : Sous les assauts redoublés de l'énorme pénis qui me forait m'ouvrant un peu plus la pastille à chaque poussée, je sombrai totalement et je me mis à délirer braillant toutes
lesphases par lesquelles je passai. Soudain un spasme fulgurant me transperça, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai
mes ongles dans la chair des épaules de David, mon corps se tendit comme un arc,
un hurlement aigu jaillit de ma gorge et je retombai lourdement sur la couche
perdant connaissance.
Quand je rouvris les yeux j'avais les cuisses écartées sur le lit, David était toujours sur moi
immobile, son fabuleux phallus fiché au fond de mon cul dilaté à l'extrême, il
me dit "ça y
est de nouveau parmi nous ?
- Oui.
- Je suis bien comme ça enfoncé dans ton petit trou.
- Moi aussi j'aime sentir ta bite palpiter en moi mais tu sais je préfère
quand elle bouge.
- Je le sais.
- Tu m'as encore fait bien jouir.
- Je le sais aussi, tu m'as encore griffé les épaules.
- Mon pauvre chéri.
- Mais non ça prouve que tu aimes ce que je te fais.
- Oh oui quand tu me baises je crois devenir folle de
plaisir.
- Merci mais tu sais que toi aussi tu me donnes beaucoup de plaisir, ton cul
est génial
surtout quand tu me trais la bite comme tu l'as fait, j'ai l'impression qu'en
plus de te baiser
tu me branles.
- Je suis contente que ça te plaise.
- Oh oui ma salope et tu sais j'adore quand tu parles de toi au
féminin.
- C'est normal, qu'est ce que je fais là, je suis bien sous toi en train de me
faire baiser.
- Oui mais j'aime quand tu parles comme ça.
- Tu sais je me sens comme ta femelle.
- Tu as raison mais tu sais il n'y a pas que ton cul, il y a ton corps tu te
tords de plaisir
comme une pute en chaleur.
- Mais quand tu m'encules je suis une pute en chaleur.
- C'est vrai mais je t'assure tu baises comme une gonzesse et quand je
t'entends crier de
plaisir, ça me donne encore plus envie de te baiser.
- Je l'espère car j'aime quand tu me baises comme tu me
baises.
- Et moi j'adore te baiser ma salope.
- Mais tu es encore tout dur.
- Bien sur si toi tu as pris ton pied, moi pas encore.
- Mon pauvre, tu dois avoir envie de tirer.
- Pas tout de site je veux encore bien te baiser avant de lâcher la
purée.
- Alors ne perdons pas de temps baise-moi et surtout baise- moi fort, je veux
que tu
m'éclates complètement le cul.
- Ne t'inquiète tu vas avoir le cul éclaté.
- C'est tout ce que je veux.
- Alors allons-y ne laissons pas attendre ma petite salope.
- Oui baise-moi fais-moi du bien.
- Veux-tu changer de position.
- Si tu veux mais moi j'aime bien celle ci, comme ça tu me baises comme si
j'étais une
femme et puis j'aime voir ton visage quand tu me défonces.
- Moi aussi j'aime bien voir ta figure déformée par le plaisir, mais je ne
suis pas trop lourd
sur toi.
- Oh non j'adore sentir le poids de ton corps sur le mien, je sens que tu me
possède
totalement, je suis tienne.
- Alors restons comme ça".
Je renouai mes cuisses dans le dos de mon amant et David recommença à me
besogner
en de larges et virils coups de reins.
Le désir un instant retombé après le fade que je venais de prendre s'insinua
de nouveau
dans mon corps enfiévré.
Sous les rudes assauts répétés de mon amant je sombrai de nouveau dans le
plaisir, je
fermai les yeux et me délectai de la vague de félicité que je sentais monter
en moi.
Mon homme m'avait pris aux épaules et m'amenait vers lui chaque fois qu'il
plantait son
énorme dard au fond de mon cul tuméfié.
Chaque fois qu'il s'enfonçait au cœur de mes entrailles incandescentes je
sentais ses
testicules durs et gorgés de sève frapper contre mes fesses
bouillantes.
Mon mec se ruait dans mon fondement avec une rare violence, je me dis que s'il
continuait
de la sorte il allait me déchirer le trou mais ce qu'il me faisait était
tellement bon que je
voulais qu'il continue éternellement.
Je serrais mon homme dans l'étau de mes cuisses comme si je voulais
l'éperonner pour
qu'il me baise encore plus fort.
Dans la pièce en dehors de mes hurlements de louve en chaleur on entendait les
bruits de
succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait la monstrueuse queue
qui me
fendait le rectum.
