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SYNOPSIS DU FILM - Quelle est l'histoire de "He's My Girl"?
He's My Girl, film complet - Bryan et Reggie sont deux bons amis qui sont impliqués dans le business de la
musique dans le Missouri. Reggie Bryan s'inscrire à une compétition à Los Angeles et il gagne. Bryan veut prendre sa partenaire avec lui, mais il ya un inconvénient, elle doit être une fille.
Alors Reggie a décidé de se déguiser en fille. Quand ils arrivent à Los Angeles, l'organisateur de la compétition vole la chanson de Bryan pour la donner à son étoile, Simon Luge que Bryan
et Reggie doivent pourchasser dans toute la ville. Vous pouvez regarder He's My Girl en streaming dans le câble TV ou cinéma en Suisse et en France avec son original en Anglais. Vu
sur HBO, ce film entier a été présenté dans le cinéma canadien ou français en 1987. L'édition Blu-Ray et DVD édition du film complet en version originale a été vendue peu de temps après sa sortie
officielle dans les salles suisses.
It was love for the first time C'était mon tout premier amour Did not know what I had in store Je ne savais pas ce que j'avais en magasin Big arms, big legs, big feet Grands bras, grandes jambes, grands pieds But I could not see Mais je ne pouvais pas voir Just what she hid Ce qu'elle cachait Behind her door Derrière sa porte
[Chorus] [Refrain] And my heart stopped Et mon coeur s'est arrêté de battre And my blood pressure dropped Ma pression sanguine a chuté Oh what a shock ! Oh quel choc ! (You know) he's my girl (Tu sais) Il est ma copine I'm a good man Je suis un bon gars So when she held my hand Donc quand elle m'a pris la main That's when I knew C'est là que j'ai su That he's my girl Qu'il était ma copine
I could be fooled by first impressions J'aurais pu être trompé par les premières impressions It's true when they say love is blind C'est vrai quand on dit que l'amour est aveugle Behind the pearls, the hair and long fingernails Derrière les perles, les cheveux et les longs ongles des mains Little did I know what I would find J'étais loin de savoir ce que j'allais trouver
[Chorus] [Refrain] He's my girl, waouh Il est ma copine, waouh
Ooh baby what you do to me Ooh bébé qu'est-ce que tu me fais You got me going, got me on my knees Tu me mets, me mets à genoux Ooh baby, tell me please Ooh bébé, dis-moi s'il te plaît Is he a she, is she a he Est-ce que il est elle, ou elle est il I guess it doesn't matter to me Je supporse que ça n'a pas d'importance pour moi (Cause) he's my girl (Parce que) il est ma copine
[Chorus] [Refrain]
It might be too late Ça doit être trop tard But by some strange twist of fate Mais par quelque étrange coup du sort Here is my date Voici mon rencard (You know) He's my girl (Tu sais) Il est ma copine
That was one kiss Il y a eu un seul baiser That I'm glad I missed Que je suis heureux d'avoir raté He's hard to resist C'est dur de lui résister (You know) he's my girl (Tu sais) Il est ma copine
[Chorus] [Refrain]
(1) Ce titre figure aussi sur la BO du film du même nom où David Hallyday a le rôle principal. C'est l'histoire de 2 copains qui participent à un concours de musique réservé aux couples. Donc
le copain de David Hallyday doit se déguiser en fille, ce qui entraîne une série de quiproquos...
En savoir plus sur http://www.lacoccinelle.net/271181.html#D1xQ83Bsifm6DWcQ.99
attention certaines vidéos des articles ne fonctionnent qu'en
cliquant sur l'image , puis sur "lecture" quand la flèche de démarrage est absente ATTENTION : PRODUITS ILLICITES ET DANGEREUX Se slammer est considéré par
certains comme le moyen le plus rapide de se donner des sensations et d'enchaîner les partenaires sexuels, jusqu'à cinquante dans un week-end.
Tout ça illustre l'envie instinctive que chaque passif éprouve d'avoir ses entrailles inondées un max en nombre de fois et en
quantité avec le lait de la nature en même temps que les actifs éprouvent le désir de se procurer un max de pénétrations et d'éjacs.
