Partager l'article ! Ce salaud n’en était pas à sa première pipe, loin de là! Il s’y connaissait pour pomper un mec, pressant ses doigts à la base de tige pour la ...
Côté baise, je suis exclusivement actif. J’adore baiser les culs serrés, les forcer et bien les limer à grands coups.
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Cyril aimait que je garde ma bite très odorante pour la pomper ensuite, il aimait aussi que je lui pisse entre les fesses avant de l’enculer
Salut! Je m’appelle Romain, j’ai vingt-quatre ans et je suis étudiant et plutôt beau mec. Je suis brun, je mesure 1m83 pour 74kg, j’ai les cheveux courts, la peau mate et une belle bite de 19 sur 5 avec une grosse paire de couilles. Je fais beaucoup de sport: ski, tennis, escalade, un peu de muscu et de la rando. Côté baise, je suis exclusivement actif. J’adore baiser les culs serrés, les forcer et bien les limer à grands coups. Je suis assez vicieux, long à juter et amateur de plans à plusieurs.
Au moins d’août, j’ai passé une semaine de vacances dans le massif des Écrins, avec un pote de la fac, Régis, et son frère, Cyril. Régis n’était pas homo mais je soupçonnais Cyril d’avoir un petit penchant pour les mecs. Je le sentais à sa façon de me regarder ou de diriger son regard entre mes cuisses pour mater ma bite sous mon short. C’est un très beau mec de dix-neuf ans, les cheveux longs et châtain clair, les yeux bleus. Chaque jour, nous partions pour de longues randonnées. On avait installé nos tentes au bord du Drac, dans un camping. On se levait tôt le matin pour suivre les différents “G.R.” de la région, et profiter à fond du site exceptionnel.
Un matin, Régis n’a pas pu venir avec nous, il s’était fait une légère entorse dans des éboulis et préférait se reposer. Nous avions programmé une excursion près d’un lac et je suis parti seul avec Cyril. J’avoue que je n’étais pas mécontent de pouvoir faire une petite rando rien qu’avec le petit frère. C’était l’occasion rêvée de le tester. Et, pourquoi pas, de me le faire! Je n’avais plus baisé depuis un certain temps et je me sentais en grande forme de ce côté-là!
Dès que Cyril marchait devant moi, je matais son cul moulé dans un short serré. Ce salaud se tortillait devant moi comme s’il sentait monter mes envies. Je me suis mis à triquer. L’ascension a pris trois heures. On devait ensuite faire une boucle et emprunter plusieurs cols avant de redescendre vers La Chapelle-en-Valgaudemard où nous attendait Régis. Quand nous nous sommes arrêtés pour nous reposer, il s’est aperçu que je bandais sous le short. Il n’a rien dit mais j’ai vu ses joues rosir, rien de plus. Il ne fit aucune avance précise.
Ce cinéma a duré jusqu’en début d’après-midi. Il ne nous restait plus qu’une heure de marche au plus avant de retrouver Régis. C’était maintenant ou peut-être jamais. Cyril s’est arrêté pour pisser. Je suis venu me placer à côté de lui et j’ai baissé, moi aussi, mon short bien que je n’avais pas du tout envie. Une fois à l’air, ma queue s’est tout de suite mise à gonfler et à raidir. Je l’ai gardé dans mes doigts en tirant sur la peau du prépuce pour décalotter le gland. Cyril pissait à côté mais regardait surtout ma bite raide. Je n’ai pas hésité à lui lancer: “Tu ne veux pas me la sucer?” Il s’est tourné vers moi. Cette fois, lui aussi bandait. J’ai empoigné sa bite et je l’ai branlée, puis j’ai avancé ma main à l’intérieur de sa braguette pour lui palper le paquet. Cyril s’est mis à gémir avant de me dire: “OK, mais il ne faut pas que mon frère se doute de quoi que ce soit! Sois discret.”