Tout à ma jouissance je roulais des hanches en cadence tendant ma croupe
brûlante vers
la magnifique verge qui me ramonait le prose jusqu'à plus
jouir.
La bouche grande ouverte je bramais sous les rugueux coups de boutoir répétés
que je
recevais.
Je ne vivais plus que pour et par l'imposant pénis qui me forait les reins
sombrant de plus
en plus dans l'univers cotonneux du bonheur.
David me besognait avec des "HAN" de bûcheron, voir son visage grimaçant me
faisait
savoir que lui aussi prenait un superbe pied à me piner la raie comme il le
faisait.
Sans que je m'en aperçoive mon sphincter se mit à presser le membre turgescent
qui me
limait et à me tordre comme une damnée sous celui qui me
chevauchait.
J'étais complètement en sueur et seul comptait pour moi la fabuleuse hampe
dressée qui
me bourrait le cul, tout mon intérieur n'était qu'un énorme brasier et j'avais
l'impression que
de la lave en fusion coulait dans mon fondement dévasté.
Chaque fois que la formidable bite s'enfonçait dans mon antre béante je
perdais un peu
plus le sens des réalités.
Je ne savais plus depuis combien de temps David m'enculait et je commençai à
sentir des
tremblements m'envahir, signe annonciateur d'un bonheur
immense.
David était un baiseur formidable, aucun de mes autres amants ne me donnait
autant de
plaisir que lui, ce que je ressentais était sublime.
Soudain s'immobilisant au fond de mon cul en feu mon amant me prit dans ses
bras et me
fit pivoter autour de sen sexe, je me retrouvai à plat ventre, il replia mes
jambes sous moi
de telle sorte à ce que je me retrouve la tête sur le drap et le cul en
l'air.
Posant ses mains sur mon dos mon mec se mit à me pilonner l'arrière train avec
une
violence incroyable.
Chaque fois que mon homme plongeait son superbe phallus au fond de mes
entrailles,
son ventre musclé claquait contre mon fessier rougi à me faire
mal.
Me cambrant à l'extrême et ondulant de la croupe je me mis à
délirer.
C'est alors que s'enfonçant au fond de mes entrailles bouillonnantes David
éjacula en
feulant, son abondant flot de semence crémeuse fusant contre mes parois
surchauffées
me provoqua un orgasme destructeur, je griffai les draps, tendis mon cul vers
le membre
qui continuait à se déverser en moi pour accentuer la pénétration, un
hurlement strident
pulse de ma gorge et je m'écroulai sur e lit entraînant dans ma chute celui
qui me
chevauchait.
Je sentis David se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses
écartées savourant
les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle
ravagée.
Quand je revins à la réalité David rentrait dans la chambre, il avait été se
laver le sexe mais
ce qui me frappa c'est qu'il bandait encore, il me sourit et me demanda "Alors
salope
contente, tu as été bien baisé ?
- Oh oui, qu'est ce que tu 'as mis, j'ai cru à un moment que tu allais me
déchirer le cul.
- Mais non ton cul est bien plus solide que tu le penses.
- Et toi est-ce que tu as pris du plaisir.
- Oh oui d'ailleurs tu as du sentir la giclée que je t'ai envoyé dans les
fesses.
- Oui tu m'as complètement inondé, d'ailleurs je fuis un peu.
- AH AH AH !!
- Mais toi tu bandes encore.
- Oui.
- C'est fou.
- Pourquoi tu es déjà fatigué.
- Non pas du tout au contraire j'espère que tu vas encore me baiser toute la
nuit.
- Ne t'inquiète pas, tu seras satisfait.
- Je ne demande que ça mais ce qui est fou c'est que juste après avoir tiré un
coup tu
bandes déjà.
- Eh oui je ne suis pas un petit kiki moi.
- ça je le sais.
- Bon puisque je bande et que ça t'intrigue, viens donc te prosterner devant
ce qui te donne
tant de plaisir et que tu aimes avoir dans le trou du cul et suce
le.
- Avec joie.
- Non avec la bouche, allez salope viens prendre ton
biberon".
Je m'agenouillai devant mon amant, caressai ses bourses duveteuses et portai
un coup de
langue sur le gland turgescent.
Cette caresse fit dresser le sexe encore plus, j'ouvris tout grand la bouche
et engloutis
l'objet de ma dévotion.
J'enroulai ma langue autour de la colonne de chair érigée, le mordillai et
entamai une lente
fellation.