Pierre (5 km de Cavaillon, dans le 13) : « Quand j'étais trouffion
j'avais mes habitudes, de nuit, sur une «tasse » dans les WC d'un parc de la ville (oh pas ici, dans le Nord. Une nuit je me suis pris tant de bites dans le cul, peut-être 30 ?
peut-être plus ? Que je saignais. J'ai rien fait, en 2 jours ça a passé. J'avais une vingtaine d'années. Peut-être ça guérissait plus vite, maintenant je sais pas. Ca c'est vrai je
jouis bien du cul.
J'ai jamais pris la moindre drogue, ni fumé, ni bu : j'ai jamais imaginé
que ça m'apporterait plus de jouissance. Je crois avoir raison.
Alerte au slam : la drogue du sexe s'est répandue depuis plusieurs années en Languedoc-Roussillon et pas que !
La méphédrone est accessible très facilement sur internet. (lu dans Midi-Libre)
"Le phénomène de la drogue du sexe fait des ravages dans la région. Il touche surtout des hommes ayant des rapports avec d'autres
hommes, pour des marathons sexuels de 24 h ou 48 h."
Des communautés festives qui soulignent l'idée que, comme on ne vit qu'une fois, il faut vivre intensément
et à bas les tabous
"Se slammer, c'est utiliser un produit psychoactif de synthèse,la méphédrone , à des fins de stimulation sexuelle. Le phénomène touche
surtout des hommes ayant des rapports avec d'autres hommes, pour des marathons sexuels de 24 h ou 48 h",
"Le participant sera immédiatement entouré par trois hommes qui ne perdront pas
de temps et vont utiliser tous les orifices en même temps. Comme il cajole les uns et les autres son
cul et la bouche sont remplis non-stop tout le temps dès le début il fait en sorte que son trou soit assez humide et glissant en utilisant le sperme de l'autre
pour le lubrifier jusqu'à ce qu'il soit vraiment INONDé et débordant".
Que personne ne voie dans ces images la moindre notion d'incitation à user de produits interdits et dangereux pour la santé
Pour les adeptes on peut aussi se slammer en sniffant, en se pluggant et boire de
l'alcool simultanénément
Certaines images explicites sont des gifs recueillis sur le net, certaines sont des vidéos avec ou sans flèche
blanche de démarrage. En cliquant sur l'image apparaît le bouton "Lecture" ("Suspendre" pour arrêter) Le son est contôlé alors par "Activer/Désactiver
Muet"
Vous vérifierez que cette image ci-dessous est un gif et non une vidéo.
shootés
tous deux par notre plaisir
partagé
Vidéo d'un JH qui rêve au vu des images :
Ci-dessus vidéo. On observera le changement apès injection.
Scène de gang-bang lecture automatique : rien ne prouve la consommation d'un produit quelconque
Se slammer est considéré par certains comme le moyen le plus rapide de se donner des sensations et d'enchaîner les partenaires sexuels, jusqu'à cinquante dans un
week-end
comme lors de tous nos précédents RV on baisait avec passion et rien -sinon la mort ?- ne nous aurait arrêtés ...ainsi va la vie ... on
avait raison : la vie passe si vite !
la cicatrice du ciel le 22 septembre "Raymond-coeur-de-loup" -EN MEME TEMPS- me prenait, me prenait, me prenait...
MOMOND (RAYMOND)
_Momond, alias Raymond, alias Ramon : comme il vous plaira : je dois brouillr les pistes car, s'il revient par chez-nous, il se
reconnaîtra_______________________________>
J'ai évoqué Momond dans un autre article. Le présent récit est le plus authentique possible.
Je draguais souvent en ces lieux
Ci-dessous cette photo du film "L'Inconnu du Lac"me rappelle le moment ou Momond et moi avons fait connaissance.
On était alors chacun plus jeune que les deux acteurs ci dessous du film "L'Inconnu du Lac"ily a qq temps sur les écrans.
désolé c'est espagnol mais le trailer français n'a vu dans le film que le polar...moi non !
L'INCONNU DU LAC, au cinéma le 12 juin 2013. Un film que la bienpensance s'est empressée de cacher.