Nous nous sommes écartés du sentier pour nous enfoncer dans la forêt, et dès que nous avons trouvé un coin, nous nous sommes mis complètement à poil. Quel pied! Cyril est venu m’embrasser avant de lécher mes seins puis mon ventre. Il s’est glissé entre mes cuisses et il a sucé ma bite d’une façon sublime. Il donnait de petits coups de langue sur le gland avant d’avaler ma tige en pressant bien ses lèvres dessus. En même temps, il branlait mes burnes pleines à craquer ou glissait un doigt entre mes fesses pour masser mon trou du cul. Ce salaud n’en était pas à sa première pipe, loin de là! Il s’y connaissait pour pomper un mec, pressant ses doigts à la base de tige pour la faire gonfler encore plus.
J’ai voulu lui bouffer le cul tout en me faisant pomper et je l’ai fait monter en 69 sur moi. Enfin, je pouvais mater à loisir ses fesses. Son cul était parfait. J’ai écarté les lobes pour découvrir la pastille tout juste cernée de quelques poils. Je l’ai léché dans toute la raie puis j’ai enfoncé ma langue dans son cul. La rondelle était souple et s’ouvrait. Cyril m’encourageait à bien lui bouffer le cul et se tortillait sur moi. Il répétait qu’il avait une super-envie de se faire foutre une bonne bite dans le trou du cul...
J’ai commencé à le dilater avec mes doigts, les enfonçant et les tournant pour bien l’ouvrir. J’étais de plus en plus fou, si excité que je lui ai demandé d’arrêter de me pomper. Ce n’était pas dans sa bouche que je voulais me vider mais dans son cul. C'est lui qui a eu envie qu’on se mette debout, contre un grand pin. Il a posé ses mains en appui sur le tronc, le corps penché, les fesses tendues vers l’arrière et les cuisses écartées. Dans cette position, sa raie s’ouvrait toute seule. J’ai approché ma bite de son trou, j’ai frotté mon gland contre son anus et je l’ai enculé en m’enfonçant lentement dans son orifice.
C’était brûlant à l’intérieur, et Cyril s’est mis tout de suite à gémir et à me supplier de lui planter ma queue jusqu’aux couilles. En trois coups, j’étais enfoncé. Je l’ai empoigné par les hanches pour le limer. C’était délicieux de le tirer comme ça. Régis me tendait bien son cul et me demandait d’y aller à fond. Il m’excitait tellement que je me suis mis à le fesser tout en le bourrant et à l’insulter: “Attends, salaud, je vais te le défoncer, ton trou du cul. Prends ça! Je vais te déchirer avec ma grosse bite!”
J’étais hors de moi. Cyril ne gardait plus qu’une seule main en appui contre le tronc d’arbre. Il avait glissé l’autre entre ses cuisses et me branlait les couilles tout en m’encourageant de le limer encore plus fort. Je me suis amusé, à plusieurs reprises, à retirer ma bite de son trou pour regarder son orifice ouvert avant de l’empaler à nouveau. Nous étions en nage, tous les deux. Je me retenais pour faire durer le plus possible, mais je n’allais pas tarder à cracher dans son cul. Cyril a lâché mes couilles pour saisir sa tige et se branler. Nous avons joui en criant. Tout en déchargeant dans son cul, j’ai pu sentir ses chairs se contracter sur ma pine à chaque spasme de son orgasme. Ce fut divin.
Je pensais m’être complètement vidé les couilles quand nous avons repris le sentier mais un quart d’heure après, je bandais encore et j’ai voulu l’enculer une seconde fois avant de retrouver son frère. Nous avons utilisé une autre position. Je me suis étendu et Cyril s’est enculé tout seul sur ma bite, à genoux sur moi. C’était vraiment un petit salaud avec toujours le feu au cul. Très vicieux aussi. Cyril aimait que je garde ma bite très odorante pour la pomper ensuite, il aimait aussi que je lui pisse entre les fesses avant de l’enculer et j’ai passé de superbes vacances dans les Écrins, grâce à lui. Sans que le grand frère se doute jamais de rien. Pour vous les décrire, j’ai changé les noms.
COMMENTAIRE :
Cyril aimait bien ça
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