Je suçai le gros membre dressé pendant quelques minutes puis David plaqua mon
visage
contre son pubis et m'envoya une abondante giclée se liqueur crémeuse dans la
gorge
que j'avalai avec délectation.
Après avoir cajolé le pénis devenu à demi flaccide je m'écartai e mon homme et
me relevai.
Mon mec me dit "Tu suces vraiment comme une déesse ma salope, tu as vraiment
une
bouche à pipe.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir aussi bien pompé.
- C'est normal toi tu me baises bien et moi je te suce bien.
- Tu as raison, bon maintenant afin d'être en forme toute la nuit on va
dîner.
- D'accord.
- Va donc te laver pendant que je prépare.
- A tout à l'heure chéri.
- A tout à l'heure ma salope".
J'allai dans la salle de bains et entrepris de rendre à mon corps une propreté
toute
suédoise.
Après m'être bien lavé et séché je retournai dans le salon, David avait mis la
table et étais
en train de servir deux verres de whisky, il avait du se caresser car il
bandait de nouveau.
Il me sourit et me dit "Alors toute propre la belle petite cochonne
?
- Oui ça fait du bien.
- Allez viens prendre un verre.
- Avec plaisir, qu'est-ce qu'on mange ?
- Du jambon et des fruits.
- Bien mais je ne vois qu'une seule assiette.
- Tu as raison, il n'y a qu'une seule assiette car j'ai imaginé un moyen
amusant pour
manger.
- Ah oui ?
- Oui.
- Comment ça ?
- Simple, je vais m'asseoir et tu vas te mettre sur mes genoux en t'empalant
sur ma queue,
on va rester immobile, je vais te donner à manger et pendant tout le repas tu
auras ma pine
plantée au fond de ton cul. Ca te va ?
- Super et pourquoi ne pas commencer pendant l'apéritif ?
- Salope plus on t'en donne plus tu en veux.
- Eh oui comme tu le dis tout le temps je suis une salope mais peut-être que
tu ne te sens
pas capable de rester dans mon cul aussi longtemps sans
tirer.
- Petite pute, tu sais bien que je suis capable de rester longtemps dans ton
cul même en
te limant, d'ailleurs tu vas le voir cette nuit, je vais te défoncer tellement
que demain tu ne
pourras pas marcher.
- Même si je dois marcher à quatre pattes je veux avoir le cul défoncé par toi
chéri.
- Je le sais salope, allez prends ton verre et viens prendre ton
suppositoire.
- AH AH AH !!".
David s'assis sur la chaise, je le suivis et lui présentai mes fesses, il me
mit une claque
retentissante dessus et guida son énorme membre dans ma raie.
Quand le gland fut contre mon antre je descendis dessus.
Etant encore bien ouvert par la séance précédente le fabuleux pénis entra en
moi comme
dans du beurre et je ne pus m'empêcher de gémir quand je sentis la bite
prendre
possession de mon canal.
Aussitôt mes fesses devinrent chaudes et je sentis un désir fort monter en
moi.
Mon amant s'en aperçut et me dit "On dirait que ma petite salope aime bien son
siège.
- Oh oui que c'est bon de sentir ta pine entrer comme ça dans mon trou du cul,
mais tu
sais il n'y a qu'avec toi que je me sens rempli comme ça.
- C'est normal tu as vu la taille de mon engin.
- Oui il est énorme.
- Et ton cul l'aime bien.
- Mon cul adore ta bite.
- AH AH AH !! Tu vas voir ma petite poulette il va encore beaucoup aimer cette
nuit.
- Je ne demande que ça.
- Je le sais salope, allez buvons et mangeons".
Après avoir bus nos verres David me donna à manger, sentir l'immense verge
érigée
palpiter au fond de moi me mettait dans tous mes états et un fort désir
montait en moi.
Je fus très vite en nage et commençai à me tortiller tout en actionnant les
muscles de mon
sphincter autour de la colonne de chair plantée en moi.
David me dit "Mais tu triches petite salope, je t'avais dit de rester
immobile.
- Mais je ne bouge pas.
- Si tu tortilles du cul et tu es en train de me traire, tu crois peut-être
que je ne sens rien.
- Je n'y peux rien, je suis en feu et j'ai envie d'être baisé comme une pute
que je suis.
- Un peu de patience salope et je vais te baiser.
- Dépêche-toi j'ai très envie.
- Salope.
- Oui salope mais salope en chaleur alors si je suis là c'est pour être baisé
par toi alors
baise-moi.
- Ah tu veux être baisé, d'accord".