L'été. Un lieu de drague pour hommes, caché au bord d'un lac. Franck tombe amoureux de Michel. Un homme beau, puissant et mortellement dangereux. Franck le sait, mais il veut vivre cette
passion.
L'inconnu du Lac Extrait # 2 (celui de dailymotion ) "Je te jure qu'il est bizarre..."
Un film réalisé par Alain Guiraudie, avec Pierre Deladonchamps, Christophe Paou, Patrick Dassumçao, Jérôme Chappatte, Mathieu
Oh, sur la drague tout va très vite et même si vous êtes plutôt timide dans la vie sociale, ici chacun sait pourquoi l'autre est là.Surtout si
on sait soi-même pourquoi on est là ! lol. Je dis ça parce qu'il y a aussi les hésitants qui savent pas eux-mêmes pourquoi ils draguent. Nous non. Il y avait sa moto genre moto
cross cachée dans les buissons, et lui était assis au bord du lac N° 3 que forme la Durance sur cette route dévolue à la
drague en ces temps-là. Je me suis assis près de lui et j'ai contemplé le lac....
- Bonjour ! - on se connaît ? Je t'ai jamais vu ici. - Je viens pas souvent. Toi oui ? - Quand je peux. Tu dragues ? - je réponds
oui dans un souffle et un hochement de tête.
Il a l'air tranquille Il est costaud, moi plus fluet. Nos mains on joué les éclaireurs.
Il m'a dit que j'étais beau, m'a demandé si j'étais étudiant ... (étudiant en médecine ??? pkoi ? Par la suite il m'a appris qu'il bossait
dans une petite entreprise de location de matériel).
Je sentis sa verge puissante et épaisse à travers son short. Mon attitude et mon corps lui laissaient entendre que je me laisserais faire. On était
assez abrités des regards, mais sans plus. L'eau était juste là en dessous et le talus trop pentu s'avérait inconfortable. C'est pourtant là qu'il m'a pris pour la première fois. Les caresses ont
été brèves. Je me posais la question de savoir si j'allais pouvoir prendre un tel engin dans mon cul alors encore assez "vierge". Pourtant je ne souhaitais que ça.
Oui, la photo (fake) ci-dessous est hors décor naturel mais sa queue c'était plutôt ça en plus raide et plus épais quand il baissait son
shortet avec le même petit claquement sur son nombril :
Je suis sûr que son désir de me prendre était teinté de questionnements. Comme beaucoup allais-je refuser de prendre un tel engin
?... L'incertitude prévalut jusqu'au moment "M", l'instant"T". Je sortis un préservatif. Je n'en avais que des ordinaires. Le lui enfiler sans le déchirer posait problème. A la
première tentative de me prendre, le préservatif éclata en lambeaux Par la suite j'avais (inutilement) des king-size avec moi : on se fit confiance. Tout le temps et à
plusieurs reprises il lubrifia. - je ne veux pas que tu aies mal. Arrête-moi s'il faut..On était tous les deux à genoux, je me présentais de dos, le défi était pour moi. Enfin je
triomphai : j'avais mal. Sur ce talus inconfortable il entreprit de parfaire son oeuvre. Je m'accrochais aux plantes qui poussaient là. Il allait, il venait sans fin. Savez-vous ce que
c'est un piston ? Sa verge me procurait des sensations inconnues. J'étais sa chose. Il m'enculait tranquillement sachant l'envoûtement qu'il était en train de faire naître. Personne ne
m'avait pris de la sorte et il n'en finissait pas.
Par la suite les RV se multiplièrent et on eut une couverture tirée de ma 2 CV et on chercha de bonnes planques.Je n'avais pas à me poser la question d'être capable de lui rendre ce qu'il me donnait J'étais subjugué et ma passivité le séduisait à fond selon moi :
j'étais ce qu'il cherchait et réciproquement.. Chacune de ces photos (fakes)évoque bien ces moments de plein air et de baise
intense.