Mon amant me prit à la taille, il se leva et sans que son pénis raide sorte de
mon cul il
marcha dans la pièce et s'arrêta devant le mur, il me posa à terre et me dit
"Appuie tes
mains contre le mur, cambre toi et tends ton cul je vais te bien bourrer ma
salope".
J'obéis et David commença à me posséder à une vitesse folle, le désir qui me
tenaillait
depuis le repas envahit mon être et je me mis à onduler sous les coups de
boutoir que
mon amant m'assénait.
Les mains crispées sur mes hanches mon homme me baisait de toute la longueur
de son
fabuleux phallus en de rudes poussées.
Chaque fois que mon mec plantait son sexe au fond de mon rectum en feu je
décollai de
terre.
Sous les assauts furieux de David je me sentis partir encore fois dans la
jouissance, le
ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal,
je devais
me tenir au mur pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je
tendais mon cul
au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la
pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses
viriles
poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce
magnifique
phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue
indéfiniment, les coups de
reins de mon amant étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au
creux de mes
reins, mes pieds décollaient du sol, s'il continuait comme ça il allait me
déchirer mais
c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où
seule comptait ce
formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je
me mis à
hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je
passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier mon homme éjacula en râlant, ses épais
jets de
semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme
foudroyant, un
orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je
tendis
mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon
tunnel
surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes
cédèrent et je
m'écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de
retrouver ma
respiration.
Quand je rouvris les yeux, David me regardait en souriant assis sur un des
tabourets du
bar, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait apaisé et gluant, je
regardai mon homme
je lui dis "Ouah tu m’as défoncé comme jamais on ne m’a
défoncé,
le fade que j’ai pris !!..
- ça me fait plaisir.
- C’était sublime.
- Je suis content que tu ais aimé.
- Aimé mais c’est beaucoup plus que ça, adoré tu veux dire.
- Je m’étais promis de te faire monter au septième ciel.
- Tu as réussi, je me demande même si je suis redescendu.
- Merci ma chatte.
- Je t’assure c’est la vérité.
- Veux-tu boire quelque chose ma biche ?
- Un petit whisky s'il te plaît mon amour.
- ça arrive".
Quelques instants après il m'amena mon verre et nous bûmes en silence en
fumant une
cigarette puis mon amant me dit "Allons prendre une douche avant de nous
mettre au lit.
- Oui, c'est une excellente idée".
Nous passâmes dans la salle de bains, après avoir pendant de longues minutes
livrés
nos corps à un jet d'eau chaude, nous nous savonnâmes abondamment pour
éliminer les
toxines de nos ébats, je savonnai bien le gland de David pour lui rendre une
propreté tout
suédoise, le membre se tendit aussitôt pour reprendre sa taille phénoménale
mais mon
mec me fit tourner et entreprit à son tour de me nettoyer le
fessier.
Quand il arrêta, j'étais de nouveau dans un état d'excitation extrême mais
David actionna un
robinet qui propulsa sur nous une pluie d'eau fraîche qui me calma
instantanément.
Quand nous sortîmes de sous la douche, j'étais bien reposé, je ne ressentais
plus du tout
la fatigue causée par la dépense d'énergie ayant eu lieu quelque temps plus
tôt, nous nous
séchâmes et je vis que le pénis de mon homme, si il n'était plus aussi tendu
que tout à
l'heure, n'était pas flaccide, je me baissai et déposai un baiser sur son bout
durci puis
partis me mettre au lit.
David me rejoignit quelques instants après et s'allongea à mes côtés, il
éteignit la lampe
de chevet et se tourna vers moi pour m'embrasser, quand ses lèvres se posèrent
sur les
miennes j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un
baiser
passionné.
Quand mon amant abandonna mes lèvres, j'avais le souffle court et une étrange
langueur
prenait naissance dans le creux de mes reins embrasant tout mon corps, je
sentais contre
ma hanche palpiter le phallus érigé de mon homme, je le caressai quelques
minutes puis
ouvrant largement les cuisses je dis à David "Viens,
prends-moi".
Il ralluma la lumière, prit des coussins qu'il glissa sous mes reins de sorte
à relever mon
postérieur puis s'agenouilla entre mes jambes.
Il humecta son gland de salive et du bout de son membre turgescent se mit à me
caresser
la raie, s'arrêtant de temps à autre contre ma corolle affamée, tandis que de
l'autre main il
excitait mes tétons à travers. Je ne sais combien de temps dura ces
attouchements mais
je me mis à râler, ma peau était si sensible que le moindre contact me faisait
frémir, j'avais
pris mes cuisses sous les genoux et le relevai écartant mes fesses pour offrir
plus encore
mon œillet à ces caresses, j'avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui
montait en moi
par vagues successives.
Trouvant à mon attitude que les prémices avaient assez duré, David positionna
son priape
contre mon anus et se mit à peser dessus, La bite lubrifiée par la salive et
la transpiration
émanant de mon corps entra dans mon cul comme dans du beurre, l'intromission
fut très
longue et quand je sentis les bourses pleines de sève de mon mec contre ma
croups, je
sus qu'il m'avait enfessé totalement, je nouai mes jambes dans son dos et mes
mains
courraient amoureusement sur ses flancs.
Je sentais dans mon fondement palpiter l'énorme pine, prenant appui sur ses
avant-bras
mon amant commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque va
et viens
de lourds râles de bonheur, la fabuleuse verge coulissait sans aucune gène
dans mon
fourreau entièrement dilaté me portant au summum du plaisir, je planais
littéralement sous
les coups de boutoir que m'assenaient mon homme, mes râles s'étaient mués en
cris de
bonheur et je roulai des hanches en cadence tendant mon derrière vers cette
magnifique
queue qui me forait les reins, David avait lové sa tête dans le creux de mon
épaule et me
pilonnait le cul de toute la longueur de sa hampe tuméfiée.
Chaque fois que son pieu de chair plongeait au tréfonds de mon intimité je me
sentais
perdre pied un peu plus, je me tordais comme un damné sous celui qui me
montait, je ne
vivais plus sue pour et par cette merveilleuse pine qui me bourrait si bien,
mon homme me
tringlait maintenant à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre
mes fesses
bouillantes à me faire mal, j'avais le trou complètement éclaté et je bramais
sous les
assauts répétés qui me faisaient décoller sur la couche chaque fois que le
monstrueux vit
se plantait au fond de mon sphincter démoli, je ne savais plus depuis combien
de temps
cette biroute roide me limait mais je voulais que ça dure indéfiniment tant le
plaisir que me
procurait ce sexe était grand, j'avais l'impression que de la lave coulait de
mon canal
dévasté, mon mec me possédait avec des "HAN" de bûcheron m'amenant au
paroxysme
de la jouissance, j'avais atteint la plénitude rectale et je hurlai sans
discontinuer, mon
amant avait pris mes jambes et les avait relevé jusqu'à ce que mes genoux
touchent
presque mon visage de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour
accentuer
l'angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe, s'il
continuait comme ça il
allait me déchirer le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il le fasse,
ma tête ballottait de
droite à gauche la bouche grande ouverte.
Sans que nos corps ne se séparent, David me fit tourner sur sa hampe et se
leva de telle
sorte que je me retrouvai sur les mains, les cuisses autour de la taille de
mon mec, celui-ci
bien planté sur ses jambes commença à me ramoner le prose violemment, chaque
fois
que sa grosse pine se fichait au plus profond de mes entrailles je mordais les
draps pour
ne pas hurler, j'avais atteint le point de non-retour et sous les assauts
répétés, le plaisir
embrasa mon être et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de ma grotte et me
plaquant contre lui
que David éjacula en râlant, ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le
long de mes
parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant, l'air me manqua, mes
mains
se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute
celui qui me
chevauchait, mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa
de ma
gorge, je griffai les draps puis sombrai dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, mon mec était toujours planté entre mes fesses, il se
retira et me dit
"Ça t'a plu ?
- Ce fut merveilleux, tu m'as baisé comme un dieu.
- Merci chérie, mais il faut dire que tu as un cul de rêve.
- C'est possible, mais ce faire enculer par une bite comme la tienne mérite
qu'on y mette
du sien mon amour.
- Oui, je pense que je ne baise pas mal.
- Pas mal ! Mais tu plaisantes, jamais on ne m'a baisé comme toi, et pourtant
je sais de
quoi je parle, tu es le meilleur
- Si tu le dis, je veux bien te croire, mais disons que toi non plus tu n'es
pas mal comme
baiseuse, je dirais même que tu es extra.
- Merci mon chou".
Après avoir fumé une cigarette et bu un verre, nous refîmes l'amour, dans la
nuit David me
prit à quatre reprises me faisant admirablement jouir chaque
fois.
Quand au petit matin, nous nous endormîmes épuisés, j’étais rempli de sperme
de la tête
aux pieds, j’avais le cul complètement éclaté mais j’étais
comblé.
à suivre si vous aimez...
et si vous aimez, il n'est pas interdit de le dire !
Derniers Commentaires