Au début j'étais épuisé après, au point de ne plus pouvoir rien faire pendant de très longs moments. Ensuite, ce vide en mon corps et
mon esprit jouait comme une détente absolue dont j'avais besoin. Et je devins accroc'. Ca c'est toujours mauvais en raison de la peine que fait toujours une séparation. En moi il y avait
deux luttes : assumer ma bi sexualité et ma passivité avec les hommes.
Le fait nouveau ce fut qu'un jour il tira de son sac à dos un gode bricolé par lui. On était "en train"et il me dit : "ça je préfère que
ma femme le trouve pas" Il se le mit tout en me baisant et me mit la main sur le long manche en bois pour que je sois aux manettes. Ca changeait la donne et je
culpabilisais légèrement. de comprendre son insatisfaction que je ne puisse pas le baiser. Gentil Momond ! Il devait s'en prendre des gros, vu la grosseur du gode.
Mais il passait beaucoup de monde sur la drague et un jour, arrivé après lu,i je vis sa moto planquée et le trouvai en "baise debout"
dans les genêts du bord de Durance avec un petit jeune bien foutu, plutôt plus fluet que moi, l'air d'un apprenti plus que d'un étudiant et dont l'anus était aussi élastique que le
mien. lol Candidat à la complicité je voulus observer sur leurs visages les effets de cette énorme intromission. Je m'offris à sucer,
caresser, exhauster la jouissance du jeune... mais non, sans que Momond pût protester je fus gentiment évincé. Bof ! sur la drague si on est jaloux ou exclusif on rate des choses !
Il me rejoignit après avec des regards évocateurs de son plaisir. Je le félicitai de sa bonne fortune, mais il me dit que ce garçon était un
habitué. Je savais, pour avoir été avec d'autres gars, que sur la drague il ne faut pas être jaloux. Ca j'ai bien appris. Pendant une baise, on a vécu l'orage terrible de Vaison en
1992 , ça je me souviens, il faisait si sombre j'ai
culpabilisé qu'on ait été dans la joie du sexe pendant que des gens souffraient et se noyaient. That's life me répondrez-vous : à chaque instant sur la terre certains sont dans la joie et d'aures
dans la souffrance. Aucun lien de cause à effet, mais je crois qu'à partir de là des choses ont concourru à nous séparer. Lassitude ? il y a de ça. Tentations diverses sur une drague riche à
l'époque ? sans doute. Momond avait perdu son travail l'entreprise ayant fermé. A part quelques stages (infirmier notamment), il fut désormais libre tout le temps et moi toujours
heureux de mes fréquentes demi-journées libres dans la semaine. Aucun de nous deux ne voulait manquer les RV qu'on se donnait oralement.
Côté baise, Momond si je le croisais, était toujours dispo. Mais une sorte de crainte du pistonnage violent de mon amant était survenue.
J'aimais sa façon rude et exigeante de me posséder, je m'y préparais si j'avais RV en me faisant des lavages et même en ayant le nécessaire avec moi. Mais j'avais la hantise au bout de quelques minutes que mon anus très sollicité ne vienne à salir, ne serait-ce qu'un peu. J'ai
horreur de ça, on me comprend sans doute.
Puis, à partir d'un moment, il n'est plus venu à la drague. Pas de tél entre nous je l'ai dit, je me suis reproché de ne pas
pouvoir le joindre pour savoir (de façon désintéressée) s'il allait bien ou lui venir en aide s'il lui arrivait quelque chose. C'était la loi de cette drague : incognito,
surtout les hommes mariés. Est-il parti à l'étranger ? Je crois qu'il avait attaqué une formation d'infirmier. Je prie Dieu, s'il existe, qu'il soit en vie et en bonne
santé. Allez, que le hasard fasse que le tag "cavaillon" sur le net lui dise encore quelque chose et qu'il soit devenu l'un des 5 à 600 visiteurs quotidiens de ce blog...Momond,
rassure-nous, moi je t'aime ! Reviens svp !
Ton souvenir est si vivant, toi si généreux, si vaillant, je te désire encore :
on inventa des choses nouvelles nées de nos
expériences
shootés tous deux par notre plaisir partagé
Il m'avait dit qu'il avait été expat dans les pays du golfe. Etait-il reparti ?
NB : toutes les photos sont évocatrices de la vérité mais FAKES du net.
commentaire : "philosophie ??? humilité : je ne t'ai jamais rendu ce que je te dois , non ? " HYDE
Cyril
aimait que je garde ma bite très odorante pour la pomper ensuite, il aimait aussi que je lui pisse entre les fesses avant de l’enculer
Salut! Je m’appelle Romain, j’ai vingt-quatre ans et je suis
étudiant et plutôt beau mec. Je suis brun, je mesure 1m83 pour 74kg, j’ai les cheveux courts, la peau mate et une belle bite de 19 sur 5 avec une grosse paire de couilles. Je fais beaucoup de
sport: ski, tennis, escalade, un peu de muscu et de la rando. Côté baise, je suis exclusivement actif. J’adore baiser les culs serrés, les forcer et bien les limer à grands coups. Je suis assez
vicieux, long à juter et amateur de plans à plusieurs.
Au moins d’août, j’ai passé une semaine de vacances dans le massif des Écrins, avec un pote de la fac, Régis, et son frère, Cyril. Régis n’était pas
homo mais je soupçonnais Cyril d’avoir un petit penchant pour les mecs. Je le sentais à sa façon de me regarder ou de diriger son regard entre mes cuisses pour mater ma bite sous mon short. C’est
un très beau mec de dix-neuf ans, les cheveux longs et châtain clair, les yeux bleus. Chaque jour, nous partions pour de longues randonnées. On avait installé nos tentes au bord du Drac, dans un
camping. On se levait tôt le matin pour suivre les différents “G.R.” de la région, et profiter à fond du site exceptionnel.
Un matin, Régis n’a pas pu venir avec nous, il s’était fait une légère entorse dans des éboulis et préférait se reposer. Nous avions programmé une
excursion près d’un lac et je suis parti seul avec Cyril. J’avoue que je n’étais pas mécontent de pouvoir faire une petite rando rien qu’avec le petit frère. C’était l’occasion rêvée de le
tester. Et, pourquoi pas, de me le faire! Je n’avais plus baisé depuis un certain temps et je me sentais en grande forme de ce côté-là!
Dès que Cyril marchait devant moi, je matais son cul moulé dans un short serré. Ce salaud se tortillait devant moi comme s’il sentait monter mes
envies. Je me suis mis à triquer. L’ascension a pris trois heures. On devait ensuite faire une boucle et emprunter plusieurs cols avant de redescendre vers La Chapelle-en-Valgaudemard où nous
attendait Régis. Quand nous nous sommes arrêtés pour nous reposer, il s’est aperçu que je bandais sous le short. Il n’a rien dit mais j’ai vu ses joues rosir, rien de plus. Il ne fit aucune
avance précise.
Ce cinéma a duré jusqu’en début d’après-midi. Il ne nous restait plus qu’une heure de marche au plus avant de retrouver Régis. C’était maintenant ou
peut-être jamais. Cyril s’est arrêté pour pisser. Je suis venu me placer à côté de lui et j’ai baissé, moi aussi, mon short bien que je n’avais pas du tout envie. Une fois à l’air, ma queue s’est
tout de suite mise à gonfler et à raidir. Je l’ai gardé dans mes doigts en tirant sur la peau du prépuce pour décalotter le gland. Cyril pissait à côté mais regardait surtout ma bite raide. Je
n’ai pas hésité à lui lancer: “Tu ne veux pas me la sucer?” Il s’est tourné vers moi. Cette fois, lui aussi bandait. J’ai empoigné sa bite et je l’ai branlée, puis j’ai avancé ma main à
l’intérieur de sa braguette pour lui palper le paquet. Cyril s’est mis à gémir avant de me dire: “OK, mais il ne faut pas que mon frère se doute de quoi que ce soit! Sois discret.”
Nous nous sommes écartés du sentier pour nous enfoncer dans la forêt, et dès que nous avons trouvé un coin, nous nous sommes mis complètement à
poil. Quel pied! Cyril est venu m’embrasser avant de lécher mes seins puis mon ventre. Il s’est glissé entre mes cuisses et il a sucé ma bite d’une façon sublime. Il donnait de petits coups de
langue sur le gland avant d’avaler ma tige en pressant bien ses lèvres dessus. En même temps, il branlait mes burnes pleines à craquer ou glissait un doigt entre mes fesses pour masser mon trou
du cul. Ce salaud n’en était pas à sa première pipe, loin de là! Il s’y connaissait pour pomper un mec, pressant ses doigts à la base de tige pour la faire gonfler encore plus.
J’ai voulu lui bouffer le cul tout en me faisant pomper et je l’ai fait monter en 69 sur moi. Enfin, je pouvais mater à loisir ses fesses. Son cul
était parfait. J’ai écarté les lobes pour découvrir la pastille tout juste cernée de quelques poils. Je l’ai léché dans toute la raie puis j’ai enfoncé ma langue dans son cul. La rondelle était
souple et s’ouvrait. Cyril m’encourageait à bien lui bouffer le cul et se tortillait sur moi. Il répétait qu’il avait une super-envie de se faire foutre une bonne bite dans le trou du
cul...
J’ai commencé à le dilater avec mes doigts, les enfonçant et les tournant pour bien l’ouvrir. J’étais de plus en plus fou, si excité que je lui ai
demandé d’arrêter de me pomper. Ce n’était pas dans sa bouche que je voulais me vider mais dans son cul. C'est lui qui a eu envie qu’on se mette debout, contre un grand pin. Il a posé ses mains
en appui sur le tronc, le corps penché, les fesses tendues vers l’arrière et les cuisses écartées. Dans cette position, sa raie s’ouvrait toute seule. J’ai approché ma bite de son trou, j’ai
frotté mon gland contre son anus et je l’ai enculé en m’enfonçant lentement dans son orifice.
C’était brûlant à l’intérieur, et Cyril s’est mis tout de suite à gémir et à me supplier de lui planter ma queue jusqu’aux couilles. En trois coups,
j’étais enfoncé. Je l’ai empoigné par les hanches pour le limer. C’était délicieux de le tirer comme ça. Régis me tendait bien son cul et me demandait d’y aller à fond. Il m’excitait tellement
que je me suis mis à le fesser tout en le bourrant et à l’insulter: “Attends, salaud, je vais te le défoncer, ton trou du cul. Prends ça! Je vais te déchirer avec ma grosse bite!”
J’étais hors de moi. Cyril ne gardait plus qu’une seule main en appui contre le tronc d’arbre. Il avait glissé l’autre entre ses cuisses et me
branlait les couilles tout en m’encourageant de le limer encore plus fort. Je me suis amusé, à plusieurs reprises, à retirer ma bite de son trou pour regarder son orifice ouvert avant de
l’empaler à nouveau. Nous étions en nage, tous les deux. Je me retenais pour faire durer le plus possible, mais je n’allais pas tarder à cracher dans son cul. Cyril a lâché mes couilles pour
saisir sa tige et se branler. Nous avons joui en criant. Tout en déchargeant dans son cul, j’ai pu sentir ses chairs se contracter sur ma pine à chaque spasme de son orgasme. Ce fut divin.
Je pensais m’être complètement vidé les couilles quand nous avons repris le sentier mais un quart d’heure après, je bandais encore et j’ai voulu
l’enculer une seconde fois avant de retrouver son frère. Nous avons utilisé une autre position. Je me suis étendu et Cyril s’est enculé tout seul sur ma bite, à genoux sur moi. C’était vraiment
un petit salaud avec toujours le feu au cul. Très vicieux aussi. Cyril aimait que je garde ma bite très odorante pour la pomper ensuite, il aimait aussi que je lui pisse entre les fesses avant de
l’enculer et j’ai passé de superbes vacances dans les Écrins, grâce à lui. Sans que le grand frère se doute jamais de rien. Pour vous les décrire, j’ai changé les noms.
tu reconnais Richard ? et moi tu m'as déjà rencontré ?
son smartphone nous a
fait de belles pics
SUR LE CAPOT
un MMS que j'envoie volontiers à mes contacts
Je te la mets toute !
Salut, les petits loups! Ça y est, c’est le printemps... Du moins, presque, ici en Provence. Je suis de Cavaillon, ça vous dit quelque chose? Un
coin très sympa, surtout dès qu’il commence à faire beau. Et qui dit printemps dit bonne baise dans la nature. Moi, c’est ce que je préfère: m’éclater en pleine forêt avec un beau mâle avec le
seul soleil pour témoin. Enfin... S’il y a quelques voyeurs en plus, ils sont les bienvenus. Leur présence m’aide à me rendre encore plus salope avec la tige que je pompe ou qui me défonce le
cul.
Vous l’aurez sans doute compris, je suis très exhib. Déjà, chez moi, je vis complètement à poil. Ou... En culotte de nana! Ben, oui! Je vais sans
doute en surprendre ou en choquer plus d’un, mais moi qui suis homo à cent pour cent depuis toujours, j’aime bien porter des trucs de filles. Je ne suis pas du tout un travesti. Au contraire,
j’ai le look très mec. Tout ce qui est bas, porte-jarretelles, guêpières, perruques ou maquillage ne me fait pas bander. Par contre, je me mets à triquer dur dès que je porte une jolie culotte en
dentelle. Ce que je préfère, c’est le brésilien.
J’en commande des tas par correspondance. Rouges, noirs, blancs, en dentelle ou en lycra, de quoi mettre en valeur mon joli petit cul. J’en porte
souvent au boulot également. Personne ne le sait, ce qui ferait désordre dans l’administration où je bosse. Je ne cache pas mon homosexualité, mais il y a des endroits où il vaut mieux se montrer
discret sur ce plan. Pour moi, c’est plus simple d’aller baiser sur Avignon, Aix ou Marseille, ou de faire quelques petites escapades sur Nîmes ou Montpellier.
Physiquement, je suis un mec assez bien foutu: brun, les cheveux courts, vingt-six ans, 1m80 pour 73 kg, très peu poilu, une queue de 18
sur 5 et de très belles fesses. Je trouve mon visage banal, mais je suis fier de mon corps. Côté baise, j’aime à peu près tout. Il m’arrive d’enculer, mais c’est assez rare. Je suce et je me fais
sucer, j’adore les 69 et les jeux de langues sur le trou du cul, embrasser, palucher, me faire travailler les seins et recevoir une bonne bite bien à fond dans le trou de balle. J’aime les types
voyeurs, directs et décidés, les mots crus, les mecs qui aiment mater ma rosette avant de la limer et, comme je l’ai écrit plus haut, les bonnes parties de jambes en l’air dans la nature. Surtout
quand je tombe sur un mec comme Richard.
Il était marié, barbu, quarante-huit ans. Je ne suis pas du genre à refuser les bisex d’autant plus qu’il avait la braguette plutôt bien garnie, ce
salaud: une belle pine de 21 sur 6 qu’il n’avait jamais pu enfoncer entre les fesses de sa femme. Je n’ai jamais su si Richard était son vrai prénom ni ce qu’il faisait dans la vie. C’est lui qui
m’a branché sur le net et m’avait dit être seulement de passage à Cavaillon. Ce qu’il voulait: une bouche gourmande et un bon petit cul de femelle a remplir. J’étais libre tout
l’après-midi et je lui ai rapidement donné mon numéro de téléphone pour mettre au point un rancard et parler un peu plus de nos envies réciproques. Quand je lui ai demandé s’il aimait les mecs en
slip à frou-frou, il m’a répondu: “Pas de problème! C’est même encore mieux! Si tu as un truc qui fasse bien salope, mets-le!”
Le son de sa voix grave et autoritaire m’a tout de suite fait bander. Il était d’accord pour un plan en nature et pour quelques jeux d’exhibitions
avant de m’enfiler. Il désirait également me photographier et m’a demandé d’emporter un gode pour des photos assez hard. Son programme me plaisait... Je l’ai renseigné sur un coin que je
connaissais, dans la direction d’Apt, à seulement à quelques kilomètres de Cavaillon. Il m’a attendu sur le parking d’un resto et nous n’avons roulé quelques minutes avant d’arriver dans l’un de
mes “baisodromes” préférés. Pendant le trajet, Richard m’a avoué qu’il baisait régulièrement avec des mecs depuis plusieurs années. Il était sympa, détendu, carré d’épaules et portait un
costard-cravate. Je conduisais et j’avais hâte de découvrir la belle tige qui gonflait sa braguette. Question baise, ce fut super! Pour la queue, il n’avait pas menti. C’est moi qui l’ai libérée
de son froc et j’ai dégagé une teub superbe. Elle n’était pas encore raide mais déjà gonflée avec de grosses veines bleutées. Je n’ai eu qu’à l’astiquer un peu pour voir son manche se raidir.
Richard possédait également de belles couilles, noires de poil, des bourses lourdes et fripées que j’ai malaxées dans mes doigts tout en branlant sa tige.
Adossé contre ma voiture, il se laissait faire. Je me suis agenouillé pour le pomper, lécher son gland et ses burnes qui dégageaient une bonne odeur
de mâle. Je me suis appliqué à lui tailler une bonne pipe, encouragé par ses phrases crues et ses mots obscènes. Richard répétait que j’étais une bonne salope, que je pompais aussi bien que les
putes. Il me plantait son dard au fond de la gorge et me promettait de bien me défoncer le cul quand j’aurais fini de le piper.
Au bout d’un moment, il a défait sa ceinture et baissé son froc, me tournant le dos et se penchant vers l’avant. J’ai entendu: " Bouffe-moi un peu
le cul avant que je m’occupe du tien!” Il était très poilu dans la raie et j’ai découvert un fion sombre et ourlé que j’ai longuement léché avant d’enfoncer ma langue à l’intérieur. Je continuais
à lui branler le chibre qui restait plaqué contre son ventre.
J’étais excité comme un fou quand j’ai retiré mon jean. Par-dessous, je portais un brésilien noir. Richard m’a tout de suite couché sur le capot de
ma voiture pour mater mon cul. Debout, derrière moi, il me demandait de bien me cambrer, puis il m’a ordonné d’écarteler mes fesses avec mes mains pour lui exhiber ma rosette. Il m’a mitraillé
avec son appareil numérique, faisant des gros plans de ma rondelle, m’ordonnant de la masser avec mes doigts, de la mouiller de salive et de m’enculer avec mon index et mon majeur pour bien me
dilater l’œillet. Il m’a encore photographié pendant que je me godais tout en me faisant changer plusieurs fois de posture. Je devais planter le gode à fond et le laisser faire quelques clichés
avant de prendre une autre position.
Pour m’enculer, il m’a redemandé de me coucher sur le capot de ma voiture. J’étais bien ouvert grâce au gode, mais il a dû me forcer un peu pour
introduire son gros gland. Il s’est retiré et m’a encore pénétré, répétant plusieurs fois l’opération tout en s’enfonçant un peu plus chaque fois. Au bout d’un moment, j’ai entendu: “Cette fois,
je te la mets toute!” Il a donné plusieurs coups de reins en m’insultant, et son ventre rond est venu s’écraser contre mes fesses. J’ai eu un peu mal durant les premiers va-et-vient, mais la
douleur s’est rapidement estompée. C’était délicieux de se faire embrocher par cette grosse tige. À chaque coup de boutoir, il se retirait jusqu’au gland avant de revenir jusqu’aux couilles. Il
rythmait son enculage par des: “Tiens, salaud! Je vais t’éclater le cul avec ma grosse bite!” Pour l’exciter davantage, j’ai glissé une main entre mes cuisses et j’ai empoigné ses couilles.
Richard s’est mis à me traiter de tous les noms, de putain, de pétasse, de chienne... Il m’enculait de toutes ses forces en me tirant vers lui. J’ai lâché ses couilles quand il m’a prévenu qu’il
allait juter, et j’ai branlé ma queue pour cracher avec lui.
Avant de me laisser me rhabiller, il a voulu faire quelques dernières photos de mon trou rouge et élargi par sa bite. Je me suis prêté volontiers à
cette dernière exhibition et j’ai reçu, il y a deux jours, par mail, toute la série de clichés réalisés par Richard; des photos que je compte utiliser à présent pour m’exhiber à travers Internet,
car je les trouve réussies.
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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